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3,15

sur 754 notes
En chick lit j'ai connu beaucoup mieux.
En héroïne trentenaire j'ai connu plus pétillante.
Une sorte de Sex in the city et encore Beth ne croque pas la vie à pleine dent.
Une héroïne qui doit découvrir les nuits trépidantes de la grosse pomme. J'ai eu l'impression que Lauren Wesberger nous faisait une leçon de moral.
J'ai eu droit au parfait roman journalistique sur le métier de Chargé de relation publique, à un défilé de caprices de stars, à la concurrence déloyale dans ce milieu de paillettes.
Et parlons de cette histoire d'amour inexistante.
Je ne sais pas ce que donne le diable s'habille en Prada mais je resterai sur la bonne impression du film.
Le point positif c'est que malgré 575 pages il se lit très vite.
People or not People ce sera not.....
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Beth, employée de banque qui travaille plus que de raison, s'évade en lisant des romans sentimentaux Harlequin.
Ayant démissionné sur un coup de tête, elle rejoint une boîte de comm' spécialisée dans les évènements people.
Sous les feux des projecteurs,elle va vivre une ascension fulgurante et même faire les choux gras de la presse à scandale.
Rendant hommage à cette famille de livres, tous les ingrédients du livre sentimental sont présents : Un riche,élégant mais surtout arrogant play-boy anglais opposé à un videur New-Yorkais si bienveillant, et, au milieu, cette jeune femme attachante !!!
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J'ai découvert ce livre en vidant un carton …
Je ne connaissais pas le Chick lit….
Me voilà vacciné !!!

Le pitch du livre : aventures d'une jeune fille américaine immature…

Pas d'histoire, personnages insignifiants, d'un superficiel affligeant !
J'ai abandonné à la moitié du livre, je devenais irritable !!!
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Facile à lire ... un peu long car peu de rebondissement ... moins attirant que le Diable s'habile en Prada. Décevant. Un livre de plage ou de métro pour qui ne veut vraiment pas se prendre la tête.
Beth, l'héroïne est bête. Se laisse faire. D'accord c'est pour l'histoire ... mais ces histoires là franchement. Je mets deux étoiles parce que j'ai lu le livre et que je n'ai pas passé un si mauvais moment ....
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Je n'aime pas trop écrire des critiques négatives, mais vu que j'ai lu ce livre pour le challenge ABC 2012/2013...je me dois d'écrire qq chose.
J'ai adoré la version cinématographique du « diable s'habille en Prada », (mais non lu) et je me suis dit tiens, je vais essayer ses romans, et je me suis attaqué à « sexe, diamants et plus si affinités... » que j'avais beaucoup aimé.
Ça faisait un petit moment que « people or not people » traînait dans ma biblio, le challenge ABC arrivant à point nommé pour mettre ce roman dans ma liste.
Le livre est tres bien ecrit meme si je n'ai pas bcp apprécier les voyages dans le temps à certains moment, c'est à dire quand Beth se remémore la fin de ses péripéties et nous les raconte 3 semaines plus tard.
Le monde des Star, drogue, sexe, alcool...Et mensonge c'est pas fait pour moi, ni pour Beth, qui pour son nouveau boulot « génial » à abandonné ses convictions, sa famille et surtout ses amis.
J'ai du lire ce livre en 3 fois....et j'ai sauté beaucoup de passage inintéressant et barbant, pour arriver à une fin assez décevante.

Je lirai surement Stiletto Blues à Hollywood , car il me fait de l'oeil, même si le tournure de l'histoire ne me plait pas forcement.
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Ce livre est resté quatre ans sur mes étagères avant que je daigne me souvenir que je ne l'avais jamais touché.
C'est donc après avoir fait le tour de mes étagères, que je me suis dis : tiens pourquoi pas ?
Je ne sais pas si j'ai bien fait d'attendre parceque j'ai adoré ce bouquin. le personnage de Beth est attachant et son entourage completement déjanté, nous exaspère en même temps qu'elle.
C'est un livre plein de rebondissment et d'humour que je relirai avec grand plaisir.
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« People or not people”… to read or not to read? A dire vrai, et avec le plus d'objectivité possible, le genre chick lit comprend suffisamment d'ouvrages pour pouvoir passer outre celui-ci. Non pas qu'il ne fasse pas honneur à ses conventions, bien au contraire, mais il n'est certainement pas le plus passionnant du genre. A défaut d'un pétillant Sophie Kinsella, on se retrouve avec un roman à la couverture sucrée, digne d'une vraie barbe à papa, dont le contenu mielleux ne brille ni pas son intelligence, ni par son originalité et encore moins par un style léger et jovial. Faut-il donc prendre ce livre pour le reposer aussitôt ? La réponse semble malheureusement s'incliner vers la proposition « oui ».

