Un Ian Rankin, qui n'est pas un Ian Rankin, en quelque sorte...
Davantage thriller que polar, écrit sous le pseudonyme de Jack Harvey, en 1992,
nous sommes ici loin de l'univers de John Rebus.
Lecture plaisante, mais avec moins de saveurs que les enquêtes de l'inspecteur Rebus.
A lire, pour ceux qui apprécient de lire l'intégralité des oeuvres d'un auteur, mais non l'ouvrage le plus indispensable.
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cela fait des années que la spécial branch et le ml5.essaye de mettre la main sur une femme: witch,le problème c'est que personne n'est capable de la décrire avec précision.on se laisse prendre a cette course poursuite entre calais paris l Allemagne et une fête foraine 🎡 a Brighton.
on peut comprendre witch et les raisons qui la pousse mais sans pour autant l excusée
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Les services de police, de renseignements anglais, français et allemands traquent une dangereuse, intelligente et rusée terroriste depuis des années.
Ce roman paru en 1993 décrit les débuts de la technologie des communications comme les micros, émetteurs bricolés pour espionner un suspect.
J'ai passé un agréable moment de lecture.
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Witch est une femme caméléon terroriste internationale. de l'explosion à l'assassinat d'un banquier rien ne l'arrête. Elle n'a peur de rien. Elle sème la panique entre la France l'Angleterre l'Allemagne.
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La première rencontre entre les deux détectives de la Special Branch et Dominic Elder ne put être considérée comme une réussite.
La présence, pendant une partie de la réunion, de Joyce Parry et de Trilling qui semblaient se livrer une guerre froide personnelle n'arrangea rien.
Une voiture l’aurait mis à l’abri du pire, des mendiants qui attendaient dans les passages souterrains, des musiciens du métro, des caisses en carton dans lesquelles des gens vivaient, de ce cri désespéré, morne : « un peu d’argent pour vivre, un peu d’argent pour vivre », des hommes squelettiques, en haillons, qui espéraient les restes de la société (p. 298)
Dans ce nouvel épisode, nous continuons notre visite des coulisses du genre en compagnie de Fabienne Gondrand, traductrice littéraire, qui nous raconte ses débuts dans le métier et sa passion pour les éditions du Masque, héritage d'un grand-père italien fan des polars d'Agatha Christie et de Simenon. Au fil de la conversation, on évoque sa traduction "jubilatoire" de Meurtres à Kingfisher Hill de Sophie Hannah, l'héritière de la Reine du crime, ainsi que les romans noirs électriques de Joseph Knox, où la ville de Manchester se dresse comme un personnage. Pour finir, Fabienne nous parle en avant-première de la nouvelle aventure de l'inspecteur John Rebus, par l'immense Ian Rankin, auteur phare de la maison.
Bonne écoute !
CRÉDITS : Conversation dans le noir est un podcast des éditions du Masque.
Réalisation : Paul Sanfourche
Générique : Longing - Joachim Karud
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