Les grains de Pollen

Idéalisme magique

L'idéaliste magique

Si vous ne pouvez pas rendre les pensées audibles indirectement (et par coïncidence), inversement, rendez les choses externes audibles immédiatement (et involontairement) - ce qui revient à dire que si vous ne pouvez pas faire exprimer les pensées par des pensées, faites les choses externes aux pensées. Si vous ne pouvez pas rendre une pensée indépendante, séparée de vous et maintenant étrangère à vous, c'est-à-dire une âme apparaissant extérieurement, faites l'inverse avec les choses extérieures et transformez-les en pensées.

Les deux opérations sont idéalistes. Celui qui a les deux sous son contrôle est l'idéaliste magique. La perfection de chacune des deux opérations ne devrait-elle pas dépendre de l'autre?

(Le non-ego est la séparation initiale, la procréation à grande échelle. Les conséquences médicales de cette ségrégation. L'éducation du non-ego. Un ami éduque l'autre pour lui-même.) (Dans une personne spirituelle une nouvelle signification, une nouvelle signification se forme avec chaque apparence Outil flatté à sa manière et qui peut être insulté à sa manière. (Une nouvelle façon de plaire et de déplaire.)

Idéaliste magique et réaliste magique

Si vous voulez faire et réaliser quelque chose de spécifique, vous devez également définir certaines limites temporaires. Mais qui ne veut pas cela est parfait comme celui qui ne veut pas nager tant qu'il ne le peut pas. C'est un idéaliste magique comme il y a des réalistes magiques. L'un cherche un mouvement miracle, un sujet miracle - celui-ci est un objet miracle, une figure miraculeuse. Les deux sont des maladies logiques, des délires, dans lesquels, cependant, l'idéal est révélé ou reflété de deux manières - des êtres saints et isolés qui brisent merveilleusement la lumière supérieure - des prophètes délirants. Le rêve est également prophétique - caricature d'un avenir merveilleux.

Discussion personnelle idéale

Il y a en nous certains poèmes qui semblent avoir un caractère très différent des autres, car ils s'accompagnent d'un sentiment de nécessité, et pourtant il n'y a absolument aucune raison extérieure pour eux. Il semble à l'homme qu'il est en conversation, et un être spirituel inconnu lui fait merveilleusement développer les pensées les plus évidentes. Cet être doit être un être supérieur car il s'y rapporte d'une manière impossible à tout être lié aux apparences. Ce doit être un être homogène car c'est comme un être spirituel traité et lui a demandé de rarement auto-activité. Cet ego supérieur concerne les humains comme les humains à la nature ou les sages aux enfants. L'homme aspire à devenir comme lui alors qu'il essaie de se faire le non-moi.

Ce fait ne peut pas être fait. Chacun doit en faire l'expérience par lui-même. C'est un fait d'un genre supérieur que seul l'homme supérieur rencontrera. Mais les gens devraient s'efforcer de le faire entrer en eux-mêmes.

La science qui en découle est la science supérieure. La partie pratique contient l'auto-éducation du moi afin de pouvoir faire de cette communication, la partie théorique les caractéristiques de la communication réelle. Les rites font partie de l'éducation.

Dans Fichte, la partie théorique contient les caractéristiques d'une idée réelle, la partie pratique l'éducation et la formation du non-moi afin de pouvoir exercer une réelle influence, une véritable communion avec le moi, et donc aussi l'auto-formation parallèle du moi.

La morale appartient donc aux deux mondes; ici comme but, là comme moyen - et c'est le lien qui relie les deux.

Philosophiser est une auto-discussion du genre ci-dessus, une véritable révélation de soi, une excitation du moi réel par le moi idéal. La philosophie est la base de toutes les autres révélations. La décision de philosopher est une invitation au vrai moi qu'il doit refléter, éveiller et être esprit. Sans philosophie, il n'y a pas de véritable morale, et sans morale, il n'y a pas de philosophie.

Tout comme nous nous sentons obligés de penser en plus, et pas seulement à certaines sensations, à un certain supplément et à une certaine régulation des pensées, par exemple par une figure humaine, pour y mettre un texte spirituel, il en est ainsi - en pensant à nous-mêmes ou regardez-nous. Nous nous sentons obligés de faire un ajout similaire de concepts et d'idées, à une certaine réflexion, et cette contrainte et cette occasion structurées sont l'image de nous-mêmes.

