Bulles d'enculation bien profondes qui invite la misère à s'appauvrir toujours plus, qui invite la richesse à s'enlaidir dans le déséquilibre corrompu d'un système financier voué à la corruption, aux valeurs d'équité sélective, à la morale
Nietzschéenne, ou le bien et le mal se confondent dans l'absurdité, ou la morale s'individualise d'une pensée manichéenne, blanc ou noir, bon ou mauvais, gagnant ou perdant…
L'égoïsme à tout prix, il n'y a qu'à les écouter les puissants de ce monde, il n'y a qu'à les regarder ces bouffons dans leurs costards bien taillés pour s'indigner de notre indifférence qui semble les satisfaire, des gens survivent dans la merde, celle du plus offrant, spéculant sur la misère de l'oubli…
La grande sphère des importants, qui régissent dans l'ombre leurs palais luxuriants de futilité, persuadés de détenir la clé du savoir, tout puissant, ils mondialisent les inégalités dans l'indifférence et le mépris de notre majorité, réflexion binaire ou les chiffres s'humanisent, ou les hommes se chiffrent, esclaves d'une poignée de sacs à merde qui se caviardisent de notre superficialité, ou le besoin éphémère devient indispensable à notre bonheur… et bien trop souvent à notre survie.
Ils baignent dans l'immoralité d'un capitalisme amoral, assoiffés de richesse, transformant la pauvreté en or, se nourrissant du mal être d'une majorité dans l'abondance de leur bêtise…
Quelle aisance, quelle impunité de se prendre pour la toute puissance, une main dans la caisse, prêt à tout pour vous sucer ce semblant de décence, ambitieux aux valeurs oubliés, cachés dans l'ombre d'un profit démesuré, prophétisant les inégalités comme la normalité, la misère se spécule à bon prix, l'or s'accumule dans la virtualité, ou sont les alternatives équitables, où se terrent les solutions utopiques ?
Penseurs, économistes, philosophes, scientifiques, la voilà notre vraie richesse, les poseurs de problèmes, qui se gargarisent l'égo à dénoncer, censurer par une démagogie dépravée, il n'y aurait qu'à suivre les bons bergers…. Emprisonnés dans notre solitude, dans cet égoïsme, la loi du plus fort, qui divise les masses, nous tenant par les couilles, alors on se contente de subir, pourvu que…
Du coup ça m'énerve en fait de « naitre » que moi et j'en ai marre de me faire enculer par une bande de trouduc... terrible paradoxe d'une sodomie intellectuelle :
J'encule le monde de ma révolte
J'encule la vie de mon mépris
J'encule la terre de ma charogne
J'encule la vierge de mes lubriques
J'encule le salut de ma survie
J'encule l'ennui de ma cuti
J'encule la pauvreté qui se misère
J'encule la merde qui s'en déverse
J'encule la réussite des audacieux
J'encule le ciel de tous ses dieux
J'encule les étoiles de ma banlieue
J'encule le talent des prétentieux
J'encule la pluie qui se vente
J'encule le temps qui se défile
J'encule l'attente qui s'étend
J'encule le bus que j'attends
J'encule le sage de sa grandeur
J'encule voltaire par sa candeur
J'encule
Nietzsche dans ses montagnes
J'encule
Onfray dans sa campagne
Enculer c'est cool c'est toujours ce que les gens en font qui est moche et vulgaire, tout ça pour une priorité à droite, mais putain faut aller chercher le plaisir ou qu'il se trouve, et visiblement c'est toujours dans le merde.
A plus les copains