Gabrielle et Laurent : un couple heureux sans histoire. Mais au décès brutal de son époux, Gabrielle, désemparée doit faire face, outre son chagrin, à la rumeur selon laquelle Laurent aurait eu une liaison. Or Marion, la supposée maîtresse, assiste aux obsèques et déclare à Gabrielle que Laurent l'avait contactée : il suspectait que l'un des membres de son équipe trahissait la famille et se rendait coupable de malversations. Laurent a-t-il été victime d'un meurtre comme elle le croit? Marion paye de sa vie ses révélations, ce qui semble confirmer cette hypothèse.
N'ayant plus aucun attachement au domaine de Fontenay, rejetée par sa belle-famille, Gabrielle retourne vivre auprès de son oncle Antoine, au milieu de ses vignes, à Fontvieille, dans le village de son enfance.
Plusieurs intrigues s'entremêlent : une lettre anonyme, une histoire de chantage, un trafic d'oeuvres d'art, de l'espionnage industriel, une vengeance, une vocation contrariée …, les fausses pistes et les rebondissements se multiplient, maintenant l'intérêt du lecteur jusqu'à la dernière page : tous les ingrédients sont là pour nous donner quelques heures de détente.
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En lisant la 4eme de couverture, je m'attendais à un roman plutôt polar.
Mais c'est plutôt une histoire familiale.
Plus de la moitié du roman m'a paru super longue car il n'y avait pas d'évènements nouveaux. Ca installe le décor.
Seules les 100 dernières pages étaient selon moi + axées sur l'intrigue que j'ai bien aimée.
J'ai trouvé qu'il y avait trop de personnages et trop d'événements en + de la mort de Laurent. J'aurais aimé que cela soit plus centré.
J'ai bien aimé les décors, j'ai eu l'impression d'être un peu chez moi. Ça change beaucoup des décors comme New York, Paris....
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Une intrigue familiale comme on a l'habitude d'en lire. On a hâte de savoir la fin bien que les principaux suspects se reconnaissent assez facilement. Avec quelques surprises qu'en même.
J'ai surtout apprécié ce livre pour la visite de Lyon. J'ai retrouvé les quartiers, les rues dont notre voisine nous a si souvent parlés.
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J'ai trouvé la plume de Frédérick D'Onaglia agréable, mais l'intrigue peu captivante : les personnages sont caricaturaux et les situations s'adaptent trop facilement aux desseins de l'auteur.
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A cette heure matinale, une lumière dorée caressait l'onde de la Saône. Peu à peu, Lyon s'étirait dans sa lenteur dominicale, sous un soleil qui annonçait une belle journée printanière.Sur le quai Saint-Antoine, les derniers étals du marché s'installaient et quelques clients arpentaient déjà l'allée centrale, ponctuée de couleurs et d'odeurs alléchantes.Gabrielle retournait vers sa voiture, heureuse de ses emplettes. Avec précaution, elle déposa le large carton d'une tarte aux pralines sur le siège arrière. Elle fêtait aujourd'hui ses trente-cinq ans et ce gâteau ravirait à coup sûr Laurent et Tristan.