Blue Period, tome 1

Wow. L'art a très souvent quelque chose d'envoutant à mes yeux et je pense ne pas mentir en disant que dans ce manga, ce côté envoûtant et fascinant se révèle parfaitement.

J'ai été captivée par ce manga, totalement emportée dans ce club d'art, fascinée par Yatora et Yuka. Alors même que je n'y connais rien en art et que je dessine comme un pied, j'ai totalement plongé dans l'univers de ce manga, en ressortant uniquement le sourire aux lèvres lorsque j'eu tourné la dernière page.

L'histoire suit son chemin parfaitement, amenant sourire sur nos visages et étoiles dans nos yeux. On y suit Yatora Yaguchi qui est tout simplement un étudiant à qui tout réussit, vous savez celui qui a une vie sociale épanouie mais pourtant des notes à la limite de la perfection. Seulement il y a ce vide à l'intérieur de lui, tout du moins jusqu'à ce qu'il soit un jour subjugué par un tableau. Alors il commence à peindre, révélant petit à petit ses émotions en même temps que notre fascination.

Je pense honnêtement que je n'aurais toutefois pas autant aimé l'histoire si je n'étais pas tombé en amour avec le coup de crayon du mangaka (et de ceux des très nombreuses personnes l'ayant aidé pour les diverses oeuvres). Je l'ai trouvé incroyable, tout autant que la gestion des couleurs de la couverture et des premières pages qui est encore une fois tout bonnement sublime. Réellement. Ajoutez à tout cela des personnages envoûtants et bien construits et vous comprendrez peut être pourquoi ce manga est autant un coup de coeur absolu pour moi.

J'ai mis un certain temps avant de lire le premier tome de "Blue Period" de Tsubasa Yamaguchi aux éditions @pika_edition bien que l'ayant acheté dès sa sortie et qu'ayant lu une majorité d'avis positifs. Ils s'avèrent d'ailleurs tout à fait mérités : les quatre chapitres sont bien remplis, l'intrigue progresse vite avec de multiples personnages d'ores et déjà présentés : la famille, les amis du héros, les membres du club d'arts mais aussi plusieurs concurrents que nous serons amenés à retrouver. Sans jamais perdre ses lecteurs, le mangaka ne perd pas beaucoup de temps dans son entrée en matière et, dès le premier chapitre, il parvient à rendre cohérent le basculement de son personnage principal, Yatora Yaguchi, à la fois bad boy et bon élève qui succombe au plaisir de peindre. le thème choisi permet aux illustrations de s'orner des différentes créations artistiques des candidats au moment de chaque compétition. Pour l'instant, c'est une réussite. 🎨

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Un manga sur la thématique de l'art... Vaste sujet, n'est-ce pas ? L'art peut faire peur, l'art peut être considéré comme réservé à une élite. Et pourtant, Tsubasa Yamaguchi réussit à nous faire entrer dans cet univers qui peut sembler fermé, compliqué voire complètement dépassé, à travers un personnage néophyte et une oeuvre didactique.
Commençons par le commencement : cette chronique va probablement être un peu plus personnelle car l'art éveille chez chacun des sensations et des émotions différentes et quasi intimes. L'art est quelque chose qui me semble très éloigné de moi. Je trouve ça joli lorsque je vais au musée, voilà tout. Et pourtant, je me souviens extrêmement bien de certains tableaux qui m'ont fait ressentir quelque chose, sans que je ne puisse l'expliquer. C'était beau, beau différemment. Je m'intéresse à l'art depuis très peu de temps ; n'ayant aucun don particulier en dessin, je ne prenais pas vraiment au sérieux mes cours d'arts plastiques au collège par exemple, estimant que ce n'était pas fait pour moi.
Et c'est là que Yatora, le personnage principal du manga entre en scène : il pense que l'art ne sert à rien et que ce sont seulement les personnes possédant un don qui peuvent créer une oeuvre d'art. Yatora est un jeune garçon auquel on peut facilement s'identifier car plutôt banal. Il est, en effet, plutôt populaire tout en étant sérieux par rapport à ses cours. Il a de très bonnes notes et se pose pas mal de questions quant à son futur, comme tout lycéen, car il ne sait pas vraiment vers quoi se diriger. Avoir un métier et une situation financière stables par la suite sont parmi ses priorités. Mais un jour, au détour d'un cours, Yatora se retrouve face à un tableau et est transcendé par sa beauté, son trait. Vous savez, cette émotion si particulière lorsqu'un tableau nous touche. Il ne peut plus enlever cette image de sa tête et décide d'aller faire un tour au club d'arts de son lycée. C'est à cet endroit que toute sa passion va naître, c'est majoritairement au sein de ce club d'arts que l'histoire prend place dans ce premier tome. Mais Yatora n'est pas convaincu dès le début, non. Il se pose encore plus de questions à vrai dire : peut-on vivre en tant qu'artiste ? Y a t-il du travail dans ce secteur ?
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C'est la première fois que je lis un manga qui a pour thème l'art et plus particulièrement la peinture. Ce n'est pas un thème qui m'attire d'habitude mais franchement j'ai été agréablement surprise. Ce fut même un coup de coeur pour tout vous avouer. J'ai trouvé ce premier tome très prometteur et incroyablement beau à lire.

