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EAN : 9782234071650
384 pages
Stock (21/08/2013)
2.75/5   12 notes
Résumé :
Début des années quatre-vingt-dix. Au terme d’une jeunesse tumultueuse, Frank Schreiber cherche à rentrer dans le rang. Apprenti écrivain, il accepte un travail de « nègre » auprès d’un ami de sa famille, Patrick Zimmermann, ancien gauchiste devenu économiste à succès. Frank est bientôt attiré par son épouse Paula, une femme aux multiples facettes, dont il devient l’amant. S’ensuit alors une spirale de mensonges et d’ambiguïtés où nul n’est ce qu’il semble. Pas même... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
A la manière d'un Rastignac, Frank Schreiber est un jeune provincial maladroit, complexé, en proie au doute mais pétri d'ambition. Il rêve de gloire sociale, de conquêtes féminines et de tous les honneurs que lui vaudra sa célébrité. Ses espoirs ne sont pas tout à fait illusoires et démesurées car il se rend souvent à Paris où vivent les "intellectuels" de son illustre famille, ses oncles et surtout son Grand Père qui réside dans les beaux quartier de la capitale. Il décrit ainsi ses proches "Grand Père chenu mais encore vif, Jean-René académique et grandiose, mon oncle en garnement rigolard, les chairs parfumées et flétries de mes tantes ". Grand Père est l'homme fort du clan. Miraculeusement rescapé du génocide, c'est un personnage flamboyant, flagorneur, plein d'envergure et de panache ayant côtoyé les élites de la nation et relatant en d'incessants radotages ses heures de gloire et ses prestigieuses rencontres. Frank se sent l'héritier spirituel de ce Grand Père qui le fascine et qui lui aurait transmis "l'énergie ambigüe de sa violence".

En attendant, Frank se morfond à Ploucville, nom malicieux de cette bourgade à périr d'ennui située du côté de Pontarlier (amis francs-comtois, ne prenez pas ombrage, j'adore cette région) C 'est donc là que vit sa modeste famille car son père, qu'il méprise avec arrogance est le seul qui, faute d'ampleur se contente d'une médiocre activité théâtrale dans cette province austère et sans éclat.

Dans les années 90, il accède enfin aux premières marches qui devraient le mener à la consécration. En effet, à l'enterrement de grand Père, il rencontre Patrick Zimmermann (ZIM), ami de la famille côté réussite. Ce dernier économiste renommé et influent va devenir son mentor.
Frank est désormais parisien mais son travail de rédacteur à l'Usine Nouvlelle,
journal aride du monde industriel, le situe encore loin de la vie rêvée. Et c'est ZIM qui lui propose une collaboration et lui ouvre les portes d'un autre monde.

Le chapitre "Mondanités" dresse un portrait jubilatoire de ce que représentent les mots snobisme, élitisme, parisianisme. Frank évolue désormais dans la cour des grands. Berné ou complice, il découvre les mille facettes du pouvoir où mensonges, faux-semblants et jeux de dupes mènent la danse, à coups de scandales et corruptions. Sur cette scène, les femmes aussi ont un rôle à tenir.
Le personnage de Paula, femme de ZIM et maîtresse de Frank est particulièrement symbolique de cet univers trouble. Enigmatique et lointaine, "sauvage et fragile", elle entretient une relation complexe avec les hommes et le milieu sophistiqué où elle évolue.

Vingt ans plus tard, par l'intermédiaire de lettres échangées, Frank revient sur les évènements qui ont ébranlé le système, sur sa propre expérience au sein de ce groupe et il tente d'en trouver les clés.

A travers des personnages multiples et originaux mêlés à des personnalités incontournables, l'auteur aborde une quantité infinie de thèmes : la politique, le pouvoir, l'économie, la famille, l'intimité des couples, les progrès de la démocratie, l'apartheid, le conflit israélo-palestinien, la judaïcité et son évidente diversité. J'ai été parfois submergée par la surabondance de ces sujets qui sont tous des axes de réflexion importants et mériteraient plus de développement.
Un rythme alerte, un ton impertinent, des individus intrigants font de ce récit bien dans l'air du temps un divertissement, parfois empreint de gravité.

La matière inflammable dont il est question est le rapport à la famille dont Frank fait état dans un chapitre. Pour ma part, je vois surtout l'ambition, ce combustible puissant à l'origine de bien des impostures, manipulations et abus de pouvoir.

