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Quelle claque ce roman qui nous fait réfléchir sur le combat des indépendantistes basques , peut on accepter la violence pour défendre une cause ? , faut il absolument utiliser la violence pour faire avancer cette cause ?
Que dire des victimes collatérales, des familles brisées , des séquelles morales et physiques ?
Dans les combattants de l'ETA , il y a les purs et durs pour qui la violence est LE moyen de se faire entendre et puis il y a les autres , qui ont embrassé la cause un peu par hasard .
Comme l'héroïne qui donne son nom au roman Oyana .
Piégée par l'organisation ou par l'ennemi , elle ne le saura jamais mais n'oubliera pas qu'il y a eu deux victimes , une mère et sa fille.
Commence alors une vie d'exil , de mensonges sur son passé
Lorsqu'en 2018 , Oyana apprend que l'ETA arrête sa lutte armée , la jeune femme a une envie irrépressible de rentrer au pays , pays de son enfance , de sa langue maternelle qui lui a tant manqué .
Très beau roman , très belle écriture .
Cette lecture m'a rappelé un voyage au pays basque espagnol dans l'Espagne franquiste .
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Oyana est un court mais intense roman.
Oyana a fui, il y a plus de 20, le Pays-Basque. La chute de l'ETA rend son retour possible mais comment renaître après deux décennies de secrets. Elle écrit à son compagnon pour lui expliquer les raisons de son départ.
Le récit alterne entre le présent, les souvenirs d'enfance et les mauvais choix au moment d'entrer dans la vie d'adulte.
Les chapitres très courts de la première partie s'intensifient dans la seconde.
L'écriture si particulière d'Eric Plamondon rend parfaitement l'exil, les remords, la vie vécue à moitié.
Un petit bémol pour la toute fin qui n'est pas à la hauteur de l'émotion du reste du récit.
J'ai vraiment apprécié ce moment de lecture.
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[ L'adieu aux armes ]

3 mai 2018, Euskadi ta Askatasuna (ETA – « Pays basque et liberté ») annonce sa dissolution.
« ETA, organisation socialiste révolutionnaire basque de libération nationale, veut informer le peuple basque de la fin de son chemin ». Une décision « pour que le processus en faveur de la liberté et de la paix continue à travers d'autres voies. C'est la conséquence logique de la décision adoptée en 2011 d'abandonner la lutte armée ».

3 mai 2018, l'onde de choc de ce communiqué de presse se propage jusqu'à Montréal. Pour elle, c'est un séisme. Elle va quitter son mari, pouvoir retourner sur ses terres, tout lui avouer, redevenir Oyana. Car Xavier son époux ne sait rien, il ne connait pas celle qui partage sa vie, il ne connait même pas son vrai prénom.

Alternant roman épistolaire et récit de ce retour au pays, Oyana confie sa jeunesse, celle où elle fut terroriste sans le vouloir.

Avec Oyana, Eric Plamondon reprend les thèmes forts de Taqawan.
Deux romans qui en quelque sorte se reflètent dans l'océan qui sépare le Canada et la France, et je crois que j'aurais beaucoup aimé lire ces deux histoires en suivant comme si elles n'en faisaient qu'une.
Que ce soit les indiens Mig'maq ou le peuple basque, le sujet est le même : la violence de l'histoire politique.
A travers deux peuples minoritaires, Plamondon nous parle de l'identité, de la langue, du territoire, de l'engagement personnel, des luttes, des erreurs et de l'exil.
Ça transpire d'humanité, c'est juste et fin, c'est politique et intime, c'est bref et intense.

