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Never Sky tome 1 sur 3
EAN : 9782092540275
389 pages
Nathan (06/09/2012)
4.12/5   424 notes
Résumé :
DEPUIS QUE LE CIEL S'EST CHARGÉ D’ÉTHER LES HOMMES VIVENT SOUS DES CAPSULES OU SURVIVENT DANS LA NATURE DÉVASTÉE

Aria, 17 ans, a grandi dans une immense Capsule. Comme tous les Sédentaires, elle passe ses journées dans des mondes virtuels, à l'abri du danger. Mais un jour, accusée d'un crime qu'elle n'a pas commis, Aria est bannie, abandonnée en pleine nature ravagée par les tempêtes d'Éther. Sa seule chance de survie apparaît alors sous les traits de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (140) Voir plus Ajouter une critique
4,12

sur 424 notes
J'ai un peu hésité en mettant ma note… Arrivée au trois quart, c'était un bon quatre sur cinq mais après avoir refermé le roman, le cinq sur cinq s'est un peu imposé. Et pourtant au tout début, c'était loin d'être gagné. Une sensation assez étrange mais que je trouve en même temps fort sympathique. Avec le recul que je crois que c'est l'une des premières fois que j'aime un livre en allant crescendo. Et puis, je n'avais pas eu de coup de coeur depuis un petit moment.

L'auteur nous fait entrer dans le vif du sujet très rapidement, dès les premières pages, en fait. Et cela commence assez fort. J'aime beaucoup ce genre d'entrée en matière. Etrangement, je rentre beaucoup plus facilement dans l'univers et l'histoire par ce biais, alors qu'en fin de compte, on ne sait rien ou très peu. Nous découvrons donc Aria, notre héroïne, une survivante qui vit dans une capsule, une sorte de dôme protégeant la population de l'extérieur et où tout est virtuel. N'ayant que très peu de place, ils ont créer des « domaines » où ils peuvent vivre par le biais de la technologie. On se retrouve face à une société qui a évolué, qui s'est adaptée mais pas dans le bon sens pour moi, et cela nous nous en rendons compte très vite. le premier chapitre est violent, et j'avoue que j'ai eu un peu de mal avec ça.

Puis nous rencontrons notre second héros, Perry. Un sauvage vivant à l'extérieur et c'est tout un autre monde qui s'offre à nous, un monde que j'ai beaucoup plus apprécié à de nombreux niveaux, un monde vrai. Certes, la survie est un mode de vie constant mais il était beaucoup plus facile de s'imaginer vivant comme les gens de l'extérieur que ceux des capsules. Et c'est vraiment à partir de ce moment-là que j'ai apprécié ma lecture.

Les chapitres alternes avec Aria et Perry. Deux mondes qui entrent en collision. Et même si l'idée n'est pas forcément originale, j'ai adoré la façon dont Veronica Rossi a exploité ce face à face. le dénouement entre les deux personnages est prévisible, mais c'est tout leur parcourt qui est passionnant. Si nous en découvrons beaucoup plus sur l'extérieur, Aria nous offre une métamorphose que j'ai vraiment aimé. Leur quête les conduit dans des retranchements et les pousse à aller au-delà de leurs limites mais aussi des apparences. La petite touche fantastico-scientifique (je ne suis pas encore très sûre de l'origine de certaines choses dans le roman) est un énorme plus. Les différents dons de certains des « sauvages » sont très intéressants et cerise sur le gâteau, très bien exploité aussi. Bref, j'ai été happée et je n'ai pas pu lâcher le roman avant la fin.

Côté personnage, et c'est à mon avis l'une des choses les mieux exploitée du roman, il y en a de très très bons. Aria pour commencer. Une jeune femme qui pourrait sembler fragile et un peu perdue au début, naïve aussi, mais qui finit par se métamorphoser. Elle ne s'en rend pas compte elle-même mais grâce à Perry, on visualise très bien cette chrysalide sortant de son cocon. Et rien de tel pour me faire encore plus apprécier un personnage. Quant à Perry, on a un peu de mal à le cerner au début. Il est dans l'émotionnel continuellement à cause de son don. La colère est souvent ce qui le pousse à agir. On le sent frustré, enfermé dans une cage, mais il a aussi de jolis moments où il se révèle plus doux, plus attentionné, plus calme. Il n'a pas eu une vie facile et c'est un survivant à bien des niveaux mais il est impossible de ne pas l'apprécier. Il change aussi, de façon plus « discrète », si je puis dire. Un autre personnage que j'ai adoré : Roar, le meilleur ami de Perry. Un amour sarcastique, plein d'humour, très ouvert, franc… Il aurait fait un très bon héros, c'est certain et il a été une bouffée d'air frais. A bien y réfléchir, c'est dès son apparition que j'ai basculé dans le coup de coeur, en grande partie.