Merci à Marc Weitzmann, aux éditions Stock et à Masse Critique qui m'ont entraînée avec intérêt et curiosité dans cette sarabande infernale des gens de pouvoir.
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Je n'aime pas dire ça, et ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé, mais je n'ai pas aimé ce livre.
Du début à la fin je me suis vraiment demandée pourquoi je lisais ça. Je ne me sentais pas à ma place en lisant ce livre.
Et de fait j'ai vraiment trouvé ce roman assez excluant. Je ne me suis en aucune façon identifiée aux personnages, que j'ai trouvés éloignés de moi au possible, et je n'en ai aimé aucun, chose ô combien rare parce que je suis assez peu difficile en matière de lecture.
A la fin je me suis d'ailleurs dit que pour aimer ce livre il faut surement ressembler aux personnages, avoir leurs origines, leur religion, leur vision des choses.

Pour dire un mot de l'histoire, on suit Franck, qui est né dans une famille d'intellectuels qui ont aussi rencontré des personnes célèbres de l'Histoire, de la politique, et qui pour certains, évoluent toujours dans ces « hautes sphères » si élitistes.
Rien qu'au début où on est avec le grand-père de Franck, je n'ai pas du tout aimé sa façon de parler, de voir les choses. J'ai trouvé ce grand-père profondément pénible et détestable.
Et Franck lui m'a paru vraiment très passif, du début à la fin on dirait qu'il n'évolue pas. Rien de ses actes ou de ses actions ne démontre une évolution quelconque. Franck n'apprécie pas son père qui dénote dans la famille parce qu'il est un prof et qu'il l'a ‘obligé' à vivre à Ploucville, si loin de Paris…
Je n'ai pas du tout apprécié sa mentalité. Il se veut différent et il veut surement faire mieux que la figure paternelle pour qu'un jour il puisse raconter autant de choses que son grand-père l'a fait, mais au final quoi qu'il fasse il n'arrivera pas à grand-chose et restera assez pathétique…

Et si le petit ‘piment' apporté à l'histoire quand Franck devient l'amant de la femme de son « ami » Patrick Zimmermann, Paula, est la seule chose qui amène un peu « d'action » au roman, on ne peut pas dire que ça soit vraiment réussi.
Franck et Paula ont une aventure, mais on se demande si Franck est attiré par elle juste parce qu'elle est une jeune femme juive, elle aussi avec un père illustre, ou si c'est juste l'interdit qui l'intéresse…

Mon plus gros reproche à faire sera cependant d'utiliser les personnes publiques d'Anne Sinclair et de Dominique Strauss-Kahn dans un roman.
Franchement je n'en vois pas l'intérêt, et d'autre part cela m'a dérangée parce que si j'avais envie de lire une histoire sur ces personnes publiques, je le ferai, je n'attends pas ça d'un roman ! Et c'est tellement présent dans cette histoire… A croire que l'auteur voulait écrire un livre sur eux mais a du se contenter de les intégrer dans un roman. Les histoires de politique, de pouvoir, de magouilles, de sexe etc qui ont tourné autour de DSK ont été suffisantes pour qu'on en sache assez et qu'on laisse un peu le lecteur tranquille dans un roman…

Bref, de toute façon je n'ai pas été convaincue non plus par l'écriture, trop lourde, trop empruntée, avec des tournures de phrases mal adaptées. Ça n'est pas un livre pour moi, j'ai été plus que déçue par cette lecture.
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Difficile d'accrocher à ce roman. D'emblée on est projeté dans un monde tout à fait artificiel, fait de postures et de faux-semblants. le tout couronné par les pensées chaotiques du narrateur pendant les 100 premières pages.

Le choix d'une narration uniquement en "je" est assez questionnable, finalement. Cela n'ajoute que confusion à un propos qui n'est déjà pas très clair. Autre point assez confondant, le récit d'un gosse de CM1 qui démarre le livre cadre mal avec l'âge de l'enfant. Vocabulaire, grammaire, thème... on n'est pas vraiment en phase avec un enfant de CM1. La même chose se produit avec les pensées et réactions d'un gosse rebelle de 18 ans un peu plus loin.

J'ajouterai que la 4è de couverture, en ligne 3, parle du statut de "nègre" du personnage principal... ce qui n'arrive que page 113 du roman (qui en compte 366). On a donc une grosse centaine de pages avant d'arriver au sujet stricto sensu. Pas idéal pour se plonger idéalement dans le roman.

Une fois dans le sujet proprement dit, il s'installe enfin une sorte d'atmosphère de polar, pas désagréable. Mais assez ténue quand même. Bref, on regarde tout cela de l'extérieur. Dommage pour un roman en "je". Style un peu ampoulé, manquant de fluidité, mais c'est tout à fait subjectif.

Tout bascule page 267, avec deux lettres, une de Frank (le personnage principal) et l'autre de Paula, son grand amour inachevé. Et on découvre l'envers du décor. Je n'en dévoile pas davantage. Tout ce que l'on reproche aux 266 premières pages (sur 366...) est "expliqué', ou à tout le moins mis en lumière. Et les 60 dernières pages sont lumineuses.