Les illustrations sont vraiment merveilleuses à découvrir. Elles rendent la lecture encore plus passionnante qu'elle ne l'est déjà de base. le coup de crayon du mangaka est merveilleux. C'est d'une beauté absolument pure. Comme je le dis l'histoire est déjà passionnante en temps normal. Mais les illustrations apportent vraiment quelque chose en plus. C'est d'une beauté vraiment époustouflante.

On va suivre le personnage de Yatora, un lyceen studieux. Depuis toujours, il ressent une sensation de vide en lui. Un vide qu'il va essayer de combler. Un jour, il va se retrouver face à un tableau qui va le subjuguer complètement. Il va découvrir qu'à travers la peinture il peut désormais se révéler et faire passer ses émotions à travers ses tableaux. Il va se découvrir une vraie passion et ça va le pousser à se livrer corps et âme pour tenter le concours d'entrée de la plus sélective école de beaux arts!

J'ai adoré l'histoire, elle est vraiment passionnante. On découvre le monde de la peinture, des cours d'arts etc. C'est un sujet dont on parle assez peu d'ailleurs et je trouve que traiter ce thème est vraiment intéressant. J'ai appris quelque trucs d'ailleurs que je ne savais absolument pas! On se rend compte qu'il y a également beaucoup de pression pour ceux qui veulent intégrer les écoles de beau art! le concours d'entrée est tellement sélectif sur les étudiants ont vraiment une pression de dingue sur les épaules!

J'ai beaucoup aimé le personnage de Yatora. Je l'ai trouvé très touchant et le voir s'épanouir grâce à la peinture. On découvre un tout nouveau Yatora d'ailleurs! On sent qu'il a trouvé sa voie, LE truc qui le fait vibrer. On sent même qu'il est vraiment passionné par le dessine, il fait tout pour se surpasser, continuer d'apprendre encore et encore pour s'améliorer. Il a un vrai talent en lui et a clairement toute ses chances pour le concours d'entrée!

J'ai vraiment hâte de découvrir le deuxième tome de cette série. Je sens que ça va devenir un de mes mangas préféré de l'année. Les illustrations sont magnifiques, les personnages passionnants, le thème du manga est fascinant. En bref tout ce premier tome est incroyable. Je ne peux que vous conseiller d'ailleurs! Foncez il vaut largement le coup!
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Blue Period est probablement le manga qui a le plus fait parler de lui en ce début de 2021 et la hype qui existe autour est totalement méritée. le fait de choisir de développer une histoire autour de l'art n'est pas un choix commun, en dehors des fois où l'on parle d'artistes célèbres comme Modigliani ou Van Gogh. D'autant plus qu'au Japon, l'art n'est pas forcément bien vu lorsqu'il n'est pas traditionnel, considéré comme un passe-temps et non comme un "métier d'avenir". C'est avec ces apriori que Yatora aborde l'art, comme un simple passe-temps, un moyen sûr et sans prise de tête d'avoir des points bonus pour son diplôme.... jusqu'à ce qu'il tombe sur le tableau magnifique d'une senpai, qui va alors tout remettre en question : les idées préconçues qui a pour l'art, sa vie actuelle mais surtout son avenir. Il va se découvrir une passion pour ce moyen de communication qui va lui permettre d'être enfin lui-même au grand jour. Blue Period est un histoire un peu compliquée à décrire, il faut vraiment la lire pour bien l'appréhender, parce que tout se passe dans l'ambiance onirique et lourde mise en place par Tsubasa Yamaguchi. Bien qu'on sent une légèreté dans la passion des différents personnages pour les différents arts, on ressent aussi la difficulté d'en vivre. le regard des autres est pesant, certains arrivent à en faire fi, apparaissant comme des excentriques, d'autres ploient face à cette pression et mettent de côté leur volonté. Etant moi-même issu d'un cursus artistique, ce premier tome m'a fait me souvenir des années à prendre des cours de dessins, à me préparer pour les examens d'entrée aux écoles d'art, aux années de prépa. L'auteur s'est vraiment renseigner sur tout ce qui touche à cet univers, aussi bien les règles à connaitre pour s'améliorer, que le matériel ou l'évolution dans le temps pour être accepter en école d'arts. C'est réaliste en tout point, le ton est parfait pour transmettre les émotions des personnages, ainsi que les détails des différentes oeuvres. Je regrette seulement que ce soit en noir et blanc, et non en couleurs...