Le tout est bien mené. La trame est claire avec de nombreuses ramifications mais qui reviennent sur le devant de la scène à tour de rôle nous offrant des réponses petit à petit. Pas une seule fausse note à mon goût. Les bases sont très bien posées à la fin de ce premier tome, les personnages sont attachants, il y a de l'action, une romance bien entendu qui prend sa bonne part du gâteau, un peu d'humour, de l'amitié et une complexification de l'univers qui va crescendo. le style de l'auteur est de plus très fluide et dynamique. Une lecture plaisir à tous les points de vue.
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Livre découvert depuis quelques temps déjà sur Babelio et prêté par Noune, en espérant passer un bon moment de lecture avec celui-ci qui sera ma première dystopie !!

J'en attendais peut-être un peu trop car je n'ai pas réussi à atteindre la 100ème page pour voir si l'histoire démarre réellement. Je dois avoir trop l'habitude de l'urban fantasy où l'action démarre sur les chapeaux de roues et où le début de l'histoire nous est raconté par de brefs flashbacks.

Dans ce roman, j'ai essayé de m'intéresser à l'histoire mais le démarrage est beaucoup trop long, je n'arrivais pas à enchaîner 2 pages d'affilée tellement les explications et la mise en place étaient longues à se terminer. Mais ce qui m'a le plus dérangée, c'est qu'il n'y a pas d'explications sur l'univers en lui-même. Que sont les Domaines ? À quoi servent-ils ? Que font les habitants de leur journée, à part s'amuser ? Que de questions sans réponses qui m'ont particulièrement gênée pour véritablement m'attacher à cette histoire et à ses personnages.

Donc mauvais choix de ma part pour commencer les dystopies mais il est vrai qu'en relisant le résumé de celui-ci, l'histoire semblait un peu plate. Mais au vu du nombre d'appréciations positives, je pensais que l'histoire devenait plus intéressante rapidement...

Comme vous l'aurez compris, je vous conseille donc de vous faire votre avis par vous-mêmes pour les dystopies car je ne serais pas d'une très grande aide. Je pense que l'on aime ou non ce genre de lecture en fonction de notre passif littéraire, le mien étant les polars et les romans d'espionnage avant de passer à l'urban fantasy. En tout cas, je ne me contenterais pas d'un seul essai en dystopie avant de décréter que je n'aime pas. Je n'ai pas adhéré à l'écriture de cet auteur mais ce n'est, heureusement, pas la seule à écrire dans ce genre-là.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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J'ai du mal à poser mes mots pour ce roman, tout simplement parce que j'ai l'impression que je vais être trop dure avec lui alors qu'il n'y a pas de raison. Mon ressenti n'est pas des plus simples à exprimer, j'ai peur qu'il soit un peu trop mitigé par rapport à ce que j'ai déjà lu et qui est très enthousiaste. Non pas que je n'ai pas apprécié ma lecture, loin de là, mais je n'en suis pas ressortie avec le "waouh" que j'en attendais. Peut-être, justement, que je m'attendais à quelque chose de plus ...

