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3,75

sur 398 notes
Imaginez, vous recevez un courrier qui vous demande de penser à un nombre au hasard. Et le nombre 658 vous vient à l'esprit. Maintenant, vous trouvez ce nombre inscrit dans une seconde enveloppe et on vous demande un chèque. Il y a de quoi se poser des questions surtout quand votre expéditeur inconnu vous envoie d'étranges poèmes. Marc Mallery a suffisament peur pour contacter un ancien collègue de fac David Gurney, un ancien policier qui a pris depuis sa peu sa retraite.

Je lis très peu de thrillers et quand ça se produit, j'attends d'être tenue en haleine par le suspense ou par la construction de l'intrigue. J'aime émettre des hypothèses et tourner avec une certaine frénésie les pages en me mordillant la lèvre inférieure (tic peu élégant, mais bon...) . J'ai trouvé des points positifs et d'autres négatifs à ce livre. David Gurney est un flic conscensieux, méticuleux pour qui la psychologie est un aspect important. Toujours posé, il ne néglige aucune piste quand Marc est retrouvé assassiné.

la suite sur :
http://fibromaman.blogspot.com/2011/05/john-verdon-658.html
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Page turner efficace jusqu'à la moitié seulement... Gurney, policier à la retraite, est sollicité par un ancien ami, menacé par un inconnu. Il s'ensuit alors plusieurs meutres avec un mode opératoire surprenant et plusieurs mystères autour du mobile et du choix des victimes. le personnage principal est plutôt sympathique et on apprécie les éléments personnels qui lui donne corps (sa perte tragique, son mode de communication avec sa femme, sa relation aux autres). En revanche, dès la seconde moitié du roman, les choix narratifs de l'auteur nous fatigue : trop de dialogues (ce qui m'a fait penser à une réflexion d'Elizabeth George à ce sujet : le dialogue est un procédé efficace pour apporter des infos mais il ne faut pas en abuser, voir de l'idée au crime parfait : Mon atelier d'écriture) et surtout trop d'indices qui nous permettent d'identifier facilement le tueur ! C'est sacrément dommage pour un roman policier...
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Mon premier John Verdon, et j'en ai lu 3 autres par la suite.
Une lecture oh combien bluffante ! A part une fin peut-être un peu tirée par les cheveux (à moins que je ne l'ai pas vraiment comprise), il n'y a rien à redire, c'est hautement addictif ! Quelque part entre un Agatha Christie et un thriller technologique plus moderne, 658 renouvelle le genre avec bonheur, et son auteur est diablement malin...
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J'ai beaucoup aimé ce livre énigmatique, sauf la fin, trop téléphonée !
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Thriller ingénieux et addictif *****

Page Facebook : Pascale Bookine
Blog : pascalebookine.eklablog.com

"Pensez à un nombre entre un et mille -le premier qui vous passe par la tête. Retenez-le bien. A présent, voyez comme je connais vos secrets. Ouvrez la petite enveloppe."

Tel est le message anonyme que reçoit Mark Mellery, directeur-gourou d'un centre de développement personnel. Il se prête à ce petit jeu en apparence anodin et sa vie bascule lorsqu'il s'avère que l'enveloppe contient le nombre 658... soit précisément le nombre auquel il a pensé. Qui est donc cet inconnu qui connaît ses pensées les plus intimes et lui veut tout sauf du bien ? Terrorisé, Mark s'adresse à un ancien condisciple, David Gurney, jeune retraité du NYPD, dans l'espoir de mettre un terme à ce jeu machiavélique...

Premier roman de John Verdon, "658" ("Think of a Number") est un thriller qui captive dès la première page et ne vous lâche plus. Il a le mérite d'allier à une intrigue impeccable une profondeur humaine et psychologique -notamment au travers du personnage tourmenté de Dave Gurney ; paradoxalement, je constate que c'est précisément ce que lui reprochent certaines critiques négatives. Chacun sa façon de percevoir les choses, bien sûr, mais personnellement, j'apprécie un thriller qui n'est pas action pure mais prend la peine de s'arrêter aux êtres, aux paysages, aux ambiances, et les passages relatifs au vécu de Gurney ne m'ont nullement paru lourds ou inutiles, bien au contraire.

Alors que beaucoup d'auteurs, après un début fascinant, ne portent pas leur idée jusqu'au bout et font appel à un élément surnaturel ou grotesquement improbable pour boucler leur histoire, John Verdon a selon moi évité ce piège puisque la résolution est on ne peut plus simple -même si je concède aux détracteurs que sans doute aucun meurtrier n'a jamais procédé de la sorte- et que l'on se dit après coup qu'il suffisait d'y penser...