Lauren Weisberger est un auteur que l'on ne présente plus, célèbre tant pour avoir été à l'origine du mythique « Diable s'habille en Prada » que pour s'être inspiré de son expérience professionnelle personnelle pour dépeindre le milieu de la jungle médiatique à travers ses romans. « People or not people » ne fait pas exception à la règle et trouve, de ce fait, de nombreux points communs avec le premier ouvrage de Weisberger. On se retrouve déporter dans le New York flamboyant du XXIe siècle, suivant les péripéties rocambolesques et désastreuses d'une jeune femme – Bettina, dite Beth, Robinson. Tout comme son homologue Andrea Sachs, Beth est une jeune femme dynamique – célibataire depuis un certain temps – qui se retrouve brusquement demandeuse d'emploi, après une fastueuse période d'exploitation en tant que banquière puis de fainéantise dans un misérable appartement. A l'instar de toutes les jeunes femmes de son âge, elle entretient un cercle fermé d'amis et se saoule de toute son âme les samedis soirs avec sa « best friend forever ». Mais voilà, Beth devient désespérée et l'archétype de l'échec social lorsqu'elle décide de prendre congé de son métier ingrat tandis que sa best annonce jovialement son futur mariage et son exil à Los Angeles en faisant miroiter deux bagues surdimensionnées. le moral au plus bas, Beth s'enfonce dans l'oisiveté et macère dans sa vie que l'on peut qualifier au plus juste de moisie. Mais ce coup de blues est sans compter sur l'exubérant mais adorable oncle Will, icône du domaine journalistique qui soutient corps et âme sa nièce favorite. Avec ses faux airs d'Elton John et son excentricité travaillée et jouissive, Will est l'un de ses personnages que l'on s'attache immédiatement. Grâce au pist… pardon, à l'appui de l'oncle Will, Beth touche aux hautes sphères de la célébrité en se faisant recruter dans une agence de RP. Voilà donc la nouvelle occupation de Beth : se charger d'organiser les fêtes les plus extravagantes qu'ils soient pour les plus célèbres noms de la planète, tout en testant auparavant lesdites fêtes. Mondanité, champagne, strass et paillettes forment désormais le quotidien rocambolesque et somptueux de notre jeune héroïne. A la différence d'une certaine patronne autoritaire et impétueuse, sa supérieure est adorable et conciliante et sa nouvelle équipe conviviale. On a presque l'impression de toucher à un rêve de princesse tandis que Beth se transforme de souillon empâtée en tailleur à icône féminine affirmée. Et alors que les problèmes financiers n'en sont plus et que sa garde-robe prend un virage à 180°, Beth se retrouve miraculeusement plongée dans une sordide histoire amoureuse, frôlant le risible autant qu'elle brille d'incongru. Depuis deux années qu'elle vivait avec pour seule compagnie une Yorkshire hypoallergénique à la truffe chatouilleuse, Beth devient du jour au lendemain le centre d'intérêt de pas moins deux hommes, dont l'un – Philip Weston – n'est autre que le célibataire et coureur de jupons le plus en vogue de l'actualité. Quant à l'autre, il faut bien avouer que dès le premier regard échangé on se doute de la tournure que vont prendre les évènements.