Ceux qui ont aimé le précédent roman d'Eric Plamondon, se feront facilement happer, avec sans doute un tout petit peu moins de surprise car la structure narrative est sensiblement la même, mais avec autant de plaisir. Quant aux autres, il vous faut vraiment découvrir cet auteur à la plume forte et précise. Pour ma part, j'espère très vite lire son « 1984 » qui vient de paraitre chez le Quartanier .
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Le 3 mai 2018, ETA annonce sa dissolution. 45 ans plus tôt, le 20 décembre 1973, l'organisation basque se signalait spectaculairement au monde entier en envoyant à 30 mètres dans les airs la voiture du Premier ministre franquiste Luis Carrero Blanco. le même jour naissait Oyana, dont le père Iban, avait participé à l'organisation de cet attentat. C'est au Canada, où elle vit sous une fausse identité depuis plus de vingt ans, que la jeune fille qui rêvait de voir les baleines remonter le Saint-Laurent a vieillie, installée dans une vie confortable mais sans relief. La fin d'ETA est peut-être l'occasion de changer une nouvelle fois radicalement de vie et si ce n'est d'effacer, au moins d'estomper le mal qui a été fait.
C'est à travers les mots qu'écrit Oyana à l'homme qu'elle quitte que se dévoile peu à peu une histoire que des chapitres intercalés qui reviennent au Pays basque, ou sur son histoire – dispositif déjà utilisé par Éric Plamondon dans Taqawan – viennent encore éclairer. Mais plus encore que dans Taqawan où il sacrifiait malgré tout à une intrigue de polar assez classique qui servait de fil à son histoire, l'auteur choisit là de se concentrer sur les dilemmes intimes de son héroïne. C'est à travers elle, et à travers les sentiments qu'elle ressent et sur lesquels elle tente de poser des mots pour mieux se comprendre elle-même, qu'un récit noir et émouvant se met en place.
On ne peut que louer une fois encore la finesse avec laquelle Éric Plamondon arrive à aborder des sujets complexes, tragiques et extrêmement vifs. Ce qui se dessine derrière l'histoire d'Oyana, c'est la manière dont l'exaspération, le sentiment d'injustice, forge un engagement mais aussi celle dont une cause dévie et s'enferme dans une impasse que nulle dialectique n'arrive plus à justifier. de la geste romantique d'Iban à la fuite pathétique d'Oyana qui n'a marché dans les pas de son père que par la force des choses et des injustices subies avant de s'apercevoir qu'il n'y avait plus de héros dans son combat, mais seulement des victimes, c'est aussi un roman sur les illusions et leur perte brutale qu'écrit Éric Plamondon.
C'est peut-être en se confrontant à une réalité qui, si elle n'a plus rien d'héroïque, a pour elle de s'attacher à des sentiments vrais et le goût d'un retour vers des lieux où elle se sent profondément ancrée qu'Oyana arrivera à se réaliser enfin. À moins que, justement, cette réalité qui n'a pas à s'embarrasser de fins heureuses ne le lui refuse.
Tout cela, Éric Plamondon le dit d'une manière très émouvante, souvent dure mais en s'interdisant de se poser en juge des femmes et les hommes dont il parle. Plus épuré d'une certaine façon que Taqawan, Oyana est un roman d'une grande beauté sur l'engagement, le déracinement et l'identité.

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Il y a un peu plus d'un an, je découvrais Eric Plamondon par la grâce de saumons qui remontent le cours des rivières pour rejoindre leur lieu de naissance et que l'on nomme alors Taqawan. Cette fois, il est question de baleines qui traversent l'Atlantique et remontent le Saint-Laurent. Ce qui nous vaut, en plus de textes forts et interpellant, un début de collection de poissons via les magnifiques illustrations des couvertures. Il serait néanmoins dommage de prendre ça pour un gadget. Tout comme dans Taqawan, le sort des indiens était lié à celui des saumons, il faut parfois se pencher sur les liens historiques entre deux continents pour essayer de comprendre le présent.

"S'il est difficile de vivre, il est bien plus malaisé d'expliquer sa vie". Quel bel exergue, emprunté à Marguerite Yourcenar pour introduire la prise de parole de l'héroïne de ce roman, Oyana, alors qu'elle écrit une lettre à son mari, Xavier, qu'elle s'apprête à quitter. Car cela fait vingt-trois ans qu'elle vit sous une fausse identité, loin de chez elle, loin du Pays-Basque, loin des agissements de l'ETA dont elle vient d'apprendre la dissolution. Cela fait vingt-trois ans qu'elle vit à Montréal, respectable femme de médecin, sans parvenir à chasser le remord du creux de son ventre. Alors sous sa plume, nous allons, en même temps que son mari, découvrir son histoire, liée à des siècles d'histoire chahutée.

On retrouve avec grand plaisir la mécanique exploratoire de l'auteur qui élargit le spectre pour mieux mettre en perspective la complexité des choix individuels dans des environnements qui offrent peu de marges de liberté. Avec au centre, la question de l'identité. Forgée par l'histoire, par nos ancêtres mais également cachée, transformée ou niée pour faire face aux aléas d'un destin pas toujours maîtrisé. On passe donc par la Guerre d'Espagne, l'ETA, mais également la tradition de la chasse à la baleine et la découverte de Terre Neuve. Par de courts chapitres qui viennent entrecouper le récit d'Oyana et apporter leur pierre à la nasse qui constitue le passif de chaque individu, pour peu que l'on remonte un peu le temps.

Inutile de dire que l'on ne s'ennuie pas, l'auteur maitrisant parfaitement sa trame narrative, faisant monter la tension dramatique sans aucun temps mort. Passant de l'ombre à la lumière, de révélations en retournements de situations sans aucune pitié pour ses personnages. Se retourner sur le passé, en quête de pardon, de rédemption n'est pas forcément la meilleure idée, surtout quand on a bâti sa vie sur le mensonge. Les morts sont toujours morts et les vivants continuent d'interroger leurs choix.

