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Critiques de Cécil (185)
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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

Plus d'un siècle après sa création par Sir Arthur Conan Doyle, Sherlock Holmes continue d'inspirer les auteurs sur tous les supports (films, séries télévisées, romans, bandes-dessinées, ...). Originalité, Luc Brunschwig se prive de Sherlock Holmes pour cet album. Les dessins de Cécil en noir et blanc sont magnifiques. L'intrigue, mystérieuse, donne envie de lire la suite.
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Holmes (1854/1891?), tome 4 : La dame de Sc..

Voici le quatrième tome de l'enquête de Watson sur la jeunesse de son partenaire et ami Holmes.

Cette fois, le docteur reste en marge de l'intrigue. Nous apprendrons beaucoup sur la mère de Mycroft et Sherlock, grâce à une intrigue non plus strictement policière.

Le dessin de Cecil est toujours aussi agréable et le scénario vous l'aurez compris et à la hauteur de l'attente des fans.

Vivement la suite.
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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

Depuis son apparition dans Une Étude en rouge en 1887 et malgré la fin officielle de ses aventures en 1927, Sherlock Holmes n'a cessé d'inspirer la littérature, le cinéma, la radio, la télévision et bien sûr la bande dessinée.



Dans le cas présent, Luc Brunschwig prend le lecteur à contre-pied en le faisant douter du soit-disant génie de Holmes. En effet, le récit s'appuie sur le fait que Watson a mis deux ans à raconter les dernières heures de son ami. Pourquoi a-t-il mis si longtemps ? D'ailleurs pourquoi Holmes n'a-t-il jamais parlé du Professeur Moriarty à son confident alors qu'il est censé être le plus grand criminel de son époque ? Et sa mort s'est-elle vraiment passée comme Watson le croit ? Après tout il n'y a pas eu de témoins de l'affrontement. Bref, tout est remis en question et comme le docteur Watson, le lecteur ne sait plus à qui se fier ni à quelle version des faits s'en tenir.



Ce doute constant est accentué par l'excellent travail graphique de Cécil avec un trait réaliste, un dessin très détaillé, une mise en lumière experte et l'utilisation d'un monochrome bleu-gris qui fait planer une atmosphère pesante sur la série.



Une série de haute volée, à lire absolument qu'on soit sherlockophile (j'ai vérifié, ce mot existe !), bédéphile, amateur de polar, d'intrigues très bien ciselées, d'illustrations somptueuses ou tout cela à la fois.

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Holmes (1854/1891?), tome 2 : Les Liens du ..



Les liens du sang

Le deuxième tome débute en 1844 pour nous relater la rencontre de Siger Holmes et de son épouse qui deviendront les parents de Sherlock. Nous rejoignons ensuite 1891, où la mort de Sherlock a plongé ses parents dans une détresse immense.



J’ai beaucoup aimé l’idée du point de départ. Mettre Watson sur la piste de Holmes et faire intervenir divers personnages apparus dans l’œuvre de Conan Doyle était risqué mais intéressant. C’est aussi, je pense, une réussite. Le récit se lit comme une nouvelle de Doyle, les personnages sont conformes aux originaux, le style même est proche de celui de l’auteur.

Les dessins monochromes sont d’une grande finesse. En gris bleuté pour le premier tome, avec un chapitre en sépia dans le second, pour une plongée dans le passé, ils rendent au texte son atmosphère londonienne et victorienne. On y retrouve une ville pluvieuse, sombre, comme dans les romans. Le graphisme de Cécil est superbe et on prend beaucoup de plaisir à détailler les cases avant même de poursuivre le récit.

Certains diront que c’est un ouvrage de plus sur Sherlock Holmes. Peut-être. Mais il est intelligent et bien construit. Et Sherlock Holmes peut-il être figé dans le passé ? Peut-on bouder son plaisir de lire de nouvelles aventures qui auraient pu arriver, quand on sait à quel point il fut réel et vivant dans le cœur de ses lecteurs et fans ?

Le personnage a échappé à l’auteur, il appartient à présent à la littérature intemporelle.

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Holmes (1854/1891?), tome 3 : L'ombre du do..

