Madeleine de Place

Encore une énième version de Bridget Jones , (laquelle n'en peut plus et doit se retourner dans s..son roman !) . Mais moi, ma Bridget , "je l'aaaaaiimme" d'amour, et si je peux en retrouver une petite parcelle dans un roman, je prend...

Cette fois-ci , la version a ,au moins le mérite d'être originale . Sous forme de billets d'humeur , chaque chapitre est consacré à un aspect de la vie de l'auteur , Madeleine de Place .

Hashtag: RV au Pôle Emploi. Hashtag: toilettage de son chien . Hashtag: collègues de bureau , (dont la fameuse bitch de bureau ) . Hashtag: harcèlement dans les transports ... Comme il est dit sur la 4° de couverture : tout y passe .

Le problème quand on raconte sa vie , c'est qu'il faut avoir eu une vie intéressante et/ou originale ...

Et là, (même en me replaçant période ,avant mes trente ans ), j'ai eu l'impression que par rapport à Madeleine de ¨Place , j'avais eu une vie "de ouf"!!!

[ Oui, moi qui ne suis ni aventurière, ni agent secret, ni bandit de grand chemin, ni footballeur professionnel, ni top model ,ni ,ni ,ni ....] .

Moi aussi, j'ai habité Paris, été au chômage etc... mais j'ai l'impression d'avoir plus vécu, que ma vie avait plus de paillettes ...Et ça ,c'est plutôt un mauvais point pour l'auteur...

Après ce n'est pas tant ce qu'on raconte qui fait la qualité d'une oeuvre mais la manière dont on la raconte ( sa vie ) . Et là, j'ai trouvé que la plume était tonique, alerte mais qu'elle n'allait pas en profondeur . Sur la rencontre avec son conjoint , 3 lignes ...Tout reste plat. Il y a de l'humour (j'ai ri lorsque son chien ressort du toilettage comme un petit cochon..), mais je n'ai pas trouvé l'auteur sympathique . Voilà c'est dit!

Quel est l'intérêt de nous raconter une file d'attente où une pauvre ado égoïste essaie de "gruger" et de passer devant tout le monde. Quel est l'intérêt de nous raconter qu'elle ne la laisse pas passer ? J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de mesquineries dans ce qu'elle racontait (la salope de Pôle emploi, la salope de bureau etc...) ...

Toutes des "forminables" et elle seule étant "formidable" !

J'ai eu envie de lui dire "Keep calm" et viens faire un tour en province ... Tu verras comment on laisse passer des gens dans les files d'attente, des gamins et mamies sur les passages piétons , et comme la vie est plus "funky" quand tous ces gens reconnaissants t'envoient un sourire ...Et on peut faire ça aussi à Paris , les sourires , c'est universel !



Alors, peut-être que vous êtes à un chapitre de votre vie qui ressemble à celui que raconte Madeleine de Place, et que ce livre vous "parlera". Moi , il n'a fait que "chuchoter à mon oreille" , et sera vite oublié...

Tombée sur ce livre par hasard, j'ai été très attirée par les réponses qu'il promettait : Pourquoi Gabriel passe-t-il son temps à fuir ceux qui l'aiment ?





"Ne pas créer de liens, c'est également avoir la certitude qu'ils ne se briseront pas : pas d'attentes, pas de déception, aucun risque d'être déçu ou malheureux."





J'ai beaucoup aimé l'idée que ce soit les récits successifs des femmes qui l'ont aimé (mères, amantes, filles, soeur, etc...), et qui ont le plus compté dans sa vie, qui nous aident à trouver les réponses.





"Ne pas s'attacher, toujours partir le premier,quitter pour ne pas être quitté, disparaître pour ne pas être abandonné".





Les témoignages s'enchainent et se combinent très bien, et donnent effectivement une bonne vision d'ensemble à la fois du personnage de Gabriel et de son histoire.





