Denis Rigal, succède aujourd'hui [à Jean Rodier] dans le panégyrique de la truite, l'art de la débusquer et celui de la célébrer, ajoutés à l'apologie des lieux de haute solitude. Ce beau prétexte, a inspiré aux deux écrivains des pages magnifiques sur la féminité des rivières, le jaillissement de la vie, l'apprentissage de la mort ou la littérature de l'eau.
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