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sur 4377 notes
Adamsberg est désormais séparé de Camille ; il constate amèrement que la situation est irrémédiable. Pourtant, le Commissaire reste investit auprès de cette femme d'autant qu'elle le sollicite régulièrement pour garder Thomas, leur fils âgé de 9 mois. Depuis la rupture, Adamsberg a emménagé dans la maison parisienne dont il vient de faire l'acquisition et a fait la connaissance avec son nouveau voisin – Lucio, un vieil espagnol – qui lui apprend que la demeure est hantée par une religieuse assassinée en 1771.

Côté professionnel, Adamsberg se démène pour conserver une affaire que les Stups tentent de s'accaparer. L'enquête s'intéresse aux corps de deux gars sans réels démêlés avec les services de police mais quelques coïncidences laissent penser que cela relève de la Criminelle. Grâce à cette nouvelle enquête, il retrouve Ariane Lagarde, médecin légiste avec laquelle il avait travaillé 23 ans auparavant. le temps leur est compté. Adamsberg est certain que ces assassinats ont été maquillés pour fausser les pistes. Il ne dispose que d'une poignée de jours pour rendre ses premières conclusions.

En parallèle, la Brigade d'Adamsberg accueille un nouvel agent dans la brigade. Ainsi, Veyrenc vient compléter les rangs de l'équipe d'enquêteurs aux côtés de l'imposante Retancourt, de l'érudit lieutenant Danglard, du dévoué Estalère et des autres, aussi atypiques soient-ils dans leurs manies respectives. Pour Adamsberg, ce nouvel équipier vient troubler sa quiétude puisqu'il s'agit d'un béarnais – comme lui- et il semble que ce gars-là a l'intention de trouver quelques réponses à l'agression dont il a été victime durant son enfance.

Un bon divertissement. Pas le meilleur opus de la série Adamsberg.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Après l'avoir lue, il n'est pas sûr que vous parcourrez les forêts normandes et les vallées béarnaises aux beaux jours. Je veux bien sûr parler de Fred Vargas, dont le dernier opus, Dans les bois éternels, vient de paraître (depuis avril, ce qui en littérature représente un instant quand dans la blogosphère c'est une éternité). Contrairement au précédent roman que j'avais lu d'elle, L'homme aux cercles bleus, et que j'avais apprécié, celui-ci m'a beaucoup moins absorbé. Pourquoi ? Parce que j'appartiens à la catégorie des « positivistes primaires », ceux qui ne croient en rien et sont ancrés dans le réel et la contingence, les terre-à-terre en quelque sorte. Or, non seulement j'ai dû admettre qu'il se trouvait un os dans le pénis des chats, dans le coeur des cerfs et dans le groin des porcs mais, de surcroît, il a fallu qu'il se trouve aussi dans ce livre une mixture pour rendre la vie éternelle. Déjà, c'en était trop pour moi ; elle a rajouté des revenantes à cette fresque baroque. de fait, je n'ai plus adhéré. J'ai continué la lecture parce qu'elle écrit bien, parce que les personnages, de même que leurs histoires connexes – comme autant de petites constellations autour de la trame principale –, sont attachants. Mais je n'y croyais plus, « positiviste primaire » que je suis.

Deux passages, toutefois, que je ne peux pas ne pas citer.

Sur une bizarrerie masculine : « Il répugnait comme tous les hommes à commenter l'aspect physique des autres hommes, feignant de n'en avoir rien vu rien remarqué. »

Sur une aberration sportive : « La télévision du café retransmettait un match de football bruyant. le commissaire regarda un moment les hommes qui couraient en tous sens sur le gazon, dont les mouvements étaient passionnément suivis par les clients qui mangeaient tête levée vers l'écran. Adamsberg n'avait jamais compris cette affaire de match. Si cela plaisait à des gars de lancer un ballon dans un but, ce qu'il pouvait très bien comprendre, à quoi bon installer une autre bande de gars en face pour vous empêcher de lancer ce ballon dans le but ? Comme s'il n'existait pas, à l'état naturel, assez de gars sur terre qui vous empêchaient de lancer sans cesse vos ballons où cela vous chantait. »
Lien : http://liber-libri.blogspot...
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Inconditionnelle de Fred Vargas, j'ai entrepris la lecture de ce roman tout récemment. Quel délice ! Un de mes préférés parmi ses nombreux polars. Une intrigue bien ficelée dont il est compliqué d'anticiper le dénouement, des personnages attachants et un humour d'une grande finesse.
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Vargas m'a bluffé une fois de plus !! Cette histoire part pourtant dans tous les sens, toutefois on ne s'y perd jamais, les pièces du puzzle se raccrochent progressivement.
Cette fois, c'est la Normandie qui est mise à l'honneur.....j'aime beaucoup ces visites dans des régions différentes.
On y retrouve un Adamsberg au prise avec ses fantômes d'enfance et.......papa !! :)

lu en 2007.
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Les spécialistes diront qu'il s'agit d'un livre du cycle Adamsberg. Que ce n'est pas le premier, et certainement pas le dernier… Ca se voit.
Lien : http://outilsimaginaires.wor..
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passionnant comme d'habitude
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jusqu'à la fin on ne sera pas qui est le coupable
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Je suis une fan inconditionnelle de Fred Vargas et jamais déçue par un de ses livres. Celui-ci ne déroge pas à la règle et on y retrouve avec délice nos personnages préférés!
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