Malheureusement, si on a presque le temps de s'attacher à toutes ces femmes avant de passer au point de vue de la suivante, nous n'avons jamais le point de vue de Gabriel : Il demeure donc distant, inatteignable, et finalement assez froid alors qu'il doit bouillonner de sentiments contradictoires et extrêmes à l'intérieur.

De ce fait, les explications avancées par ces femmes demeurent pour moi inachevées.





"Les femmes étaient nombreuses à l'avoir accompagné, mais aucune ne semblait vraiment avoir réussi à entrer dans sa vie".





Eh bien nous non-plus du coup ! Et c'est très dommage car alors on ne s'attache pas à lui, et il devient agaçant, presque secondaire, plus si intéressant.

On finit par compatir beaucoup plus avec les femmes qui ont souffert de ce comportement qu'avec lui, qu'on ne comprend pas toujours faute de pouvoir l'approcher d'assez près.





"Toutes, nous l'avons aimé profondément, à notre manière. Mais aucune d'entre nous n'a pu être heureuse à cause de ce mur de silence qu'il avait bâti autour de lui."





Dommage aussi de ne pas avoir eu le fin mot de l'explication pour Margaux : Cette explication aurait pu venir de Gabriel lui-même par exemple, et on aurait fini en beauté...





Une petite déception donc, pour ce roman dont j'attendais plus. Il reste néanmoins dans ma bibli car j'ai bien aimé le principe, et que certaines réflexions m'ont quand même touchée.





"Gabriel ne se laisse pas aimer, il est insaisissable et libre. C'est à prendre ou à laisser."

Chère Madeleine,



Il y a des livres dont tu te dis que tu aurais pu passer à côté, dont sa découverte tient à peu de choses, que parfois il suffit juste d’une phrase, quelques mots au détour d’une conversation, un échange que tu n’attendais pas et maintenant tu es là, soulevant la couverture, posant les yeux sur cette première page.

Entre ton roman et moi, c’est comme cela que tout a commencé, une suggestion, une tentation et puis moi, accrochée, absorbée par un récit que je n’avais pas vraiment envisagé.

Un enchainement de circonstances pour une nouvelle aventure littéraire. Comme dans ton histoire…

Dans la définition de « l’effet papillon » on nous explique qu’un élément insignifiant, au début d’une chaine d’évènement va entrainer une suite de réactions, s’accentuant de plus en plus, jusqu’à la catastrophe, le chaos…Alors quand cette première étape est déjà empreinte d’une douleur forte et violente, la cascade n’en sera que plus impressionnante.

Gabriel, c’est celui par qui le chaos semble devoir arriver…l’ange aux yeux noirs qui sur son passage bouleverse la destinée de ces huit femmes qui n’aspirent qu’à l’aimer, qu’à jouer un rôle dans son existence…Quand lui-même reste à côté de sa propre vie, ne parvenant pas à s’y impliquer pleinement.

Ces portraits de femmes que tu nous décris sont forts, passionnants, bouleversants et on ne peut que les lire, traversée par des milliers d’émotions, allant de la colère, au ressentiment, jusqu’à la tendresse la plus douce, pour celle qui, au final, découvre, comprend et pardonne.

C’est un récit magnétique, écrit avec une grande justesse, qui appelle la révolte, la colère mais aussi la compassion, l’amour, inconditionnel, profondément ancré, qui ne peut laisser personne insensible, et que, moi aussi, je me suis laissée emportée par le passage de Gabriel.

Alors voilà, c’est maintenant mon tour de conseiller, d’inciter tout le monde, et de dire, vas-y, essaie, c’est bien !!


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Je remercie Babelio et les Editions de l'Opportun pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une opération Masse Critique.



Ça fait longtemps que je n'avais pas eu un coup de coeur comme celui ci. J'ai aimé ce livre de la première a la dernière page. Surement parce que je suis maman d'un petit garçon de 16 mois et que je me suis complètement reconnue dans ce livre.



