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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de manga mais lorsque mon mari l'a vu sur une étagère de la médiathèque, il a tout de suite pensé à moi, sachant que j'ai une grande passion pour Jirô Tanigichi et je tiens à le remercier pour cette attention !
Cet ouvrage est divisé en dit-huit chapitres, chacun correspondant à un repas différent que prend le protagoniste dans divers endroits du Japon. Alors, ce que j'ai trouvé extrêmement marrant, c'est que dans chaque chapitre donc dans chaque repas, il y a un dessin de ce dernier avec la description de chaque aliment le composant et le coût de celui-ci. Alors, les prix étant bien évidemment indiqués en yens, je n'ai pas pu me faire une très grande idée de ce que cela faisait en euros mais bon, tans pis, je ne vais pas m'amuser à convertir les dix-huit prix pour me faire une idée pour savoir si les restaurant sont chers ou pas au Japon ! D'ailleurs, il n'est pas question uniquement de restaurants mais également de sortes de fast-food japonnais ou dans de simples supermarchés. Attention, lorsque je dis simple, ce ne l'est pas tant que ça puisque notre personnage, la quarantaine environ et qui travaille plus ou moins dans le commerce (mais l'on ne sait pas trop de quoi exactement), étant très souvent en déplacement, n'est pas un simple homme en quête d'un repas pour se sustenter mais il est avant tout un fin gourmet ! Un fin gourmet qui ne boit jamais d'alcool et qui ne peut pas (enfin, il y arrive une fois au cours de ses pérégrinations culinaires) se passer de riz pour accompagner ses plats.
Avec tout ce qu'il ingurgite, l'on pourrait s'attendre à voir la silhouette d'un homme fort mais, bien au contraire, il est plutôt musclé et assez bel homme (Merci Jirö).

Une alliance entre Jirô Taniguchi pour les dessins et Masayuki Kusumi pour le scénario très réussie mais j'avoue que ce livre m'a un peu déçue par rapport aux autres ouvrages de Taniguchi que j'ai lus car ici, il manque cruellement d'action et d'intrigue si ce n'est : que va bien pouvoir manger notre personnage pour son prochain repas ?
Un livre très vite lu, plaisant à regarder (j'adore vraiment des dessins de Taniguchi) et que je vous recommande si vous êtes vous aussi intéressé par cet illustrateur ou par les mangas !
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Voyage gastronomique au pays du soleil levant. La cuisine Japonaise n'a plus de secret pour moi. Après toutes ces recettes, ces menus plus alléchants les uns que les autres, je suis fin prête pour vous préparer un repas dans la pure tradition nippone. Ce manga, tsunami de saveurs et d'émotions, vous met l'eau à la bouche dés l'entrée et vous régale jusqu'au dessert.

Quelque peu désorientée par la lecture de droite à gauche, j'avoue qu'il m'a fallu un petit temps d'adaptation et parfois une relecture de la page afin de la savourer à sa juste valeur. Mais très rapidement j'ai été rattrapée par les dessins onctueux et la plume aigre-douce de Tanaguchi.

Fin gastronome et importateur indépendant, cet homme solitaire va durant dix-huit jours exciter nos papilles gustatives et nous balader dans les plus beaux quartiers de Tokyo ainsi que quelques villes afin de nous faire découvrir la fine gastronomie de son pays. Rien ne lui échappe, les grands comme les petits restaurants, les mets raffinés ou la cuisine rapide de comptoir. Tout va passer sous son regard et son palais critique.

Pas d'horaire pour passer à table, sa journée est rythmée par son travail mais surtout par ses fringales permanentes qui lui permettent de découvrir et de nous présenter les spécialités typiquement locales. Chaque jour un menu et le plaisir de le regarder passer à table, de découvrir en même temps que lui son plat du jour. Un vrai cérémonial. On salive de plaisir de voir ce gourmet solitaire repu. Voilà un livre, délicieux mille feuilles, où finalement il ne se passe pas grand-chose et c'est là que Taniguchi est maître en la matière car une fois que l'on a gouté à ce manga on ne peut le lâcher, par curiosité et surtout par gourmandise.

Ce gourmet n'est ni pressé ni stressé, il a ce qu'on appelle au Japon un sacré « Yogû». Il prend le temps d'apprécier et de savourer son repas, plus rien n'existe quand il est à table. Il honore chaque bouchée, chaque cuillerée, cela en devient presque jouissif de le regarder déguster son Takayaki, beignet de poulpe, ou un Mamekan, divine pâtisserie japonaise.

Au fil des restaurants, des décors nippons, des menus et de son appétit, sa mémoire et sa langue se délient pour nous laisser entrevoir une petite fenêtre sur son passé, ses amours, sa vie comme une auto-psychanalyse par la bouffe.

