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4,25

sur 622 notes
Un premier volume plus qu'épique. J'avais eu des écho comme quoi c'était d'une violence folle, mais j'étais loin de me douter de voir à quel point c'était le cas. Violence inouïe mais qui ne m'a pas choqué. C'était assez brouillon dans les combats, et je n'arrive pas bien à cibler le fil directeur entre les chapitres. J'espère également qu'il y aura une vraie intrigue, car rien ne paraît ici. {16}
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Berserk de Kentaro Miura éditions Glénât tome 1


41 volumes en cours


Type Seinen. (Destiné à des jeunes hommes adultes)


Guts guerrier Solitaire sauve l'elfe Puck. Solitaire, il combat les forces du mal. Il porte une marque au cou qui semble avoir une signification particulière. Ce premier tome se termine sur la découverte d'une Beherit (artefact magique donnant des pouvoirs)


Dans un graphisme magnifique l'auteur nous entraine dans un univers de fantasy médiéval. le héros semble défendre les faibles. Cependant, il n'a pas de compassion particulière quand des quidams se font massacrer pour l'avoir aidé.  L'elfe Puck donne un ton caustique par ses interventions et dédramatise les scènes souvent très violentes, frisant l'horreur. 


Donc un manga de belle facture mais à ne pas donner avant 15/16 ans. 

Je tenais à lire ce livre donné parmi les 25 livres préférés des Français. (10e place). le graphisme vaut vraiment le détour. Et l'histoire est plaisante.


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Je me suis lancé dans cette série suite au conseil d'un libraire. Et je ne suis
pas déçu , les dessins sont magnifiques. Et ce personnage gutz est un personnage complexe loin d'être gentil. On pense aussi en lisant ce manga à
hokuto no ken. Hâte de lire la suite
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Ses un mangas cruel gore que j'aime
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Voilà un manga dont la base aurait pu être plaisante si la niaiserie en était amputée... Ce n'est pas de la dark fantasy quand un elfe androgyne agrémente les aventures en posant dans de grotesques expressions toutes plus infantiles les unes que les autres.
Certaines planches sont sublimes, d'autres pas mal, d'autres encore absolument honteuses (je pense en particulier à cet effroyable elfe puéril qui jure avec tout le reste)
Probablement que les habitués des mangas et bds n'y trouveront rien à redire, probablement aussi que beaucoup trouveront tout ça violent ; personnellement je me sens volé du prix de ce volume et je ne continuerai pas la série.
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La première fois que j'entends parler de cette série de manga, c'est par un collègue de travail. Immédiatement, je lis les deux premiers tomes. Je n'accroche pas du tout. J'abandonne l'idée de lire cette série.

Plus tard, le manga apparaît dans les incontournables du site internet BDtheque. Je décide de lui donner une seconde chance. Ma première impression se confirme.

C'est une série de manga truffés de stéréotypes de l'Heroic Fantasy. Aucune originalité. Un manga de féru d'action tous azimuts.

Je n'ai pas dépassé le quatrième tome tellement j'avais l'impression d'assister à un ''remake'' de robocop version fantasy. le personnage principal est indestructible. Nous n'avons jamais peur pour sa vie. En fait, au bout de quelques combats, il est facile de comprendre comment le combat va se dérouler: Il va se battre avec une haine vivace, il va en prendre ''plein la gueule'', il va souffrir, supporter un discours minable du Ô terrible méchant et finalement, il va se relever pour porter un coup décisif à l'adversaire.

De plus, le ''faux bad boy'', je n'achète pas. Un faux antihéros. Un manga qui manque de maturité. Un manga de Super-héros de fantasy.

Un manga à lire si on aime enfiler les combats un après l'autre et les héros super puissants.

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Tome 1) Marche à l'ombre

De nos jours on ne présente plus Berserk ; pour ceux qui s'intéressent de près comme de loin à la bande dessinée japonaise, désormais reconnue par tous, le manga de Kentaro Miura y figure comme un classique-incontournable de ce milieu.

