La voie de la sunyata mène toujours « nulle part » - comme ces Holzwege (sentiers qui se perdent dans la forêt) dont parle Heidegger, « nulle part » désignant das Seiende in seinem Sein, que l’on pourrait traduire par « l’étant dans son être » (ce qui nous semble se rapprocher de ce que les Chinois nomment tzu-jan, ou « anséité »).
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.