Tout d'abord, je dois dire que j'ai trouvé le concept de l'univers créé par l'auteur très intéressant. Cette idée que les hommes ont tellement détruit leur environnement qu'ils doivent vivre sous cloche, dans un monde totalement virtuel, ça fait froid dans le dos et en même temps ça nous paraît très réaliste. Oui, c'est un futur possible à n'en pas douter, et l'auteur arrive à nous faire frissonner rien que d'y penser, après tout quand elle parle de nature dévastée, ça ne vous rappelle rien ? Vous aimeriez vous, ne pas vivre mais faire semblant de vivre, le tout sur fond de domaines virtuels ou tout est possible sauf la "vraie vie" ? Pour ma part, c'est inenvisageable. Même si je passe beaucoup - trop - de temps dans le monde virtuel que m'offre mon ordinateur ou ma télévision, c'est la réalité qui mérite d'être vécue et d'avoir toute notre attention. J'ai trouvé que la vision de ces mondes virtuels étaient très bien rendues par l'auteur, on s'y croirait. Quand elle nous explique comment ça fonctionne, ce qu'il en coûte aussi aux habitants des "dômes" tels que Rêverie, c'est assez impressionnant. On voit cependant qu'une partie de réalité subsiste, le virtuel n'est pas encore totalement parfait, il y a quelques failles, même si elles sont minimisées par les dirigeants, du coup, ça n'en rend l'ensemble que plus réaliste. Oui, on vous propose un mode de vie plus sûr, meilleur que le "réel" qui vous entoure, mais même ce mode de vie là a ses limites. Et c'est justement sur ces fameuses limites que l'auteur va baser son roman. Voilà qui m'a intriguée. Comment une civilisation qui paraît si accomplie, si intouchable, peut porter en son sein la clé de sa destruction sans que personne ne s'en rende compte ? C'est assez flippant je dois dire ce qui se passe dans le roman. J'aimerais en dire plus à ce sujet mais je gâcherais le suspens, alors je n'irai pas plus loin. Mais vraiment, cette sorte d'affrontement entre le réel et le virtuel qui est la base du roman et le porte de bout en bout fut source de beaucoup de réflexions philosophiques et ethnologiques pour ma part, j'ai adoré me projeter dans ce monde futuriste et me demander de quel côté de la barrière j'aurais voulu me situer.

Car, bien que les mondes protégés existent, lieux dans lesquels vivent ceux qui s'appellent les Sédentaires, il existe encore des hommes et des femmes qui ont "décidé" (ça, ça reste à définir) de ne pas souscrire à ce mode de vie et qui ont "choisit" la liberté, ce sont les Sauvages. Bon, alors là, j'avoue, ça m'a un peut trop fait penser à Uglies notamment, ou même à Délirium par certains aspects, entre autres, il y a ceux qui vivent avec la technologie et ceux qui la refusent. Déjà vu. Et c'est dommage, car l'idée de base est originale en soi, parce qu'elle est modifiée. On pénètre dans un monde où règne l'Ether, comme une menace qui sous-tend la toile de fond du récit, silencieuse mais terrible quand elle s'abat, elle est l'incarnation des les lois de la nature. C'est un monde dur, dangereux, où le plus fort émet ses règles. Loin du cadre idyllique des Capsules, les Sauvages, les étrangers, luttent pour survivre dans un monde hostile, fait de privations et de combats. Rien de bien réjouissant n'est-ce pas ? Eh bien, c'est ce monde-là qui est le plus riche dans le roman, qui est aussi celui qui m'a le plus touchée, sans doute parce qu'il est tellement "réel", je devrais dire réaliste, ce monde-là nous procure des émotions, peur, angoisse, espoir, désir, amour, tout y est. On a plus de facilité à s'attacher à ces personnages vivants, en lutte permanente, qu'à ceux qui passent leur vie à se cacher d'eux-mêmes dans des mondes qui ne leur offre que complaisance. Oui, les Sauvages sont ceux qui ont encore une âme et c'est ce qui m'a plu. L'antithèse entre les deux peuples est évidente dès le départ et l'auteur ne cesse de l'alimenter tout au long du roman. Mais, ce que j'ai apprécié aussi, c'est qu'au travers du personnage d'Aria, elle essaie de montrer que l'adaptation, l'acceptation, de/à la différence est toujours possible. Après tout, tous ne sont que des êtres humains ... Ce monde scindé en deux se rejoint par bien des endroits finalement et laisse espérer une réconciliation. du monde extérieur on retient le danger permanent, la chasse, les clans, le pouvoir, mais on retient aussi la solidarité, la famille, les amis. C'est un reflet de tant d'émotions qu'il ne nous laisse pas indifférent, contrairement au monde capsulaire qui nous paraît dès le départ froid, calculateur, dénué d'intérêt, le monde réel est lui fait de chaleur, d'imagination, de force, et présente de nombreux attraits pour le lecteur, notamment celui de ne jamais savoir ce qui va passer.