Madeline de Place a écrit un livre sur, comme son titre l'indique, la Vie de Mèr(d)e. On y découvre plusieurs petit chapitre sur les différentes étapes que l'on rencontre avec notre bébé. La joie des couches et des débordements, la joie des biberons a 3 heures du matin, les conseils de nos proches que l'on se doit d'écouter, les premières nuit de bébé, le baby blues, la joie des cadeaux de naissance, la vie de couple après l'arriver de bébé... tout y passe. Et Madeleine de Place dit vrai !

L'auteur ne cache pas ses mots et dit ce qu'elle pense, que ça plaise ou non. J'adore le vocabulaire employé, c'est crue et ca fait du bien de lire un livre ou l'auteur décide d'écrire ce qu'elle pense sans chercher a savoir si ça va choquer ou non. Il faut se l'avouer ce qu'elle dit c'est la vérité. Et c'est ça que j'ai adoré.

En lisant ce livre, je me suis sentie moins seul. Je me suis dit "Ah mais en fait tout le monde est pareille, je ne suis pas folle ! "

C'est drôle et touchant. J'aurais voulu en lire encore plus. J'espère voir un jour un tome 2 sortir.

Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio et les Éditions de l'Opportun pour m'avoir permis de découvrir "Vie de Mère" à travers la dernière opération Masse Critique.



L'ouvrage est présenté tel un petit guide destiné aux jeunes parents (ce qui sera mon cas dans moins de deux mois), censé rassurer, mettre la barre moins haute concernant des sujets tels que les couches pleines, l'allaitement, les microbes, les photos sur les réseaux sociaux etc...

C'est un couple qui a crée ce projet: la dame à l'écriture, l'homme aux illustrations.

Je comprends le concept de ce guide qui est à prendre absolument au premier degré, qui est destiné à détendre les futurs parents et à dédramatiser certaines situations (cacas mous, vomis, constipation, poussées dentaires...). Mais là où ça me gêne, c'est que humour ne veut pas forcément dire rimer avec vulgarité. J'abordais ce livre avec beaucoup d'intérêt, et je m'attendais à passer un bon moment aux côtés de mon copain pour aborder notre future parentalité, mais quand on voit cul, chier, chiasse, mains dans la merde, dans la gerbe, à chaque phrase, on s'est dit "Oula", dans quoi sommes-nous tombés.

Je ne suis pas du genre à être prude ou à me sentir offensée lorsque je vois un nom d'oiseau, mais voyant le sujet du livre, le vocabulaire y est un peu incompatible... Cela rend peu crédible le côté "apprentissage" de l'ouvrage. Il se lit pourtant rapidement, mais je l'ai trouvé vite imbuvable. Ce couple a deux enfants, mais à lire leur vision des choses, on se demande pourquoi il les ont fait. Si je devais retenir quelque chose c'est : un bébé ça pue, ça pleure, ça apporte une vie sociale proche du néant, ça transforme la maman en baleine, ça donne des nuits blanches et on doit aspirer leur morve. Mais en contrepartie, l'auteur ne nuance pas ses propos pour réduire le côté négatif. Cela casse pour moi l'idée d'être humoristique puisqu'on ne peut relever que des inconvénients dans le fait d'avoir un bébé.



On peut lire ce livre pour se divertir, ou si on aime l'humour pipi-caca-chatte-bite à la Bigard, mais de là à le mettre dans les mains de toute les mamans (d'après la quatrième de couverture), il ne faut quand même pas exagérer, puisque pour ma part, je n'ai rien appris d'inédit et d'intelligent.