Après avoir emprunté à la bibliothèque les deux premiers tomes de Holmes, et avoir appréciée ce début d’histoire, j’ai décidé de lire le tome III, dans l’espoir d’en apprendre davantage sur Sherlock Holmes. J’ai été un peu déçu par le deuxième tome, je m’attendais à plus de révélations, l’enquête à au final très peu avancé. Je dois avouer que j’ai également été déçu par ce troisième tome, pas parce qu’il manquait de révélations, mais parce que je me perds un peu dans l’histoire, toujours plus de question sans réponses...



Ce tome commence avec le chapitre 4, on découvre un récit scindé en deux : d’un côté on retrouve le Dr. et Mme Watson, partis en France pour en apprendre davantage sur le passé de son ami Sherlock Holmes et de l’autre on retrouve Wiggins, resté à Londres pour découvrir qui est le docteur Dudley Parks. Je n'en dirais pas davantage pour ne pas gâcher le suspense, beaucoup de questions restent encore en suspens, peut-être trop… J’ai eu un peu de mal à comprendre la différence de lieu au niveau du récit, le passage entre Watson et France et Wiggins à Londres n’a pas été évident, je pensais au début que Wiggins été également en France.



Comme pour les précédents tomes, les dessins sont vraiment très beaux, personnellement j'ai adoré, que ce soit les visages ou les décors ils sont splendides !



Qui est réellement Sherlock Holmes ? L'enquête continue, je vais lire le prochain tome mais avec beaucoup moins d’enthousiasme que pour les premiers.

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Holmes (1854/1891?), tome 2 : Les Liens du ..

Un polar écrit par Luc Brunschwig ("Vauriens", "Les nouvelles aventures de Mic Mac Adam", "Makabi", "Le Pouvoir des Innocents", "La Mémoire dans les Poches"), dessiné par Cécil ("Le réseau bombyce"), édité par Futuropolis et ayant Sherlock Holmes pour sujet, peut-on rêver mieux ?



Brunschwig poursuit avec brio cette revisite du personnage de Sir Arthur Conan Doyle. Débutant l'intrigue après la mort de ce mythe de la littérature mondiale aux chutes de Reichenbach en 1891, c’est à travers le personnage du docteur Watson que l’auteur fait revivre le détective de légende. Au fil des pages de cette enquête post-mortem, Luc Brunschwig remet lentement tout en cause et part à la recherche du vrai visage de Holmes.



Ce second volet débute le 16 avril 1844 et revient sur la rencontre entre Siger Holmes et Violet Sherriford, les parents du célèbre détective. Il ne faudra cependant qu’une dizaine de pages pour que l’auteur revienne aux investigations de Wiggins et Watson, en 1891. Tout en livrant une enquête prenante, Brunschwig continue de soigner le développement psychologique des différents personnages. Après le docteur Watson, le professeur Moriarty et l’intrigant Mycroft, ce sont maintenant les parents de Holmes qui entrent en scène et le caractère bien trempé de Siger Holmes a d’ailleurs tout pour plaire. Le fait de peaufiner la psychologie des parents de Holmes permet d’ailleurs de mieux cerner la personnalité de Holmes et d’en apprendre plus sur son passé.



Au niveau du graphisme, Cécil passe admirablement d’une colorisation en teintes ocre pour la période passée à des tons gris-bleuté pour l’intrigue au présent. Les jeux d'ombres sont à nouveau splendides et l’alignement de vignettes qui semblent issues d’un vieil album photo plonge le lecteur dans une ambiance rétro qui colle parfaitement à l'Angleterre Victorienne.