Le quatrième de couverture évoque un "thriller parfait", "addictif", une "suprême élégance" ou encore un "suspense insoutenable"; si les éloges figurant au dos des livres sont parfois excessifs et mensongers, tel n'est pas le cas ici et j'espère que vous prendrez autant de plaisir que moi à dévorer ce roman...
Lien : http://pascalebookine.eklabl..
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Excellent policier qui nous tient en haleine , sombre mais d'une grande efficacité.
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En bref, un premier roman remarquable. le lecteur sera peut-être surpris par le manque d'action mais J. Verdon est tellement doué pour instaurer une tension psychologique qu'il ne s'ennuiera pas et tournera les pages sans s'en rendre compte. Je retiendrais ce point là ainsi que le final qui m'a énormément plu et qui ne plombe pas les efforts développés tout au long du roman.
Lien : http://rizdeuxzzz.canalblog...
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658, titre pour le moins interpellant qui a suscité mon envie de lire ce livre, mais aussi nombre mystérieux qu'un auteur de lettres arrive à faire deviner à un destinataire.
Avec une intrigue particulièrement maligne, qui nous tient en éveil tout au long du livre, John Verdon nous livre une histoire qui ne manque ni de suspense, ni de rebondissements, avec un tueur pour le moins diabolique.
De plus, on s'attache facilement au personnage récurrent, Dave Gurney, flic à la retraite, intelligent, à l'esprit aiguisé, lui-même poursuivi par ses propres démons et fêlures existentielles: relation difficile avec sa femme, perte d'un enfant, ...
Excellent moment de lecture, qui me donne à présent l'envie de connaître un peu plus John Verdon, et les autres enquêtes de Dave Gurney.
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J'ai lu ce livre vu que ma soeur l'a adoré et que j'adore moi même les policiers, et je dois dire que j'ai beaucoup aimé. Puisque dès le départ, le mystère est grand, on se demande comment celui qui envoie les lettres a pu réussir à trouver que Mellery pensait au nombre 658. On découvre aussi celui qui mènera l'enquête : Gurney, dont j'ai trouvé le nom un peu drôle et bizarre. C'est un policier à la retraite, et qui semble avoir fait une excellente carrière comme on peut le découvrir au fur et à mesure qu'on en apprend sur les coupables qu'il a arrêté. Par la suite, donc, il se fait contacter par Mellery un ancien camarade de fac qui lui demande donc son avis sur des lettres assez menaçantes qui finissent par arriver au meurtre. Et là l'enquête commence. Elle est menée avec une équipe de policier que je n'ai pas trop aimé, surtout le principal dont j'ai oublié le nom et que j'avais envie de taper. Mais bon c'est obligé d'avoir une équipe de policier avec le meurtre bizarre auquel ils ont le droit... J'ai vraiment adoré comment le meurtre s'était déroulé c'était vraiment intriguant ! Il y a quand même quelques trucs que j'ai deviné, genre je me doutais de qui étais le coupable parce qu'il fallait pas réfléchir bien loin et même être aveugle pour pas s'en rendre compte. J'ai deviné un peu pour le nombre 19, ou tout du moins je me doutais que ce serait quelque chose dans ce genre là. Par contre pour le nombre 658 j'ai vraiment été surprise et j'ai trouvé que ouah, il fallait y penser et que le meurtrier a bien du courage. Sinon, il y a des personnages que j'aimais bien, genre quand Gurney va au Bronx et qu'il rencontre madame Schmitt j'ai bien rigolé, et puis Madeleine, la femme de Gurney était sympathique, et j'ai bien aimé le policier Nardo. J'aime beaucoup le dénouement de la fin, et en conclusion j'ai beaucoup aimé le livre.
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David Gurney est à la retraite depuis peu. Après avoir résolu plusieurs affaires ayant fait grand bruit, il a préféré quitter la police de New York pour s'installer à la campagne, à la plus grande joie de sa femme. Mais quand Mark Mellery, un ancien collègue de fac vivant non loin de là, vient le trouver pour lui demander conseil, la curiosité de David est piquée au vif. En effet, Mark a reçu plusieurs poèmes étranges mais de plus en plus menaçants …
J'avais beaucoup entendu parler de ce thriller sur les blogs ou dans la presse, même si ce n'était pas toujours en bien et j'avais envie de le découvrir par moi-même. Mon impression est finalement assez mitigée. J'ai aimé le postulat de départ : les poèmes mystérieux, le fait de trouver le nombre auquel pense une possible victime, tout ça est assez original et accrocheur. Là où j'ai eu nettement plus de mal à adhérer, c'est sur les explications fournies pour les scènes de crime : c'est assez peu crédible et plutôt tiré par les cheveux (c'est souvent le problème quand le postulat de départ est mis assez haut !). Et puis, je n'ai pas vraiment aimé le personnage principal David Gurney. Il ne m'est pas apparu comme attachant et certains moments hors enquête m'ont paru bien longs. du coup, le rythme global du roman m'a semblé en souffrir. Je sais que je ne suis pas très rapide en ce moment, côté lectures, mais quand même, je me suis trainée deux semaines sur ce titre, ce qui est bien trop long pour moi vu qu'il s'agit d'un thriller, qui devrait être lu en une semaine, même avec mon rythme d'escargot arthritique ! Pourtant, je ne peux pas dire que je n'ai pas du tout aimé car il y a eu des moments réussis et de bonnes idées mais elles m'ont souvent paru tourner court et j'ai souvent été déçue de voir que l'ensemble n'était pas toujours à la hauteur de ses promesses, avec un final un peu plat, comme une grande partie de l'histoire. Comme c'est un premier roman, certaines baisses de forme sont excusables et jai néanmoins le titre suivant de cet auteur, histoire de voir s'il s'améliore au niveau rythme et personnages (en les espérant un peu moins clichés) ou s'il reste constant !
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