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EAN : 9782368450437
187 pages
IS Edition (03/08/2013)
4.19/5   8 notes
Résumé :
« Hugo. Trente ans. Célibataire. Professeur de mathématiques. »
Voilà une présentation officielle de ma vie. Certes succincte, claire et honnête, mais... incomplète. Un résumé en une ligne de mon existence aurait mérité une petite description supplémentaire :
« Hugo. Trente ans. Célibataire. Professeur de mathématiques. Tueur. »

Comme vous pouvez le constater, je ne suis effectivement pas un homme comme les autres. Je me diffère par ma g... >Voir plus
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Hugo, 30 ans, professeur de mathématiques, est aussi tueur en série pendant son temps libre. S'il en est arrivé là, ce n'est pas à cause d'une enfance malheureuse ou d'un autre traumatisme familial. Non, Hugo a grandi dans une famille unie et aimante même si lui a beaucoup de mal à rendre leurs sentiments à sa nombreuse parentèle. Ce sont plutôt son cynisme et sa misanthropie qui l'ont poussé à commettre ces meurtres, gratuits mais terriblement apaisants pour ses nerfs malmenés par ses insupportables semblables. Car Hugo déteste en bloc, sa famille, ses élèves, ses collègues. Et comme il ne peut pas, sur une impulsion, fracasser la tête de tous ceux qu'ils côtoient, il choisit ses victimes au hasard, sans distinction de sexe, d'âge, de couleur, de milieu social.


On pourrait craindre, à se retrouver dans la tête d'un tueur en série, d'être confronté à des scènes sanglantes d'une horreur sans nom. On aurait d'ailleurs raison. Hugo, qui confie ici ses pensées les plus intimes, ne rechigne pas à donner quelques détails sur ses crimes les plus marquants ou ses expériences de tueur sans pitié. Mais ce n'est pas là ce qui fait l'intérêt de la prose de Frédéric ROCHIGNEUX. Non, tout le sel de ce petit livre réside dans le cynisme et l'humour noir dont il a doté son ''héros'' pince-sans-rire et affublé d'un certain sentiment de supériorité. Hugo juge le monde qui l'entoure et personne ne trouve grâce à ses yeux. C'est souvent drôle et, même si on en éprouve une certaine honte, on partage parfois ses idées. le monde est peuplé de cons. On le pense tout bas, Hugo le dit tout haut. On rêve parfois de mettre une tannée à un enquiquineur avec qui parler ne sert plus à rien mais bien sûr on ne met pas en pratique ces légitimes envies de meurtre. Hugo va jusqu'au bout de ses idées.
Un premier roman réjouissant si, bien sûr, on n'est pas adepte du politiquement correct.
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C'est la quatrième de couverture qui m'a tout de suite donné envie de le lire et même si ce n'était pas ce à quoi je m'attendais, j'ai passé une très agréable lecture, très réaliste et parfois même amusante en dépit de sa noirceur.

Le personnage principal s'appelle Hugo, il a trente ans, est célibataire, enseigne les mathématiques et surtout, c'est un tueur. C'est une personne particulière et sa narration est donc en accord avec sa personnalité, quelque peu dérangée. Honnêtement, Hugo est exécrable et ses préjugés ainsi que sa vision du monde auront vite fait de vous le rendre détestable. Mais à côté de ça, je dois reconnaître que l'auteur a fait de lui un personnage honnête qui expose des choses dans lesquelles chacun de nous peut se retrouver. Je me suis plusieurs fois dit « C'est vrai, je pense comme lui » et je suis certaine que je ne serai pas la seule. En tant que criminel, il ne m'a pas intéressée plus que ça mais en tant qu'homme, il m'a captivée tant il est étrange. Par exemple, c'est quelqu'un qui parle avec des interrogations inversées même à sa soeur « T'ai-je manqué, frangine ? » le rendu est sympathique du fait que le « t'ai-je » soit presque considéré comme du langage soutenu de nos jours, tandis que le « frangine » appartient au langage familier.
Bref, Hugo est définitivement un personnage atypique qui a de quoi séduire. Cependant il a le défaut de ne s'attarder que sur le négatif de l'humanité alors qu'il reste encore du positif à en tirer. Je suis une personne qui cherche du bon dans les plus mauvaises choses alors je ne peux être en accord avec sa manière de penser et je pense que je ne le supporterai qu'à petite dose dans la vraie vie.