Le retour de ma dernière lecture, Qui sauve une vie sauve le monde, c'est le titre qui m'a attirée, j'adore cette citation. Une belle histoire de famille mais aussi l'histoire avec un grand H qui nous est contée via le journal intime d'une enfant, Lisette, avec ses mots et ses ressentis d'enfant et puis de jeune fille. Ce journal intime découvert par sa petite fille, Raphaëlle, qui va apprendre à connaître tout un pan du passé de sa grand-mère par le biais des confidences écrites des décennies plus tôt. Une histoire qui se lit facilement car elle est contée à travers le regard de Lisette. Une histoire de famille aussi, on fait des sauts entre le passé et le présent. Un joli roman que j'ai beaucoup aimé!
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A l’enterrement de Lisette, une foule d’inconnus se presse et Raphaëlle comprend que sa grand-mère adorée lui a caché tout un pan de son existence. C’est par le biais de son journal intime tenu pendant la seconde guerre mondiale qu’elle va vraiment connaître cette femme.

En 1940, une famille lyonnaise réfugiée dans le château familial de Haute Loire cache des enfants juifs et l’intrépide petite Lisette, alors adolescente, se jette à cœur perdu dans cette aventure.

Le journal s’arrête brutalement en 1944 mais Raphaëlle veut faire le lien entre passé et présent.

Un roman touchant et pétri de bons sentiments.

Un roman énigmatique à l'image de son personnage. Je ne me doutais pas en commençant cette lecture que j'allais en sortir si bouleversée.

J'ai éprouvé une forte empathie pour l'âme torturée de Gabriel qui est né avec une particularité qui l'handicapera tout au long de sa vie: l'incapacité d'aimer et de se laisser aimer... il est né avec une pièce manquante essentielle à son Bonheur, ce trou béant émotionnel rebouché avec des années de silences et des secrets de famille. le cancer des non-dits existe et il est très meurtrier, il vous pourrit de l'intérieur...

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Qui est l'insaisissable Gabriel dont le regard intense aux iris noires vous enveloppent et vous entraînent dans un puit sans fond. Ce regard si hypnotique mais à la fois luisant de chagrin.



Le mystère de Gabriel, ce sont les femmes de sa vie qui vont essayer d'en résoudre l'équation. Toutes ces femmes qui ont gravité autour de lui, vont chacune tour à tour apposer leur morceau de récit pour tenter d'assembler le grand puzzle qu'est cet homme si secret. Si Gabriel ne fait qu'effleurer la vie, errant comme un fantôme, acceptant la fatalité d'une vie mécanique, il laisse dans la vie de ces femmes un immense vide aussi grand que le trou au coeur qu il porte. Gabriel, elles en sont folles et le couvent d'affection, il est le noyau de leur vie.

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Son comportement est si déroutant, Gabriel apparaît et disparaît. Quand il est présent, il nous échappe et lorsque l'on pense l'avoir enfin saisi, il s'écoule comme de l'eau entre nos doigts... Quand reviendra-t-il? Encore faut-il qu il ait été déjà présent ... La mélancolie et la souffrance sont terriblement contagieuses.



Gabriel est un personnage assez atypique qui a souffert pour bâtir sa vie et dont le bonheur semble être une notion étrangère à son existence.

Un roman d'un bouleversant mélodrame à la fois attendrissant. Les Révélations fracassantes de la fin auront eu raison de ma retenue, je n'ai pas pu m'empêcher de verser quelques larmes. C'est une lecture que j'ai dévorée et je ne m'attendais à ce qu elle soit aussi intense !
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Ce livre avait tout pour me plaire et cela a complètement fonctionné avec moi !

J’ai vraiment adoré de A à Z ! Le retour en arrière sous la forme de journal intime est bien mené : on voit une Lisette adolescente qui grandit au fil des pages et qui fait preuve de courage dans cette époque troublée. J’accroche tout particulièrement à la période historique de la Seconde guerre mondiale et ce livre m’a permis de connaître des faits réelles que je ne connaissais pas.

Les secrets de famille sont intéressants je me suis un peu doutée des faits mais cela n’a en rien gâcher ma lecture !

