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Inspecteur Patrick Camino tome 2 sur 2
EAN : 9782378277413
208 pages
SPINELLE (24/03/2023)
3.86/5   62 notes
Résumé :
Été 2012, l’inspecteur Camino de la police genevoise enquête sur une disparition de rubis, à la demande d’un joaillier de la place.
A la même époque, trois jeunes étudiants de l’Université de Genève, Alexandre, Matthias et Vanessa décident de partir en vacances en Birmanie. Malgré leur budget serré, ils veulent découvrir ce pays magnifique et exotique. Ils partent sur les traces de Joseph Kessel, Georges Orwell ou Norman Lewis, parmi tant d’autres.
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Critiques, Analyses et Avis (61) Voir plus Ajouter une critique
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Résumé : C'est l'été, Vanessa projette de partir en Birmanie avant de présenter son mémoire dont le thème est une étude comparée portant sur deux romans, »Une histoire birmane d'Orwell » et « La vallée des rubis de Kessel ». Elle tombe fortuitement sur une annonce de Matthias et Alex, deux étudiants qui cherchent une troisième personne pour partir avec eux en Birmanie.

Arrivés en Birmanie, ils font la connaissance de Ben et Fiona un couple qui fait également du tourisme. Mais Fiona disparaît, laissant Ben en plein désarroi ; les trois étudiants vont terminer leur voyage avec Ben, pour l'aider à retrouver la trace de Fiona…


Mon avis : Tout commence avec cette jeune femme bâillonnée et ligotée sur une chaise, transpirant à la fois de peur et à cause de la chaleur, elle sait qu'elle est perdue, qu'elle va mourir ! Puis...

Nous partons au Myanmar en compagnie de Vanessa, Alex et Matthias visiter ce charmant pays. Alex et Matthias sont deux étudiants très différents mais soudés par une forte amitié, Vanessa arrive tant bien que mal à s'intégrer au groupe. Sur place ils font la connaissance de deux couples Ben et Fiona et Samuel et Diane.

Les paysages sont grandioses, des sites d'une beauté incomparable, tout serait parfait si Fiona, la femme de Ben, n'était pas partie suite à une dispute.

Vanessa, Alex et Matthias vont dès lors accompagner Ben et l'aider dans ses recherches pour retrouver l'épouse disparue. Certes cela va modifier légèrement leurs plans, mais réduira le coût du voyage désormais divisé par quatre.

En Suisse, le prince Khaled a passé une commande de rubis, mais le joaillier a eu un problème d'approvisionnement, les rubis ayant été dérobés… L'inspecteur Camino, est chargé de mener une petite enquête et de veiller sur le joaillier…

Malgré leurs recherches, les jeunes étudiants nous font découvrir un pays avec des lieux paradisiaques… Vanessa, férue de littérature partage ses savoirs : Kipling, Orwell, Kessel, des discussions savantes et passionnantes.

Ben, complètement dépassé par les évènements, recherche sa femme désespérément… Vanessa n'ose avouer à ses nouveaux amis qu'elle l'a très bien connu antérieurement.

L'autrice a une belle écriture, simple mais efficace et de belles connaissances sur la littérature qu'elle nous fait partager via Vanessa. Elle nous balade de la Birmanie à la Suisse sans nous dévoiler le lien qui unit les deux pays ; il va falloir le découvrir au fil de l'histoire.

Entre deux visites touristiques, nous apprenons à découvrir Vanessa, Alex et Matthias, puis Ben, Diane et Samuel.

Et il va falloir s'armer de patience pour démêler cette intrigue. Entre soupçons, certitudes et erreurs de jugements, de rebondissements en surprises, la fin vous dévoilera enfin l'énigme sur ces rubis sang de pigeon.

Bref, un roman qui nous entraîne sur les traces d'écrivains célèbres, dans un pays sublime, avec une enquête prenante et une intrigue à éclaircir, tout est réuni pour passer un excellent moment. Alors, prêt à tenter l'aventure et à s'embarquer avec Vanessa, Alex et Matthias ?


À lire avec une salade de thé, du riz gluant et un verre de mango tango (p.80)