La première chose que l'on relèvera de l'oeuvre du mangaka est son avertissement annoncé dès sa couverture «pour lecteurs avertis» présage d'une brutalité ambiante au récit. Augure qui se confirmera dès les premières pages(20-30 premières), Miura ne perd pas de temps à nous expliquer son histoire, il choisira en effet de nous exposer son univers de la façon la plus primaire possible, la sexualité et la nudité. Acte qui véhiculera tout le contraire de sa signification originelle d'amour et de procréation, ici il est synonyme de vulnérabilité et de mort, nous faisant comprendre que la joie n'a pas de place dans le récit de notre héros.

Ce qui frappe également le lecteur c'est la qualité de ces dessins tous plus détaillés et soignés les uns que les autres, le travail sur l'ombre notamment, celle des visages accentuant le ton sombre que veut prendre l'oeuvre. Ils permettront d'exprimer toute cette violence d'une extrême crudité et cette noirceur omniprésente. Les doubles pages sont d'ailleurs extrêmement plaisantes utilisant parfaitement la disproportionnalité de certains éléments ou personnages(l'épée de Guts, démons) rendant les combats plus épiques visuellement.

Sur son fond Miura nous dépeint un univers ultraviolent complètement déshumanisé voire diabolisé où règne une atmosphère d'apocalypse avant l'heure. Guts illustre très bien cette idée, se posant en anti-héros il nous est présenté comme étant un guerrier redoutable laissant derrière lui nulle autre chose que la mort. Véritable machine à tuer il est aguerri ; son corps endurci, ses cicatrices, c'est un borgne au bras mécanique(lui servant d'arbalète), une épée démesurément trop grande pour lui. Tout ceci nous laisse percevoir qu'il a déjà vécu bien des épreuves, surnaturellement fort il combat monstres et humains avec une agressivité déconcertante, il paraît presque immortel mais surtout démoniaque, ses sourires sadiques lorsqu'il fait souffrir ses ennemis, son visage masqué d'un teint très sombre, un regard noir laissant apercevoir une antipathie totale. En loup solitaire Guts marche à l'ombre se fondant parfaitement dans son environnement sombre et belliqueux, entre brutalité physique et morale, le Berserk est guidé par un sentiment vengeur laissant derrière lui un déluge de sang et une montagne de cadavres.

Car c'est de cette manière que nous sommes introduits dans l'histoire, sa quête n'est d'ailleurs pas explicitement dévoilée, Guts est rempli de haine, il semble être sur le chemin de la vengeance où ce qui semble en être à l'origine le poursuit, le mal. Nous ne saisissons par encore le Pourquoi du Comment renforçant le côté mystérieux et mystique, une chose qui dépasse notre personnage, une fatalité. Emprisonné par une marque dont la provenance n'est pas encore spécifiée Guts semble impuissant, son destin scellé par celle-ci le laissant dans un monde où il ne connaît que la douleur, tristesse et la guerre, maudit il apparaît condamné au malheur éternel. Il aspirerait alors simplement à la liberté et au bonheur de la tranquillité, lui étant si tourmenté et oppressé par ces ennemis. Son côté humain réapparait d'ailleurs quelques fois, faiblesse refoulée pour s'endurcir et survivre, elle ressurgit dans des moments d'horreurs (scène avec la petite fille) où la résistance de Guts ne peut transgresser sa nature d'Homme et à le laisser insensible à ce spectacle macabre.

Tout ceci est d'ailleurs très bien mis en scène, il y a ce sentiment constant d'être observé, plusieurs fois dans le tome apparaissent de simples yeux dans l'obscurité traquant sans relâche notre héros, s'invitant même dans son sommeil, ses peurs, le mal l'accule et l'entoure ne lui laissant pour unique choix l'affrontement.