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J’ai vraiment passé un excellent moment avec ce livre et j’ai frôlé le coup de cœur avec ce livre.

J’ai commencé ce livre en me disant que j’allais passer un bon petit moment et me remémorer quelques anecdotes vécu avec mon fils qui va avoir 5 ans.



Et bien au final c’est une vrai déception pour moi. Au premier regard je n’avais pas fait plus attention que ça à la couverture du livre mais après sa lecture, j’ai regardé plus attentivement pour me rendre compte que sur l’image on voit la maman mettre de la peinture sur une lettre. Sans cette peinture, nous pourrions y lire le titre « Vie de merde ». Et bien en lisant ce livre, je me suis dis plusieurs fois que cette dame devait vraiment trouver que la vie avec un enfant est une vie de merde.



Il est très rare pour moi de dire cela mais j’en étais presque à abandonner mais je me suis dis que j’allais le finir quand même parce que je pensais quand même qu’à un moment l’auteur allait quand même en venir à parler du positif… et bien non. Alors oui c’est un livre humoristique mais je pense quand même qu’il y a des limites surtout quand pour ma part je trouve que de nombreuses situations sont vraiment exagérées.



Ce qui m’a également vraiment dérangé c’est le vocabulaire utilisé. Non je ne suis pas coincée mais quand tu ne lis pas 1 chapitre sans lire « chier, chiasse, macaque, torcher le cul,… » pour moi ce n’est franchement pas agréable à lire.



Le point positif que je pourrais trouver à ce livre ce sont les illustrations qui sont pour certaines sympas.



Vous l’aurez compris je n’ai vraiment pas passée un bon moment en faisant cette lecture mais ce n’est que mon avis personnel.




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Attention... Coup de coeur !



Tour à tour, l'autrice nous dépeint des portraits de femmes : Louise, la mère biologique de Gabriel, Françoise l'infirmière qui assistera en 1965 à la naissance du petit Gabriel, Esther, la maman adoptive de Gabriel, Laurence, la femme de Gabriel, sa grand-mère, Mamita, puis Margaux, une collègue de Gabriel, Sarah, la sœur de Gabriel et enfin Clara la fille de Gabriel.



Vous l'aurez compris, toutes ces femmes sont liées par un homme, Gabriel. Cet homme mystérieux semble avoir hérité des souvenirs douloureux de sa naissance. Et tout au long de sa vie et de ses rencontres, il n'aura de cesse de fuir, d'éviter ou de rester à distance de chacune de ses relations humaines.



Il est décrit tour à tour par chacune des femmes qui ont pu, à un moment donné de leur vie, croiser sa route, tantôt brièvement, tantôt plus longuement.



Finalement, avec le recul, j'ai l'impression que Gabriel n'a semé que tristesse sur son passage et dans la vie de toutes ces femmes. Pourtant, une fois ma lecture terminée, je reste sur un ressenti positif.



Je crois que c'est parce que, au fur et à mesure de l'avancé de l'histoire, on ajoute des pièces du puzzle de la vie de Gabriel et petit à petit tout devient plus clair, et petit à petit on le comprend davantage... Tout n'est peut-être pas pardonnable mais ça, ça sera l'avis de chacun.



Lorsque j'ai entamé ce roman, j'ai perdu toute notion de temps, ce qui est paradoxal me direz vous puisque le roman retrace 59 ans de la vie du personnage principal, des années 1965 au années 2024. Ainsi, je me suis reconnectée à ma réalité une fois le roman fini. J'ai été happée par l'histoire. Je ne peux pas dire mieux.



A la fin, j'apprends que ce roman a une histoire particulière car il a été envoyé par la poste aux éditions De la Martinière et aura retenu l'attention de ses éditrices. L'autrice signe ici, de sa douce et addictive plume, son premier roman.



Une pépite !

📅📬 LA VIE D’UN HOMME, RACONTÉE PAR LES FEMMES DE SA VIE.