Mon compte Instagram : @la_cath_a_strophes
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Voici mon retour de lecture sur Un crime couleur rubis en Birmanie de Sandrine Waregne.
Eté 2012, l'inspecteur Camino de la police genevoise enquête sur une disparition de rubis, à la demande d'un joaillier de la place.
A la même époque, trois jeunes étudiants de l'Université de Genève, Alexandre, Matthias et Vanessa décident de partir en vacances en Birmanie. Malgré leur budget serré, ils veulent découvrir ce pays magnifique et exotique. Ils partent sur les traces de Joseph Kessel, Georges Orwell ou Norman Lewis, parmi tant d'autres.
Arrivés à Rangoon, Fiona Edwards, une touriste anglaise qui loge dans le même hôtel qu'eux, disparaît mystérieusement.
Les trois jeunes suisses décident alors d'aider Ben Edwards, le mari de Fiona, à la retrouver.
Un crime couleur rubis en Birmanie est un bon roman qui m'a fait voyager tout en restant sur mon canapé.
C'est un mélange de littérature avec un bel hommage, entre autre, à Joseph Kessel ou Georges Orwell ; et de roman policier.
Ne connaissant pas grand chose à ce pays, j'ai trouvé la découverte fascinante.
On apprend de nombreuses choses sur la Birmanie (qui se nomme maintenant le Myanmar), sur les sites touristiques, les temples, la vallée des rubis..
J'avais regardé avant des photos sur le net, les descriptions sont très parlantes et j'ai vraiment eu l'impression de me retrouver à Rangoon, aux temples de Bagan, ou encore à Mandalay.
Les trois étudiants vont vivre un périple initiatique qui leur fera comprendre que sous la douceur birmane peut se cacher une réalité plus sombre.
J'ai d'ailleurs apprécié que l'autrice nous explique les dangers de ce pays.
J'ai aussi apprécié que ça se déroule entre la Suisse et la Birmanie. Deux pays peu présents dans les romans que je lis d'habitude, ça change et ça m'a plu.
En ce qui concerne les personnages, je ne me suis pas réellement attaché à Alexandre, Matthias, Vanessa ou Ben mais cela ne m'a pas dérangé outre mesure. Leurs personnalités ne sont pas hyper développés, et j'ai presque préféré le personnage de l'inspecteur Camino. Secondaire mais important malgré tout.
Le coté voyage initiatique m'a aussi captivé que le coté policier. Les deux genres s'emmêlent parfaitement.
La plume de Sandrine Waragne est agréable à lire, c'est fluide et les pages se tournent toutes seules.
Il y a de nombreux rebondissements et j'ai été surprise par certains dénouements, à la fin.
Un crime couleur rubis en Birmanie est un bon roman que je vous invite à découvrir à votre tour et note quatre étoiles et demie.
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Merci à NetGalley et aux éditions Spinelle de m'avoir permis la lecture de ce bon polar .Trois jeunes étudiants partent visiter la Birmanie ,un pays peu touristique mais qui les attire justement pour ça .Ils vont sympathiser avec un couple d'anglais dont la femme va disparaître mystérieusement .Pour venir en aide au mari désespéré ,ils vont voyager ensemble pour retrouver la disparue sans appréhender la suite des évènements .Un bon polar qui prend son temps et permet de découvrir la Birmanie .
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Une intrigue policière mêlée à un périple initiatique en Birmanie !

Née en 1982, Sandrine Warêgne est une auteure belgo-suisse. "Un crime couleur rubis en Birmanie" est son deuxième roman, après "Le banquier du quai du Mont-Blanc" (Editions Mon Village, 2015). Je remercie @EditionsSpinelle et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de le découvrir.

La scène s'ouvre durant l'été 2012 : l'inspecteur Camino de la police genevoise enquête sur une disparition de rubis, à la demande d'un joaillier, M. Léonard.

A la même époque, trois jeunes étudiants de l'Université de Genève, Alexandre, Matthias et Vanessa décident de partir en vacances en Birmanie. Malgré leur budget serré, ils veulent découvrir ce pays magnifique et exotique. Ils partent sur les traces de Joseph Kessel, Georges Orwell ou Norman Lewis, parmi tant d'autres.

Arrivés à Rangoon, Fiona Edwards, une touriste anglaise qui loge dans le même hôtel qu'eux, disparaît mystérieusement. Les trois jeunes suisses décident alors d'aider Ben Edwards, le mari de Fiona, à la retrouver.

De fausses pistes en déceptions, de la périphérie de Rangoon jusqu'aux temples de Bagan, en passant par Mandalay et le lac Inle, un périple initiatique qui leur fera comprendre que sous la douceur birmane peut se cacher une réalité plus sombre.

L'intrigue est à la fois divertissante et instructive puisque ce roman mélange avec talent aventure pittoresque sur fond d'investigation policière. Même s'il manque un peu d'action pour moi, j'ai bien aimé cette invitation au voyage dans un pays que je ne connais pas beaucoup. Afin de rendre la lecture plus agréable, l'auteure y a inséré un objectif pédagogique, ce qui permet d'en apprendre davantage sur ce pays.

