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3,87

sur 323 notes
J'ai découvert Jacky Schwartzmann en lisant une critique fort alléchante d'un ami babeliote sur l'un de ses romans : Mauvais coûts. Mais mon choix s'est fixé sur : Demain, c'est loin, dont l'action se déroule à Lyon, ville qui m'est chère...
Mauvaise pioche ? Pas vraiment mais je n'ai pas non plus été conquise par ce polar dont j'attendais beaucoup plus, au vu des critiques élogieuses dont il faisait l'objet.
Le narrateur, François pour l'état civil, le Juif ou le Gros pour ses potes des Buers, banlieue lyonnaise où il a grandi et l'Arabe de service pour tous les autres, va se trouver entraîné, à la suite d'un enchaînement de faits tout à fait rocambolesques, dans une cavale échevelée en compagnie de sa banquière , Juliane Barcadi. Je me suis laissé embarquer moi aussi dans ce circuit d'un genre un peu particulier et que je ne recommande à aucun touriste lambda, sous peine de se retrouver en caleçon sur une aire d'autoroute ! J'ai beaucoup ri aussi à la lecture de certaines scènes à l'humour noir désopilant, comme celle où nos deux héros vont se débarrasser des "gros méchants" lancés à leur poursuite.
Mais j'ai moins accroché parfois à une certaine forme d'humour dans la veine de Charlie Hebdo, style que je n'apprécie pas toujours... Placer aussi trop de "putain" ou de "connasse" dans la bouche du héros principal ne lui donne plus de crédibilité et il est parfois, de façon trop visible le porte-paroles de l'auteur, lequel se livre par sa bouche à une analyse socio- politique trop simpliste, voire un peu simplette...
Pour conclure, je dirais que ce jeune auteur de polar a certainement un avenir prometteur dans ce genre de littérature policière mais il lui reste encore du chemin à parcourir avant d'atteindre le talent de certains auteurs américains.
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Véritable OVNI littéraire, à mille lieues du politiquement correct mais en plein dans le mile, ce livre est un monument de moments drôles et de situations cocasses!
Un lyonnais qui a réussi a sortir de la cité se rend compte qu'on n'en sort jamais vraiment quand sa banquière le convoque et lui fait comprendre qu'il serait temps de trouver un vrai travail. Une idée stupide plus tard, il demande un prêt à un caïd pour monter une affaire pas banale. Tout s'enchaine quand après un refus malpoli dudit dealer en chef, le voilà à aider sa banquière a se tirer d'une situation mortelle au milieu de la nuit dans une cité pas paisible pour un sou.
L'histoire est hyper rythmée (bon sang, personne n'a pensé à faire un film???), les personnages sont attachants, les situations rocambolesques, les dialogues savoureux et que dire du décalage entre tous les milieux?
Bref, j'ai passé un super moment et je n'ai qu'un seul regret, c'est de l'avoir fini très vite.
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Le jeune François Feldman - comme le chanteur - a réussi à s'extraire des Buers, sa cité natale de Villeurbanne en ouvrant à Lyon, une boutique où il vend des sweatshirts portant des messages politiquement incorrects mais malheureusement le succès attendu n'est pas au rendez-vous. Voyant grand, il a enfin trouvé l'idée géniale qui va faire de lui un homme d'affaires millionnaire,mais il lui faut une mise de fonds. Juliane, sa banquière trentenaire, une fille à papa des beaux quartiers de Lyon ne le voit pas du même oeil et refuse de lui accorder le prêt salvateur. Quand, à la suite d'un accident dans la cité des Buers, elle se retrouve poursuivie avec François par Saïd, le caïd local et accessoirement ami d'enfance de François, ils n'ont d'autres choix que de partir en cavale et essayer d'arranger l'embrouille.