Je veux d'ailleurs relever une case qui m'a vraiment plu se trouvant à la page 180 pour ceux qui auraient le tome pas très loin. La case en question est celle de Guts courant dans une ruelle fuyant les gardes. Je trouve cette scène particulièrement efficace et tristement belle car elle reflète parfaitement le ton fataliste et pessimiste que prend comme atmosphère ce premier tome. Guts est dans une impasse symbolisée par une sorte d'entrée voutée donnant sur lui et une ruelle trop étroite et sombre pour y accéder. le travail sur l'ombre et la noirceur évoqué plus haut est parfaitement caractérisé par cette scène, l'ombre projetée en opposition, dans le chemin-tunnel, inversée à la course de Guts laisse supposer que peu importe que Guts avance ou fasse demi-tour il n'y a pas d'issus, devant comme derrière se trouvent le malheur, la tristesse et la violence(encore le sentiment d'accablement). Et la case qui suit...ce regard vide comprenant ce qui l'attend, Guts fait face à quelque chose qui le dépasse, une divinité. Thème extrêmement présent, d'autant plus avec cette histoire des 5 "god hand".

Il est encore tôt pour le voir comme un véritable problème mais le personnage de Puck m'a particulièrement irrité. Arrivant au moment opportun (facilités scénaristiques) combinant un humour complètement inadapté avec le ton que prend Berserk et commentant tout ce que fait Guts ("Attention derrière toi !") en combat, il m'a paru particulièrement agaçant. Bien qu'utile à l'intrigue étant la faiblesse et la lumière dans un monde dénué de toute lueur symbolisé par Guts. L'idée développée n'est pas inintéressante mais pour le moment à l'état d'embryon. Il aura cependant une réplique très juste «C'est donc ça ton univers Guts» illustrant l'incompatibilité de ces deux êtres, et la souffrance et l'absence d'échappatoire, le perpétuel combat contre son destin pour notre héros.

Malgré un certain cynisme Guts ne semble pas résigné, bien au contraire il hurle sa rage dans un monde cruel où seuls les plus forts survivent. Dans sa résilience il avance et poursuit son objectif, ayant même délaissée une partie de son humanité pour accomplir sa vengeance et se libérer du mal qui ne le quitte pas.

Fresque cauchemardesque, le premier tome de Berserk réussit à captiver le lecteur par son univers médiéval de dark fantasy sublimé par des dessins magnifiques, par son personnage principal ainsi que sa violence viscérale et son intrigue voilée de mystères et d'enjeux sous jacents.
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Il porte une épée plus grande que lui. Il est muni d'un bras artificiel en acier. Guts, le guerrier, est enrobée de feutrine noire… À son passage, déluge de sang et montagnes de cadavres lui font place. Un elfe du nom de Puck le suit après qu'il l'a tiré de mauvais draps. Opposant à la force de Guts son bagou, il est entraîné dans son univers d'ultraviolence. Sur son chemin, des hordes de démons. Son stigmate guidera-t-il Guts vers sa vengeance ?
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Je me lance (enfin) dans berserk. Oui j'en ai mis du temps je sais.
En tant que très gros amateur de dark fantasy je ne pouvais pas passer à coté et un ami me l'a tellement vendu que j'ai sauté le pas.

Comme ont me l'avait dis c'est violent. Ont a de la pulpe de fraise qui vole dans tout les sens. Guts est badasse et il aime le montrer. Il déteste les faibles comme il le répète souvent à Pluck à longueur de temps (alias le petit elf marrant).

Les dessins sont pas mal mais j'ai clairement vu beaucoup plus beau. le visage de Guts a parfois des petits soucis d'anatomie mais honnêtement ça reste très correct et apparemment ça s'améliore au cours des tomes.

Pour conclure j'ai apprécié ce tome 1 sans pour autant trouvé ça oufissime. A voir comment la série évolue.

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C'est le premier tome du chef d'oeuvre de Kentaro miura on y découvre le personnage de Guts qui est une personne dont la vie ne tient qu'à un fil depuis sa naissance et à travers sa vie ça ne s'améliore mais au contraire c'est de pire en pire on se comment il fait pour persévérer à travers ce monde qui ne souhaite que sa mort et lui qui combat et qui souhaite simplement vivre paisiblement.
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