La structure narrative est composée de trois parties dont la dernière permet le résolution de l'intrigue policière sur la disparition des rubis associée à celle de Fiona. Les trois étudiants forment un trio attachant qui se complète parfaitement. J'ai beaucoup aimé le personnage de Vanessa qui sert de guide touristique et culturel. Seul bémol, la fin est un peu trop expéditive, ce qui est vraiment dommage car elle aurait pu être plus étoffée.
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Je remercie l'auteur, Sandrine Waregne pour l'envoi de son livre par le biais du site simplement. La Birmanie, je ne suis pas certaine d'avoir lu un livre sur ce pays qui, montré par l'auteur avec ses mots me plait beaucoup et en même temps, je n'irais jamais seule. Matthias et Alex ont terminé leurs études et peuvent dorénavant penser à l'avenir. Avant de commencer à travailler, ils décident de choisir un pays à découvrir et c'est la Birmanie qui va tomber. Ils cherchent une ou plusieurs personnes en plus pour ce voyage, afin de limiter les frais et Vanessa, qui veut également découvrir ce pays pour ses recherches, va se proposer. Trois jeunes gens qui vont choisir de suivre un itinéraire afin de voir le pays, d'apprendre un peu plus sur leur culture. Un nouveau monde les attend et la Birmanie venant tout juste d'ouvrir ses frontières est un pays riche en histoire entre autre. Arrivé à l'un de leurs hôtels, ils tombent sur plusieurs couples, dont celui de Ben et Fiona. Deux anglais qui suivent quasiment le même itinéraire. Coup de chance ? Oui et non, mais cela je laisse le livre faire son oeuvre. Toujours est-il que Fiona disparait suite à une discussion houleuse avec son mari Ben et voila les trois jeunes et ce dernier a partir à l'aventure en Birmanie afin de la retrouver, si cela est dans le domaine du possible. Dans le même temps, un prince passe une commande d'un bijou avec des rubis qui disparaissent étrangement avant même d'arriver en Suisse. le lecteur sait déjà qu'il y a forcément un lien, ais lequel ? Surtout que nos trois aventuriers cachent bien leur jeu et les rencontres qu'ils font nous mettent sur des chemins hasardeux.

La Suisse et le chocolat, la Birmanie et ses rubis... Chaque pays a une histoire qui ne se cantonne pas à un seul sujet. J'ai adoré visiter ce pays par le biais des divers voyages de tous les personnages. Les couleurs, les gouts même, la culture, les temples, je n'ose imaginer les yeux remplis d'étoiles devant certains monuments et encore plus dans une montgolfière. Si le voyage est très agréable, nous sommes en plein coeur d'un thriller, il faut bien l'avouer. Quelques pierres qui valent plus cher qu'un lotissement, une disparition (enlèvement ?), une mort suspecte sans oublier ce prologue qui nous indique une femme enfermée dans un temple... Qui est-elle ? Est-ce l'une de ces femmes que nous côtoyons depuis le début de l'histoire ? Fiona ? Vanessa ? Diane et bien d'autres encore. Un voyage qui aurait dû être magnifique et qui l'est en un sens, jusqu'à cette chasse aux sorcières, ou plutôt cette quête de retrouver sa femme. Vanessa a des secrets comme ses compagnons de route, mais ceux qu'ils rencontrent sont pas mal dans leur genre également. Ce pays, l'auteur nous offre un sacré gout d'y aller avec sa culture, la chaleur, la littérature et d'autres auteurs qui se sont inspirés de cette terre. Bon par contre cette histoire de dictature me plait moyennement pour ne pas dire autre chose. Chaque pays a son lot d'infortunes et la Birmanie, terre devenue accueillante a encre du travail à faire. Deux fils conducteurs, deux enquêtes distinctes qui se rassemblent sur bien des points. Plus nous avançons et plus nous cherchons les liens entre eux, entre les pierres, les lieux, les personnages. Pas d'action à proprement parler, c'est ce qui m'a manqué et même la fin qui est quelque peu expéditive. Cela n'engage que moi, un peu plus de détails, plus de matières dans le dénouement de ces enquêtes aurait été apprécié. Tout cela pour dire qu'avec un peu plus, il serait passé en coup de coeur.

Les personnages ne sont pas trop nombreux. Nous avons nos étudiants futurs travailleurs, des couples Ben/Fiona, Diane/Sam, un policier et son ami. D'ailleurs je n'ai pas trop compris pourquoi parler de sa vie alors qu'elle n'a pas de rapport avec l'enquête, mais ce n'est rien, c'est très léger. Quelques facilités au sujet de Sam'Alex qui comme par hasard connait des gens (alors qu'on ne savait pas grand-chose réellement sur lui), mais c'est drôle et dans le même temps comme je l'ai indiqué plus haut, tout le monde a des secrets et c'est ce qui fait le charme de ce récit. Nulle n'a envie que d'autres sachent qui il est réellement, ce qu'il a fait avant de se retrouver dans un hôtel. J'ai beaucoup aimé Ben qui s'inquiètent vraiment de ce qui se trame (bon sang, alors lui, il ne fait pas les choses à moitié) et Matthias qui semble plus posé que les autres malgré tout. Vanessa est encore "jeune" (je me fais l'effet d'une vieille là xD) et elle a encore des sentiments qui ne demandent qu'à ressortir, jusqu'à ce que sa conscience l'arrête à temps. Seul le policier en définitive ne m'a pas plus convaincu que cela. Il fait son job, nous avons son ressenti, mais je ne sais pas, j'ai eu un peu de mal à m'attacher à lui, pour ne pas dire qu'il m'a été indifférent. Les secrets de chacun vont se dévoiler, les disparitions des rubis et de Fiona vont s'expliquer, tout comme le caractère changeant d'autres personnages. le couple Diane/Samuel me titillait sans savoir pourquoi. Maintenant que le point final est posé, je comprends bien mieux ce qui me chiffonnait.