Les règles de notre pensée et de nos sentiments, etc. sont le schéma en partie du caractère de l'humanité en général, en partie de notre humanité individuelle. En se regardant, on se sent obligé, de façon plus ou moins distincte, de se concevoir, de ne pas penser autrement, etc.

Caractéristiques litho. Une sensation indirecte - une sensation de la sensation est une demi-pensée - peut déjà être une pensée. (Vid. Harmony - conclusion.)

Auto-contact de l'intelligence

La possibilité de toute philosophie repose sur le fait que l'intelligence se donne un mouvement auto-légal par le contact de soi - c'est sa propre forme d'activité. (Voir la théorie des contours de Baader.)

Notre monde intérieur doit correspondre aux plus petites parties, car dans l'ensemble, ils sont opposés les uns aux autres. Ce qui est si opposé ici est inversé ou confus ici; toutes les déterminations antithétiques.

Ce n'est que par l'action que quelque chose peut surgir pour moi, parce que quelque chose vient dans ma sphère, quelque chose surgit entre moi et moi. Être ne m'est possible qu'à travers mon travail. Je déplace ma limite pour ainsi dire, je gagne quelque chose. Ce quelque chose doit être inactif, constant.

La douleur doit être supportable car nous la réglons nous-mêmes et nous ne souffrons donc pas plus que nous ne sommes actifs.

La cause et l'effet dans la première catégorie de la relation sont mieux exprimés: déterminé - déterminable ou déterminé; l'accent et le remplissage, reliant.

Comment les sensations et les vues obscures nous déterminent-elles si puissamment? Parce qu'ils irritent notre efficacité comme des objets.

Un organon de schéma pur est-il possible ou est-ce l'organon original lui-même? Ou la connexion du schéma pur, en tant que forme théorique, avec la métaphysique pure, en tant que matériau pratique, fournit-elle l'Organon actuel, que Fichte nous présente dans sa science, et qui est un et indivisible?

(L'ego libre et nécessaire. Il n'y a aucune souffrance dans l'ego. Je suis action et produit en même temps. Vouloir et présenter sont des dispositions alternatives. L'ego n'est rien d'autre que vouloir et présenter. Ce qui se différencie du monde extérieur, c'est le soi pratique. Seul l'ego pratique peut être perçu, car c'est aussi l'ego de base. L'ego n'a pas vraiment d'atouts. Ce n'est que dans la mesure où il se trouve et ne se trouve que dans la mesure où il est. (Être un moi complet est un art . Vous pouvez et vous êtes ce que vous voulez. Vous êtes plus ou moins moi, selon ce que vous voulez.)

A propos de la sphère synthétique entre l'être et le cadre.

Les travaux commerciaux ne peuvent être que dans un seul objet. La substance, après tout, est une combinaison des deux emplois commerciaux. Mais comment cette combinaison est-elle possible? Tout objet comme objet, i. e. dans l'action dans laquelle il est et devient un objet a un côté fort et un côté muet, une partie résistante et libre, un côté d'avant en arrière; il est fort et muet, résistant et libre à la fois. Ce qui est idéalement partagé entre les deux spots publicitaires repose désormais uniquement sur celui utilisé et le contraire sur l'autre. Vous ne pouvez afficher qu'un seul travail à la fois. (La matière et la forme sont toujours indépendantes l'une de l'autre. Leur rencontre n'est pas conditionnée en elles, mais dans une troisième, dans l'objet, et cela est encore déterminé par l'action de l'ego.)

L'objet ne peut être examiné autrement que dans la mesure où il s'oppose: i. e. dans l'action dans laquelle il est un objet.

Objet du nécessaire et objet du moi libre.