Est-ce que cela sauve le roman? Non. En fait, c'est même tout le contraire. le roman est d'un coup transformé en une sorte d'exercice de style, pure construction, ce qui renforce le caractère artificiel du tout. Et même, on regrette que l'auteur, visiblement capable de nous emporter, de nous mystifier, de nous soulever à travers des émotions diverses (des larmes aux rires), utilise son talent à si peu.

Personnellement, les prises de position sur l'actualité et l'utilisation de vrais noms ne m'a pas gêné. Même, je dirai que cela ajoute beaucoup de corps à l'ensemble.

Au final, le roman se déroule comme une chronique multiple, entre gauche désillusionnée, pouvoir, histoire familiale, image du père, judéité, culpabilité... Mais on continue à regarder le tout comme quand on était gosse devant des insectes emprisonnés dans un bocal avec un peu de mousse, de terre et quelques feuilles. On se méprenait à se croire tout-puissant, démiurge, capable de recréer la Nature. Marc Weitzmann fait de même.
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Une famille illustre qui côtoie le grand monde intellectuel, des médias. Franck en est l'héritier. Il sait ce qui l'attend. Il trouve que son père ne fait pas honneur à cette famille. Et lui, en définitive ?
Il n'a jamais eu de relations extraordinaires avec les femmes.
Il habite en Province et ses séjours à Paris lui permettent de rencontrer tous les amis de son grand-père, de son oncle.
A 31 ans, Franck a décidé de grandir, de renouer avec les relations familiales.
Dans le cadre du Prix du Jury Littéraire de la FNAC, c'est le quatrième roman lu. Qu'en dire ?
Pas grand chose. Je n'ai pas du tout aimé. C'est très mal écrit. Il y a de nombreuses fautes d'orthographe, un manque impressionnant de ponctuation. Est-ce voulu pour cette dernière pour donner une impression que tout va vite ? Personnellement, cela ne me plait pas du tout.
J'ai mis énormément de temps à le lire pour donner une chance à ce roman. Je l'ai fini certes mais pas grand chose n'a retiré mon attention.
Je n'ai pas aimé les personnages. Je n'ai pas aimé l'indécision du personnage principal, qui se cherche, même à un certain âge. Qu'il renie sa famille, son père parce que celui-ci n'est pas conforme à l'héritage familial qui veut que tout le monde réussisse, soit. Mais il n'est pas arrivé lui-même à être au top. Je trouve qu'il vit dans l'ombre des autres. Il ne prend aucun décision, il est indécis quant à son travail, quant à ses relations personnelles, amoureuses. On se sert de lui. Il préfère se taire que de dire le fond de sa pensée. Par contre, il sait écouter. Et qu'est-ce que cela lui amène ? Pas grand chose. Il se s'engage pas. Il attend que les autres prennent des décisions à sa place. A 30 ans, il est très immature. Il ne sait pas ce qu'il veut.
Il y a aussi tout ce qui concerne DSK et Anne Sinclair, car cette dernière est partie intégrante du roman. Elle apparait comme une icône, une muse, un personnage difficile à atteindre. Nous avons donc un fond politique, de la bourgeoisie intellectuelle, sous fond d'amour, de trahison.
Quant à DSK, cela concerne toute sa préparation à sa nomination pour représenter le PS pour l'élection présidentielle. Bien entendu, les affaires de sexe sont évoquées. Mais comme on sait tout ça, à quoi bon ? Qu'est-ce que cela vient faire dans le roman. A part que ceux qui se sont occupés de lui ont connu la déchéance.
Ce qui m'a pas plu également. Je trouve que la communauté juive n'est pas traitée sous son meilleur jour. Elle apparait profiteuse, pas sympathique du tout, elle ne se mélange pas, elle se croit au dessus de tout, très aisée.
La seule partie intéressante et lue avec plaisir est la lettre de Paula à Franck.
Sa famille est une matière inflammable, tout comme ses relations. C'est un folklore permanent.
Pour Franck, ce roman écrit est inachevé. Il manque une partie de l'histoire qui concerne Paula. A elle d'écrire la suite.
Ce roman est bel et bien inachevé car vraiment trop brouillon.
Je n'ai donc pas sélectionné cet ouvrage pour la rentrée littéraire.
Lien : http://angelitamblog.com/201..
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Ayant eu l'opportunité de découvrir ce roman dans le cadre d'une opération Masse critique, j'ai quelques scrupules à en faire ici le commentaire, car je ne l'ai malheureusement pas aimé. Mais c'est la règle du jeu : recevoir un livre engage à en faire la critique, qu'elle soit positive ou non. Je vais donc essayer d'exposer les raisons du manque d'intérêt que j'ai ressenti à sa lecture.
