Il était tout empégué de sang, la tête rejetée en arrière, salement amochée. On n'avait pas besoin de mettre un doigt sur la carotide ni de porter la main à la poitrine pour comprendre qu'il n'aurait plus jamais mal aux dents. Tout se calculait au fur à mesure dans la tête, les bras n'ayant qu'à suivre. Tout se faisait sans presque y penser. Mécaniquement, pour ainsi dire. Un polar ironique, placé sous l'égide d'Antoine Blondin. Au retour d'un bal, un fils de paysan... >Voir plus