Ce livre est un manga écrit par Tsubasa Yamaguchi qui raconte l'histoire de Yatora, un lycéen surdoué, le meilleur de son lycée. Après les cours, il rejoint sa bande d'amis et aime regarder des matchs de foot. Mais Yatora a une pensée, il a l'impression qu'il lui manque quelque chose dans sa vie. Et un jour, il tombe sur un tableau peint par une élève du club d'art et depuis ce jour-là, il dessine de plus en plus et rejoint le club d'art, pensant avoir trouvé sa voie.



J'ai aimé lire ce livre car il contient de très belles illustrations, l'histoire est très intéressante et ses illustrations donnent vie au manga.

Voilà un manga qui sort de l'ordinaire.

Si on retrouve la thématique classique des lycéens, celui-ci suit Yaguchi, en classe de 1ère. Yaguchi est un élève brillant, à la réputation de bad boy. Profondément animé par le souhait de rentrer dans le moule malgré son intelligence aiguisée, ce travailleur acharné va se retrouver à l'art, bien loin de ses disciplines académiques habituelles.

Adepte de défis, Yaguchi va se lancer corps et âme dans la pratique, quitte à bouleverser un peu son avenir tout tracé.



Un premier opus qui ne sera pas sans rappeler les cours d'arts plastiques du collège !

Il s'agit de l'histoire d'un lycéen nommé Yatora Yaguchi qui n'a pas de but précis. Il arrive a faire beaucoup de chose sans le vouloir il s'agit d'un garçon sans but précis. Un jour, pendant qu'il se baladait dans son lycée, il passa devant la salle d'art et découvrit un tableau mais bizarrement ce tableau va réussir a changé la vie de notre personnage principal qui va désormais tous mettre en œuvre afin de réussir le concours de la plus prestigieuse université du Japon



J'ai bien aimé le livre car j'ai pu voir comment la vie d'un lycéen peut changé radicalement: une personne qui ne parvient pas a s'exprimer parviens a se dévoiler grâce a la peinture. Il fait réfléchir a la vie du lycéen car pour les études après le bac, on ne sait pas forcement ce que on veut faire alors que il suffit de trouver sa propre vocation et aller de l'avant. De plus, comme il s'agit d'un manga, il est très simple a lire et même si je n'aime pas spécialement ces types de livres j'ai bien aime celui-ci.

Le lire m'a permis de rester au calme et pouvoir me concentrer sur une seul et unique chose. Le seul point négatif que j'ai c'est que il faut lire les autres tomes afin de pouvoir finir l'histoire au complet car les mangas(c'est pour cela que je n'aime pas trop les lires ) ce compose de plusieurs exemplaires unique qui rajoute une parti de l'histoire. Il me semble qu'il y a aujourd'hui 15 volume disponible.



Ce livre est facile a lire et tout le monde y a droit. Il aide beaucoup les adolescents pour leurs avenirs en les incitant a trouver leurs vocations car il permet de s'intéresser au futur ainsi que de bénéficier de plus de culture général.

Si vous êtes de grands lecteurs, je vous recommande d'acheter tous les tomes afin de pouvoir lire l'histoire. On peut également le retrouvé en format animé pour ce qui préfère regardé au lieu de lire.



Nathéo

Yatora un garçon dépourvu de sentiments...



Nous allons suivre l’histoire du jeune Yatora. Yatora est un élève voyou mais studieux qui a centré sa vie sur la réussite professionnelle japonaise classique mais, malgré ses bonnes notes et sa popularité, il ressent un terrible vide en lui. En tombant sur le club d’art de son lycée par hasard, il se retrouve stupéfié, envoûté par un tableau magnifique qui l’ émerveille et remet en question la vie qu’il veut parcourir. En voulant se consacrer à la peinture et viser les meilleures écoles de beaux-art du Japon, une nouvelle vie s’ouvre devant lui, parsemé d’épreuves, de rencontres avec des personnages très intéressants comme Masako, professeur d’art, Ryuji amie de Yatora ou encore Mori Maru camarade de classe. Ce qu’il considérait comme une perte de temps, sans avenir, va finalement s’avérer être un trésor. Il réalisera que peindre est un moyen de s’exprimer et de communiquer ses pensées et ses sentiments à travers un pinceau et une toile. Il se donnera corps et âme pour essayer d’entrer dans une bonne école d’art .