Avec cette cavale effrénée dans la banlieue des cités et celle, très bourgeoise, des villas des environs de Lyon, Jacky Schwartzmann nous invite dans deux univers qui n'ont pas vocation à se connaître mais qui vont se confronter. Avec demain c'est loin, il fait se clasher ces deux mondes opposés, celui de la banlieue avec François, intelligent mais encore mentalement dans la cité, peu confiant en lui et Juliane, née avec une cuillère en argent dans la bouche, née dans les beaux quartiers, ignorant les quartiers défavorisés, sauf à faire partie d'une association d'aide aux plus démunis. Entre trash et idéalisme, son écriture vive et intelligente fait mouche, il dénonce qui, les jeunes caïds de banlieue qui, les bourgeois, le monde la banque en passant par les musulmans, ou les juifs avec le même humour noir, sarcastique et politiquement incorrect.
Une lecture où j'ai ri plus d'une fois, j'ai retrouvé le même savoir-faire et l'humour que celui d'Hannelore Cayre dans son écriture et sa vision de la société. Un style assez trash qui ne plaira pas à tous les lecteurs, mais qui dans le genre est très réussi.
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Après Pension complète, Demain c'est loin confirme tout le bien que je pense de Jacky Schwartzmann, qui livre ici un court roman original et atypique, à mi chemin entre le polar et le roman social noir.

Francois Feldman (et oui, comme le chanteur...) est originaire de la cité des Buers, qu'il a quittée pour ouvrir un commerce de tee-shirts ornés de citations humoristiques en centre ville de Lyon. Mais son humour n'étant pas vraiment le même que celui des habitants de la ville, les affaires ne sont pas florissantes et sa conseillère bancaire le convoque surtout pour lui conseiller de trouver un autre travail. Elle représente tout ce qu'il déteste, et pourtant, suite à un accident impliquant le cousin d'un caïd de la cité, ils vont se retrouver entraînés tous les deux dans une incroyable cavale.

J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre le duo improbable formé par Juliane et Francois, personnages attachants qui se révèlent au fur et à mesure du roman lors de cette course poursuite au rythme trépidant.
J'ai également beaucoup apprécié le style sans concession et l'humour décapant de l'auteur.

Une réussite et un excellent moment de lecture !
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Amoureux du politiquement correct et de la bien-pensance, passez votre chemin !

On est dans la région lyonnaise, avec François Feldman; un nom qui lui donne des origines juives qu'il n'a pas. Il vient de la cité des Buers, à Villeurbanne, où il a grandi avec ses meilleurs potes, Saïd et Lino. D'ailleurs, quand on ne le pense pas juif, on le croit arabe. Lui-même parfois s'interroge...
Aujourd'hui, il a réussi François, parce qu'il a son propre commerce de t-shirts floqués de citations célèbres comme "On est bon avec les nouveaux freins? (signé) Ayrton Senna". Un soir, presque par mégarde, la conseillère financière qui lui a refusé son dernier prêt écrase le cousin de Saïd. Et voilà notre brave François embarqué sans trop le vouloir dans l'Audi défoncée, aux côtés de la femme à qui il doit un chien de sa chienne... Il s'agit de fuir la police qui a récupéré le pare-chocs laissé sur place avec sa plaque et la famille de Saïd qui crie vengeance.

