Suite directe de
la gloire de mon père.
Le château de ma mère continue de narrer les souvenirs d'enfances du jeune
Marcel Pagnol durant lesquels il va rencontrer un ami sincère Lili qui lui apprendra à chasser les oiseaux ou les lapins à l'aide de piège durant toutes les vacances d'été.
Joseph et Augustine, les parents de Marcel, comprenant le bien fait pour leurs enfants de la campagne, décide de venir passer tous les weekends et de faire quatre longues heures de marche aller.
Jusqu'à rencontrer un ancien élève de Joseph, Bouzigue, un piqueur, lui donne la clé permettant de raccourcir son chemin en passant illégalement le long du canal de Marseille dans le jardin de 4 châteaux. D'abord, Joseph accepte et les traversées périlleuses se passent bien jusqu'au jour où le garde du dernier château qui fait peur à la mère les prend en flagrant délit.
Marcel Pagnol, comme dans
la gloire de mon père, offre une lecture très agréable, pleine de tendresse et de nostalgie pour se rappeler ses propres vacances d'été et autres souvenirs d'enfances les plus joyeux.
La conclusion du roman met fin à ce diptyque avec de nombreux bons dans le temps pour raconter brièvement la mort de sa mère, celle de son frère et aussi celle de son ami mais aussi son retour dans ce château qui l'a enfant terrifié.