Je m'étais fait une fausse idée de ce qu'allait être ce livre, idée née de mes propres désirs. En effet, moi qui aime la psychologie humaine, je m'attendais à un livre complexe sur la psychologie d'un criminel. Mais l'auteur a vite mis les choses au clair. Ici il n'y a pas de personnage qui aurait subi des traumatismes dans son enfance qui auraient pu atteindre son esprit et en faire le criminel qu'il est aujourd'hui. Non, Hugo est un homme ‘normal' qui n'a aucune excuse et c'est au final ce qui est intéressant. On cherche toujours le pourquoi du comment mais parfois il n'y a pas d'explication et certains sont méchants ou cruels sans raison valable.

Au niveau de l'histoire, même si le livre est classé dans la catégorie thriller, c'est plus une sorte de témoignage d'Hugo. Sa vie, ses pensées, comment il voit le monde. Je dis ‘Hugo' mais je me demande si ce n'est pas tout simplement la solution que Frédéric Rochigneux a trouvé pour exprimer ses propres pensées sur notre univers ? Quoi qu'il en soit, le point le plus intéressant abordé est selon moi sa remise en question du bien et du mal. Qui mérite de mourir et qui doit en décider ? J'ai trouvé cette partie captivante et même si je ne peux approuver son comportement, dans la théorie il n'a pas tout à fait tort. C'est ce qui est presque dérangeant avec cette lecture, Hugo dit la vérité mais cette vérité est loin d'être plaisante. Il dénigre l'être humain et chaque lecteur aura été critiqué indirectement au moins une fois. Il faut donc savoir prendre les choses au second degré ou mieux, aimer rire de soi, car c'est de l'humanité tout entière qu'il se moque. Et qui pourrait lui en vouloir ? Il y a matière à rire lorsqu'il s'agit de notre espèce.

Je pense que certains n'apprécieront pas le personnage et son cynisme mais personnellement il m'a plu. Aussi, j'ai beaucoup aimé les références variées qu'on retrouve tout au long du livre ainsi que les éléments de l'actualité qui en font une histoire contemporaine dans laquelle il est plus aisé de se plonger. Enfin, je finis les points positifs en mentionnant la fin qui est quelque peu ironique et m'a fait sourire.

Je n'ai rien de vraiment négatif à dire au sujet de ce livre. Je n'ai pas mis la note maximale simplement car je n'ai pas accroché autant que je l'aurais souhaité et j'ai relevé quelques fautes de frappe dans le livre. En dehors de ça, il n'y a rien à reprocher à ‘Errances d'un esprit malfaisant', l'appréciation du livre résidera dans la sensibilité de chacun à cette histoire et son narrateur.

Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est un livre à ne surtout pas manquer, mais je pense quand même qu'il vaut le détour. de plus, il se lit à une telle vitesse que même les personnes qui rechignent à ouvrir un livre pourraient se laisser séduire. Cet ouvrage est bien plus intéressant que ce à quoi je m'attendais après en avoir lu quelques pages et je pense que c'est un livre qui pourra plaire à un large public. Merci à notre partenaire IS Edition sans qui je n'aurai peut-être jamais découvert ce livre !
Lien : http://plumebleuee.com/2016/..
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Je continue ma découverte des romans de cette superbe maison d'édition et une fois de plus j'ai été complètement sous le charme! Ce roman est une vraie pépite mêlant cynisme, humour noir et critiques très intéressantes de notre société. L'auteur nous prend à contre-pied dès le début du roman, quand son personnage se présente à nous sans détour et qu'il nous met face à une réalité à laquelle il est un peu difficile de faire face par moment.

Dès le premier chapitre j'ai adoré cette histoire ou plutôt Hugo, notre héros tueur en série qui parle de sa vie, de sa vision des choses, de ses pulsions. Ecrit à "je", ce roman nous embarque vraiment dans l'esprit de notre personnage et nous le rend proche, nous donnant la sensation qu'il s'adresse vraiment à nous, comme dans une discussion intimiste autour d'un café. Je raffole de ce genre de parti pris et ici l'auteur le mène de main de maître jusqu'à la dernière ligne.

Difficile de stopper sa lecture une fois les premiers chapitres commencés, car le cynisme de Hugo nous embarque, nous fait rire aux larmes et nous donne envie de poursuivre encore longtemps l'aventure avec lui. L'idée de base de ce roman m'a passionnée car notre héros a des réflexions fascinantes et peut-être certaines sont-elles "inacceptables" moralement, mais je dois dire que je me suis surprise à comprendre bien des éléments qu'il nous présentait et à acquiescer à bien des moments...

