Une nouvelle parole est née : brutale, hirsute, fauve, blasphématoire. On serait tenté de dire qu'elle est volontairement laide. Laide, comme on trouvait laids certains tableaux de Picasso avant qu'ils ne deviennent des valeurs sûres à la bourse des objets d'art. Zrika ne s'empêtre pas de tournures gracieuses, coups de chapeau et pas de danse élégants. Il écrit comme un ours blessé. N'étant pas un de ces poètes qui ont des relations ambiguës avec la " terrible page ... >Voir plus