Ce court roman est une petite pépite dans l'humour noir, le parler vrai, de ceux qui ne s'embarrassent pas du tact et autres foutaises du genre. J'ai ri du début à la fin, un de ces rires parfois un peu gênés devant tant de cynisme mais qui fait un bien fou. J'ai même eu un énorme fou rire lors d'une scène avec un tatouage de Chonny (comprendront ceux qui l'ont lu sans spoiler les autres). L'auteur nous a concocté un polar déjanté, ni kasher ni halal; tout le monde sera servi, les français, les maghrébins, les algériens... Très vite on se passionne pour les aventures de François et Juliane, compères improbables qu'un plaisantin destin a réuni dans une cavale infernale autour de Lyon.
Que ce soit à travers des dialogues piquants, percutants, qui font mouche à chaque fois ou à travers des situations incongrues, parfois rocambolesques, Jacky Schwartzmann s'est attaqué avec brio à un genre assez casse-gueule. Parce qu'on pourrait tomber dans le grivois ou tout pourrait "tomber à plat", il y a tant de raisons que ça fonctionne pas. Et ici, ça fonctionne; ça fonctionne même très bien, de la première à la dernière ligne.
Mais si vous n'êtes pas prêt à vous moquer de vous-mêmes, de votre classe sociale quelle qu'elle soit, de votre nationalité, de votre genre, de votre mode de vie.... n'ouvrez pas ce roman car il n'est pas fait pour vous. Pour les autres, foncez... vous ne pourrez que passer un bon moment.
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Ah il est mal barré notre héros, François Feldman qu'il s'appelle.. Son taff ?  essayer de bicraver des pulls avec des punchlines plus claquées que Marie Trintignant.

Avec un nom de juif et une tête d'arabe notre gaulois pourrait etre passe partout mais il n'en n'a pas la taille.

Aux portes de la quarantaine, l'ascenseur social affiche en panne et il vivote avec un business qui relève plus d'un coup de tête post soirée fumette que d'un projet startup tout frais sorti d'une caboche lessivée par HEC..

En galère de Pesetas, va donc falloir aller chercher l'oseille là où il est et aller gratter les banksters, en l'occurrence Juliane Bacardi. 2 salles 2 ambiances : Mec de cité  versus petite bourgeoisie lyonnaise. Projet archi flingué versus Quel cabriolet vais-je donc m'acheter cette année?.

Vous qui bouquinez un peu, vous connaissez Jean de la femme Fontaine et son histoire de la Cigale et la Fourmi. La banquière de notre héros des temps modernes a des oursins dans les poches et n'est pas vraiment chaude pour lâcher le biff. Surprenant pour un banquier...

Le point commun entre ces deux personnages à part les pesetas tant convoités?
La cité des Buers en périphérie de Lyon, l'un en est issu, l'autre y fait un peu de bénévolat pour laver son âme corrompue par la finance, ou s'acheter bonne conscience.

Bref c'est sur ce ter-ter que vont converger les itinéraires des deux et que le feu d'artifice va commencer. 

Alors depliez votre chaise pliante Lafuma, depoussierez votre fauteuil à bascule, balancez un plaid sur la méridienne ou ajustez les coussins du plumard pour lire confortablement, preparez un peu de chocolat blanc si vous avez des gouts douteux, ou un paquet de granolas noirs si vous etes un(e) vrai(e)  et c'est ti-par Bernard! 

Les péripéties subies par ce duo d'aimants que tout repousse est dynamique et fort divertissant,en bon lecteur totalement inapte à écrire un bouquin, je me permet de retirer une petite demi étoile d'enthousiasme, pour une fin un peu moins sensas' que le reste du bouquin, qui n'enleve pas le plaisir du moment passé en compagnie de la Belle et la bête.

J'ai bien apprécié cette lecture accessible, moderne, à la plume actuelle et irréverencieuse, y'a de l'esprit et pas mal de petites phases bien gol-ri, c'est pétillant comme une gorgée de Fanta, ça s'avale rapidos.  
 
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Même si l'auteur connait son sujet, ce roman plus ou moins policier mais pas policé ne m'a pas convaincue.
Un jeune banlieusard vit une cavale avec sa conseillère financière. Tous les deux sont remplis de préjugés et la fin de l'histoire est cousue de fils blancs.
Et le lieu de l'intrigue a beau se situer par chez moi, bof...