Une enquête se déroulant après la mort de Sherlock, pour une œuvre qui fait revivre Holmes au détour de chaque case.
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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

S'il reste quelques personnes sceptiques sur le fait que la BD puisse être un art à part entière, il leur faut vraiment lire cet album qui a tout pour s'inscrire, en tant que série dans les incontournables d'une bonne BDthèque. Le graphisme est somptueux. Il me reste en mémoire quelques cases qui montrent le souci du détail du dessinateur : admirez les brodures sur les fauteuils, le jeu des lumières ou encore cette scène où Watson sortant de chez lui se fait doubler par un cab : le jeu des distances retracé en deux cases est excellent, tout comme cette case d'anamorphose entre le visage de Holmes et celui de son jeune successeur. Les teintes du dessin donnent une impression de nostalgie qui s'accorde parfaitement avec le contenu de l'intrigue et le sentiement qui s'en dégage. On a parfois l'impression de sentir le brouillard londonien et de voir une lumière un peu blafarde mais bien présente sortie des planches. L'intrigue en elle même est bien construite. Dans ce premier tome, les adeptes de scènes d'action seront sans doute déçus, mais ceux qui aiment les intrigues psychologiques et les mystères seront réjouis. On attend la suite avec impatience et l'on rêve déjà de voir Sherlock reprendre vie au cours des albums suivants. La présentation globale de l'album est d'excellente qualité avec notamment les paragraphes d'introduction et de conclusion qui permettent d'avoir un éclairaie sur l'histoire de cette aventure littéraire, pour ceux qui ne la connaîtraient pas encore. A noter également l'apparition de Conan Doyle sous les traits de l'agent littéraire de Watson qui contribue à faire de cette BD un très bel hommage à l'oeuvre de Conan Doyle qui réjouira les amateurs de Sherlock Holmes.
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Holmes (1854/1891?), tome 4 : La dame de Sc..

Le gros avantage de cette série reste sa qualité graphique irréprochable.Ccôté scénario, c'est plutôt lent, même si au travers de ce quatrième tome, on entre de plein pied dans une partie de l'histoire qui sait nous accrocher. On y découvre en effet les premiers jours de Sherlock Holmes et notamment sa mère entièrement dévouée à sa vocation.



On comprend vite que le bébé aura peu de place dans la vie de cette mère qui ne saura probablement pas être aimante.



Cet album nous plonge dans la grande histoire au travers de la guerre de Crimée. On attend la suite avec impatience. En tout cas, l'exploitation du hiatus dans les aventures de Sherlock (ce moment entre l'évènement des chutes de Reichenbach et son retour sur la scène) est une très bonne idée de la part des auteurs.



Admirez les prouesses artistiques du dessinateur ! Les cènes de guerre où l'on nous donne à voir le flot de blesssé arrivant sur les côtes de la turquie sous un ciel tout aussi tourmenté que la mer. L'impression d'une scène grouillante conduit à une forme d'oppression que poursuivent les scènes de l'hôpital où les espoirs les plus fondés s'avèrent vains pour cette population de soldats dont les seules consolations sont de pouvoir écrire à leur famille.



Les scènes du tribunal avec les différents angles de vue sont également pleinement réussies. Bravo également pour la mise en couleur dans les tons sépia et gris qui donnent une véritable ambiance, pour les variations entre plans larges et serrés qui rythment l'histoire entre vue d'ensemble et détails poignants.
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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

Une très belle bande dessinée, un Sherlock Holmes mort qui plane pourtant tout au long de l'histoire, un frère Moriarty qui révèle que l'ennemi juré de Sherlock ne serait pas celui que l'on croyait ... Le doute dans l'esprit de Watson ...



Une théorie intéressante, mais qui n'est pas résolue à la fin du volume. Pire même, une nouvelle énigme nous plonge dans "les origines" du plus célèbre des détectives, en nous promettant la rencontre entre ses parents ... mais avec une coupure franchement étrange, qui n'aboutit à rien de concluant ... Et au moins 3 autres volumes à suivre (le dernier étant encore "à paraître" à l'heure actuelle), ce qui laisse craindre une histoire longue, peut-être trop ...



Difficile de se positionner donc, car ma curiosité a tout de même été piquée, mais en en discutant avec d'autres lecteurs, j'ai appris que l'idée même que Moriarty n'existait pas, avait déjà été utilisée dans une nouvelle il y a environ 25 ans ... Dommage.



Je tenterai tout de même de lire la suite, si l'occasion se présente.
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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

Dans ce premier épisode, nous découvrons que Sherlock Holmes vient de disparaître et son ami, le Docteur Watson décide d’élucider ce mystère car le corps n’a pas été retrouvé.