Bien sûr, pour respecter une fois encore les codes dystopiques en vigueur, l'auteur a choisi deux héros que tout opposent pour porter son roman, Aria, la Sédentaire et Peregrine, alias Perry, le Sauvage. Je regrette là aussi que dès le départ, leur romance soit si évidente. Il a suffit que Perry apparaisse la première fois dans la vie d'Aria pour que je sache déjà qu'il ne pouvait en être autrement qu'une histoire naisse entre eux. Basique. de bout en bout. Et puis leur différence, ça aussi ça ne fait pas vraiment dans l'original. Il est clair dès le départ que ce sont justement leurs différences qui vont les rapprocher. Je ne raconte pas tout mais, pour vous dire, ils vont faire un voyage côte à côté, un trajet que l'on peut qualifier d'initiatique puisqu'il va permettre à Aria de comprendre le monde extérieur, de s'y adapter et à la fin, de se l'approprier. de son côté, Perry va apprendre aussi à comprendre un petit peu le monde d'Aria. Et ils ne vont pas se taper dessus. Miracle ! La touche romance du livre n'est pas trop prononcée au point d'en devenir dégoulinante de guimauve, heureusement. du coup, on y croit malgré tout, c'est crédible, ça sous-tend aussi en grande partie le récit puisqu'il s'agit avant tout, je pense, de la métaphore de ces deux mondes si étrangers l'un à l'autre qui entrent en collision et doivent trouver un compromis. Il est vraiment intéressant cependant de voir ces deux personnages évoluer côte à côte, le Sauvage, fort, courageux, intrépide qui rencontre la Sédentaire, perdue, esseulée, à qui il faut tout apprendre mais qui va finir par bouleverser son monde comme il bouleversera sa perception des choses. On prend plaisir à les suivre tout au long de ce voyage semé d'embûches, de rencontres, de danger et de mort. Loin de partir en ballade romantique, ils doivent affronter de nombreux ennemis, s'adapter aux conditions climatiques pas très clémentes et à leur environnement, se nourrir, s'abriter. C'est tout un périple, oserai-je dire une odyssée ?, que traverse ces deux personnages, et on souffre avec eux et on a mal avec eux et on espère avec eux, qu'ils arrivent au bout, qu'ils atteignent leur but, mais surtout, qu'ils ne se quittent pas. Eh oui, je suis fleur bleue, que voulez-vous !

Les personnages du roman sont très bien tournés, j'ai apprécié faire leur connaissance, je trouve qu'ils apportent beaucoup au récit qui, en lui-même est déjà très prenant, la plume de l'auteur y veille très bien. Je dois admettre qu'on ne s'ennuie pas une seconde à la lecture, c'est un plaisir de découvrir cet univers fascinant, d'apprendre à en connaître les codes, les fissures, les possibles. Surtout que cela est fait sur un rythme tout de même rapide je trouve, dans le sens où l'action avance vite, les pauses sont rares et là encore, elles sont sources de révélations ou de progressions du récit, les rebondissements et les péripéties se succèdent sans laisser le temps au lecteur de se lasser de ce voyage. Et j'aime être surprise, par l'arrivée inopinée de personnages inattendus, par de nouvelles embuscades, par des plans déjoués, tout du long, le suspens est maintenu, de sorte qu'on se pose beaucoup de questions, qu'on met sur pieds de nombreuses hypothèses. Au final, la fin m'a scotchée, vraiment, car je ne m'attendais pas à ça. C'est la cerise sur le gâteau si je peux me permettre, celle qui donne envie de connaître la suite sans plus tarder. Mais, j'avais commencé à parler des personnages et j'ai encore digresser. Je disais, que ce soit nos deux personnages principaux auxquels on s'attache très rapidement, Aria et Peregrine (je suis membre de la Team Peregrine, je précise ^^), ou encore les personnages secondaires qui font leur apparition par la suite, Cinder ou Roar par exemple, tous apportent une pièce non négligeable à l'édifice, tous y apportent une sensibilité nouvelle, une vision différente des évènements, que ce soit des émotions plus dures ou plus douces, ils nous procurent des moments forts, inoubliables, que l'on partage avec eux sans réserve. Oui, c'est un roman qui saura vous emporter et vous charmer par l'histoire qu'il raconte, parce qu'elle est unique, parce qu'elle vous prend dans ses filets dès le début et qu'on a envie de connaître la suite du récit. Parce qu'à la fin toutes les réponses n'ont pas été données, parce qu'il y a encore beaucoup à découvrir et à apprendre. Et parce qu'une oasis reste à trouver.