Arbitraire, i. e. tout doit être objectif, ce que les gens devraient déterminer librement, ou mieux, ce que les gens devraient déterminer librement. Le plus indépendant de la raison, le plus susceptible d'être un motif de détermination. C'est là que réside le secret de la magie de tout ce qui est positif, de tout ce qui est inexplicable, de toutes les formules, idoles, superstitions, etc. L'ego nécessaire entre en jeu; l'imagination efficace change directement avec ses produits. Donc, plus quelque chose s'approche de son produit, plus certaines idées efficaces changent avec lui. (C'est pourquoi le passé et l'avenir ont un si merveilleux effet sur nous, car plus un objet est indépendant de notre efficacité, plus notre efficacité joue librement; d'où l'étrange vie quotidienne du présent. Ici l'esprit est contraint à une certaine efficacité et le moi nécessaire est trop ressenti, alors que là le moi nécessaire est plus séparé, de sorte que le moi présent ressent plus sa liberté. La sensation de liberté est une sensation de plaisir. (Détermination sans être déterminé comme l'objet. Dans l'ego: sentiment le plus profond de l'immuable.) Parce que l'ego ressent sa souffrance et son activité, il est plus qu'un objet; Sujet et objet à la fois. Comment peut-il être les deux en même temps? En réfléchissant sur lui-même. Dans la réflexion, lorsque les deux émergent, il y a un changement incessant ou un changement infini, car l'un est poussé de l'un à l'autre. Donc l'ego est maintenant un objet, maintenant un sujet, selon que vous regardez et devez voir ici, maintenant là. La réflexion et l'objet sont tandis que l'ego nécessaire y est plus séparé, de sorte que l'ego présent ressent plus sa liberté. La sensation de liberté est une sensation de plaisir. (Détermination sans être déterminé comme l'objet. Dans l'ego: sentiment le plus profond de l'immuable.) Parce que l'ego ressent sa souffrance et son activité, il est plus qu'un objet; Sujet et objet à la fois. Comment peut-il être les deux en même temps? En réfléchissant sur lui-même. Dans la réflexion, lorsque les deux émergent, il y a un changement incessant ou un changement infini, car l'un est poussé de l'un à l'autre. Donc l'ego est maintenant un objet, maintenant un sujet, selon que vous regardez et devez voir ici, maintenant là. La réflexion et l'objet sont tandis que l'ego nécessaire y est plus séparé, de sorte que l'ego présent ressent plus sa liberté. La sensation de liberté est une sensation de plaisir. (Détermination sans être déterminé comme l'objet. Dans l'ego: sentiment le plus profond de l'immuable.) Parce que l'ego ressent sa souffrance et son activité, il est plus qu'un objet; Sujet et objet à la fois. Comment peut-il être les deux en même temps? En réfléchissant sur lui-même. Dans la réflexion, lorsque les deux émergent, il y a un changement incessant ou un changement infini, car l'un est poussé de l'un à l'autre. Donc l'ego est maintenant un objet, maintenant un sujet, selon que vous regardez et devez voir ici, maintenant là. La réflexion et l'objet sont La sensation de liberté est une sensation de plaisir. (Détermination sans être déterminé comme l'objet. Dans l'ego: sentiment le plus profond de l'immuable.) Parce que l'ego ressent sa souffrance et son activité, il est plus qu'un objet; Sujet et objet à la fois. Comment peut-il être les deux en même temps? En réfléchissant sur lui-même. Dans la réflexion, lorsque les deux émergent, il y a un changement incessant ou un changement infini, car l'un est poussé de l'un à l'autre. Donc l'ego est maintenant un objet, maintenant un sujet, selon que vous regardez et devez voir ici, maintenant là. La réflexion et l'objet sont La sensation de liberté est une sensation de plaisir. (Détermination sans être déterminé comme l'objet. Dans l'ego: sentiment le plus profond de l'immuable.) Parce que l'ego ressent sa souffrance et son activité, il est plus qu'objet; Sujet et objet à la fois. Comment peut-il être les deux en même temps? En réfléchissant sur lui-même. Dans la réflexion, lorsque les deux émergent, il y a un changement incessant ou un changement infini, car l'un est poussé de l'un à l'autre. Donc l'ego est maintenant un objet, maintenant un sujet, selon que vous regardez et devez voir ici, maintenant là. La réflexion et l'objet sont Sujet et objet à la fois. Comment peut-il être les deux en même temps? En réfléchissant sur lui-même. Dans la réflexion, lorsque les deux émergent, il y a un changement incessant ou un changement infini, car l'un est poussé de l'un à l'autre. Donc l'ego est maintenant un objet, maintenant un sujet, selon que vous regardez et devez voir ici, maintenant là. La réflexion et l'objet sont Sujet et objet à la fois. Comment peut-il être les deux en même temps? En réfléchissant sur lui-même. Dans la réflexion, lorsque les deux émergent, il y a un changement incessant ou un changement infini, car l'un est poussé de l'un à l'autre. Donc l'ego est maintenant un objet, maintenant un sujet, selon que vous regardez et devez voir ici, maintenant là. La réflexion et l'objet sont Impression commerciale. Je suis la seule chose qui les compose - et comme la réflexion ne consiste qu'à s'y opposer, elle s'y oppose constamment.