« People or not people » est un roman qui vend du rêve, mais le genre de rêve qui ne fait miroiter notre imagination que parce que justement il en est un, destiné donc à ne jamais prendre forme. L'exagération des scènes et l'incongru des situations empêchent d'ancrer cette histoire dans la réalité et l'on rit finalement plus de l'extravagance des personnages et de l'absurdité des circonstances que des touches d'humour peu convaincantes. Alors que l'on s'attend à un style léger et détendu, l'atmosphère est plutôt lourde et l'on peine à prendre compassion pour l'héroïne qui manque de piquant pour un faire un personnage charismatique. Au final ce livre n'est qu'une longue suite d'aventures, parfois désastreuses, parfois triomphales, mais exagérées dans tous les cas. Certes Lauren Weisberger maîtrise parfaitement son sujet, mais à trop vouloir se montrer professionnelle elle en oublie parfois que le lecteur ne fait pas parti de ce milieu et n'est donc pas toujours à l'aise face aux expressions propres au métier. On déplorera également que le temps d'adaptation à la nouvelle atmosphère professionnelle de Beth ne soit pas plus détaillé, ni son travail au sein de l'agence Kelly & Co.

Mais au final, le fait qui empêche définitivement de se prendre dans l'histoire est le manque crucial de crédibilité de l'histoire et surtout de suspens. Car avec des scénarios vus et revus par les scripts hollywoodiens et des personnages tous plus stéréotypés les uns que les autres, on comprend déjà la manière dont les choses vont se terminer à peine le quart du roman entamé. On reste néanmoins sur notre faim une fois les derniers mots achevés, en raison d'un manque d'informations complémentaires sur les personnages secondaires et surtout sur Philip Weston qui tient pratiquement la vedette aux côtés de Beth. Mis à part l'oncle Will et le délicieux Sammy, bien que trop parfait pour exister, les personnages manquent tous de saveur et à trop avoir voulu présenter des personnages, ceux-ci ne sont pas assez travaillés en profondeur. Bref, à défaut de répliques savoureuses et de finesse dans l'ensemble, les évènements s'enchaînent sans cohérence, avec un manque évidement de subtilité pour faire de l'ensemble une lecture détendue et agréable.

Rire, larmes ou frissons, rien ne trouve écho chez le lecteur qui s'enfonce au fil des pages dans un ennui lassant. L'histoire manque de divertissement recherché et surtout d'originalité. La tournure des évènements et l'ensemble des situations dépeignent un monde utopique et bien que l'on se surprenne parfois à envier Beth Robinson, le tout est digne d'un synopsis de soap opera. Une déception donc que « People or not people » qui ne parvient pas à suffisamment nous faire rire pour apprécier la lecture. de l'auteur du « Diable s'habille en Prada » on s'attend résolument à bien mieux.
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Encore un roman ou  la jeune femme finit par être embringuée dans un cercle vicieux en délaissant tout le reste (ses amis, sa famille, l'amour, elle même). Néanmoins ce roman est léger, on ne peut pas lui enlever ça. Pas besoin de trop réfléchir, on se laisse porter par l'histoire facilement.
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Après ma lecture du "Jour après le lendemain" qui a mis un sacrés coup à mon moral, j'avais besoin d'une lecture pour "m'aérer un peu les neurones" si je puis dire cela comme ça. Et bien c'est exactement ce que j'ai trouvé avec ce roman. Rien d'extraordinaire, on sait très rapidement ce qui va se passer, pas de fous rires non plus, mais c'est conforme à l'attendu : on se détend, l'écriture est fluide, c'est romantique... bref, un vrai livre de filles!
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J'avais envie de rire avec un bouquin sans conséquence et un brin de romance. Direction pile de bouquin girly, en l'occurrence People or not people, du même auteur que "le diable s'habille en Prada".

Il s'agit d'une petite plongée dans l'univers superficiel de la jet-set New-Yorkaise, que du bonheur.
On suit Beth, une jeune femme très bien qui tente une reconversion dans le domaine des VRP.
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle se "débrouille" pas mal.

Ensuite, l'histoire de coeur: QUI parmi les nombreux prétendants qui se bousculent aux portillons, aura son coeur ? Bon, je crois que je pourrai me reconvertir en auteur de scénar', parce que j'ai trouvé qui serait cet élu à sa première évocation.

Il n'empêche que j'ai dévorai le livre, profitant de chaque minute de libertés pour lire quelques lignes supplémentaires.
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