Je pourrais encore vous parler longtemps de ce roman, notamment de Peregrine et d'Aria, mes deux chouchous, mais je vous laisse les découvrir par vous-mêmes en lisant ce très bon livre qui vous offrira un agréable moment de lecture et qui vous emportera vers un univers emplit de mystères et de rêves. Une aventure que je ne suis pas prête d'oublier. La question qui se pose à la fin est simple : l'amour peut-il tout surmonter ? La réponse au prochain épisode, enfin, j'espère !
Lien : http://coeurdelibraire.over-..
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le mois dernier, je vous ai présenté Never Sky dans les futures sorties de Nathan. C'était par ICI, si vous l'avez manqué. Un livre que je surveillai de très près car il me tentait du feu de dieux. Et par magie, il est arrivé dans ma BAL. Ni une, ni deux, je n'ai pas pu attendre, si tôt entre mes mains, je me suis plongée dedans avec envie. Je regrette que cela soit déjà la fin et qui faille attendre plus d'un an pour avoir le second tome. C'est trop trop long franchement.

Précédemment, j'indiquais que j'ai commencé la lecture dès le jour de réception. Cependant, j'ai omis de préciser que j'ai eu un faux départ. En effet, j'ai plongé dedans rapidement mais la première page fut difficile à décrypter pour moi. J'ai été directement projeté dans un monde dystopique sans comprendre les codes, et surtout ce que je lisais. Au bout du compte, je l'ai refermé pour vaquer à mes occupations plus urgentes afin de pouvoir me consacrer entièrement à ce roman par la suite. Ma seconde approche fut la bonne. Il fallait juste que je puisse me concentrer sur ma lecture avec l'assurance de ne pas être importunée pour rien. Cela m'a permise de retenir les termes propres à l'univers de Veronica Rossi, afin de les assimiler tout au long de la lecture. Cela a facilité ma découverte, et les pages ont bien défilées malgré moi. La fin est arrivée trop vite même en savourant pleinement Never Sky.

Tout d'abord, l'histoire m'a immédiatement séduite... Elle m'a amené à penser à Uglies de Scott Westerfeld par certains aspects. Dans cette dystopie, on distingue les personnes qui refusent la chirurgie, et celles qui l'acceptent. Ici, il y a ceux qui vivent avec la technologie, et ceux qui la rejettent purement et simplement. de loin, on pourrait trouver des similitudes, mais de près, je trouve que c'est bien différent pour avoir lu l'un comme l'autre. Les deux me plaisent tout autant. Bref, je trouve que Never Sky apporte un peu de rêve. Dans le sens où la société permet d'évoluer virtuellement grâce à un gadget qu'on appose sur l'oeil. Il permet de naviguer, d'accéder à des espaces où tout est permis. C'est un moyen de vivre au final. Ce lieu s'appelle Rêverie, bien trouvé n'est-ce-pas ?

Bien entendu, la perfection n'existe pas y compris dans cette univers qui connaît des ratés. Aria subira les frais de cette dernière et se retrouvera exclue de ce monde qu'elle a toujours connu. Là contrainte de vivre à l'extérieur - un lieu qu'elle n'a jamais vu et qu'elle redoute beaucoup. le destin mettra sur sa route, un sauvage, un homme ayant rejeté la technologie.

Ce qui me séduit dans les dystopies, c'est avant tout l'imagination des auteurs. J'adore quand ils me plongent dans une société différente de la mienne. Il y a toujours une part d'évasion où l'on se projette à la place de l'héroïne. Puis, l'autre part où tout se révèle moins rose, qui m'amène à m'avouer que je n'échangerai peut-être pas ma place. Uglies est la première dans le genre que j'ai lu, et depuis je ne m'en lasse pas du tout. Delirium ainsi que Divergent sont largement dans mon top 3. de superbes découvertes. Jusqu'ici toutes les lectures de ce genre ne m'ont pas déçue y compris Possession. Je me régale avec ces univers particuliers. Never Sky rejoint les autres en haut du tableau.

Il est vrai que je raffole des narrations intimistes mais dans cette configuration, ce n'était pas possible. Veronica Rossi nous offre un récit à la troisième personne afin de couvrir tous les personnages - en particuliers nos deux héros : Aria ainsi que Perry. Nous avons une vision globale de tous les évènements. Nous suivons en alternance notre petite Sédentaire Aria, puis notre Sauvage Perry. Ce procédé enrichie l'histoire à mes yeux. La romancière a accordé de l'importance autant à l'un qu'à l'autre. Je me suis rendue compte qu'ils ont chacun un rôle à tenir dans cette trilogie. Plus, j'avançais dans l'histoire et plus je m'en rendais compte. Vers la fin, c'était carrément évident pour moi.