Cosmologie magique


Le monde

Le monde est définitivement le résultat d'une interaction entre moi et la divinité. Tout ce qui est et surgit provient d'une touche de l'esprit.

Nous comprendrons le monde si nous nous comprenons nous-mêmes parce que nous et eux sommes des moitiés intégrales. Nous sommes enfants de Dieu, germes divins. Un jour, nous serons ce que notre père est.

Je devrais et ne veux pas paraître arbitraire au monde dans son ensemble - j'ai le corps pour cela. En modifiant mon corps, je modifie mon monde, en inefficace sur le vaisseau de mon existence, je forme aussi indirectement mon monde.



Le monde intérieur

... Nous devons chercher à créer un monde intérieur qui soit la véritable contrepartie du monde extérieur qui, en s'y opposant sur tous les points, élargit de plus en plus notre liberté. Parce que notre liberté vient nécessairement de la détermination. Plus on regarde débarrasser de nos réglementations, plus nous devenons libres. Toutes les déterminations viennent de nous, nous créons un monde de nous-mêmes et devenons ainsi de plus en plus libres, car la liberté n'est concevable qu'en opposition à un monde. Plus nous nous déterminons, nous nous étendons, plus nous devenons libres et substantiels, pour ainsi dire, nous enlevons de plus en plus notre être et nous approchons de l'être pur et simple de notre ego. Notre force a désormais autant de latitude que le monde sous elle. Mais puisque notre nature ou l'abondance de notre être est infinie, nous ne pouvons pas atteindre cet objectif à temps. Mais puisque nous sommes aussi dans une sphère hors du temps, nous devons l'atteindre à chaque instant ou plutôt, si nous voulons, dans cette sphère nous pouvons être une substance pure et simple. Voici la morale et le réconfort pour l'esprit,

(Toute détermination a lieu dans cette substance de l'objet est combinée avec des accidents du sujet et vice versa , ou plutôt, puisque la substance se trouve toujours au milieu des opposés et tous les contraires sont un - mais chacun des contraires se compose nécessairement de deux composants, dont l'un un communal est, bien qu'il ne soit pas quantitativement commun mais quantitativement séparé, par le fait que cette composante communautaire est recherchée et de cette manière les deux se connectent.) Le monde des sens et des esprits ne sont opposés que mutuellement. L'objet (comme Je veux décrire ici le contenu du monde sensoriel), donc le sujet est simple, persistant, changeant, cette substance, accidentel et vice versa. (La substance n'est qu'une idée; c'est l'ensemble de ce qui reflète actuellement ce qui est regardé. Accidentel n'est que son terme interchangeable, il indique sa condition, la somme des relations que l'ensemble a dans son ensemble, accidentelle est fondamentalement ne peut être utilisé qu'au pluriel.) Dans quelle mesure l'homme doit-il vivre dans l'obéissance? (Contre Dieu et les hommes.) (Caractère de la langue, langue générale - d'où vient la différence des langues? Raconter l'avenir. L'empire millénaire. Nouvelle religion.) Le système philosophique actuel doit avoir la liberté et l'infini ou, pour le dire de façon frappante, l'absence de système, dans un seul système apporté, soit. Seul un tel système peut éviter les erreurs du système et ne peut être attiré ni par l'injustice ni par l'anarchie.

Les catégories sont des termes accidentels synthétiques a priori , la raison correspond au temps, la raison à l'espace. (Pourquoi 12?)

Seulement deux royaumes. La morale se dispute avec la liberté physique; Domination, arbitraire avec la divinité, indépendance des coïncidences externes et internes. La sphère de la morale de l'ego annule toute thèse et antithèse. En plus des lois, c'est la sphère d'influence de la détermination théorique. (A propos de la liberté. Des déterminations individuelles sont nécessaires, mais la raison doit gouverner le changement, l'homme ne doit être déterminé que dans la mesure où il, parce qu'il est dans le domaine de la détermination, doit être déterminé, c'est-à-dire qu'il doit être déterminé, mais pas d'une manière ou d'une autre, etc. Tout le matériel restreint la liberté, toute action la prolonge.)

Comme tout concept pur, chaque catégorie a une particularité et une caractéristique commune. D'où le fait que lorsqu'on examine un tel terme, on tourne toujours en rond. (Dans le style, il y a soit l'objet du tout ou l'objet particulier, soit l'état ou l'idée, soit le symbole ou le mot, la forme, la genèse ou l'utilisation du mot. Différence entre le droit à une personne et une chose. Je peux en faire une Traitez une personne comme une chose si sa moralité parfaite n'annule pas tous les droits à son encontre, par exemple le droit à une femme dans une île déserte.

