Extrait de ma chronique, croisée avec "
Protocole commotion" :
"
Vandales reprenait peu ou prou le roman noir français là où
Boris Vian, sous le pseudonyme de
Vernon Sullivan, l'avait laissé avec
Elles se rendent pas compteet On tuera tous les affreux, "des pastiches assumés" (dixit Anne Cadin), qui tempéraient la cruauté et l'érotisme originels de
J'irai cracher sur vos tombes et des Morts ont tous la même peau par un humour plus potache que pataphysique, il faut bien le dire.
Prolongeant cette démarche critique, le
David Sillanoli de
Vandales s'attaquait aux stéréotypes du roman noir avec un humour burlesque (le duo comique formé par Fifi et Lantico, les policiers de
Berque toujours en retard d'un chapitre sur la bande de
vandales éponymes emmenée par Franck), mais aussi et surtout un surréalisme croissant, culminant dans la scène au Dernier Bar"
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