J'adore ce que ses personnages sont devenus au fils du récit. D'une fragile jeune fille, Aria devient une femme à la fin de ce premier tome. À Rêverie, il était difficile pour elle de savoir qui elle était réellement. Je trouve que son exclusion est comme une renaissance. Elle apprend à se connaître, et évolue tout naturellement. Merci à l'auteure pour les révélations la concernant. Cela ajoute du piment à l'intrigue, préparant le terrain pour les autres volets. Dès le début, je me suis attachée à Aria... C'est un protagoniste que j'ai eu plaisir à découvrir puis à suivre. Son évolution est naturelle en somme.

Là où je vois de la générosité chez la demoiselle, ce n'est pas si évident à percevoir chez Perry. de prime à bord, il paraît froid et distant. En même temps, cela peut se comprendre puisqu'il se retrouve avec une Sédentaire. Pourtant, au rythme de l'aventure, il s'ouvre, et oui - ce jeune homme a un coeur. C'est ce qui le rend attachant avec un côté vulnérable. Je ne ferai pas le tour des autres personnages mais ils me plaisent beaucoup. Chacun possède son propre caractère, son petit rôle dans l'histoire.

Il paraît que Never Sky est le premier roman de Veronica Rossi. Eh bien, chapeau ! Pour une première, c'est une réussite totale à mes yeux.

L'univers apporté est riche de détails même si au début, j'ai eu un faux départ. Je conseillerai aux lecteurs de prendre du temps pour se jeter à coeur perdu dans cette lecture. Assurez-vous d'être tranquille pour bien assimiler les termes. Prenez le temps de savourer tout simplement. Ceci est un bon premier tome. Les personnages quels qui soient ont de la profondeur. Ils sont travaillés, ils arrivent avec un bagage de vie, ils ne sont pas là pour jouer à la plante verte. Les bases sont présentes, sont parfaitement bien amenés également. Tout n'est pas rose et si simple à Rêverie. La romancière a su rythmé son récit avec des évènements, des révélations. Tout ce qui faut pour enrichir son histoire. Personnellement, j'ai adoré cette lecture. Et j'ai hâte de pouvoir découvrir la suite. L'évolution des personnages annonce de bonnes choses pour le tome 2. Comment cela ne donnerait-il pas l'eau à la bouche ?

« le ciel est une menace. L'amour est une force. » Très très bonne citation qui résume parfaitement bien Never Sky. La romance introduite par Veronica Rossi est mignonne et crédible. Au moins, ils ne se sautent pas dessus tout de suite. Ils prennent le temps de se connaître voire même de s'apprivoiser pour construire quelque chose. L'issue de celle-ci est inattendue pour moi, mais ne me déçois pas pour autant bien au contraire. Hâte de voir l'évolution de leur amour dans le prochain récit. Il me tarde sincèrement. L'attente sera plus que longue...

La couverture sélectionnée pour Never Sky me plaît beaucoup. Elle a une certaine signification, en particulier les éclairs. S'il vous plaît, Nathan - Lire en Live, ne changez pas de thème pour les autres tomes. Gardez la même ligne directive que les Versions Originales. Je précise ceci suite aux changements apportés pour une autre dystopie que j'adore à savoir Divergent. Je veux bien comprendre que la partie marketing garde une place importante dans vos décisions mais n'oubliez pas les lecteurs qui sont les premiers touchés. Pour ma part, j'aimerai beaucoup retrouvé des éléments issus des couvertures originales. Traduire de l'anglais à notre langue ne signifie pas qu'il faut tout changer mais adapté uniquement pour les français non ?

Je remercie sincèrement mon partenaire de lecture, les Éditions Nathan pour m'avoir offert la possibilité de découvrir cette dystopie en avant première. 1000 mercis. ♥
Lien : http://bookmetiboux.blogspot..
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Déjà quelques semaines avant sa sortie, ce livre faisait vibrer la toile. Par sa couverture, son résumé et son auteur qui a son p'tit succès aux US.
Toujours partante pur une dystopie, j'étais curieuse et excitée à l'idée de le commencer.
Alors, verdict ?

