Sous une pluie d'étoiles

GROS COUP DE COeUR ❤
Ce livre est devenu mon préféré ! Je pense clairement le relire cet été !

Béa vient d'une bonne famille d'Angleterre et tout ce que ses parents veulent, c'est la marier. Ils la trouvent inconvenante quand elle parle de sciences, d'études, d'être indépendante... Alors ils l'envoient chez son oncle en Italie ! Quand elle pense qu'elle est foutue, elle passe les meilleures vacances de sa vie où elle apprend énormément de choses et goûte à la liberté.
On parle bien-sûr de la condition féminine : pas le droit de parler de relations sexuelles, pas le droit d'étudier, pas le droit de porter de pantalon... J'ai adoré voir l'héroïne se rebeller et profiter de sa liberté en Italie, loin de ses parents et de sa condition !

Il est aussi question du paysage des années 1930 : on est entre les deux grandes guerres avec la montée du fascisme en Italie et du nazisme en Allemagne. L'oncle de Béa côtoie d'ailleurs des fascistes et rencontre Mussolini. On aborde des sujets comme le racisme, l'exil, etc. Et c'est justement dans un climat comme celui-ci qu'est né l'art abstrait, un courant pictural engagé. On en parle pas mal dans ce livre puisque l'oncle Léo possède une maison d'artistes et joue au mécène avec sa fiancée (Filomena qui, du reste, j'aime beaucoup).
Pour beaucoup de personnages, leur seul moyen d'échapper à ce contexte est l'art : peinture et dramaturgie.

L'autrice s'inspire beaucoup des personnages de la pièce “Beaucoup de bruit pour rien” de William Shakespeare. le livre est divisé en 5 parties, comme les 5 actes de cette comédie de 1600. Je n'ai jamais lu cette pièce et très clairement, ça m'a donné envie de la découvrir, parce que vous commencez à connaître mon amour pour Shakespeare !

Dans ce livre, on voyage aussi. le charme de Florence transparaît dans l'écriture. Ça me donne davantage envie d'y aller. Moi qui adore l'art, le théâtre, les voyages, la nature... je peux vous dire que je m'en suis pris plein les yeux. J'ai voyagé et rêvé !

Il est également et surtout question d'amour. Béa et Ben vont apprendre à s'aimer durant l'été. le pacte : Ben doit apprendre à Béa ce qu'est l'amour et la relation charnelle, mais ils ne doivent en aucun cas tomber amoureux.
J'adore leur relation, elle est à mourir de rire ! Leurs joutes verbales sont
excellentes ! Ils se tendent des perches, s'envoient des piques / des pieux,
tout ce que vous voulez !
Ils se cherchent énormément ! Ils font comme si il s'agissait d'une “expérience scientifique” pour démontrer la différence entre la “théorie” et la "pratique”. Ce qui provoque des situations très cocasses ! C'est d'ailleurs de la pièce de Shakespeare que viennent leurs querelles et joutes verbales aussi hilarantes les unes que les autres.

La plume de l'autrice est vraiment envoûtante, ce qui fait que ça se lit
facilement et rapidement. Elle évoque plusieurs sujets, mais ensemble ils font sens et nous animent.

Une fois le livre ouvert, je ne voulais plus le quitter. Comme un bon souvenir, on a envie que cela ne s'efface jamais. J'ai déjà très hâte de m'y replonger cet été !

Je n'ai jamais vu passer ce livre ni l'autrice et pourtant, c'est une
très belle histoire, remplie de beauté, de poésie, d'amour et de rires !
Il mérite d'être lu et relu !
Je vous le conseille chaudement pour cet été !
À lire dans son jardin ou à la plage !

C'est toujours un plaisir de retrouver la plume de Laura Wood dans une nouvelle petite histoire des années 30. On suit la petite vie de Béa, fille d'une bonne famille anglaise qui va passer un été du moins.. expérimental en Italie aux côtés de sa cousine dans une villa remplie d'art et d'artistes. L'écriture est très jolie et nous plonge très facilement dans cette ambiance italienne en plein coeur de la saison estivale et c'est un vrai plaisir. J'ai adoré sentir ce soleil et la fibre artistique à travers ces mots. Néanmoins c'est loin d'être un roman avec de l'action et on peut facilement décrocher. C'est de loin celui que j'ai le moins aimé de l'autrice, après avoir adoré Sous un ciel d'or et encore plus Sous des flocons d'argent, j'ai été légèrement déçue de trouver cette lecture presque ennuyeuse. Toutefois, le personnage très atypique de Béa est un vrai plus et m'a permis de persister jusqu'à la fin. Une lecture sympathique mais qui ne vaut pas ses compagnons.