Ce premier épisode installe les personnages principaux et l’histoire peut commencer. Bien que peu généreux, avec seulement une trentaine de planches, le récit est bien construit et permet de s’immerger immédiatement, mais cela reste malgré tout trop court.

Heureusement que l’album possède quelques pages descriptives du mythe de Sherlock Holmes qui survit toujours à son créateur.

Le graphisme est bien réalisé, très beau avec un gros travail sur les personnages et leurs expressions, c’est un atout indéniable. Le choix d’une couleur dominante pour ce noir et blanc est assez judicieux et donne un aspect vieillot à l’histoire se déroulant en 1891. Espérons que ce choix se justifiera réellement dans les prochains albums, parce qu’un vrai noir et blanc aurait mieux venu.

Dans l’ensemble, un bon album, trop court.
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Holmes (1854/1891?), tome 4 : La dame de Sc..

Ça y est, après trois longues années d'attente, l'enquête redémarre !



J'ai relu les précédent premiers tomes avant d'enchaîner sur ce nouvel album et force est de constater qu'en quatre tomes... on n'a pas appris grand choses tant Luc Brunschwig, plus retors que le professeur Moriarty, entretient le secret autour des Holmes nous révélant presque à contre-coeur certains éléments tout en multipliant les fausses pistes ou en détournant notre attention sur certains faits et personnages.



En habile marionnettiste, Brunschwig se joue du lecteur faisant surgir du peu de réponses plus de questions encore. Entre ses mains, le lecteur est captif de ce récit dans un état de frustration et de tension qu'accentue le dessin toujours aussi parfait que monochrome d'un Cécil au sommet de son art.



Aussi, tout comme Wiggins, John et Mary, le lecteur est loin de percer le mystère entourant la famille Holmes, mystère qui, au lieu de s'évaporer, s'obscurcit de plus en plus au fil des tomes.
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Holmes (1854/1891?), tome 4 : La dame de Sc..

4eme tome sur une serie qui s'interroge sur la mort du celebre detective.

Dans le premier tome Watson remet son manuscrit ou il explique la chute d'Holmes et de son implacable ennemi Moriarty dans les chutes de Reis...

Oui mais voila la famille d'Holmes, Mycroft en tete mais aussi sa mere, Moriarty lui meme conteste cette version des faits. Pour eux Holmes s'est suicidé et la publication de Watson porte atteinte à l'intégrite du porfesseur Moriarty. Watson n'y croit pas et decide de visiter l'un après l'autre ceux qui ont partagés la vie d'Holmes. Ce qu'il va découvrir va le mettre en danger.

Dans ce 4eme tome, il s'interesse au parcours de la mere d'holmes venue porter secours aux soldats de la guerre de Crimée. Il rencontre Melle Nightingale qui va lui raconter les quelques semaines passées avec cette curieuse mère. le dessin est classique et magnifique. Le scénario plein de chausse trappes. Un seul défaut (mais énorme) : à ce rythme de parution quand connaitrons nous le fin mot de l'histoire?
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Holmes (1854/1891?), tome 3 : L'ombre du do..

Le troisième tome de la série loin d'apporter quelques réponses épaissi davantage le mystère autour de la mort de Sherlock et de son passé. Watson continu son enquête et Wiggins tente d'en savoir un peu plus sur la garde-malade de Siger Holmes auprès du médecin qui l'a recommandé, notre ami se retrouve au milieu d'un cohue dont la querelle tourne autour du corps d'un bébé tout juste exhumé pour une enquête, en entrant dans la maison du docteur Wiggins a la surprise de se retrouver devant des bocaux remplis de choses étranges dignes d'un Dr Jekyll. J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié la partie où l'on voit la rencontre entre Holmes et Wiggins et pourquoi notre détective en a fait son apprenti.



Pour en revenir à Watson qui se trouve à Pau, il en apprend un peu plus sur l'enfance de son ami notamment le fait qu'il ait cotoyé Horace Vernet (son grand-oncle) et qu'il se serait en fait appelé William. Idées saugrenues peut être mais on en saura plus dans les tomes suivants car en me rendant sur Internet pour en savoir plus sur cette série j'ai appris que le tome 4 devrait sortir à la fin du mois du coup il ne me faudra pas attendre trop longtemps pour avoir les éclaircissements de cette fin de tome 3.