Blue Period est un manga multi-récompensé sur l'art et pour l'art qui nous fait l'honneur d'être pour la première fois publié en France par les éditions Pika. Un grand chelem que cette série de Tsubasa Yamaguchi qui signe en même temps sa première série personnelle.

Blue Period s'est donc fait remarquer en récoltant deux prix assez prestigieux au Japon : le prix Taisho et le prix Kodansha ce que Pika ne manque pas de souligner. C'est donc un titre doté d'un certain pédigrée qui vient nous rendre visite.

Sans surprise, j'ai beaucoup aimé ce premier tome de Blue Period qui possède un premier mérite : le traitement de son sujet avec adresse, efficacité et générosité. Blue Period est un manga sur l'art , qui nous parle des formes artistiques diverses et variées qui existent , qui nous inculque un véritable amour pour le dessin et la peinture tout en enrichissant notre vocabulaire de notions techniques propre au domaine artistique. Blue Period , c'est d'abord la découverte d'un monde dont les néophytes que nous sommes n'ont d'abord effleuré que la surface.

Et quoi de mieux que de découvrir ce vaste monde qu'est l'ART à travers le point de vue d'un lycéen qui décide d'aller l'explorer ? C'est, en effet, et pour notre plus grand plaisir un voyage vers l'inconnu pour Yatora, un lycéen à qui tout réussit en apparence, qui accumule soirées entres potes et études studieuses, un lycéen qui incarne presque l'image du cool tout en se fondant dans le décor... La vie de Yatora aurait presque pu être prédéfinie si ce n'est sa rencontre des plus bouleversantes avec un tableau. A partir de là, Yatora est piégé dans la Toile et décide d'intégrer le club d'arts de son lycée qui n'est qu'une première étape vers les prestigieuses académies d'arts de Tokyo.

Yatora est un héros comme je les aime dans le sens où ce dernier, contrairement à ce qu'on aurait pu s'imaginer, n'a rien d'un génie. C'est quelqu'un qui remarque le monde de l'art, qui est touché par un tableau à tel point qu'il en perd le contrôle et peut même en verser une larme. Mais Yatora n'est pas l'un de ces talents cachés qui va tout exploser sur son passage. La mangaka Tsubasa Yamaguchi s'attache à rendre le parcours de son héros très progressif tout en faisant cheminer ce parcours du guerrier typique de celles et ceux qui décident de s'engager sur la voie de leurs rêves. Comme le dit si bien la bienveillante professeur du club d'arts : "Quand les plus perséverants font ce qu'ils aiment, ils sont invincibles !" Une phrase qui peut être commune à bon nombres de mangas mais que je trouve particulièrement percutante dans ce premier volume qui s'attache à nous présenter avec lucidité et didactisme cet univers fait de passion et de rigueur qu'est l'art. Surtout lorsque cette phrase est adressée à un héros charismatique mais aussi lambda qui n'a rien d'un élève prodige.

Si on s'attache dès ce premier volume au parcours de Yatora, ce n'est pas simplement par empathie pour ce héros mais aussi pour la généreuse description que Tsubasa YAMAGUCHI nous offre du domaine artistique sous toutes ses formes. La mangaka est elle-même une ancienne élève de l'Université des Arts de Tokyo et de ce fait, elle nous présente un contenu riche en détails et en informations sur l'Art et ces diverses formes et plus spécialement la peinture et le dessin. Blue Period est un manga très didactique qui nous apprend des notions autour de la profondeur, des couleurs complémentaires ou encore de la notion de perspective et des huit techniques qui y sont rattachées. Mais cet aspect didactique ne se limite pas au répertoire technique, l'autrice met aussi en valeur un rapport plus émotionnel au niveau de l'art, notamment les préjugés qu'il peut y avoir autour comme, par exemple, le fait d'en vivre dans une société qui méprise et respecte à la fois l'art . C'est un sujet très parlant que la légitimité sociale de l'art et qui ne se limite d'ailleurs pas qu'aux portes du Japon.