Attention, ce livre à peut-être l’apparence d’un feel-good, mais il n’en est rien. C’est l’histoire de Gabriel, cet homme énigmatique qui semble être constamment entouré d’une muraille infranchissable. Qui est-il ? Le saurons-nous un jour ?



Dès les premières pages, mon intérêt a été vivement suscité ! L’histoire commence avec la jeune Louise qui se retrouve enceinte à 14 ans. Quand elle apprends la nouvelle, elle développe immédiatement un amour inconditionnel pour cet enfant. Mais elle ne peut pas le garder. Elle racontera sa grossesse et les premiers jours avec son bébé.



Commence alors la vie de Gabriel. Racontée par Françoise, la sage-femme qui a fait accoucher Louise. Esther, mère adoptive de Gabriel. Laurence, amie d’enfance devenue sa femme et mère de ses enfants. Mamita, sa grand-mère paternelle adoptive. Margaux, son amante et amour de sa vie. Sarah, sa demi-sœur. Et enfin Clara, sa fille aînée.



Au travers de leurs récits, nous comprendrons le parcours difficile de Gabriel, meurtri par l’abandon de sa mère biologique. Tout au long de sa vie, il fera en sorte de ne plus être abandonné, au point de ne créer de lien avec personne. C’est plus simple ainsi, il ne peut pas y avoir de souffrances. Mais nous verrons également à quel point toutes les femmes de la vie de Gabriel ont eu leur importance.



Ce roman a été une belle découverte que j’ai d’ailleurs lu en une journée ! L’histoire est courte (un peu plus de 200 pages) mais très dynamique. Le rythme constant ne donne pas envie d’arrêter la cadence, ce qui a fait que j’ai tout lu d’une traite. Et au fil des chapitres, nous en apprenons plus sur Gabriel et sur son passé, ce qui permet de lever le voile sur certains doutes. Mais cet homme secret, qui a cherché toute sa vie à se protéger, finira par se dévoiler. Et je dois avouer que le dernier chapitre met une belle claque, je ne m’attendais pas du tout à cette fin !

J'ai choisi ce livre sans grande conviction.

Mais j'avoue que j'ai adoré. Un peu de mal au début à rentrer dans l'histoire, maîtriser tous les personnages, et puis je me suis laissé prendre par le portrait de cette homme qu'on découvre au fil de l'histoire...

Un très joli livre, où l'on "apprend" que l'on traîne notre passé toute notre vie.



Je recommande vivement :)

J’avais envie de partager avec vous, un beau coup de coeur!



J’ai découvert par hasard ce roman, le titre m’ayant rappeler une chanson de Barbara que j’adore. Quelle belle surprise!



Il s’agit du premier roman de cette jeune auteure, Madeleine de Place, curieuse et touche-à-tout

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Voilà un livre qui ne peut laisser insensible. Je l’ai littéralement dévoré.



Comment ne pas s’attacher à Gabriel?.. cet enfant, cet ado, cet adulte que les femmes de sa vie nous racontent.



Je me suis prise d’amour pour l’écriture de Madeleine De Place. Simple, vraie, percutante.. une émotion intense que l’on ressent à travers sa plume.



L’histoire de Gabriel est l’histoire d’un enfant abandonné.. et qui va vivre toute sa vie à fuir l’amour… une vie de résignation. Est-ce une forme de lâcheté ou de courage, je vous laisse en décider.

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J’avoue avoir été très très émue par la fin! C’est ce que je recherche au cours de mes lectures (et c’est la même chose dans ma vie!) donner un sens, et ne jamais ressortir indemne d’une lecture!



