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Le Chevalier noir et la Dame bla... tome 2 sur 5
EAN : 9782266208017
576 pages
Pocket (08/11/2012)
3.8/5   23 notes
Résumé :
Le jour de la Saint-Jean-Baptiste, à huit jours des calendes de juillet, en l'an de disgrâce 1348, la Bête immonde à la face hideuse nous avait saisi la main. Le Mal noir rôdait autour de nous depuis trois ans, entraînant dans son sillage criminels et innocents. La pestilence ravagea la baronnie, la comté de Pierregord et les royaumes les plus lointains de l'Occident à l'Orient. Du Sud au Nord. En moins d'un an. Un feu sur trois disparut à tout jamais. Simple écuyer... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
"La marque du Temple" est le deuxième volume de la saga historique "Le chevalier noir et la dame blanche" écrite par Hugues de Queyssac.
Nous sommes maintenant en 1348 et l'écuyer Bertrand Brachet de Born a une mission des plus importantes à mener : au nom de son baron Fulbert Pons de Beynac, il doit prendre le commandement du village fortifié de Commarque. En effet, la région doit faire face à deux périls mortels. D'une part, la peste vient d'apparaître dans la région, elle qui décime les populations de l'Europe occidentale depuis justement le retour de Chypre de Bertrand avec les fioles mystérieuses dont l'une a disparu. Coïncidence ? D'autre part, nous sommes en plein coeur de la guerre de Cent ans, et un fort parti d'Anglais et de leurs alliés Gascons vient d'apparaître dans la région. Il appartient à Bertrand d'améliorer les défenses de Commarque pour faire face à un éventuel siège des Godons.
Tout cela réjouit notre héros car il va pouvoir enfin rencontrer Eléonore de Guirande, l'épouse de son baron, bannie à Commarque pour une raison qu'il ignore. Et surtout, les renseignements qu'il a obtenus après trois ans d'enquête lui ont permis d'apprendre que l'élue de son coeur se nomme Isabeau de Guirande et qu'elle réside aussi à Commarque...

C'est à près de 500 pages d'aventures moyenâgeuses trépidantes que nous convie Hugues de Queyssac avec ce deuxième tome. Dans une langue truculente, il nous fait vivre à la première personne les tribulations de Bertrand Brachet de Born à Commarque, les complots à éventer, les tentatives d'assassinat sur sa personne à éviter, les traîtres à débusquer, tout en essayant de résoudre l'énigme qui devrait le mêner à une grande découverte. Peut-être le trésor des Albigeois...

J'avais regretté l'absence de glossaire dans mon premier tome. Dans ce deuxième il est présent et finalement inutile puisque les termes dont j'aurais voulu une définition ne s'y trouvaient pas. Je déplore par contre toujours l'absence d'un petit traité d'héraldique, et, ce qui aurait été très utile dans ce tome, un plan de Commarque. Mais ces quelques griefs ne vont pas m'empêcher de me plonger dans le volume suivant...
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Lors de la lecture du tome 1, j'avais été enchanté par le formidable travail sur langue effectué par l'auteur, travail mélant des mots de vieux français, de l'occitan au langage actuel, et créant ainsi une atmosphère toute particulière.

MAIS j'avais aussi été perturbé par les codes du thriller (cliffanger, découpage du romans en séances courtes pour créer du suspense) maladroitement mis en place, qui venait un peu gâcher le plaisir de ma lecture.

Et bien malheureusment pour ce tome 2 je dois dire que mon déplaisir a pris le pas sur mon plaisir. L'auteur manie bien les vieux mots, okay, mais ça ne justifie en rien ce découpage artificiel pour créer du suspens. L'histoire s'embourbe dans des rebondissements incompréhensibles, les personnages n'ont pas vraiment de cohérence, ainsi de notre héros Born qui passe du jeune homme idéaliste et naif à un impotyable chez de guerre sans vrai transition. Ah et puis toutes ces femmes dans le roman qui ont les "seins lourds". Que l'écriture soit un moyen de transmettre ses fantasmes, oui, mais il faut y mettre les formes et ne pas répéter toujours les mêmes schémas.