Constat implacable, mécanique efficace, lecteur K.O.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Oyana raconte dans une lettre d'adieux adressée à son compagnon canadien les raisons de cette rupture. D'origine basque, vingt trois ans après avoir fui ses terres natales elle s'explique. Elle remonte sa généalogie mais aussi son activitisme à l'ETA, ses erreurs, son sentiment de culpabilité et ses fuites.
Le roman qui s'annonce halletant dès les premières pages devient ennuyeux car le style est très scolaire. On aurait pu imaginer qu'il s'agissait du premier roman d'un très jeune auteur mais non. La chute est convenue, les rebondissements semblent inventés pour prétexter de nouveaux feuillets à noircir. le style ne m'a donc pas plu car il est simple, on est TRÈS loin d'Alexis ou le traité du vain combat de Yourcenar évoqué par la narratrice... et donc l'auteur.
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La lecture d'une simple brève dans un journal peut faire basculer une vie. C'est ce qui arrive à une femme du côté de Montréal, lorsqu'elle apprend que l'organisation basque ETA a cessé d'exister. Elle peut alors écrire la vérité à l'homme avec lequel elle vit depuis plus de 20 ans, lui dévoiler la première partie de son existence, qu'elle lui a cachée. Et la digue cède, les mots s'engouffrent dans un flot ininterrompu. Son passé, sa vie d'hier et celle actuelle. Son exil forcé au-delà de l'Atlantique, loin du Pays Basque... jusqu'à aujourd'hui.

"Oyana" est un texte court (lu en deux heures) et puissant. Un récit marqué par l'urgence, le besoin impératif de dire les choses, de se libérer d'un poids. Cette histoire parle des racines, de la volonté de retrouver ses origines, une fois certains obstacles levés, mais parle aussi du poids de la culpabilité. Un témoignage comme une confession.


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En 2018, l'organisation séparatiste basque ETA annonce sa dissolution. C'est alors qu'Oyana, qui vit depuis plus de vingt ans à Montréal avec son époux, décide de partir sur un coup de tête pour retrouver sa région d'origine. Elle écrit à son mari une longue lettre où elle dévoile petit à petit les circonstances dramatiques qui l'ont forcée à partir et à se protéger sous une autre identité. Comme dans Taqawan, des écrits documentaires retracent en parallèle l'histoire du mouvement ETA.

Mon ressenti sur ce roman est un peu mitigé. Je ne me suis pas trop attachée au personnage d'Oyana, malgré son parcours mouvementé.
La présentation sous forme d'aveux écrits par Oyana, revenant sur sa jeunesse, ne m'a portée à me sentir concernée, et j'ai trouvé que le texte manquait de rythme. Ce qui s'explique peut-être par le dénouement. En effet, celui-ci marque par son intensité et la surprise finale semble avoir été présente à l'esprit de l'auteur dès le début. N'ayant pas ce final en tête, bien évidemment, je n'ai pas vu où l'auteur voulait aller, et me suis retrouvée sans perspective, hésitante, pendant une bonne partie du roman.
Pourtant les thèmes de la lutte armée, de la culpabilité, de l'exil aussi, sont très intéressants et amènent des pages qui ne manquent pas de force, mais l'ensemble m'a paru ou trop long, ou trop court, sans m'embarquer tout à fait.
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Elle est née basque, à l'époque où le militantisme indépendantisme bat son plein. Alors qu'elle se trouve bien malgré elle mêlée d'assez près au mouvement, elle n'a pas d'autre choix que de fuir. le Mexique, d'abord ; puis le Canada, où elle se refait une vie avec Xavier, médecin. le jour où l'ETA annonce publiquement sa cessation d'activité, elle aussi décide de revenir là où elle est née.
Sous la forme d'une longue lettre à son mari, Oyana se raconte, et justifie son départ ‶en catimini″ et brutal.
Ce court roman tient autant de l'introspection, du récit historique que du drame au suspense intelligemment tenu.
Sans jugement, Eric Plamondon invite le lecteur à réfléchir à ce que signifie l'engament extrême, la violence terroriste, l'identité.
Il dresse un portrait tout en nuance d'une femme à la recherche d'elle-même et de ses racines.
Éric Plamondon n'a pas besoin de s'appesantir pour faire passer le message. le propos est sobre et percutant, presque synthétique par moment.
Si j'avais apprécié Taqawan sans pourtant en saisir toutes les dimensions, j'ai infiniment plus ″intégré‶ Oyana que j'ai trouvé plus marquant, et plus accessible ; je relirai sans doute un peu plus tard.

Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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Avec Taqawan (Quidam éditeur 2018), Eric Plamondon a acquis une certaine notoriété dans le monde littéraire en obtenant, entre autre, de nombreuses récompenses dont celle du prix des chroniqueurs 2018 du festival Toulouse Polar du Sud alors que j'avais une préférence pour Les Mauvaises (La manufacture de livres 2018), de Séverine Chevalier qui figurait parmi les finalistes tout comme La Guerre Est Une Ruse (Agullo Noir 2018) de Frédéric Paulin. Un choix cornélien pour départager trois romans exceptionnels. En tant que jury, j'ai bien tenté d'influencer mes camarades, mais il faut bien admettre qu'il s'agissait d'une cause perdue tant le roman d'Eric Plamondon avait de quoi surprendre avec un angle narratif extrêmement original, sous forme vignettes déclinant contes, recettes culinaires et autres extraits historiques, nous permettant d'intégrer la culture amérindienne et plus particulièrement celle des tribus mig'maq sur fond d'intrigue policière en lien avec un trafic d'êtres humains. Toujours audacieux, l'auteur québécois, résidant depuis plusieurs années dans la région de Bordeaux, s'est penché avec son dernier livre intitulé Oyana, sur la culture du Pays basque avec en toile de fond l'annonce de la dissolution de l'organisation armée indépendantiste ETA qui aura des conséquences sur le destin de l'héroïne éponyme du récit.

Cela fait 23 ans qu'Oyana Etchebaster a disparu. Exilée au Mexique, sous une fausse identité, elle a rencontré et épousé Xavier Langlois, un médecin canadien, pour vivre désormais à Montréal où elle mène une vie plutôt terne et sans relief. Mais en prenant connaissance du communiqué de l'ETA annonçant sa dissolution, le passé refait surface. Et il est temps pour Oyana d'y faire face en retournant au Pays Basque qui l'a vue naître. Une quête d'identité au bout de laquelle il sera temps de tirer un trait sur les erreurs de jeunesse et assumer ses responsabilités en réparant tout le mal qui a été fait autrefois. Mais si l'ETA n'existe plus, les morts eux sont bien présents. Et peut-on s'affranchir de ceux qui ont disparus dans des circonstances terribles.

Il fallait bien la sensibilité d'un auteur comme Eric Plamondon pour aborder un sujet aussi délicat que l'indépendantisme du Pays basque dont on découvre les particularismes par le biais du même procédé narratif utilisé pour Taqawan. Des origines de la pêche à la baleine aux éléments de langage originaux, en évoquant bien évidemment les actions de la lutte armée de l'ETA, l'auteur parvient en quelques pages à saisir les contours d'un peuple veillant à conserver sa culture et ses traditions. Pour faire le lien avec ces différents éléments et pour en découvrir tous les aspects, c'est en s'adressant à son mari sous une forme épistolaire qu'Oyana va dévoiler peu à peu son destin en lien avec la cause basque qui l'a conduite à un exil de près de 23 ans.

Contrainte par les événements tragiques qui ont régit sa vie, Oyana évoque donc la perte d'identité, l'exil et cette velléité de reprendre le cours de son destin en dépit de la menace qui demeure latente. Dépourvu d'intrigue policière, le récit prend donc la forme d'un roman noir avec cette héroïne qui souhaite avant tout assumer ses actes. Prémisse de cette reprise en main, il y a tout d'abord ce détour au bord du fleuve Saint-Laurent pour prendre en photo les baleines, projet de jeunesse qui n'avait jamais abouti. La vision des cétacés qui renvoie aux souvenirs d'une jeunesse perdue où Oyana, juchée sur les épaules de son père, découvrait un cachalot échoué sur la plage devient l'écho de cette perte d'innocence devant la mort d'un animal, funeste prélude d'événements terribles qui vont heurter la conscience de la jeune femme qu'elle est devenue et qui trouverait une issue dans la vengeance de la lutte armée. Sans l'ombre d'un jugement, Eric Plamondon parvient à distiller toute la vacuité d'un tel engagement qui ne débouche finalement que sur des regrets au gré d'un texte subtil emprunt d'une sensibilité qui ne manquera pas de toucher le lecteur conquis d'avance par les entournures de ce retour prenant les aspects d'une fuite en avant, s'achevant sur un épilogue incertain.

Bref récit chargé d'émotions, évoquant la quête d'une identité perdue, Oyana devient un roman noir éblouissant qui met en lumière la richesse et l'intensité d'une héroïne superbe que l'on oubliera pas de sitôt, même une fois l'ouvrage terminé. Un grand moment de lecture.


Eric Plamondon : Oyana. Quidam éditeur 2019.

A lire en écoutant : Kozmic Blues de Janis Joplin. Album : I Got Dem Ol' Kozmic Blues Again Mama ! 1969 Colombia Records/CBS Records.
Lien : http://monromannoiretbienser..
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