Si je l'avais suivi dans ses festins quotidiens, je serai une vraie petite Sumo. En attendant, je veux bien devenir votre geisha pour un soir et vous préparer, le souvenir d'un riz à la sauce Hayashi accompagné de ses bouchées à la viande façon Sûmaï, un délicieux Wagashi au doux nom sucré d'Amanatto suivi pour la digestion d'un bon saké.

Vous avez encore un petit creux ? Rendez vous avec le Gourmet Solitaire, une histoire sans faim !

Lien : http://marque-pages-buvard-p..
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C'est grâce à plusieurs critiques sur Babelio que j'ai pu avoir connaissance de ce manga.
Intriguée par l'histoire, j'ai enfin pu le lire. Ce n'est pas tant le personnage qui a suscité mon intérêt pour ce livre mais plutôt pour la découverte et l'immersion dans la gastronomie japonaise.
Après chaque nouveau chapitre, je voulais en apprendre un peu plus sur les mets traditionnels et les plats qui pour nous sont un peu atypiques. Je fus surprise de découvrir les "légumes confits au sel".
Agréable découverte de la culture et cuisine japonaise, avec des illustrations et annotations pour chaque plat.
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Après avoir, l'année passée, acheté Quartier lointain, puis lu tous les livres de Jirô Taniguchi de ma bibliothèque municipale, je profite ici du prêt d'une voisine pour découvrir le gourmet solitaire qu'il a réalisé avec Masayuki Kusumi.

Dix-huit histoires en cases et une nouvelle en postface pour visiter des restaurants, bistrots, et vendeurs de nourriture en tout genre, de Tokyo ou de province.

La forme de ce recueil peut dérouter au premier abord. Suivre un gourmet solitaire, libre, qui travaille seul dans sa propre entreprise d'import et de revente, sans charge de famille et qui aime passer du temps à tester de nombreuses saveurs, est une expérience à part. Une fois encore, je suis étonnée par la capacité de ce mangaka hors norme à se réinventer.

Chaque récit donne l'eau à la bouche et pousserait à voyager avec ce petit guide touristique sur l'art culinaire japonais. J'ai une folle envie de goûter les légumes au sel qui reviennent à chaque repas, les haricots noirs sucrés comme ceux que le gourmet solitaire mange à Asuka, d'autant plus que je souhaitais déjà découvrir cette spécialité après avoir lu Les délices de Tokyo de Durian Sukegawa. J'ai envie de me balader à Ginza, au centre de Tokyo, dédié au luxe, mais peut-être sur le déclin, après avoir partagé avec le gourmet solitaire un bifteck et un riz à la sauce Hayashi, sans doute car Kyôko dans No-no-yuri d'Aki Shimazaki m'avait déjà emmenée dans ce quartier.

C'est un petit recueil qui en appelle au sens du goût au-delà du sens de la vue. Un livre qui pourra intéresser tous ceux qui aiment Jirô Taniguchi ou le dessin, ou le Japon, ou la cuisine ou tout ceci réuni !
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Pendant quelques chapitres, j'ai trouvé l'album assez répétitif. Je n'ai jamais séjourné au Japon, et je pense que je suis passée, comme certainement une grande majorité des lecteurs occidentaux, à côté de certaines subtilités, sociétales autant que gastronomiques, qui ont contribué à mon désappointement. Difficile parfois pour moi de comprendre pourquoi certains plats ne se mangent pas avec d'autres, par exemple, et pourquoi on ne va pas dans tel type de restaurant à telle heure la journée.


En revanche, petit à petit, devant la diversité des lieux de restauration et de la nourriture consommée par le personnage, homme d'affaires typiquement japonais, j'ai cru comprendre que le sujet était prétexte à observer la société japonaise, et, même, à la critiquer - on notera que l'album date d'environ vingt ans et que celle-ci a depuis évolué. Et donc, cet homme non seulement met en valeur les traditions, les changements, voire les contradictions du Japon, mais aussi les met parfois aussi un peu à mal. D'où quelques chapitres aux situations un peu outrées, où il casse par exemple la figure à un restaurateur, ou celle où il transpire abondamment et enlève chemise et maillot en public. Il se laisse aller, va à l'encontre de ce qu'on attend de lui. Ce n'est sans doute pas par hasard si, à chaque chapitre, il commande et mange trop, bref, se goinfre à chaque fois. C'est la manière que Taniguchi choisit pour donner dans le politiquement incorrect, tout en restant dans les limites de la forme très lisse qu'il arbore dans son dessin et dans sa mise en page. Ça n'est finalement pas inintéressant de voir ça sous sa plume.