Je pense tout d'abord que ma curiosité pour ce livre est née d'un malentendu: un article lu ici ou là, sans doute trop rapidement - je lis toujours un peu en diagonale les critiques de livres que je n'ai pas encore lus de peur qu'elles ne m'en révèlent trop ! - un article, donc, m'avait laissé croire que, s'inspirant librement de l'affaire DSK, Marc Weitzmann avait tracé le portrait d'un Rastignac contemporain se brûlant les ailes au contact d'une élite politique corrompue. Mais je croyais qu'il s'agissait d'une pure fiction, plutôt sur le mode de la parabole. Je ne m'attendais pas à voir les personnages d'Anne Sinclair et de son mari, entre autres, apparaître au sein du récit. Et très honnêtement, je ne trouve pas que tout ce qui a été révélé autour d'eux mérite qu'on y revienne. Insister sur une personnalité telle que celle de DSK, c'est continuer à jeter le discrédit sur une classe politique qui n'a vraiment pas besoin de ça !
Par ailleurs, tous les personnages sont tellement froids et insensibles qu'à aucun moment je n'ai pu éprouver la moindre empathie avec qui ce soit. La bourgeoisie prétendument intellectuelle qui est présentée m'a personnellement semblé totalement dénuée d'intérêt. L'arrogance et le cynisme poussés à un tel degré provoquent plutôt chez moi l'envie de passer mon chemin...
Même la reconstitution d'une époque qui aurait pu me toucher, car étant celle de mon enfance, m'a laissée totalement froide.
Au final, rien qui ne m'ait ni convaincue ni séduite, et un livre que j'aurais bien du mal à recommander.
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critiques presse (1)
LeFigaro
05 septembre 2013
Ce n'est pas seulement le mélange des genres, qui est ensorcelant, c'est aussi la façon qu'a Weitzmann d'écrire avec son sang, en tirant sur la chaîne reliant l'intime et l'universel, l'accident et l'essentiel. Chez cet écrivain qui a passé cinquante ans, on goûte à la fois le plaisir aristocratique de se faire des ennemis et l'audace impunie d'écrire des livres avec les contrariétés et les insuffisances de la vie.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
"Il y a quelque chose chez toi. C'est presque un principe de domination. Tu te poses quelque part, tu ne dis rien, tu observes. Le plus curieux est que ça apaise. ça devrait angoisser, ça devrait agacer. ça agace, d'ailleurs, parce qu'on se surprend à attendre le verdict. Mais ça calme. On ne peut pas dire que tu fasses des efforts, pourtant, tu n'essaies pas de donner le change, tu n'es pas quelqu'un de rassurant. On vois que tu n'as pas particulièrement de morale, par exemple. Tu ne fais pas ce que tu veux bien faire, tu ne crois pas en grand chose. Je soupçonne un fond d'égoïsme chez toi. Mais ça marche. En tous cas sur moi. J'ai le sentiment que tu comprends certaines choses. Je te fais confiance sans savoir pourquoi. J'ai tout de suite su que si tu le voulais tu finirais par m'avoir."
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Un vaudeville, voilà la vérité de la situation. Un classique vaudeville parisien entre une femme qui cherche l'attention comme le poisson l'eau, l'inattention personnifiée que peut être un intellectuel, lorsqu'il est ambitieux, de surcroît - et, au milieu, un jeune type qui pense trop et se connaît mal.
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Dites que derrière votre morale au fond ça vous amuse quelqu'un qui passe à l'acte. Je trouverais peut-être ça odieux mais au moins je comprendrais. Vous l'aimez pour ses transgressions et vous le défendez au nom de la vertu. C'est ça qui ne va pas. Il y a un réflexe d'arrogance presque tribale dans les excuses que vous lui cherchez quitte à détruire cette pauvre fille. (p. 321)
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Qu'est-ce qu'il a fait à part être juif? Ta tante c'est une révolutionnaire, c'est pour ça qu'elle a été déportée, mais lui? (p.59)
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Tout se passe comme si, pour être, il lui fallait faire semblant d'être ce qu'elle était pourtant bel et bien. (p.139)
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Vidéo de Marc Weitzmann
Dans une nouvelle édition britannique, plusieurs mots de l'oeuvre de Roald Dahl ont été modifiés pour, selon les éditeurs, moderniser les textes. Une dénaturation ou une adaptation naturelle des oeuvres d'art à l'époque et aux changements de valeurs ? Cancel culture, réécriture des classiques, adaptation des oeuvres : comment comprendre l'évolution de l'art au XXIe siècle ?
Pour en débattre, Guillaume Erner reçoit Thiphaine Samoyault, essayiste, traductrice et critique littéraire, directrice d'études à l'EHESS et Marc Weitzmann, journaliste, écrivain, producteur de Signe des Temps à France Culture.
#litterature #cancelculture #roalddahl ____________ Découvrez tous les invités des Matins de Guillaume Erner ici https://www.youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDroMCMte_GTmH-UaRvUg6aXj ou sur le site https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins
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