Cécil

Le lecteur est plongé en 1891 suite au décès du fameux Sherlock Holmes. Les faits et événements sont racontés par son grand ami le docteur Watson. Suite à un duel avec son ennemi Moriarty, les deux hommes seraient tombés dans les chutes de Reichenbach, en Suisse. Aucun corps, pas de trace de lutte, juste une lettre laissée à Watson. Cependant, plusieurs énigmes restent en suspens quant à cette disparition, notamment la présence de l'énigmatique Mycroft Holmes, le frère, qui souhaitent récupérer les dossiers du célèbre détective. Watson décide alors de mener son enquête aidé de son agent littéraire Arthur Conan Doyle (joli petit clin d'oeil) et de Wiggins.

De nombreuses références à l'oeuvre de Sir Conan Doyle sont présentes tout au long de l'histoire. Ne l'oublions pas Sherlock Holmes est bien une fiction, un personnage de fiction qui a dépassé son créateur de par sa renommée internationale. Je ne suis pas une grande fanatique des Sherlock Holmes, je connais seulement les mythes qui l'entourent. Alors, vérité ou mensonge lorsque l'on apprend que Holmes est dépendant à la cocaïne ? qu'il a des hallucinations et qu'il est proche de la schizophrénie ? qu'il ne digère pas le mariage de Watson ? Ma curiosité me pousse à lire les romans de Conan Doyle pour en apprendre davantage sur ce personnage connu de tous mais toutefois étrange.

Cet ouvrage a éveillé ma curiosité, j'apprécie particulièrement qu'une fiction me fasse cet effet. Le scénario est bien pensé et le suspense donne un rythme haletant au récit avec des rebondissements inattendus. De plus, les illustrations sont de bonne qualité. Cette bande dessinée est très cinématographique, un effet certainement rendu par les tons et les couleurs des planches : noir et blanc.

C'est vrai qu'on l'aura attendu longtemps... 4 ans... (moi aussi je lirai la fin à la retraite! ^^)



Pas de grandes révélations dans ce tome (même si le mystère se renforce), mais une ambiance remarquable. On plonge davantage encore dans le contexte historique, avec quelques scènes de rue magnifiques, et des échos entre des récits parallèles particulièrement bien trouvés.

Le début, un rêve de Watson, nous conduit un peu plus loin dans la quête de vérité (et de noirceur) autour de Holmes: l'enquête est autant concrète que psychologique, et en l'absence de l'écrasant Sherlock le personnage de Watson prend une profondeur qu'il n'a pas chez Conan Doyle.





Le livret graphique (pour se faire pardonner du temps mis à sortir ce 3e tome? ^^) est intéressant; Cecil explique quelques choix, hésitations, et techniques.

Corbeyran n'est plus au scénario et c'est Cecil qui s'y colle en plus du dessin. Clairement les deux premiers tomes étaient de très haute qualité avec une histoire sombre et malsaine au possible. Ici Cecil s'en sort globalement bien, avec notamment une fin au niveau de l'ambiance de cette trilogie.

Tome 5 que je croyais l'ultime mais non !

Il y en aura un sixième.

On fait l'histoire du XIXe siècle. Après Florence Nightingale, on rencontre, enfin maman Holmes et sa famille rencontrent Karl Marx.

J'adorai madame Holmes, femme libre et moderne mais dans ce tome, elle devient une femme manipulatrice et extrémiste.

Bref ça part en cacahuète non ?

Avec des dessins et des couleurs toujours superbes.

Si je me souviens de cette lecture à la sortie du dernier tome, je lirai avec plaisir.

Une bande dessinée que le hasard a mis entre mes mains. Je n'ai pas été déçu par les cinq tomes parus qui composent cette histoire : #ladieuabakerstreet (tome 1), #lesliensdusang (tome 2), #lombredudoute (tome 3), #ladamedescutari (tome 4) et #lefrereaine (tome 5).

J'ai apprécié l'originalité du scénario dans lequel le docteur Watson enquête sur le décès de son ami. Accompagné de son épouse et du jeune Wiggins, Watson découvre le passé de Sherlock.

Ce personnage de fiction est presque devenu un homme ayant véritablement existé. Les notes en fin du premier tome sur son créateur Arthur Conan Doyle sont d'ailleurs très intéressantes. J'ai également aimé la distinction des couleurs entre les chapitres traitants du passé et ceux du présent. Cela permet de situer d'un coup d’œil la temporalité des événements. Maintenant, j'attends le dernier tome avec impatience ! Et j'imagine que le final sera à la hauteur de la série à n'en pas douter.

Une bande dessinée que le hasard a mis entre mes mains. Je n'ai pas été déçu par les cinq tomes parus qui composent cette histoire : #ladieuabakerstreet (tome 1), #lesliensdusang (tome 2), #lombredudoute (tome 3), #ladamedescutari (tome 4) et #lefrereaine (tome 5).