Aria vit dans Rêverie, avec une grande partie des autres Sédentaires. Ils ne connaissent pas la peine ou la douleur, et grâce à une coque qu'ils mettent sur leur oeil, ils peuvent virtuellement se déplacer où ils veulent, quand ils le veulent, dans des Domaines. Ce sont des endroits créés artificiellement, mais qui copient à la perfection le Monde d'Avant, les odeurs, les couleurs, les sons, etc ...
Quoi de mieux ?
Le problème, c'est que sa mère, scientifique envoyée dans un autre dôme, ne lui a plus envoyé de nouvelles depuis un moment, et elle s'inquiète de plus en plus à ce sujet.
Poussée par un copain ayant accès à une partie non surveillée de Rêverie, ils sont plusieurs adolescents à se rendre dans un endroit 100% réel, bourré d'adrénaline et d'excitation. Tellement que plusieurs d'entre eux ne se contrôlent plus, et c'est la catastrophe.
Plusieurs morts sont à compter, et Aria a tout enregistré sur son SmartEye, faisant d'elle un témoin très gênant.
Sa punition sera l'exil.
En dehors de ce dôme sécurisé, c'est le danger à chaque instant. Aria n'est pas habituée de vivre les choses "réellement", et elle se retrouvera vite en très mauvaise posture.
Le hasard fera qu'elle croisera la route de Perry, un Sauvage qui va garder la jeune fille comme monnaie d'échange.
Au fil de leur périple, ils apprendront à voir tout ce qu'ils peuvent s'apporter l'un et l'autre.
Mais entre les orages d'Ether, les cannibales et les différentes personnes à leur poursuite, qui peut savoir si ils arriveront à leur but respectif sains et saufs ?...

Bon, alors, il faut savoir que, en ce moment, je n'ai pas eu beaucoup de temps à moi pour lire. J'ai donc lu ce titre par à-coups, lentement, ce qui a, je pense, pas mal altérer mon plaisir et ma vision sur ce bouquin.
Gardez bien ça en tête pendant que vous lirez cette chronique, ça altère facilement un avis, malheureusement.
Hum, quand je dis ça, on a l'impression que je vais écrire un avis très négatif, non ?
Alors qu'en fait, j'ai beaucoup apprécié cette lecture pleine d'aventures et de rebondissements !
Disons que ce qui m'a déplu, au final, c'est que j'avais surtout l'impression de passer par des phases très excitantes où il se passait plein de choses, ou c'était intense et hyper prenant, et d'autres moments où je m'ennuyais presque, où j'avais du mal à suivre réellement le récit et où j'avais presque envie de sauter certaines passages.
Maintenant, est-ce à cause du livre ou à cause de moi qui ne passait pas assez de temps avec lui ? Je ne peux que vous conseiller de le lire vous-même pour vous en faire votre propre idée.

Au début, j'ai eu du mal avec Aria. Pauvre petite chose fragile et constamment apeurée dont le seul atout est le chant, elle me faisait penser à une biche prise dans les phares d'un camion. Tout le temps.
Là où ça m'a étonnée c'est que, tout en gardant cette espèce d'innocence fragile, elle évolue, fait preuve d'une belle détermination, et arrive quand même à montrer beaucoup de force, et à donner envie à ce qu'on la serre très fort dans ses bras en lui disant bravo, qu'elle a fait un super boulot, cette pitchoune.
De un peu énervante, naïve et faiblarde, elle est devenue très attachante, motivée et pleine d'ambition.
Une évolution comme ça, il faut le faire ! Surtout qu'elle est fluide et crédible, franchement, chapeau à l'auteur.
Perry par contre, je l'ai directement apprécié. Homme fort et doté de certains dons extraordinaires, il vit dans l'ombre de son grand frère, chef de clan, et n'a d'yeux que pour son neveu malade pour qui il donnerait sa vie.
Un parfait mélange de virilité, d'intelligence, de douceur, de courage et, bien entendu, d'écorchures intérieures qui le rendent encore plus attirant.
Il aura un rôle très important à jouer dans l'évolution d'Aria, et leur relation en elle-même est très réaliste et de se développe également naturellement, à son rythme.
Avec Roar, le meilleur ami de Perry qui m'a beaucoup fait rire et m'a également totalement séduite, et Cinder, l'enfant sorti de nulle part avec son pouvoir effrayant, on a une palette assez incroyables de visages tous fascinants.
J'ai adoré la gestion des personnages, toutes leurs particularités, les dialogues, comment ils deviennent, ... tout ! Il n'y a pas un seul élément que je n'ai pas aimé à leurs sujets.

