si l'arbre savait ce que lui réserve la hache, il ne lui fournirait pas le manche.
À peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir.
A peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.
... et le mois est déjà fini.
... et l'année est presque écoulée.
... et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.
... et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.
... et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière ... Alors
... Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste...
N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent... Mettons de la couleur dans notre grisaille... Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.
Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste.
Essayons d'éliminer les " *après* " ...
je le fais *après* ...
je dirai *après* ...
J'y penserai *après* ...
On laisse tout pour plus tard comme si " *après* " était à nous.
Car ce qu'on ne comprend pas, c'est que :
- *après* , le café se refroidit ...
- *après* , les priorités changent ...
- *après* , le charme est rompu ...
- *après* , la santé passe ...
- *après* , les enfants grandissent ...
- *après* , les parents vieillissent ...
- *après* , les promesses sont oubliées ...
- *après* , le jour devient la nuit ...
- *après* , la vie se termine ...
Et *après* c’est souvent trop tard....
Alors... Ne laissons rien pour plus tard...
Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments,
les meilleures expériences,
les meilleurs amis,
la meilleure famille...
Le jour est aujourd'hui... L'instant est maintenant...
Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite. Au travail, pour les amis, les frères, les sœur, pour la famille.
Alors voyons si tu auras le temps de lire ce message et ensuite de le partager.
Ou alors tu le laisseras peut-être pour... " *plus tard* "...
Et tu ne le partageras " *jamais* " .
" Quand l'homme aura tué le dernier animal, coupé le dernier arbre et pollué la dernière goutte d'eau, il comprendra peut-être enfin que l'argent n'est pas comestible."
Se tromper de chemin, c'est aussi apprendre à connaître son chemin.
[...] si l'arbre savait ce que lui réserve la hache, il ne lui fournirait pas le manche.
Le rire, disait un grand penseur, c'est un peu comme les essuie-glaces : ils n'arrêtent pas la pluie, mais ils permettent d'avancer.
Si tu donnais le Sahara à certains humains, dans quelques années ils auraient besoin d'acheter du sable.
Je ne plante pas cet arbre pour moi, je le plante pour les générations qui continueront à vivre sur cette terre dans cent ans. Les arbres qui nous nourrissent aujourd’hui n’ont-ils pas été plantés par nos ancêtres ? Maintenant que nous avons bénéficié de la générosité de ceux qui nous ont précédés, nous devons faire la même chose pour les prochaines générations.
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- Il faut avoir les deux pieds sur terre. N'as-tu pas remarqué, soldat, que les gens qui ont les deux pieds sur terre sont moins susceptibles de nous mener en bateau?
Pendant que le paysan pleure son âne agonisant, les vautours dansent dans le ciel et les microbes du sol se préparent à cuisiner pour les plantes vertes.
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