" La nuit qui précède la corrida, on dort fantastiquement bien. C'est la nuit d'après qu'il n'y a pas moyen de fermer l'œil. Les soirs où je sortais sur les épaules de la foule à Madrid, je rentrais à l'hôtel, et là je commençais à ruminer. Je revivais la corrida. Je me retrouvais à nouveau face au taureau, rageur de n'avoir pas fait les choses comme il aurait fallu. Il me semblait toujours être sur le point de réaliser la faena parfaite, cette faena de ma vie, que ... >Voir plus