"C'est vrai ! J'porte des slips en nylon mais faut pas m'embêter."
Dessine les mouches que monsieur Caméléon tente d'attraper.
[…]
Le pyjama de ce zèbre manque de quelques lignes.
Il faut marcher en file indienne et la colonne s'allonge pendant que l'artillerie allemande commence à battre le bois. En sortirons-nous vivants ? Après bien des angoisses, la compagnie se retrouve intacte de l'autre côté. Décidément, nous avons de la veine.
D'ailleurs, ça paraît incroyable, mais un jour où j'explorais les plus hautes branches de mon arbre, j'ai découvert un éléphant assis bien sagement, qui tricotait une écharpe.
La BD s'appuie sur le carnet de guerre d'un poilu. Un jour, en hiver, Barroux, qui marchait de Bastille à République, trouve sur un trottoir un carnet jauni qui contient le témoignage d'un poilu durant les premières semaines de mobilisation en été 1914. Dans ce carnet, le poilu raconte la séparation, les débuts de la guerre, les trajets vers les destinations inconnues, l'attente du courrier, les nuits dans les tranchées... et aussi la peur qu'il avait
mange ta soupe, ça fait grandir
mais j'ai pas envie de grandir
je suis très bien comme ça
"Combien de ces soldats que nous voyons passer rentreront dans leur foyer ? Chassons ces idées noires et reprenons courage.
Bonjourr c'est Emeline du collége Béranger grace a vous je me suis inspirer de votre personnage de ce livre pour Moi faire des illustration vous m'avai fait avancée car maintenant j'ecrit un livres nomée L'aventurier Imaginaire . Mercie Beaucoup j'espere quon ce revera bientôt bonsoir :)
Un vent léger souffle sur les tours du château.
Le soleil se lève au pays des animaux.
C'est une belle journée qui commence.
La première fois que je l’ai vu debout, il ressemblait à un géant, un ours, un ogre.
Mon père s’est écarté pour le laisser passer.
Il a aussi le pouvoir de se rendre transparent. La plupart des gens passent sans le voir.
La gardienne du 21, elle, s’arrête parfois discuter avec lui en rentrant du marché.
Par tous les temps, il monte la garde.
J’aime bien savoir qu’il est là, comme un ami fidèle…
Et un jour, c’était un jeudi… personne.
Le lendemain, pareil. L’hiver touchait à sa fin.
Je ne l’ai jamais revu.
Alors, je l’imagine…
… Très loin d’ici, assis à l’abri.
Son regard bienveillant posé sur le monde…
Il sourit.