Didactique et lucide dans son approche, ce premier volume de Blue Period annonce sans conteste l'un des meilleurs manga parus sur l'Art ces dernières années. C'est un titre qui allie parfaitement une approche généreuse et progressif autour de cet univers tout en gardant à l'esprit une intrigue solide mené par un héros sympathique et accompagné par une ribambelle de personnages secondaires plutôt intéressants comme Yuka une jolie lycéenne transgenre qui n'hésite pas à remballer Yatora quand il le faut, la timide Mori, adepte de la peinture à l'huile ou encore le curieux génie du stage d'hiver. Tout comme Yatora, les autres personnages ne tombent jamais dans la caricature. Ils sont finement écrits tout en étant remarquables et ce dès le premier opus. Même la bienveillante professeure du club qui est surtout là en tant que pure adjuvant s'avère touchante par son léger humour.

Nous n'allons pas parler de Blue Period sans parler du dessin de Tsubasa YAMAGUCHI. J'ai lu ce premier tome en service presse et je n'ai pas savourer l'édition commercialisée avec les premières pages en couleur. Cependant, on peut reconnaitre à la mangaka un talent pluriel avec l'emploie de la peinture en premières pages qui nous immerge directement dans l'Art.

Son dessin purement manga est très réussi avec un chara-design assez soignée tout en étant recherché. Mais c'est surtout au niveau des incrustations et du montage que Blue Period s'avère réussi. Mme Yamaguchi fait appel à de jeunes artistes issues de diverses académies et écoles d'art pour illustrer ce manga à travers de véritables toiles incrustées dans l'intrigue.
C'est tout simplement génial et cela permet de faire ressortir encore plus généreusement les performances artistiques des personnages. Cela confère à ce titre un agréable parfum d'authenticité et honnêtement si chaque volume est construit de cette manière, alors Blue Period sera un véritable petit régal pour les yeux.

Même si nous ne sommes pas sensible à l'Art , ce serait dommage de passer à côté de ce premier tome de Blue Period. C'est un titre d'une belle générosité qui nous parle d'art avec naturel, didactisme et lucidité. L'intrigue est très prometteuse et nous immerge totalement dans ce futur parcours du combattant mené par un héros lambda touché par la grâce de la toile.

Et oui, vous avez bien lu chers lectrices/lecteurs ! Il s'agit d'un manga sur la thématique de l'art. Très peu abordé sur ce genre de support littéraire, j'ai trouvé intéressant de vous faire part de ce petit bijou. Moi-même n'étant pas très grande amatrice de peinture, sculpture et autre dans ce domaine, je me suis plongée dedans dès le premier tome. La question maintenant est : pourquoi ?

Dans cette histoire nous suivons Yatora, simple lycéen qui n'a pas réellement d'ambition. S'amusant à sortir le soir, il semble ne pas réussir à trouver sa place au sein de la société, n'ayant aucun réel projet d'avenir. Un jour, il aperçoit par hasard le tableau peint par une de ses camarades de classe en cours d'arts plastiques. Cet événement va être ce que l'on appelle communément un déclic et va venir bouleverser sa vie. Notre protagoniste se découvre alors une passion pour le dessin et donc l'art, un monde à travers lequel il n'aurait jamais cru s'épanouir.

Tout d'abord, le manga ne s'arrête pas juste à une banale aventure dans laquelle nous suivons un héros passionné de dessin qui souhaite évoluer dans le monde de l'art. Véritable dictionnaire, l'auteure n'hésite pas à y glisser des noms et définitions techniques mais également à nous montrer comment l'art est représenté au Japon. Quel cursus suivre ? Quel pinceau prendre ? Quelle couleur utiliser pour tel type d'oeuvre ? Quelle technique pour tel rendu ? Une quantité de questions pour lesquelles les réponses fusent. Yamaguchi « sensei » (ainsi sont appelés les mangakas au pays du soleil levant) s'est bien évidemment informée sur tout cela afin de rendre le manga plus « vivant ». D'ailleurs des notes sur les tableaux ou techniques représentés ont été ajoutées dans la série . Une auteure qui s'investit se ressent tout de suite.
Et ne parlons pas des traits fins et doux qu'elle apporte en tant qu'illustratrice.
En parlant de trait … Comme une palette où reposent toutes les couleurs d'un peintre réalisant son oeuvre sur sa toile, les personnages y sont divers et variés. Et ce, puisqu'on y retrouve une élève trans ou encore d'autres étudiants dont la sexualité diffère de l'hétérosexualité.