Un point négatif à soulever? Bon alors un tout petit élément qui s'avère peu important finalement et vite oublié: certaines des réflexions sont peut-être un tout petit peu longues. Mais franchement c'est vraiment s'il faut chercher la petite bête, car ce roman est exceptionnel et sort vraiment des habituels livres sur des tueurs en série. Son originalité tout comme la personnalité de Hugo et tout simplement la plume de l'auteur en font, à mon avis, un incontournable. Je ne vous parle même pas de la fin qui prend totalement par surprise, qui amène une conclusion digne de ce roman hors norme et qui m'a beaucoup fait rire de par son ironie.

En bref, je suis tombée sous le charme de Hugo et de la plume de l'auteur et j'en redemande! A lire toute urgence pour les fans de thrillers car c'est une vraie pépite.
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Avant toute chose, je souhaite remercier très chaleureusement Harald, de IS Editions, pour sa confiance quant à notre nouveau partenariat. J'espère que mes chroniques seront à la hauteur de la qualité des écrits que vous m'avez confiés.

Ce titre m'avait interpellée depuis que j'avais vu mon amie Cookies en faire la chronique sur son blog. Une histoire apparemment atypique d'un tueur en série, Hugo, partageant ses opinions sur la société. J'avoue que je m'attendais à un thriller, et j'ai finalement eu le droit à un roman qui oscille entre la fiction, légèrement thriller, et le document, qui donne un avis éclairé et somme toute assez objectif sur notre société actuelle.

J'ai beaucoup apprécié ma lecture, car l'auteur a su me secouer un peu, en me faisant adhérer à certaines de ses pensées, ce qui n'était pas vraiment pour me rassurer… Alors, non, je n'ai toujours pas des envies de meurtres (ouf !), mais je trouve que la démarche est bien menée, même si l'utilisation du tueur en série n'est finalement qu'un prétexte pour donner son opinion en attirant et secouant le lecteur par des opinions parfois « border line ». Un quidam ne peut pas se permettre de juger de la beauté du meurtre gratuit, mais Hugo le peut.

Étant un assassin, il n'a pas d'interdits moraux, et peut se permettre en toute impunité de raconter ses premiers pas dans le monde des meurtres, son adoration d'émissions de téléréalité ridicules, son opinion quant à la peine de mort – ce qui va même jusqu'à la forme de la sentence employée – ou même ses frasques et débauches. Il va même jusqu'à se considérer comme un être supérieur entouré de débiles profonds... Oui, c'est bien de nous dont il parle.

Le style est quant à lui très agréable et assez caustique. J'aime beaucoup le cynisme dont fait preuve le narrateur quant à tous les faits de société, allant de la politique aux simples jeux télévisés. Tout y passe, tout est critiqué, et que l'on soit d'accord ou non, ses pensées sont tellement bien expliquées et illustrées, qu'on ne peut qu'apprécier notre lecture du début à la fin.

Alors, oui, j'ai passé un bon moment avec Hugo, même si je dois avouer que... j'ai parfois eu envie de l'étrangler !
Lien : https://mes-reves-eveilles.b..
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Ce roman est le premier de Frédéric Rochigneux et je dois dire qu'il est plutôt pas mal. le résumé en est très intriguant, ce qui m'a de suite attirée. Par contre, ça n'est pas exactement ce à quoi je m'attendais mais je n'en ai tout de même pas été déçue. Plutôt bien écrit, ce livre est très facile à lire. Hugo y dresse un portrait de l'humanité telle qu'il la voit et j'ai trouvé son point de vue plutôt intéressant, même si moralement, il est difficile d'accepter certaines choses.

Les présentations sont faites dès les premières pages (avant ça même puisqu'on sait à qui on a à faire dès la 4ème de couverture). Plusieurs fois, Hugo nous prévient et nous dit que si on n'est pas prêt à lire ce qu'il a à dire, on peut refermer le livre (ce que je n'ai pas fait avant la fin).

Durant les 125 pages, c'est lui qui parle, on se retrouve donc plongé dans un récit à la première personne et j'ai vraiment apprécié ce style d'écriture. Un peu comme un journal intime. Il divise également son histoire en plusieurs chapitres, séparé selon le sujet abordé "Ma genèse", "L'école", "Crime", "Internet", etc... Chouette division qui nous laisse voir son avis sur chacun de ces "thème".

Je disais plus haut que l'histoire n'avait pas été telle que je m'y était attendue. Effectivement, en lisant le résumé, je pensais que je me retrouverais devant une description des meurtres perpétrés par Hugo. Au final, il n'en parle pas tant que ça. Et donc, ce livre a été plus facile à lire que ce que je croyais. Certes, certaines scènes sont plutôt immorales, mais ça se laisse lire. Bon par contre, je trouve que ce genre de lecture ne devrait pas se retrouver entre n'importe quelles mains car il pourrait donner la motivation nécessaire à des "fous" de passer à l'acte. de même, je me suis parfois demandée si cette histoire n'était pas un peu biographique. Difficile pour cette pensée de ne pas me traverser la tête alors que le récit complet est à la première personne du singulier.

