Le village évanoui

Voila un sujet qui mérite qu'on s'y arrête: Que ferait-on si l'on se retrouvait coupé du monde, soudainement?


A travers ce récit, on découvre les différentes réactons humaines: les dirigeants, qui décident de gérer ce qu'il reste de leur monde.
Les brebis égarés, qui trouvent que suivre quelqu'un qui décide, c'est très bien.
Les croyants, qui retrouvent tout à coup l'envie de prier et de se rapprocher de Dieu.
Les fauteurs de troubles, que la nouvelle situation n'empêchent pas de profiter d'autrui.


Bref, un tableau que j'ai trouvé assez réaliste par rapport à ce que l'on peut imaginer.


Il est dommage par contre que je sois restée sur ma faim quant à leur avenir. Car après avoir appris à connaitre chacun des personnages, on ne sait pas ce qu'il advient d'eux.
Et ca c'est vraiment vraiment décevant.
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Un moment de lecture extraordinaire. Grace a la situation decrite sur la 4 eme de couverture nius allons vivre une histoire d uen humanité frappante. le retour au concret, aux valeurs vraies et sauvages. A la mefiance, au travail rigoureux mais aussi il y a beaucoup d humour dans le recit de la situation. C est unz belke critique sur nous autres., pauvres humains avide de pouvoir, de travail, de farniente, de lâcheté, ....j ai adoré

Un matin de septembre, les habitants de Châtillon en Bierre sont les témoins de phénomènes inquiétants : Ils ne peuvent plus sortir de leur village et toute communication est devenue impossible...
C'est un roman où le banal et le fantastique se rejoignent sur fond subtil de critique sociale tendrement menée. A lire absolument, bien que la fin soit un peu décevante...

Une histoire intéressante mais qui manque un peu de dynamisme. On se lasse un peu.

Livre pas mal, très original, un peu dépressif tout de même

Très emballée par l'idée d'un village coupé du monde, je commençais ma lecture très en joie de ce nouvel auteur à découvrir. Au début bien m'en a pris car c'est un régal de lecture, l'on s'amuse beaucoup à voir se débrouiller les uns et les autres dans ce microcosme de société. Les interviews sont une jolie idée et permettre de rendre très vivant le roman. Mais vers le milieu du livre, l'intervention de Verviers m'emballe beaucoup moins mais bon, me dis-je, ainsi sont les hommes. J'attends alors une fin digne de ce nom mais elle est très frustrante et pour moi incompréhensible et cela gâche toute ma lecture. Dommage

Se retrouver coupés du monde du jour au lendemain à l'échelle d'un canton. Les habitants du canton fictif de Châtillon en Bierre vers le centre-est de la France découvrent un beau matin qu'ils ne peuvent franchir une limite invisible et qu'ils n'arrivent plus à communiquer au-delà de leur village. Pourquoi ? Comment ? Jusqu'à quand ?
Une fois la zone concernée évaluée, tout est à (ré)organiser en petite société. La nourriture devient une question majeure, le rôle crucial des agriculteurs redécouvert.
L'évolution sociale et psychologique au fil des jours est décrite par le biais de multiple personnages.
La comparaison avec l'époque du premier confinement ne peut s'empêcher d'être effectuée, même si l'ouvrage date de 2014.
L'autarcie des protagonistes nous fait aussi réfléchir aux avantages et inconvénients de cette situation tout comme celle du mondialisme.
Un point me semble n'avoir été qu'effleuré en coup de vent : l'électricité. Comment reste-t-il de l'électricité si elle n'est pas produite? La question a gêné mon appréciation du roman.
La fin est ouverte; on balance entre espoir et désespoir, selon l'état d'esprit du lecteur.

Isoler des êtres humains et observer les. Sur un sujet très rebattu, une vision finalement bien scolaire des maigres évolutions d'un microcosme humain. Beaucoup de silhouettes bien creuses dans une sorte de jeu de plateau sans grand intérêt. Avec une fin en queue de poisson! Bof!

L intrigue est originale et fonctionne comme un thriller rural original.

Pour un dimanche pluvieux ça va. Roman à la limite de la science fiction, un village de campagne se retrouve comme enfermé sous une bulle. Une organisation finit par se mettre en place, avec certains paysans grégaires et taiseux, visé à leur bien et à leur terre qui les a fait transpiré. Je m'attendais à mieux surtout que j'avais adoré le Mur invisible de Marlen Haushofer. La fin est insipide.