J'ai apprécié l'originalité du scénario dans lequel le docteur Watson enquête sur le décès de son ami. Accompagné de son épouse et du jeune Wiggins, Watson découvre le passé de Sherlock.

Ce personnage de fiction est presque devenu un homme ayant véritablement existé. Les notes en fin du premier tome sur son créateur Arthur Conan Doyle sont d'ailleurs très intéressantes. J'ai également aimé la distinction des couleurs entre les chapitres traitants du passé et ceux du présent. Cela permet de situer d'un coup d’œil la temporalité des événements. Maintenant, j'attends le dernier tome avec impatience ! Et j'imagine que le final sera à la hauteur de la série à n'en pas douter.

Une bande dessinée que le hasard a mis entre mes mains. Je n'ai pas été déçu par les cinq tomes parus qui composent cette histoire : #ladieuabakerstreet (tome 1), #lesliensdusang (tome 2), #lombredudoute (tome 3), #ladamedescutari (tome 4) et #lefrereaine (tome 5).

J'ai apprécié l'originalité du scénario dans lequel le docteur Watson enquête sur le décès de son ami. Accompagné de son épouse et du jeune Wiggins, Watson découvre le passé de Sherlock.

Ce personnage de fiction est presque devenu un homme ayant véritablement existé. Les notes en fin du premier tome sur son créateur Arthur Conan Doyle sont d'ailleurs très intéressantes. J'ai également aimé la distinction des couleurs entre les chapitres traitants du passé et ceux du présent. Cela permet de situer d'un coup d’œil la temporalité des événements. Maintenant, j'attends le dernier tome avec impatience ! Et j'imagine que le final sera à la hauteur de la série à n'en pas douter.

Ce premier opus, qui est loin d'être une nouveauté, est une adaptation incontournable des aventures de notre enquêteur aux multiples talents 🔍 Et quelle surprise puisqu'il en est le grand absent. En effet, l'histoire débute après sa disparition aux chutes de Reichenbach et son ultime sacrifice afin de sauver le monde du démoniaque Moriarty 🌊 Diantre on veut entacher son honneur et sa mort. Foi d'anglais on ne laissera pas faire 🏹

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Qui d'autre pour reprendre les rênes d'une nouvelle enquête que le Dr Watson et oh, un nouvel intervenant en la personne du jeune Wiggins 🎩 C'est reparti pour un tour sur les traces de Sherlock et on aime ça !

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Concernant les graphismes, le noir et blanc tirant au gris bleu met magnifiquement en valeur une réalisation millimétrique des tableaux (oups cases) ✏ Le gaufrier nous plonge dans l'atmosphère victorienne d'un Londres pesant et pluvieux sous son Fog légendaire 🌫 Le souci du détail cadre avec brio avec la psychologie de Holmes et la brièveté de ce tome (snif) rappelle fortement le format "nouvelles" cher à Conan Doyle 📰

un beau graphisme un scénario bien construit avec beaucoup d'aller retour dans le temps.

La sortie en tome successif rend l'histoire malgré tout un peu trop tortueuse

La trilogie se termine moins bien qu'elle n'a commencé, dans tous les sens du terme. Heureusement le dessin est toujours de haute voltige, si je peux me permettre. Mais bon, l'intrigue se complique vraiment, et trop de rebondissements, de flash back, de conspiration dans la conspiration tue l'effet "réseau bombyce".

...

Encore un bon tome.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..

Deuxième opus de cette saga sur la recherche de la mort de Sherlock Holmes. Séparé en deux chapitres, la bande dessinée nous propose de suivre la vie du père de l’enquêteur lorsqu’il fonde sa famille, puis en 1891 lorsque Watson par à la recherche d’indices et particulièrement auprès de cette famille.

Le récit est bien construit et permet de suivre ce qu’était la face cachée de Holmes, sa jeunesse. Et l’histoire nous annonce des éléments assez impressionnants.

Le graphisme est identique au premier tome mais chaque partie utilise un noir et blanc avec une couleur dominante pour séparer la jeunesse de Holmes et le contemporain. Le sépia utilisé pour la période antérieure aurait été plus souhaitable pour l’époque contemporaine, car le noir et blanc est plus propice à un temps ancien.

Dans l’ensemble, hormis le choix graphique, l’histoire présente un côté assez glauque du personnage. Le récit reste encore une fois très court.
Lien : https://lectureroman.wordpre..

Cette BD me faisait de l'oeil depuis un petit moment. Une histoire dont le sujet porte sur Sherlock Holmes, détective dont j'apprécie les enquêtes et les capacités d'analyses et de déduction et la couverture, que je trouve très esthétique m'ont fait ouvrir et découvrir les premières pages.