Cela dit, l'aspect contemplatif et voulu de l'album me touche peu, comme souvent chez cet auteur. Je ne sais pas, je crois que je le trouve trop occidental, et que je ne retrouve justement pas ce qui fait la spécificité d'une bonne partie de la littérature japonaise, mais aussi de la culture japonaise, et qui est si bien rendu par Tanizaki. Pourtant, ce sont tout de même deux scènes empreintes de nostalgie, mais d'une nostalgie amusée, qui ont le plus retenu mon attention : celle du jus de melon au goût affreusement chimique mais qui rappelle si bien l'enfance ; j'ai alors immédiatement pensé avec envie aux bouteilles de soda jaune ou orange vif que j'achetais avec ma cousine dans l'épicerie du village de ma grand-mère. Et celle où le personnage mange avec un repas bio, auquel il trouve un goût délicieux : le goût des légumes détestés de son enfance. Il m'a semblé alors y retrouver un petit quelque chose qui parle à chacun d'entre nous, un petit quelque chose de légèrement proustien.
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Un guide des restaurants japonais, en direct, par un représentant de commerce solitaire. On visite avec lui des quartiers, des lieux sans prétention, des ambiances et surtout des plats traditionnels globalement très bons voire excellents : c'est à chaque fois une surprise qui donne envie d'y aller.
La finesse et la précision du dessin sont remarquables, même si les personnages manquent un peut d'expression.
Un petit bémol : le héros a ce côté perdu, décalé, désabusé qui le rend un peu énervant ! Il commence toujours affamé et finit systematiquement par avoir trop mangé !
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Une citation du manga
Ce que les clients viennent acheter, c'est la qualité du temps qui passe...
Que je paraphraserais en :
Ce que les lecteurs de Jirô Taniguchi viennent lire, c'est la qualité du temps qui passe...

Car vous ne trouverez pas dans ce manga :

d'histoire continue
Chaque chapitre sans lien avec les autres commence quand l'unique personnage principal a faim et cherche un restaurant. Il se termine quand il sort du restaurant ou peu après.

des dialogues percutants
Les seuls dialogues sont avec les restaurateurs ou les autres clients.
La plupart du temps, les textes sont le monologue du gastronome qui observe, goute ...

d'unité de lieu
On passe d'un quartier, d'une ville à l'autre ...
des paysages spectaculaires

Ce que vous trouverez :

de la gastronomie japonaise.
Je m'aventurerais surement à découvrir de nouveaux plats quand je retournerais au Japon.
Il manque juste un lexique français-japonais à la fin du manga.
Je ne suis pas certain que ce manga ait beaucoup d'intérêt si on ne connaît rien d'autre de la cuisine japonaise que les sushis.

le Japon du quotidien : des quartiers modestes, des restaurants typiques, familiaux.
Quelques réflexions savamment distillées sur le Japon, la vie...
et cette façon unique de nous faire apprécier ces petits riens du quotidien et du temps qui passe.
C'est ce que j'apprécie le plus chez Jirô Taniguchi et que je ne trouve nulle part ailleurs.

Ce qui m'a manqué :

Ce gourmet ne boit pas d'alcool. Aucune découverte des sakés japonais, ni des bières, ni des whiskys.
En savoir plus, sur ce gourmet solitaire.
Il évoque parfois sa vie passée, ses amours perdus. Mais c'est très bref.

Même si je l'ai aimé, c'est un manga très spécialisé. Je ne peux donc le recommander à tout le monde.

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Jirô Taniguchi et Masayuki Kusumi nous entraînent sur les pas d'un commerçant qui va de ville en ville pour placer ses produits. C'est un solitaire, on n'apprendra que peu de choses sur lui, si ce n'est ses moyens de transport mais aussi ses goûts culinaires.

C'est l'occasion pour les deux auteurs de nous promener dans différentes villes du Japon ou dans différents quartiers des grandes villes. Nous aurons même l'occasion de découvrir la passion des japonais pour le base-ball.

Notre voyageur solitaire va de ville en ville pour vendre ses produits. Nous le voyons à chaque fois après les transactions quand la faim commence à le tenailler. Dans chaque ville, das chaque quartier, il a des souvenirs culinaires, des restaurants, d'échoppes mais aussi d'odeur de plats.

Car notre solitaire a un solide estomac. Nous découvrons différents plats japonais, différents accompagnements. Des compositions différentes par chapitres. Pour le néophyte que je suis, c'est une véritable exploration au coeur de l'inconnu. Découverte de menus, de préparations mais aussi découverte d'ingrédients.

J'ai été surpris par la diversité de cette gastronomie mais aussi par l'estomac de notre gourmet solitaire qui à chaque fois multiplie les plats et mange tout ! Je dois avouer que j'ai eu plusieurs fois l'eau à la bouche même s'il me manquait la couleur pour exciter mes papilles et les odeurs sortant des fourneaux ou des woks.