Je viens de finir Sous une pluie d'étoiles. L'histoire commence en Angleterre en 1933. Beatrice, une jeune adolescente vit une existence sans grand avenir dans le domaine en ruine de ses parents. Ceux-ci n'ont qu'un rêve : la marier au plus vite. Mais Beatrice qui aime la nature et les sciences, rêve de mieux. Elle a l'occasion de passer un bel été en Italie au milieu d'artistes. Un été qui va la transformer.
J'ai mis beaucoup de temps à entrer dans l'histoire. J'ai trouvé le début lent et les personnages en Angleterre manquent de consistance. J'ai accroché au moment où Bea arrive enfin chez son oncle en Italie. La découverte des artistes, l'ambiance italienne et le contexte historique (Mussolini et ses chemises noires) donnent l'impression de voyager.
Mais la romance amène peu de surprise, Bea est parfois caricaturale dans ses réactions et j'aurai aimé encore plus d'historique.
Cela reste une belle histoire de jeune fille qui prend en assurance et qui s'émancipe...

Dans ce livre, on recule dans le temps avec Béa, une jeune fille de la haute société qui n'en fait qu'à sa tête et ça exaspère ses parents alors ils décident de l'envoyer en Italie chez son oncle. Je l'ai vraiment beaucoup aimé. Il n'est pas tant pour les gens de niveau avancé mais pas non plus pour les débutants. Je vous le conseille fortement, je l'ai vraiment aimé.

Bea, diminutif de Beatrice. Ben, diminutif de Benedick. Ils se détestent mais vont apprendre à s'aimer. L'Italie. Oui, nous avons un bel hommage à la pièce de Shakespeare, Beaucoup de bruit pour rien ! C'est une de mes pièces préférées du barde et j'adore le film avec Emma Thompson et Kenneth Branagh, donc je suis rentrée dans le roman de Laura Wood avec beaucoup d'enthousiasme !

Il faut dire que Bea est très attachante, davantage portée sur la science et l'étude de la nature que sur la recherche d'un mari, au grand dam de ses parents. Qui voudrait épouser une jeune fille qui n'hésite pas à parler reproduction animale au cours d'un repas avec le jeune homme que ses parents ont choisi pour elle ? Décidés à la voir s'assagir, les parents de Bea l'envoient chez son oncle et sa cousine en Italie pour les vacances d'été. Mais à la grande surprise de Bea, son oncle vit dans une belle villa avec sa fiancée, une femme libre qui aime recevoir différents artistes dans les soirées qu'elle organise à la villa.

Bea va apprendre à affirmer ses goûts, faire des rencontres et rêver de s'émanciper et de s'instruire. Les choses de l'amour sont un véritable mystère pour elle, donc c'était très amusant de voir Bea commettre plusieurs gaffes avec son franc parler naturel. Ses échanges avec Benedick, un jeune peintre prétentieux qui séjourne à la villa, sont amusants de ce côté-là. Avec des amis pour témoins, ils concluent un pacte : ils vont se courtiser et faire preuve de romantisme l'un envers l'autre avec pour seule condition de ne pas tomber amoureux. Evidemment, on se doute de la manière dont tout cela va se terminer.

Cela dit, l'histoire reste tout de même agréable à suivre, grâce à des personnages attachants et sympathiques. de plus, Laura Wood évoque divers thèmes comme la condition des femmes, l'homosexualité, la montée du fascisme… Toutefois, je l'ai trouvé un peu en dessous des deux romans précédents de Laura Wood, mais il reste parfait pour se sentir en vacances et s'évader.

