Quant aux descriptions que l'on fait du sort pénible des femmes de Bornéo, et surtout des femmes dayaques, je les trouve fausses et exagérées. Ceux qui les ont faites n'ont pas vu ce que les pauvres ménagères ont à souffrir dans presque tous les pays de l'Europe.
De tous les peuples sauvages de la terre avec lesquels j'étais entrée jusqu'ici en rapport, les Dayaks […] sont ceux qui m'inspirèrent le plus de sympathie. Ils ont, surtout les tribus libres, un caractère vraiment pur et noble.