Nous sommes après la mort présumée de Sherlock Holmes, lors de son combat contre James Moriarty, et Watson décide d'écrire et de publier la dernière aventure de son ami. Sauf qu'il découvre que tous les dossiers des enquêtes de Sherlock Holmes ont été volés par le frère de ce dernier, Mycroft Holmes.



Des premières pages intrigantes, une histoire qui s'installe rapidement et intelligemment, Holmes est une bande dessinée qui aborde la vie de Sherlock Holmes d'une nouvelle manière.



Une très bonne découverte, à suivre.

Dés la première page, je me suis retrouvée dans l'univers de Sherlock Holmes que je connaissais déjà un peu. Les graphismes sont de mon point de vue très soignés, je peux dire qu'ils m'ont beaucoup plu et qu'ils rendaient l'atmosphère que j’espérais y trouver, plutôt sombre et mystérieuse.
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Cécil poursuit son travail d’orfèvre. D'une grande fluidité, ses planches sont impressionnantes, tant elles sont précises et réalistes.
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En 1891 commence le Grand Hiatus. Lors de son ultime combat avec le professeur Moriarty, Sherlock Holmes meurt, en tombant des chutes de Reichenbach.

A Londres, Watson ne se remet pas de cette nouvelle et doute de la version "officielle" qu'il a pourtant lui-même relatée. D'autant plus qu'il apprend que le 221b Baker Street vient d'être cambriolé. Avec le jeune Wiggins devenu détective, ils vont tenter de lever le voile sur le mystère que entoure le détective le plus célèbre d'Angleterre, pour découvrir l'homme et ses défauts.



Une série très courte (2 volumes), avec des dessins en camaïeu de gris vraiment superbe. J'ai adoré.
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Eustache est parvenu à convaincre son ami Mouche de l'aider à rentrer dans la maison de feu le docteur Brücke, qui avait séquestré le nain peu de temps avant de trouver la mort. Revenir sur les lieux n'enchantait guère son complice, mais Eustache pensait pouvoir y retrouver Zibeline, peut-être prisonnière elle-aussi de ce psychopathe.

Pendant ce temps, le Baron de Harcourd a décidé de passer à la vitesse supérieure. Il a usé de son influence pour convoquer une troupe d'élite de l'armée, spécialisée dans le dépistage et l'élimination. Monocle aura bien du mal à justifier leur venue auprès de ses supérieurs pour la traque de simples monte-en-l'air, mais le Baron ne lui laisse pas le choix : il veut absolument mettre la main sur le Réseau Bombyce !



On aurait pu croire que la récupération de la bobine de film aurait mis fin à l'obstination du Baron, que nenni ! Pire encore, il semble faire de cette affaire une question de vie ou de mort. Les révélations de Pol dans le tome précédent, l'un des membres du BOA - le club dans lequel ils se réunissent tous pour visionner les vidéos - semblent l'avoir particulièrement affecté, au point qu'il déballe l'artillerie lourde (déjà qu'elle l'était pas mal avant).

La traque se poursuit donc toujours, mais elle se ressent pourtant moins que dans le tome 2 où elle était oppressante. Car cette fois le réseau est chassé mais lui-même s'évertue à poursuivre sa chimère, ou tout du moins celle d'Eustache qui, n'en déplaise à son ami Mouche, n'a pas livré tous ses secrets.



La suite à lire sur BenDis...
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4 Mai 1891, Sherlock Holmes disparait dans les chutes de Reichenbach entrainant avec lui son pire ennemi, le professeur Moriarty. Alors que son frère Mycroft Holmes détruit ses précieuses archives et prétend qu'il était devenu fou , le fidèle Watson refuse de croire à cette version et se lance dans une enquête qui le conduira au coeur de la famille Holmes et de ses secrets.

Nous retrouvons dans ces 2 beaux albums illustrés en gris bleuté ou en ocre/sépia ( pour les flash back ) l'ambiance des romans policiers de Doyle. L'observation et l'esprit de déduction y sont mis à l'honneur et on y découvre des clins d'oeil à l'oeuvre originelle ( Doyle est l'agent littéraire de Holmes ! ).

Voici une variation originale du mythe Sherlock Holmes qui parvient à faire mouche par la psychologie appuyée des personnages, à leur dualité et par un graphisme adapté à l'ambiance victorienne de l'époque.
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Après les révélations de Moriarty dans le premier volume, celui-ci nous fait pénétrer dans l'intimité de Sherlock Holmes: sa jeunesse, sa famille, son père...Un pan de la nature du célèbre détective nous est dévoilé... ajoutant un degré supplémentaire à notre impatience de découvrir la suite qui à ce jour n'est toujours pas parue.
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un somptueux camaïeux d'ocre et de gris pour mettre en lumière un Sherlock Holmes vulnérable, à la grande surprise de son ami Watson qui mène l'enquête après sa mort...
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