Gradations d'emploi pour préserver les esprits.

Le système universel de philosophie doit être comme le temps, un fil sur lequel on peut marcher à travers des déterminations infinies. Ce doit être un système d'unité multiple, d'expansion infinie, boussole de liberté; ni système formel ni matériel. (Nous devons aller à la dichotomie partout.) À propos des systèmes fantastiques - des systèmes infinis sont possibles. Cependant, il reste toujours des systèmes matériels, donc uniquement des compositions esthétiques; mais cela ne doit pas être une pure philosophie. Il ne contient que des lois d'orientation et aucun contenu ou sa forme, au sens ordinaire. Ce n'est ni formel ni matériel. (Chaque terme synthétique contient deux termes spécifiquement opposés en tant que termes commerciaux, en tant que termes, entre lesquelles il change, ou mieux, le mouvement signifie son) Les concepts précédents de Dieu étaient tout à fait correctes idées des gens -. en tant que l' intelligence.

Sensation pure , d'où vient la pierre de touche la plus sûre de la vérité, etc.? Notre sensation exclut et inclut, mais ne détermine rien. C'est, dans sa totalité, la vision inconsciente du monde spirituel; nous percevons un tout objectif, et à chaque détermination de la faculté de connaissance nous percevons un certain bien ou mal, sans pouvoir l'énoncer, mais par l'activité de l'imagination, etc. Ce rapport donne au juge beaucoup de substance.

Ce qui est hors du temps ne peut être actif ou visible que dans le temps. (Pourquoi la philosophie universelle ne peut pas être un système positif? Elle ne peut que fournir la forme de l'activité complète de l'esprit dans une détermination.) Pour former quelque chose, vous devez avoir un objet devant vous; vous le concevez vous-même ou vous le trouvez à l'étranger.

Seule la personne la plus parfaite peut concevoir la philosophie la plus parfaite. Les humains sont en interaction et en connexion intime avec eux-mêmes. Chaque erreur, chaque vertu doit avoir une sphère d'influence générale, une influence totale. Il ne peut pas vraiment avoir de vertu ici et là.

Les catégories ne sont que des termes synthétiques a priori . Ne devrait-il pas y avoir des idées synthétiques a priori et des vues et sensations synthétiques?

Nos États ne sont que des agglomérations. Les états au vrai sens du terme ne sont concevables qu'avec une imagination très idéale. Nos États sont des États - ils ne le sont pas. Comment ça marche? La phrase est vraie que nous regardons avec le pouvoir de la vérité, que nous élevons à une idée. (Sphère d'indifférence: idem semper ; sphère de différence: changement; sphère synthétique: changement.) L'idée infinie de notre liberté implique également un nombre infini de nos apparitions dans un monde sensoriel. Nous ne serons pas liés à la seule apparition de notre corps terrestre sur cette planète.

Pensée magique

Pensée miraculeuse

L'utilisation active des organes n'est rien d'autre qu'une pensée magique, miraculeuse ou plus arbitraire Utilisation du monde physique; parce que la volonté n'est rien d'autre qu'une pensée magique et puissante.

Peut-être que la réflexion est trop rapide, une force trop grande pour être efficace; ou les choses sont de trop bons leaders (ou des non-leaders?) de l'esprit.

Nos pensées sont également des facteurs efficaces dans l'univers.

Pensées dangereuses

À propos des pensées dites dangereuses. Certaines pensées approchent-elles de la limite magique? Certains sont-ils ipso facto vrais?

(Émoussement et culture de l'esprit par la lecture, l'écoute, la réflexion, l'écriture. L'esprit après Fichte, un extensum après le temps.)

Similitude de penser et de voir

Similitude de penser et de voir. L'esprit et la mémoire sont liés à la vision à distance. Tout arrive beaucoup plus tôt en nous qu'il ne se passe. (Prophètes. Fusion temporelle et spatiale.)

Grâce à la pratique, vous pouvez apprendre à estimer des distances, telles que l'œil. L'œil et le pouvoir de la pensée sont formés mathématiquement, l'esprit calcule la vraie taille, la forme, la force, etc. et la distance de l'objet des données qui lui sont données de manière critique par l'œil selon les règles de réduction de la vue en perspective.

