« Si l'histoire ne se termine pas ici, c'est que la vie est une bien mauvaise romancière, qui ne craint ni les répétitions, ni les digressions, ni les temps morts, comme si elle prenait plaisir à éprouver la patience du lecteur en l'obligeant à traverser des pages et des pages qui l'éloignent de la fin promise, de la récompense du sens. » (p. 175)