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Terre du bled
François Feldman vous connaissez ? Mais si, le chanteur, Les valses de Vienne, tout ça ! Ah oui, ça remonte aux années 80, alors forcément, quand le François Feldman de Jacky Schwarzmann se présente dans les quartiers lyonnais qu'il fréquente, il suscite un peu d'étonnement. Car ce François Feldman n'a rien à voir avec le chanteur, mais alors rien du tout. La trentaine, un nom célèbre (un peu), qui sonne « juif » avec une tête d'arabe « surtout ce qu'il y a dedans », un peu à cause de la cité où il a grandi… Bref, François, c'est un peu un loser, qui n'a pas tiré les meilleures cartes au départ (« Un nom de juif, une tête d'Arabe, le physique de Philip Seymour Hoffman et la domiciliation aux Buers, c'est ce qu'on peut appeler un mauvais départ dans la vie ») mais il fait le maximum (enfin, presque…) pour s'en sortir. Il a une chouette boutique de tee-shirts, avec des slogans sympas imprimés dessus : par exemple « On est bon, avec les nouveaux freins ? Ayrton Senna. » ou « Mais puisque je vous dis que ça passe ! Capitaine du Titanic. »… Ce matin-là, il a rendez-vous avec sa banquière : ses finances sont dans le rouge… Mais aucun espoir d'attendrir la belle Juliane, ou même de l'intéresser avec un nouveau projet qui pourtant, il en est certain, est l'idée du siècle : Terre du bled. Rien de plus simple : acheter de la terre en Algérie, l'acheminer en France par containers et la vendre au mètre cube aux familles algériennes endeuillées qui, comme ça, pourraient se faire enterrer en France dans de la terre algérienne… Pour sa mise de départ, après avoir essuyé les refus de toutes les agences bancaires de Lyon, François ne voit pas d'autre solution que de solliciter un pote d'enfance. Saïd « le cliché du type gâché, du type qui aurait pu exceller dans pas mal de domaines mais qui, pour réussir, n'avait eu comme avenir que les go fast. » Saïd est donc le caïd des Buers, il a plein de fric, sale évidemment mais bon, la fin justifie les moyens. Mais contre toute attente, Saïd est –lui aussi- offusqué par l'idée de génie de François qui se retrouve donc sans un sou et devant l'immeuble de son (ex) pote, où traînent des jeunes plus ou moins désoeuvrés dont Ibrahim, le petit cousin de Saïd. Et c'est là que le miracle se produit ! Une voiture fonce malencontreusement et renverse Ibrahim. Un accident bête, tragique certes, mais bête tout de même… Surtout que la belle Audi A5 qui errait dans la cité était conduite par… Juliane, la banquière de François !! Quelle belle opportunité à saisir ! Une sorte d'échange de services, de bons procédés, François aide Juliane à se sortir de sa situation très délicate, et Juliane accorde un prêt (très avantageux !) à François. Rien de très compliqué non plus… Mais qui va très joliment déraper, pour le plus grand plaisir du lecteur !
Après avoir lu « Shit ! » je m'étais promis de revenir très vite vers l'auteur. J'ai donc jeté mon dévolu sur ce roman dont le titre était particulièrement intrigant (c'est aussi le titre d'une chanson d'IAM, vous l'aurez compris, la playlist est plus IAM que François Feldman !) espérant retrouver l'humour très noir mais très efficace de Jacky Scwarzmann. Je ne suis pas déçue ! C'est noir bien sûr, totalement amoral, trash et particulièrement jouissif.
Je le classe un petit cran au-dessous de Shit !, plus abouti mais franchement si vous avez envie de passer un bon moment, sans prise de tête, n'hésitez pas à valser (pas forcément à Vienne !) avec François Feldman.
Je laisse le mot de la fin à IAM –les ultimes paroles de la chanson Demain c'est loin, particulièrement bien adaptées au roman :
« Et qu'on ne naît pas programmé pour faire un foin
Je pense pas à demain, parce que demain c'est loin »
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Road movie entre un entrepreneur et sa conseillère financière. Par suite d'un "accident", l'entrepreneur, et son idée pourtant géniale mais non financée, et sa banquière, qui ne veut pas lui accorder son prêt, se retrouvent embarqués dans une fuite éperdue. Nous voilà dans une sorte de Bucher des Vanités à la mode lyonnaise. C'est réussi, écriture fine et percutante, héros et héroïne plutôt sympathiques et plutôt vrais de vrai. Malgré le côté polar, c'est plutôt marrant, on ne s'ennuie pas, c'est vif, animé, avec les surprises qui vont bien et qui agrémentent la lecture.