Vous l’aurez compris c’est un coup de cœur pour moi…❣️

Un premier roman réussi. Une lecture que m'ont suggéré Marie et des Editions de la Martinière. Je les remercie de m'avoir permis cette très belle découverte avant sa parution. Gabriel, c'est cet homme que l'on voit grandir, mûrir au fil des pages de ce roman. Gabriel est le trait d'union entre ces différentes femmes qui prennent la parole pour nous apprendre à mieux le connaitre. Gabriel est cet homme déchiré qui n'a jamais rien su de ses origines. Et ces femmes vont nous apprendre peu à peu bien plus sur lui. Et l'on comprend alors ses failles, ses difficultés à aimer à s'attacher. C'est beau, bien écrit et terriblement douloureux en même temps. Les premières pages du roman sont fortes et même très fortes du côté des émotions qu'elles suscitent. On comprend très vite que Gabriel est cet enfant abandonné à la naissance par une mère, trop jeune. Mais surtout contrainte à l'abandon par une famille où la bienséance et les apparences valent plus que tout. Une jeune fille perdue que l'on sent malheureuse de devoir obéir à ses parents en abandonnant son bébé. Gabriel va grandir au coeur d'un couple qui ne parvenait pas à avoir d'enfant. Puis chapitre après chapitre, les femmes qui ont traversé sa vie prennent la parole. Sa première épouse, la seconde, sa mère adoptive, sa maîtresse, ses filles... C'est beau mais on sent l'incompréhension aussi au travers de ces mots. Car aucune ne connaît l'histoire de Gabriel. Cet être déchiré qui aura souffert toute sa vie de ne pas savoir Domercq il venait, qui étaient ses parents... De là ses douleurs, son attitude envers les femmes, sa difficulté à aimer, à se laisser aimer tout simplement. Vous l'avez compris, j'ai adoré ce roman bouleversant. 
Lien : https://www.jadorelalecture...

Je tiens tout d’abord à remercier Babelio et les éditions de l’Opportun de m’avoir permis de lire ce livre.



C’était plaisant de lire ce recueil qui développe la vie de mère, ou plutôt de parents, avec un humour et un langage assez cru et direct. Même si c’est parfois exagéré, c’est impossible qu’aucune des situations dépeintes ne nous parle pas. J’ai ri avec celles qui me rappelaient mon propre vécu, j’ai adoré les petites illustrations qui accompagnaient le récit et j’ai eu parfois envie de dire : « Ah merci ! Enfin quelqu’un qui le dit ! ».



Mais même si j’ai aimé dans son ensemble ce livre, surtout pour son côté déculpabilisant, j’ai malgré tout fini par commencer à rire jaune et à grincer des dents. Parce que même si je tachais de prendre tout ça au second degré, j’ai fini par déprimer un peu. Car seuls les moments difficiles de la vie de parents sont réellement dépeints (les couches, les galères avec la poussette, les kilos en trop, la vie sociale en berne, les pleurs, etc.) et du coup ça a fini par un peu me miner le moral. Il y a pourtant tellement plus que ces moments compliqués mais inévitables pour la plupart. C’est dommage car l’idée de départ était top mais je suis certaine qu’il aurait été possible d’éliminer ce petit côté négatif en finissant chaque chapitre sur une pointe positive, un aspect de la vie de parents qui nous fait oublier tous ces petits problèmes et qui nous réchauffent le cœur : un câlin, un regard, un sentiment d'amour. Ils existent vu qu’on est prêt à retrouver ces galères lorsqu’on décide de faire un autre enfant.



Je garde quand même un bon souvenir de cette lecture mais je ne la recommanderai peut-être pas pour une personne qui souhaite avoir son premier enfant. Ça risque de lui faire sacrément peur ! Je pense qu’il faut avoir vécu ces situations pour comprendre l’humour des auteurs.

Gros coup de ❤️ pour ce roman !



Je découvre la plume de @madeleinedeplace et c’est une magnifique surprise.



Un premier roman étonnement bien ficelé.

Une plume fluide et addictive. #disquandreviendrastu m’a fait la demi journée! Je devais absolument découvrir l’histoire de Gabriel. Cet homme un peu sombre qui au final, est relayé au second plan.