Quant à cette fin, bon sang, je n'avais pas vu venir autant de choses. L'auteur a habilement mis ses pions en place, avec plusieurs pistes, des pierres précieuses, des temples, des femmes partout, des mystères, des jeux de rôles pour nous avoir plus facilement. ô bien entendu certains points se voient comme le ne au milieu de la figure, mais là, LA pour le coup, impossible d'avoir la solution définitive et c'est tant mieux. Je me suis bien faite avoir et il faut aller jusqu'au point final pour avoir vraiment le fin mot de l'histoire. Un voyage de rêve ? Oui, probablement, mais pas pour tout le monde. L'écriture est simple, pas de fioritures (juste une Fiona a retrouver), pas de phrases trop longues ce qui apportent un rythme rapide aux événements. Retrouver Fiona est une quête, un plus dans l'aventure que c'était donné nos trois jeunes. Même si c'est honorable, nous ne pouvons nous demander le pourquoi ils veulent l'aider, pourquoi la chercher avec une simple photo dans tout le pays ? Pourquoi pas la police, car même si c'est une adulte, il y a parfois des moments de doutes, pas vrai ? Alors qu'est-ce qui se cache derrière ? Ô trois fois rien et si peu... Je rigole en écrivant ces mots, parce que c'est tordu à souhait et nous plongeons la tête la première sans s'en rendre compte.

En conclusion, un voyage qui aurait pu mal se terminer pour nos jeunes gens. L'intrigue est menée tambour battant, les événements s'enchainent jusqu'au dénouement fatal. Quoi de plus machiavélique que ce qui est entre nos mains ? Un pays chaud, magnifique, chatoyant qui recèle de nombreux trésors, mais aussi des lieux de perditions. L'auteur nous entraine sur le chemin d'autres auteurs plus "connus" dans un pays encore méconnu pour une course-poursuite qui ne mène pas forcément à la liberté. Des paysages magnifiques et des descriptions qui donnent envie de voyager, mais pas seule comme je l'ai indiqué plus haut. En tout cas, bravo, j'ai adoré suivre cette aventure.De toute manière, de la Suisse à la Birmanie, du Chocolat au rubis, je vote pour les chocolats, c'est beaucoup moins dangereux !

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/un-crime-couleur-rubis-en-birmanie-sandrine-waregne-a214239801
Lien : http://chroniqueslivresques...
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Mo Mo comprenait de moins en moins le comportement de "ses" touristes mais les amena comme ils le souhaitaient à l'entrée du pont, en leur laissant le soin de parcourir quelques mètres pour apercevoir un grand classique en fin de journée : le coucher de soleil majestueux, les esquisses de barques glissant sur le lac et la silhouette du pont avec à l'arrière-plan un ciel violet et jaune et la foule des curieux venus partout, les touristes et les innombrables moines. De loin, d'un air distrait Mo Mo attendait leur retour, attablé à une petite échoppe où il avait ses habitudes, sirotant un thé birman et observant lui aussi la lente descente de l'astre sur les eaux calmes du lac.
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Evidemment, elle regrettait d’avoir expliqué tous ses projets de voyage sur Instagram. Elle ne s’était pas rendu compte que n’importe qui pouvait avoir une foule d’informations sur elle, et elle regrettait maintenant sa naïveté. Elle serait plus prudente à l’avenir, c’était certain.
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- Stupas et tremblements, si tu vois ce que je veux dire, avait ajouté Camino, qui adorait utiliser des expressions originales en déformant la littérature. Il faisait évidemment référence au livre d' Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements, trouvant la ressemblance entre stupas et stupeur très drôle.
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Et quel meilleur moyen que de partir à l'aventure, surtout en Birmanie, une destination qu'elle rêvait de découvrir.
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Fiona avait d’ailleurs cité Orwell, qui, très en avance sur son temps, avait écrit : ‘Nous pourrions bien nous apercevoir un jour que les aliments en conserve sont des armes bien plus meurtrières que les mitrailleuses.
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