Bref, je suis bien déçu de ce cycle de romans qui avait pourtant bien débuté.
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Voici termine le tome 2 et je suis tres impatiente de lire la suite.J'avoue,j'adore cette histoire ou se melent la chevalerie,la recherche du graal d'amour,les reliques du christ,un tresor templier et la chasse aux sorcieres cathares par l'inquisition,et cerise sur le gateau:la decouverte d'un parchemin cache dans un manuscrit et une enigme a resoudre.
je vous recommande cette histoire
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J'adore les romans historique et cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi emporté par un livre. C'est un mélange de Robert Merle pour la langue mais en plus compréhensible et surtout en moins pointu sur les événements historiques, et un bon vieux suspens mélant ésotérisme, énigme à foison. le héros est d'une naiveté parfois confondante, et on a un peu envie de hurler comme au spectacle de marionnettes, "attention à Arnaud!!!" mais c'est rafraichissant.
Un bon livre
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Le commentaire de Martine :
On retrouve l'écuyer du baron de Beynac, notre jeune héros qui se retrouve dans la Dordogne où il aura à subir la tentation sous le nom d'Éléonore de Guidance, la jeune dame va tout faire afin que notre héros tombe sous ses charmes. Tout au long de cette quête, on verra poindre des attaques, des mensonges, des trahisons, des énigmes et des doutes. Les événements surprenants et des rebondissements sont sensationnels lors de la mission de la protection du château de Comarques, et aussi les gestes de la tentatrice de baronne qui veut le conquérir. Arrivera-t-elle à ses fins ?
Un tome qui a su me plaire puisque l'ennemi approche, complots, trahisons, découvertes, notre protagoniste, avec son esprit aiguisé, ne se laissera pas embobiner facilement. Cet épisode est passionnant, puisque nous apprenons encore plus d'éléments historiques comme les hérétiques al Bigeois.
C'est un bon récit de chevalerie, de quête, de voyage, et d'aventure qui réussit toujours à m'intéresser. Hugues de Queyssac a une belle plume, facile à lire, on dévore ce tome puisqu'il comporte un bon dosage de romance, d'aventure, d'histoire de la chevalerie. L'avantage des écrits de cet auteur, c'est que son récit nous permet d'être un spectateur privilégié du moment en se sentant présent dans chaque scène. Je vous le recommande, avec l'invitation de débuter la série avec le tome 1.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
- Auriez-vous convoitise du bien d’autrui, messire chevalier ?
- Moi ? Ah, ah, ah ! Que nenni, mes cent livres de rente me comblent et je ne convoite point non plus le cul des damoiselles. Je préfère la compagnie de mes écuyers et de mon page…
- Auriez-vous plus d’inclination pour les sodomites que pour les bougresses, messire ?
- Les femelles sont souventes fois des suppôts de Satan ! […] J’en parle en connaissance de cause, croyez-moi. Les sens de mon épouse se sont enflammés pour un cuistre de passage, sueux et puant comme un putois ! […] Mes braves damoiseaux m’offrent plus de plaisir que cette maudite femelle ne m’en a jamais donné. […] Elle me reprochait d’avoir un membre de plus en plus mou et pendouillé. Plus elle m’en contait, moins je pouvais durcir. […] A dater de ce jour, j’affectionne les caresses subtiles des hommes de mon entourage.
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On peut empecher les cloches de sonner,les coqs de chanter,mais on n'empechera jamais un ane de braire
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Une immense clameur s'éleva. Je n'en crus pas mes oreilles : "Vive Brachet de Born ! Vive Beynac ! Mort aux Godons !" Je me mis à trembler de la tête aux pieds. Un sanglot me saisit la gorge. Je le déglutis péniblement. Mais je n'eus pas de larme à écraser.
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Un Gascon, me dis-je. Des yeux de bovin, fortement écartés, la paupière lourde, le poil noir, un nez de fouine aux narines étroites et pincées, la mâchoire de travers, des dents de cheval, jaunes et ébréchées, les oreilles… les oreilles, je ne les voyais pas sous le bacinet. Mais elles auraient été en chou-navet que cela ne m’aurait pas étonné. Fin de race.
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Il s’esclaffa : « En période de disette, quand les gros seront maigres, les maigres seront morts, messire Romuald ! »
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