C'est un roman original, entre dystopie, science-fiction, romance fantastique, quête initiatique et aventure. Mon seul regret est qu'il contient certains passages plus lents, ou avec trop d'éléments à assimiler d'un coup (ou alors c'est juste moi qui ai une minuscule capacité d'absorption à ce niveau-là =D ).
À part ça, j'ai vraiment passé un super moment.
Veronica Rossi nous offre un monde dur plein de dangers, extrêmement riche et coloré, avec des personnages aux dons particuliers et avec des intrigues bien ficelées. Elle sait également bien doser ses effets, et que ce soit les scènes assez "classiques" ou celles plus fantastiques, elle arrive à leur donner une crédibilité naturelle parfois désarçonnante.
Voilà une série dystopique qui fera sans aucun doute parler d'elle !
Lien : http://archessia.over-blog.c..
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critiques presse (1)
Ricochet
05 décembre 2012
Peut-être désormais courante dans le monde des dystopies, l’hypothèse de départ est cependant soignée, mise en scène avec dynamisme et une complexité ajustée.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (49) Voir plus Ajouter une citation
- Qu'est ce que je ne sais pas au juste ?
Il leva la tête vers le ciel nocturne et, tout en évitant son regard, pris une profonde inspiration.
- Certains d'entre nous sont des Elus, ils portent des Marques, expliqua-t-il d'une voix posée. Comme les tatouages sur mes bras. Ces Marques nous désignent comme des personnes dotés d'un Sens dominant. Roar est un Audile. Il peu entendre des bruits distinctement même de très loin. Parfois à des kilomètres de distance.
Roar haussa les épaules d'un air de s'excuser.
- Et toi ?
- Je possède deux sens. Je suis un Voyant. J'ai une acuité visuelle très développée même la nuit. Je vois dans le noir.
Elle aurait dû s'en douter avec ses yeux qui réfléchissaient la lumière. D'autant qu'il ne trébuchait jamais dans l'obscurité.
- Et l'autre ?
Il planta son regard vert étincelant dasn celui d'Aria.
- J'ai aussi un sens olfactif très fort.
- Ton odorat est hyper-développé, dit Aria en essayant de comprendre. A quel point ?
- A l'extrême. Je peux sentir les humeurs.
- Les humeurs ?
- Les émotions... les impulsions?
- Tu peux flairer les sentiments des gens ? dit-elle en s'entendant hausser la voix.
- Oui
- Ça t'arrive souvent ? Questionna-t-elle en se mettant à trembler.
- Tout le temps, Aria. C'est plus fort que moi. Je ne peux pas m'arrêter de respirer.
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" La douleur n'était qu'un effet programmé de plus, distillée à petites doses pour augmenter le plaisir. A vrai dire, il ne pouvaient pas se faire mal dans les Domaines. Ici, en revanche, c'était différent. Comme si la douleur n'avait pas de limite. Comme si la douleur pouvait durer à l'infini."
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- Qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-elle.
- Je n'arrive pas à me concentrer. Je pensais pouvoir, dit-il, en levant les mains en signe de défaite. Mais je n'y arrive pas.
Il s'approcha. Aria ne pensait pas que son cœur pouvait battre plus fort ; pourtant son pouls ne cessait d'accélérer à mesure que Perry s'avançait vers elle. Finalement, elle sentit le souffle lui manquer quand Perry se planta juste devant elle. La lame en bois de son couteau toucha le torse du jeune homme. La gorge serrée, Aria la regardait fixement, comme hypnotisée.
- Je vous ai observés, Roar et toi, dit-il. J'aurais préféré t'entraîner moi-même.
Il redressa les épaules.
- Je n'en ai plus envie maintenant.
- Pourquoi ? réussit-elle à articuler.
Il se pencha vers elle avec un sourire à la fois éblouissant et timide.
- Je préférerais faire d'autres choses quand je suis seul avec toi.
- Alors fais-les, murmura-t-elle.
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" - Je veux entendre ce don que tu as reçu.
- C'est pas un don ! s'exclama Aria. C'est de la manipulation génétique !
Lumina adorait l'opéra, si bien qu'elle avait modifié l'ADN d'Aria en améliorant ses facultés vocales, afin de créer une fille capable de chanter pour elle. "
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Perry réalisa tout d'un coup qu'il n'avait pas à s'inquiéter. Les Olfiles entraient rarement en symbiose avec une personne ne possédant pas leur Sens. Et puis, Aria était une Sédentaire. L'être le plus opposé qui soit d'un Olfile. En outre, il avait passé plus d'une semaine à dormir à quelques pas d'elle. Un soir de plus, qu'est-ce que cela changerait?
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Vidéo de Veronica Rossi
J'ai commencé à lire beaucoup de séries, mais il y en a certaines que je ne suis pas pressée de finir ! Tous les détails et les liens vers les livres ici : http://wp.me/p5BGEC-N5
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