En bref, une lecture très facile et plutôt divertissante que j'ai bien appréciée.
Je remercie d'ailleurs "IS Edition" et "Vendredi Lecture", grâce à qui j'ai pu en gagner un exemplaire numérique !!!
Lien : http://bourrasque-de-seve.bl..
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Il suffisait de détester un enseignant pour en faire de même avec le domaine qu’il représentait, et réciproquement. À partir de là, et jusqu’au lycée, vous pouviez deviner les professeurs que j’appréciais et ceux que je ne supportais pas en consultant simplement mes nombreux bulletins de notes de fin de trimestre. J’eus mon « Brevet des collèges » sans même avoir besoin de passer l’épreuve finale, avec éternellement la même technique : ne rien faire.
À la seule différence que, dans la plupart des salles de cours, je pouvais regarder par la fenêtre et ainsi occuper mes journées à observer la population fourmiller au pied du bâtiment. S’il y avait eu une épreuve sur les horaires de bus, j’aurais certainement été le meilleur élève de l’établissement, avec une note parfaite.
Enfin, le lycée. Le pire de tous. On fonde des espoirs en se disant : « On n'est plus des gamins. On va enfin nous expliquer des choses sérieuses et intéressantes. On nous considérera comme étant des êtres humains à cent pour cent. ».
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Attention : ne confondez pas haine et indifférence. Ces gens-là m’indiffèrent ; je ne les déteste pas. C’est-à-dire que je ne me soucie ni de leur vie, ni de leur avenir, ni de leur santé. Ils ne m’ont absolument rien fait de mal ; au contraire même. Comme je vous l’expliquais, ils sont adorables avec moi.
Je ne fais même pas semblant de m’intéresser à eux, et ils ne s’en rendent absolument pas compte. Tant que cela fonctionne ainsi, pourquoi changer de méthode ?
Je sais ce que vous vous dites : « Quel cynisme ! ». Est-ce réellement étonnant ? Pensiez-vous que j’étais capable d’empathie ? D’amour ? De sentiments humains ?
C’est l’un des rares points communs que je partage avec les autres criminels en série dont on vous dresse le portrait dans les médias : je suis cynique.
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De votre point de vue, un tueur en série a obligatoirement vécu une enfance difficile : viols, coups, humiliations, racket...
Donc, dans votre petite tête, les violences qu’il reporte aujourd'hui sur les autres trouvent assurément leurs origines dans des blessures enfantines.
Eh, bien... non ! Au risque de vous décevoir, un garçon battu ne devient pas systématiquement, à son tour, violent avec sa progéniture. Si vous regardiez les bonnes émissions à la télévision, si vous ouvriez les bons livres, si vous visitiez les bons sites sur la Toile, vous le sauriez.
Vous êtes tellement prévisibles dans vos réactions ! Je vous avais pourtant prévenus, en préambule, que vous ne trouveriez pas dans ce livre d'idées préconçues sur les criminels.
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Je crois que la pire escroquerie qui soit, à l’école, est la philosophie. Chacun attend la classe de terminale pour découvrir cette matière. On se dit : « Enfin un lieu dans lequel je pourrai exprimer ce que je pense librement. ».
Surtout que, lors du premier cours, on vous explique l’étymologie grecque du mot : « philo » signifiant « amour » et « sophia » désignant « savoir » ou « sagesse ». Ensuite, on vous raconte que le premier des philosophes fut Socrate, un homme affreusement laid mais tellement riche des autres et des dialogues qu’il échangeait avec les citoyens athéniens. En gros, vous comprenez que le cours va être ouvert à la discussion et au débat.
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Mes diplômes et l’agrégation obtenus, me voilà professeur de mathématiques. Fin prêt à transmettre mes connaissances à votre précieuse progéniture.
Qu’est-ce que je peux écrire comme âneries ! Prêt ? On m’a balancé dans le grand bain comme ça. On m’aurait dit : « Tiens voilà ta classe, tu vas leur enseigner les maths. Amuse-toi bien. », il n’y aurait pas eu grande différence.
Je vous avoue que ça ne me gêne pas. Être prof n’était pas une vocation, ni un rêve, ni le but de ma vie. J’étais particulièrement doué dans ce domaine à l’école et c’était la matière qui me révulsait le moins.
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