Plus la peine de s'étendre sur la qualité des dessins puisque je suis toujours aussi enchantée.
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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

Acquis lors de l'opération 48 Heures BD 2015, ce premier tome consacré à l'histoire de Sherlock Holmes est à la fois déroutant et accrocheur.

L'histoire commence lorsque Sherlock disparait dans les chutes de Reichenbach accompagné de Moriarty qu'il avait attiré afin de l'éliminer. Watson abattu, cherche à savoir pourquoi son ami a commis ce geste, surtout sans l'avoir prévenu, et en lui ayant simplement laissé un mot d'adieu. Dès lors John va remonter le fil de l'histoire et vite être confronté à de mystérieux personnages ayant vidé et saccagé l'appartement de Baker Street. Puis arrive Mycroft Holmes lui tenant des propos insensés sur son frère et « l'inexistence » de Moriarty. Qui croire ? Est-ce un cauchemar de plus parmi ceux qu'il fait, et où apparaît Sherlock, lui délivrant de sibyllins messages ?

Le talent du scénariste Luc Brunschwig nous entraîne dans une enquête que n'aurait sans doute pas reniée Conan Doyle, qui apparaît d'ailleurs dans l'album. Articulé en deux parties ce premier opus nous emmène sitôt la mort de Sherlock, à un lointain passé, que l'on devine être la rencontre de ses parents. le dessin de Cecil est attrayant, dans des tons bleu-gris pour le présent et ocre-jaune pour le passé. Sa jeune carrière lui offrira l'occasion de l'affirmer encore car un réel potentiel réside dans ce trait nerveux quoiqu'un peu trop rapide par moment.

En conclusion, un album très honnête qui donne inévitablement l'envie d'acquérir les suivants.
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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

Holmes est mort dans un ultime combat avec son ennemi juré le professeur Moriarty. Il lègue tous ces biens à son frère Mycroft et laisse son fidèle accolyte le docteur Watson effondré. Celui-ci écrit donc la dernière aventure de son ami... Mais plusieurs versions de sa mort viennent perturber Watson qui décide d'en avoir le coeur net : Holmes s'est-il suicidé gavé de cocaïne ? Le professeur Moriarty existe-t-il vraiment ? Si oui, quel secret cache-t-il ?

Une enquète passionnante à la manière du celèbre détective...

Cette BD tout en bleu-gris, de facture classique nous plonge dans l'angleterre sombre du 19e siècle...

Une chronique sur les liens entre Sherlock holmes et son auteur Arthur Conan Doyle très intéressante cloture cette aventure.

A découvrir

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Holmes (1854/1891?), tome 5 : Le frère aîné

Alors que Sherlock Holmes a disparu en se jetant dans les chutes de Reichenbach avec son ennemi de toujours le professeur Moriarty, le docteur Watson effondré par cette perte, continu d'enquêter notamment auprès de l'ancienne servant de la famille Holmes, Miss Bannister. Elle lui raconte qu'en 1858 Violet Holmes passait beaucoup de temps à l'extérieur au désespoir de son époux et sous les yeux plein de question de leur fils Mycroft. Pour comprendre ce qui attire tant sa mère Mycroft et Sherlock vont enquêter, en commençant par le dressing de madame. Et deux indices vont aider les deux frères : un odeur de cigare et de la boue rouge.



En suivant l'enquête des deux frères et des souvenir de l'ancienne servante, nous découvrons les secrets de la famille Holmes et avec eux les nombreuses questions que l'on se pose depuis le début de la série. Beaucoup de suspense et d'intensité avec les illustrations aux teintes sombres ou sépia selon les époques et des effets d'ombres qui amplifient la profondeur du dessin, le rend plus réaliste.



Cette BD offre une autre façon de voir le grand détective et de ce frère si énigmatique que l'on retrouve dans d'autres séries.


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Holmes (1854/1891?), tome 1 : L'Adieu à Baker..