Dans les années 30, Béatrice a 17 ans et se sent en décalage avec ses parents dont le seul but est de lui trouver un mari... Ils ne comprennent pas son envie d'apprendre et sa passion pour la biologie. Pour la remettre sur le droit chemin, ils l'envoient chez son oncle en Italie. Là -bas, c'est un autre monde qu'elle découvre, un endroit où elle est libre d'être elle-même, entourée d'artistes qui la comprennent, dont Ben. C'est avec lui qu'elle va se lancer un défi : vivre une romance, sans tomber amoureuse.

⭐J'ai adoré l'héroïne, Béatrice, qui n'accepte pas la vision qu'ont ses parents de la femme. Elle ne veut pas se marier avec un homme qu'on lui impose, elle veut être libre et faire des études. Elle a une pensée très moderne pour l'époque contrairement à ses parents. Jai beaucoup aimé car elle n'est pas du tout romantique, elle essaie de comprendre ce qu'elle ressent pour Ben de façon objective et c'est assez drôle.
⭐ Les personnages secondaires sont aussi très attachants. D'abord Filomena, qui accueille les artistes mais aussi Klaus et Ursula. J'ai même été déçue, à la fin, de ne pas savoir ce qu'ils devenaient, c'était frustrant.
⭐ A côté de la romance, Laura Wood fait référence à des faits historiques dont la montée du fascisme en Italie, j'ai bien aimé ce côté historique, qui nous rappelle à la dure réalité de l'époque.
⭐Enfin, l'histoire entre Ben et Béa est très belle et pas du tout bébête. Il s'agit d'une romance qui ne doit durer qu'un été, ils savent tous les deux qu'il y aura une fin et c'est assez réaliste.
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Dans l'Angleterre des année 30, Béatrice rêve de sortir du carcan de sa condition d'aristocrate. Un été en Italie chez son oncle va lui ouvrir des horizons nouveaux.
Elle va rencontrer des femmes libres, des artistes, découvrir l'amour et la rébellion.
Une romance historique qui se lit comme une bonbon sucré.

Sous une pluie d'étoiles relate la romance entre deux adolescents, sous le soleil d'Italie le temps d'un été sous fond de montée du fascine avec Mussolini. Ce contexte politique est très légèrement esquissé et ne sera malheureusement pas approfondi durant le récit, se concentrant davantage sur les émois et la montée du désir chez le personnage principal féminin, Béa.

Béa nous est décrite dès le début du roman comme ayant l'esprit scientifique, irrévérencieuse face à la société anglaise, incapable de ne pas choquer lors des conversations badines, etc. Je m'attendais donc à une héroïne comme Calpurnia de Jacqueline Kelly. Toutefois ici j'ai eu l'impression que son intérêt scientifique n'était qu'un prétexte pour des scènes comiques où l'héroïne dissèque son désir et ses sentiments de manière très terre à terre. Les dialogues entre Béa et Ben (le fameux love interest) m'ont parue assez plat, et son personnage à lui n'est absolument pas creusé.

J'ai eu également la sensation que l'autrice n'avait pas abouti son idée initiale, celle de parler d'éveil de la sexualité, du sentiment amoureux et du désir naissant - ceux-ci ne sont que survolés. Tout reste assez plat, léger et presque inconsistant. Les échos à Shakespeare donnent envie de découvrir l'oeuvre initiale et ajoutent un peu de relief à l'ensemble. Il n'en demeure une lecture légère, romantique, parfaite pour l'été mais trop inconstante pour moi.

une très belle histoire

On découvre des personnages attachants, touchant.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Bea cette jeune fille pétillante au caractère bien trempé qui se moque.

La plume de l'auteure est fluide addictive et captivante un réel plaisir à lire.

Emprisonnée dans une bâtisse qui se vide peu à peu de son contenu afin d'assurer la subsistance de ses habitants, prisonnière du carcan des us et coutumes de la bonne société anglaise, l'héroïne aimerait tant être libre de sa vie.
Tenaillée entre l'envie de ne pas peiner ses parents mais profondément assoiffée de connaissances scientifiques, elle est malheureuse.
C'est pourquoi quand elle reçoit une invitation à passer un été en Italie auprès de son oncle, c'est avec plus de joie que d'appréhension qu'elle fait ses valises. Là-bas, c'est une vie complètement à l'opposé de la sienne qui l'attend le temps d'un été.

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