Connexion magique

La connexion générale, intime et harmonieuse ne l'est pas, mais elle devrait l'être.

Comme l'œil ne voit que les yeux - donc l'esprit seulement le mental, les âmes de l'âme, la raison, les esprits mentaux, etc., l'imagination seulement l'imagination, les sens, les sens; Dieu n'est reconnu que par un Dieu.

À propos de l'individu terrestre - l'individu céleste et ses circonstances. (Dieu est l'âme du monde du monde idéal.)

Les individus unissent le z hétérogène. B. dans les sciences dites mixtes et mixtes. Ils amènent merveilleusement les plus divers dans une communauté de but et de travail, d'interaction. Un individu est un principe magique et arbitraire, une vie sans fondement, une coïncidence personnelle. L'humanité en général est bien sûr le principe individuel le plus général et le plus particulier de la science. Ils travaillent tous pour eux, jusqu'au lien le plus infini.

Tous les arts et les sciences sont basés sur des harmonies partielles. (Poètes, fous, saints, prophètes.)

L'artiste philosophe

Le penseur brut et discursif est le scolastique. Le vrai scolastique est un subtiliste mystique. Il construit son univers à partir d'atomes logiques - il annihile toute nature vivante pour mettre un morceau de pensée à sa place. Son but est un automate infini. En face de lui se trouve le poète brut et intuitif. C'est un macrologue mystique. Il déteste la règle et la fermeté. Une vie sauvage et violente règne dans la nature - tout est animé. Pas de loi - arbitraire et miracles partout. C'est juste dynamique.

Ainsi l'esprit philosophique remue d'abord en masses complètement séparées.

Dans la deuxième étape de la culture, ces masses commencent à se toucher - assez diverses ; De même que le fini et le limité surgissent dans l'unification d'extrêmes infinis, de même ici aussi surgissent des éclectiques sans nombre. Le temps des malentendus commence. Le plus limité est le plus important à ce stade, le philosophe le plus pur du second stade. Celles-ci La classe est entièrement limitée au monde réel et présent, au sens le plus strict. Les philosophes de la première classe méprisent la seconde avec mépris. Ils disent que ce n'est qu'un petit peu et donc rien. Ils considèrent que leurs opinions sont le résultat de la faiblesse, de l'incohérence. Au contraire, la seconde classe s'accorde dans la pitié de la première, qu'elle accuse de l'enthousiasme le plus absurde, jusqu'à la folie.

Si d'un côté scolastiques et alchimistes sont complètement divisés, alors que les éclectiques semblent ne faire qu'un, alors tout est exactement l'inverse sur le revers. Ce sont essentiellement indirecte unC'est-à-dire l'indépendance absolue et la tendance infinie de la méditation. Ils partent tous les deux de l'absolu ; d'autre part, les bornés sont essentiellement en désaccord avec eux-mêmes et ne s'accordent que sur ce qui est dérivé. Ceux-ci sont infinis mais monotones - ceux-ci limités mais variés. Certains ont du génie, d'autres ont du talent. Ce sont les idées, ce sont les poignées. Ce sont des têtes sans mains, ces mains sans têtes. La troisième étape est atteinte par l'artiste, qui est à la fois un outil et un génie. Il trouve que cette séparation originelle des activités philosophiques absolues est une séparation plus profonde de son propre être, dont l'existence repose sur la possibilité de leur médiation, de leur connexion. Il trouve que, aussi hétérogènes que soient ces activités, il y a encore une fortune en lui, passer de l'un à l'autre, changer sa polarité à sa guise. Ainsi, en eux, il découvre les membres nécessaires de son esprit ; il se rend compte que les deux doivent être unis dans un principe commun. Il en conclut que l'éclectisme n'est que le résultat de l'usage incomplet et inadéquat de cette faculté. Il lui devient plus que probable que la raison de cette incomplétude est la faiblesse de l'imagination productive, incapable de se maintenir flottante et de regarder le moment du passage d'un maillon à l'autre. La représentation complète de la vie véritablement spirituelle élevée à la conscience par cet acte est la philosophie κατ 'εξοχην. Ici le vivant surgit La réflexion, qui, avec un soin attentif, s'étend ensuite d'elle-même à un univers spirituel conçu à l'infini - le noyau et le germe d'une organisation qui s'occupe de tout. C'est le début d'une véritable auto-pénétration de l'esprit qui ne finit jamais.