Une curieuse bande dessinée que l'on peine à comprendre au premier abord : je m'attendais à une classique aventure de Sherlock Holmes, me voilà plongée dans le récit de sa mort et du dernier combat qu'il mena contre Moriarty...Qui nie pourtant totalement ses méfaits.



Holmes aurait-il lui-même mis en scène sa mort et ses raisons ? Les personnages iconiques perdent pied et se contredisent, et l'auteur instille le doute : on ne comprend plus vraiment d'où l'on vient ni où l'on va.



J'aurais pu me prendre au jeu de ce nouveau mystère, mais si les planches au dessin croqué rapidement sont très jolies, j'ai trouvé les textes manuscrits des bulles totalement illisibles, et j'ai du m'employer plus d'une fois à les déchiffrer...parfois sans succès. Une lecture qui n'est pas finalement pas vraiment une partie de plaisir et qui m'a laissé un peu frustrée, puisque l'idée de base est tout de même amusante !



Après réflexion et recherche sur internet, il s'avère que j'ai en fait lu la bande dessinée "Making Of" faite de story-board et de crayonnés, je comprends un peu mieux mon désarroi face à cette bande dessinée !
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Holmes (1854/1891?), tome 5 : Le frère aîné

5° tome de la série Holmes de Cécil et Brunschwig , le dessin noir et blancs et toujours aussi à la fois délicat et puissant .Hélas on ne peut en dire autant du scénario dans les premiers livres originalité et surprises étaient la règle au fil des épisodes tout s étiole avec une imagination qui s efface au point d en appeler au secours le passé infantile du héros papa , maman , frérot , la nounou, Karl Marx et sa Duchesse de femme .Mais bon chacun pourra juger selon ses goûts décevant tout de même .
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Holmes (1854/1891?), tome 2 : Les Liens du ..

Ce deuxième tome confirme tout à fait le bien que l'on peut penser de cette série. Commençons par un très gros point fort : le graphisme. J'ai rarement vu une BD aussi achevée de ce point de vue. Admirez les détails de la 4ème case de la page 14 avec le village dans le lointain, les deux cabs sur le chemin et les prés servant de décor... Contemplez la dernière case de cette même page et l'impression de vitesse rendue sur l'encolure du cheval. Le jeu de lumière sur la dernière case de la page 17 avec le soleil qui perce les feuillages. Que dire du jeu des ombres dans la scène se déroulant dans la chambre de Sherlock pages 32 et 33 ? Admirez également le travail sur le vieillissement d'un personnage : le père Holmes entre les deux périodes. Ce sont bien les mêmes traits, mais la vieillesse est là ! Vous l'aurez compris, les prouesses du dessinateur sont au rendez-vous.



L'utilisation des couleurs est à souligner avec le flash back en couleur sépia et les rêveries de la future madame Holmes en couleur.



L'intrigue se densifie et toutes les pistes restent ouvertes dans ce second tome. Je crois peu en l'explication du conflit entre Holmes et Moriarty donnée par la mère du détective. La dédicace du livre trouvé par Watson et Wiggins montre que Moriarty semblait plus attaché à quelqu'un d'autre... Alors un conlit lié à l'honneur familial ? Je serais Watson, j'irai probablement faire un tour à Oxford pour tenter de retracer l'hitoire d'une canne de marche, utilisée par l'infirmière du père de Holmes. On peut douter qu'une infirmière ait de quoi payer un tel objet avec ses gages. On peut aussi se poser des questions sur les relations entre l'infirmière et son malade. Le mystère demeure : pourquoi le père de Holmes soutient financièrement Moriarty ? Pouquoi empêche-t-on le vieil homme de parler ? Le mystère reste entier. Je reste fan de cette série et à chaque album terminé, je me pose la même question : Bon sang, pourquoi n'y a-t-il pas plus de pages ?
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Holmes (1854/1891?), tome 4 : La dame de Sc..

Quel bonheur de replonger dans cette BD et dans ces dessins. Dans ce volume nous explorons et apprenons une peu de la vie de la mère de Sherlock Holmes. Certaines questions trouvent leurs réponses mais en pose d'autres aussi.

Les couleurs et le dessin sont toujours aussi prenants, fins, détaillés et réaliser avec talent.

Un vrai bonheur. A quand la suite ?
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