Taniguchi et Kusumi poussent les portes de différents lieux de restauration nous permettant d'appréhender les habitudes des japonais et sur leur propension à manger en dehors de chez eux. Cela va du restaurant traditionnel à une sorte d'échoppe, en passant par la supérette ouverte 24h/24h et 7j/7j. le gourmet solitaire va partout. Il est parfois intrigué au début puis surpris des saveurs car pour lui aussi, il y a des combinaisons étranges, inconnues. Il se laisse guider par sa faim, son instinct mais aussi par les plats pris par celles et ceux qui semblent habitués de l'établissement où il se trouve.

Le gourmet semble parfois à la recherche du passé, comme cherchant sa madeleine de Proust. Il se souvient d'endroits qu'il ne retrouve pas, car s'ils sont bien présents dans dans sa tête, ils ont parfois disparus du paysage. Ce personnages est étrange, ne e liant pas avec les autres personnes présents sur les lieux de restauration, restant à sa place comme un grand timide. Il ne dérogera à cette attitude qu'une seule fois quand il prendra la défense d'un serveur chinois maltraité par son patron ayant visiblement un comportement raciste.

Une nouvelle fois, j'ai été sous le charme du graphisme très élaboré de Taniguchi. Quelle précision dans le trait ! Il arrive à nous faire deviner les couleurs à travers ses nuances de noir et de gris. Les décors sont d'une précision extraordinaire. On peut rester un long moment devant certaines cases et plonger dans cet univers.

L'association Jirô Taniguchi au dessin et Masayuki Kusumi au scénario est une magnifique réussite. Ces deux mangakas sont des maîtres de ce style et leur oeuvres sont de pures merveilles.
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Nouvelle petite merveille de Jirô Taniguchi.

Certes il me semble qu'il faut déjà être sensibilisé au manga de cet auteur pour l'apprécier pleinement, pour apprécier sa sensibilité, sa finesses, son fondement typiquement asiatique, la longueur du temps que nous devons laisser passer lentement pour retrouver l'équilibre qui devrait être le nôtre.

Car nous sommes chamboulés par le rythme endiablé imposé par notre système de vie occidentale dans lequel la course à …..tout est de règle.

Le thème de l'ouvrage n'est donc vraiment pas le tofu mais bien le Yoyû, cet art nippon d'accorder du temps au temps, de la disponibilité à son esprit.

Il faut avoir déjà eu une pré-imprégnation à Taniguchi pour comprendre son message, pour comprendre qu'il faut à chaque instant et en toutes occasions être « ici et maintenant ».

Bref on ne passe pas subitement et sans préparation d'Hergé à Taniguchi. On se doit d'y passer subtilement sinon le choc risque d'être rude et l'incompréhension quasi-totale.

Ici tout est évanescent, tout est suggéré, mais tout y est pour comprendre la base culturelle de ce peuple nippon si différent de nous et tout ce message passe dans la simple dégustation d'un homme solitaire, dans la façon dont il va choisir son petit boui-boui, dans la façon dont il va s'y préparer, dans les souvenirs que souvent les mets feront remonter à son esprit.

Une fois arrivé au terme de ce voyage intérieur que l'on aurait pu continuer encore longtemps, une belle surprise nous est réservée sous la forme d'une nouvelle de Masayuki Kusumi et on repart dans le même voyage mais sous une autre forme.

Ici la moelle est peut-être un tantinet moins substantifique (encore que…). La réserve japonaise y est peut-être mise plus en avant que la base culturelle.

Kusumi a certainement été le scénariste de Taniguchi ; en tout cas son inspirateur mais une chose est certaine les deux se complètent à merveille.

Bref un ouvrage à véritablement déguster et à re-déguster mais au rythme qui convient.

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Les papilles en éveil, Gorô Inokashira arpente la ville bruyante comme une machine.
« Provoquer une certaine appréhension, en fait, c'est le premier critère pour qu'un restaurant soit « bon » »
A Tokyo dans les quartiers de Asakusa, Shibuya,…plus loin vers Kamakura, une autre fois dans le Shinkansen, à Osaka aussi, de gargote en bistrot c'est le Japon qui s'offre au lecteur.
« Quand il mange solitaire, Gorô Inokashira est libre… Pendant ce laps de temps, il n'a de compte à rendre à personne, il révoque le temps et la société pour se consacrer entièrement au bonheur de se remplir l'estomac. »
L'album nous offre toutes les images des plats pour partager ces moments de bonheur, il manque juste aux dessins une pincée de couleur.
Bon appétit !
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