Madeleine nous le fait découvrir à travers les yeux des femmes qui ont partagé sa vie. Le fait que chacune d’entre elles nous apporte une pièce du puzzle de la vie de Gabriel nous tient en haleine jusqu’au bout sur fond de secrets de famille.



Des thèmes très forts et intemporels sont abordés dans ce roman qui se déroule sur près de 60 ans (pas de panique on saute quelques années^^) et qui vous rappelle de ne jamais juger quelqu’un sans connaître son histoire.



Avec une telle ouverture à la fin, j’espère avoir rapidement des nouvelles de Clara, Margaux et surtout de Louise.... 🤗

Une histoire de famille. Une histoire de secrets. Une histoire d’amour. Une histoire d’un homme. C’est de ça dont parle le premier roman de Madeleine de Place. Le fil rouge est Gabriel, l’homme de toutes ces huit femmes, l’homme qui a été aimé par ces huit femmes, l’homme qui n’a pas su aimer comme il fallait en retour. Est-ce que cela est dû à son enfance? En effet, Gabriel a été abandonné à la naissance ou plutôt sa très jeune mère n’a pas eu d’autre choix que de l’abandonner. Oui Gabriel a été adopté mais il a su par hasard et très tardivement cette adoption… Cela a totalement chamboulé Gabriel. Grâce à sa femme et ses filles, Gabriel a pensé pouvoir avoir cette famille, sa famille mais il lui manquait toujours quelque chose… Peut-être trouvera-t-il ce quelque chose avec sa maîtresse…



Dans « Dis, quand reviendras-tu? », l’auteure laisse parler les femmes de la vie de Gabriel, elles nous dressent son portrait et cela nous permet de mieux connaître Gabriel, mieux que lui même pourrait se connaître. Dans les récits de chacune d’elles, se dégage de l’amour, l’amour pour cet homme. Chacune à sa manière comprend Gabriel, le soutient, l’accompagne. Gabriel a gardé son secret, son secret de naissance et ce secret l’a empêché d’aimer vraiment, sincèrement mais cela n’a pas empêché ces femmes de l’aimer passionnément. Dès sa naissance, Gabriel a été follement aimé par sa mère et on ne peut pas dire qu’il ait manqué d’amour durant sa vie, bien au contraire. « Dis, quand reviendras-tu? » est un roman d’amour, un roman où nous partons à la rencontre de femmes toutes aussi attachantes les unes que les autres, d’un homme malheureux de pouvoir aimer comme il le désire tant. Il est question également de secret dans ce roman, le secret de la naissance de Gabriel et ce secret a, en quelque sorte, gâché la vie de Gabriel, cela a été une épreuve très difficile pour lui. Dans une famille, il est jamais bon de garder les secrets, les non-dits… La vérité peut faire mal mais elle est salvatrice. Et c’est ce qui a manqué à Gabriel. Ce que je retiens de ce roman est cette folle dose d’amour qu’il s’en dégage, cette proportion qu’ont les femmes à tenir bon, à être toujours là quoiqu’il arrive, à pardonner, à avancer, à épauler, à être présente tout simplement. Ces trois générations de femmes ont su créer un cocon autour de Gabriel et c’est ce qui l’a porté tout au long de ces années.



« Dis, quand reviendras-tu? » est un beau premier roman et la plume de Madeleine est tout simplement douce et bienveillante. J’ai été transportée dans l’univers de ces femmes, j’ai aimé avec elles Gabriel et comme elles, j’aurais voulu en faire plus pour lui, pour cet homme! Ce roman est un joli cri d’amour!
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Un feel good movie très rigolo. Parfait pour la plage ou le train : il s'agit de petites chroniques marrantes qui se lisent très vite. Je l'ai offert à plusieurs copines pour leur 30 ans et elles ont adoré!