Waouuh !!! se livre va vous faire passer par toutes les émotions possibles; le bonheur, l’excitation, la tristesse, la stupéfaction et j’en passe... on peut aussi s’identifier personnellement à des personnages ; la plume de l’auteur est très agréable, l’histoire extrêmement palpitante et captivante. UN LIVRE A ABSOLUMENT LIRE !



Un de mes moments préférer se situe à la page 10 où l’on peut constater que Yatora découvre la beauté de l’art pour la première fois, avec le tableau de Mori Maru ou l’on peut ressentir de la nouveauté, découverte,du bonheur, on peut comprendre aussi le commencement de cette fabuleuse histoire !

Génial! Il me faut la suite!

D'abord, j'aime bien l'histoire où cet ado un peu paumé, indifférent à tout, va s'ouvrir à la vie et la beauté par l'art. C'est grâce au dessin d'une camarade que tout se déclenche.

Les dessins de ce manga sont pleins de détails, ce qui est génial car on peut le lire une deuxième fois pour mieux comprendre. Les émotions sont puissantes.

Le titre fait référence à une période de Picasso : la période bleue.

Blue Period est un seinen sur le thème de l'art, qui met en scène Yaguchi, un lycéen préférant se forcer à entrer dans un moule au lieu de chercher sa propre voie. Jusqu'à ce qu'il se prenne petit à petit de passion pour le dessin…

Pour l'instant j'aime bien ce manga, l'art ne m'interesse pas beaucoup mais c'est interssant de pouvoir lire ce genre de manga

Nino

Yaguchi a trouvé sa vocation dans ce deuxième tome de Blue Period. Tombé amoureux de l’art, il a intégré le club de son lycée et s’oriente désormais vers Gedai, l’université spécialisée de Tokyo. Le chemin est rude, et les places, à l’arrivée, peu nombreuses.



Ce second volume se positionne dans la lignée du premier, une belle tranche de vie centrée sur le dessin et les choix d’avenir, mais s’attarde cette fois plus sur le fond d’une œuvre que sur sa forme. Le côté « cours magistral » s’estompe au bénéfice de l’interprétation.



Qu’est-ce qui fait d’une toile qu’elle est réussie ? Qu’elle est digne de succès, de reconnaissance ? Ou même, tout simplement, qu’elle attire l’œil ? Ce sont les questions que se pose un Yaguchi jusqu’ici focalisé sur sa technique, et qui doit à présent trouver sa « patte ».



Pour cela, il peut compter sur le soutien de sa nouvelle professeur, ainsi que sur ses camarades de stage… ou presque. Malgré le rapprochement qui s’esquissait avec Yotasuke, ce dernier continue de se montrer antipathique à l’égard de Yaguchi et ne manque jamais une occasion de critiquer son travail. Un mal pour un bien, puisque les doutes qu’il fait naître en lui incitent le jeune homme à s’interroger et à s’améliorer.



Si le traitement du protagoniste demeure irréprochable dans sa psychologie comme dans son évolution, mon opinion à l’endroit des personnages secondaires reste hélas inchangée. Hormis les quelques-uns susmentionnés, les autres sont encore trop en retrait, et surtout, ils manquent de limpidité.



La mère de Yaguchi semblait prête à le soutenir dans le tome précédent, or elle se révèle réfractaire à sa volonté d’étudier l’art ; ses amis ne font qu’une vague apparition, qui ne les présente pas sous leur meilleur jour ; Yuka se manifeste uniquement pour draguer tout ce qui bouge et lâcher une brève réflexion philosophique en lien avec le thème…



C’est, à mes yeux, la faiblesse de ce manga. Ça, et ses illustrations aux proportions parfois douteuses (notamment en ce qui concerne l’anatomie humaine). Ce n’est pas dramatique, mais l’ironie d’un tel défaut dans une œuvre sur l’art fait que je ne peux pas m’empêcher de le souligner.



Vous l’aurez compris, Blue Period n’est toujours pas un coup de cœur. J’adore son sujet, j’adore ce qu’il raconte, ainsi que les explications et éclaircissements pertinents qu’il offre sur la peinture, néanmoins je regrette qu’il ne soit pas porté par des personnages plus marquants, plus attachants, à l’exception de Yaguchi. J’espère sincèrement pouvoir les apprécier davantage par la suite.
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On ressort alors de ce tome assez séduit et même un brin ému sans que la mangaka ait besoin de forcer. Le développement des personnages gravitant autour de Yatora depuis déjà un moment à Geidai est une bonne idée, qui nous rend d'autant plus curieux de découvrir la suite et de voir ce que Yatora et ses camarades feront pour les concours.
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