Roman assez court, ça fait plaisir quand on a l'habitude de se taper des bouquins moyens sous forme de pavé, pour lesquels l'auteur semble insatisfait s'il n'a pas rendu ses au-moins 500 pages.

A lire !
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En Août 2016, aux éditions La fosse aux ours, paraissait le roman de Jacky Schwartzmann, "Mauvais Coûts", une des petites bombes de l'année.
Drôle au point d'en avoir mal aux côtes par moment, caustique à souhait et sans aucune retenue grâce à un style brut de décoffrage, ce livre a provoqué chez moi un attachement immédiat à la plume acérée de Schwartzmann.

Ce nouveau roman, dont le titre est, je l'imagine, un hommage à la célèbre chanson du groupe IAM, lui le grand fan de NTM, conserve la même liberté de ton, le même humour désopilant, les mêmes réflexions pertinentes sur certains aspects sociétaux, et une fois encore, on ne s'ennuie pas, ça se déguste comme du petit lait.

L'auteur, Lyonnais pur jus, nous plonge au coeur de la cité des Gones, où François Feldman, originaire de la cité des Buers, où il ne vit plus, est désormais installé dans le centre Lyonnais.
Plus vraiment du quartier car trop "babtou" pour être respecté des squatteurs de halls, mais trop "rebeu" pour être considéré et respecté dans le centre Lyonnais, François peine grave à s'adapter.
Celui qu'à la cité on appelle "le juif" à cause de son nom, se définit de la manière suivante :"J'avais un nom de juif et une tête d'Arabe mais en fait j'étais normal."

Investit dans un business peu fructueux pour lui, à savoir la vente de t-shirt où des fausses phrases historiques sont floquées, telles que :"Mais puisque je vous dis que ça passe ! Capitaine du Titanic", il n'en est pas à ses premiers démêlés avec l'institution Bancaire.
Dans un ultime rendez-vous avant la faillite, il est confronté à sa banquière favorite, Juliane, qui lui est particulièrement antipathique, et qui lui fait pleinement ressentir leur différence de milieu social, elle lui apprend finalement que le prêt qu'il demande sera rejeté.

Seulement, un évènement va pour le moins redistribué les cartes que François possèdent dans sa main, il va sauver la mise à Juliane après un terrible accident qu'elle a provoqué.
S'en suit une course poursuite où ils devront échapper à la police et surtout aux caïds qui veulent leur faire la peau, et surtout tenter de mettre de côté tout les à priori qu'ils ont l'un envers l'autre.

Une lecture détonante, pas le temps de s'ennuyer, Jacky Schwartzmann a ce talent d'écrire pour le commun des mortels, dans un langage qui varie du familier parlé au langage soutenu.
Une connaissance poussée des petites gens, ceux qu'on voit pas, ceux qui en chie, ceux qu'en branle pas une aussi, pour celui qui a entre autre était éducateur, barman, libraire, on ressent une vraie culture populaire chez ce gars là, une vraie drôlerie aussi, et c'est ça qui fait tout le charme de son écriture.
Mention spéciale pour la très petite dose de sexe, alors qu'il existe une vraie histoire entre ces deux personnages, les moments sont suggérés, évoqués poétiquement, et ça je dois dire que je m'y attendais pas, comme quoi on peut réussir un bouquin sans cet ingrédient qu'on nous sert à toutes les sauces à longueur de journée.

#JackySchwartzmann #Demaincestloin #pasletempsdeniaiser #Macitévacraquer
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