Et l'histoire ne s'arrête pas au lycée puisque notre héros souhaite intégrer la grande école d'art de Tokyo. En plus de le suivre à ses prémices, nous continuons de le faire aussi durant ses années universitaires. Des rivaux qui apparaissent, des amitiés qui se soudent, des questionnements sur soi-même … Bref une petite pépite d'or magiquement rythmée par la mangaka !

Je pense que plus rien n'est à prouver puisque « Blue Period » a gagné deux prix : le Manga Taishô (grand prix du Manga) en 2020 mais aussi le fameux Kodansha du meilleur manga 2020 dans la catégorie générale !

Note : A savoir que le manga possède également une adaptation animée, sortie en 2021 et très fidèle à l'oeuvre originale. Ce n'est que la première saison, je croise sincèrement les doigts pour une suite ! :D

"Quand les plus persévérants font ce qu'ils aiment...Ils sont invincibles !"

Yatora est un élève exemplaire, studieux et qui reussit tout. Il a tout pour plaire, mais le jeune homme ressent toujours une sensation de vide en lui...
Puis un jour par pur hasard, il tombe sur une toile qui le subjugue littéralement. Yatora décide alors de se mettre à la peinture, en s'y investissant jusqu'au bout et d'essayer de combler ce vide en lui ! Il y consacre toute son énergie et veut tenter le concours d'entrée en école d'art, le plus sélectif du Japon...
Va-t-il finalement assumer cette passion ? Et va-t-il réussir le concours d'entrée en école d'art ?

Je ne m'attendais pas à être aussi surprise par ce manga.
Le sujet étant l'art, cela m'a tout de suite intéréssée et pourra surement être un manga aimé des artistes, mais bien sûr de tout le monde.
Le scénario est très bien construit, nous suivons l'évolution du personnage, ainsi que ses rencontres et les liens qu'il tissera avec ces derniers. le manga est rempli de petites leçons de vie sur le progrès et la persévérance qui peut même motiver le lecteur. Les graphismes sont remarquables, et c'est pour tous ces éléments que je vous conseille Blue Period.

Blue Period est une manga que j'ai bien aime pour faire passé le temps avec c'est dessin surtout les peintures qui sont magnifiquement belles à regarder. Par contre je trouvais cas des moments de l'histoire n'avancez pas. On apprend que l'art ne se limite pas seulement à dessin ou à sculpter mais à exprimer ce que l'on veut dire ou ressens à travers une oeuvre qui soit un dessin, une sculpture, un livre de croquis ou encore avec une photo,... Ca nous permet de nous libérer.
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Blue Périod est un manga d'aventure écrit par Tsuasa YAMAGUCHI, il a été publié aux éditions PIKA en 2017 et a gagné beaucoup de prix comme celui Mang Taishô en 2020.

Blue Périod nous parle d'un jeune lycéen, Yatora, qui au début n'aime pas l'art voire s'en moque. Un jour, il découvre un tableau dans la salle d'art. Il va être émerveillé par la beauté et la finesse de ce tableau. Il va le regarder pendant beaucoup des heures. Au fur et à mesure de l'histoire, Yatora qui est le personnage principal de l'histoire va se passionner pour l'art et va commencer à dessiner chez lui en reproduisant les techniques qu'il a observé auparavant. Il se découvre un vrai talent pour la peinture. Par la suite, il décide de s'inscrire dans une école d'art mais le matériel est payant et nécessaire pour l'intégrer. Il décide alors de ne pas en parler à ses parents…

J'ai bien aimé ce titre car j'aime lire des mangas. Les dessins sont jolis et détaillés. Ils correspondent bien à l'intrigue. Au début je n‘arrivais pas à rentrer dans l'histoire mais par la suite j'ai réussi et je l'ai beaucoup apprécié. Je recommande ce livre à ceux qui aiment les mangas d'aventure et qui aiment l'univers du dessin.

Lucas B.

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Blue Period est un manga en plusieurs tomes écrit par Tsubasa Yamaguchi. le tome 1 a été publié par Pika Édition en 2021. Ce manga a gagné de nombreux prix.

C'est l'histoire de Yatora, un jeune lycéen, qui découvre l'art de la peinture. Il décide alors de reproduire la technique qu'il a observé en classe. En refaisant cette technique, il ressent une sensation qui le plonge dans un état d'épanouissement. Il décide de s'inscrire dans le club d'art pour continuer à vivre cette sensation et pour peut-être découvrir une nouvelle passion.

J'ai bien aimé ce manga car j'aime lire des mangas. Je trouve qu'il n'y a pas vraiment d'histoire mais les personnages sont attachants. Ce manga est assez bien et j'ai passé un bon moment en le lisant. Je le conseille aux amateurs de dessin.

Esteban P.