Nos ancêtres ont toujours vaincu le djihad parce que nos ancêtres n’avaient pas peur de mourir, c’était Allah Akbar contre Deus Vult et non comme aujourd’hui Allah Akbar contre Pas d’amalgame.
« L’obèse indolent, le fragile, le lâche, le tricheur, le fumeur de joint amorphe, tous ces fils de pute peuvent se donner rendez-vous une après-midi pour aller jeter une cacahuète à un singe plus malin qu’eux ou jeter une tranche de jambon à un tigre du Bengale qui a perdu soixante-dix huit kilos parce qu’il vit en captivité pour le plaisir des chômeurs de longue durée qui ont des tarifs préférentiels pour aller le regarder crever. Enculé, va !»
Et ceux qui vantent la démocratie comme régime le plus pur, devraient s’interroger sur la différence qu’induit le fait d’être dirigé par un enfant (Saint Louis) qui sait monter à cheval et parler latin, face à la fatalité d’être dirigé par des dindons déplumés, aussi flasques qu’impotents, n’ayant aucune expérience qui induise de suer par le travail. À par celui causé par la digestion des repas gargantuesques qu’ils font passer sur le dos du contribuables, heureux d’être enculés démocratiquement plutôt que d’être dirigés royalement.
Que vaut une fouine telle que François Mitterrand face à l’immense Saint Louis ? Que vaut un gras et faible François Hollande face à un Philippe Auguste ? Que pèsent tous ces corbeaux sans relief, ni cage thoracique, face au jeune Louis, en armes, debout sur la plaine à quinze années à peine face aux ennemis de la France ? Qu’ont-ils de plus haut et de plus noble que le brave Louis, encore pur des calculs qui noircissent l’âme de ceux qui les agglomèrent par appétit de pouvoir aujourd’hui ? Pourquoi cet amour du Français pour cette République démocratique qui lui amène le terrorisme islamique et l’anglicisme progressiste ? Pourquoi glorifier une révolution qui fit remplacer Saint Louis par Maudit Macron ? Pourquoi célébrer ce régime qui va désintégrer la France dans moins d’un siècle ?
A propos des cathédrales
Ce que l’homme occidental a produit de plus pur, de plus beau, de plus apppliqué, de plus personnel et de plus monumental de toutes son histoire. Construire une cathédrale, c’est entreprendre de souffrir un travail d’orfèvre d’une délicatesse indicible pour mourir sans en voir la finalisation.
Je te propose, cher lecteur, de m’accompagner entre enfer et paradis. Attrape une solide torche, aiguise ton courage et ton épée, et suis-moi ! Allons ensemble libérer le héros médiéval de son tombeau, allons nous battre contre l’oubli imposé par nos ennemis, allons, toi et moi, faire cette dernière croisade perdue d’avance.
Car il est vrai qu'aucune chronique de l'époque ne fait mention du fait qu'il devait certainement se déplacer avec trois chevaux, un pour lui, et deux autres robustes chevaux de trait pour porter ses deux énormes couilles. Tant pis si ce détail historique a été oublié, je vous le révèle quand même ici pour la gloire.
Souffrir, c'est accéder à un stade de conscience supérieur qui génère lui-même une considération plus haute de la vie
Papacito