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Citations de Agathe Ruga (169)


Une phrase me revenait en tête : « Quand vous choisissez le prénom d’un garçon, pensez à la femme qui aura à le murmurer plus tard. »
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Il incombe à des milliards de femmes d’équilibrer leur joie pour l’offrir à leurs proches. Coupez le rire d’une femme dans une maison et c’est toute la maison qui pleure.
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J’étais arrivée à un sommet et je repensais à Beigbeder: « La vie d’adulte, c’est construire des châteaux de sable et sauter dessus à pieds joints. »
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La déception chez une femme ne s’efface jamais. Elle se superpose seulement à d’autres. L’amour d’une femme se mesure à la quantité de déceptions que son ventre peut supporter. Une fois que celle-ci a pénétré l’âme, le mépris qui l’accompagne ne peut s’en déloger.
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De tout ce que nous reprochons aux hommes, nous pardonnons plus facilement leurs actes que leur absence d’actes.
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Rire chaque jour est une victoire considérable sur le vide de l’existence.
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Zoé a débarqué en trombe un matin à 15 heures pour nous dire qu’elle avait un retard de règles, prête à uriner sur un test Clearblue.

« De combien ton retard, Zoé ?

- Deux heures. Normalement elles sont hyper ponctuelles. »
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J'appartenais à nouveau à ton regard et je ne demandais rien d'autre.
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Il y a des hommes qui aiment les femmes, le vin et le jeu. Ce sont les hommes auxquels on succombe.
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Des amies remarquaient mon air mélancolique et mes toilettes raffinées, s'amusaient en blaguant à deviner l'identité de ce célèbre écrivain avec lequel je devais sûrement fricoter et parler littérature jusqu'à l'aube - comme s'il n'y avait que cette catégorie capable de nous apprendre la vie !
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Ce silence dans la nuit est une paralysie de l'âme, un cri étouffé dans un oreiller, une lutte contre le néant. Il n'y a rien de pire que le rien. Ce silence pesant est une gifle à chaque instant, une cacophonie martyrisante.
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Les gens parfois disparaissent de nos vies sans mourrir, sans guerre et sans cris.
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Tu es partout. Tu fais un bruit épouvantable. Tu es pire qu'une rupture mal digérée, ton absence prend toute la place. Parfois j'imagine que tu meures, et je suis prise d'une angoisse insurmontable, car je comprends que le manque s'eprouvera encore apres ton décès. Je dois faire le deuil de toi vivante. L'absence est pire que la mort, rien n'arrête le sentiment d'absence, on est condamné à vivre avec tous ces absents qui demeurent quelque part et sans nous. Et quand bien même ils tenteraient de revenir dans nos vies, leur réapparition ne changerait rien. Ils ont été absents, ils seront toujours absents, ils ont créé un immense vide, impossible à combler. Il n'y pas d'issue. Les absents sont des trous dans nos cœurs.
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Il a conclu par une réplique qui, à en juger par la dilatation de ses pupilles, était l'une de ses préférées : " Tu sais Ariane, il y a trois solutions, la bonne, la mauvaise et la mienne."
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Quand un homme tremble en vous voyant, prenez garde. Méfiez-vous de ce qu'il va vous dire, à quel point il va bouleverser votre votre vision de l'amour. Méfiez-vous des hommes qui vous aiment autant que Marceau a pu m'aimer. Mais savourez. Souriez et dansez sur terre uniquement pour qu'un homme vous regarde comme ça. Dans ses yeux, je me voyais, j'étais un incendie, je prenais feu et il restait immobile, hypnotisé par les flammes, inquiet et fasciné. Par l'image qu'il me renvoyait, Marceau devenait la plus grande drogue jamais avalée ; et il ne m'avait pas touchée.
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Tu es ma promesse de l’aube, le regard des autres ne fait que réveiller douloureusement le souvenir du tien.
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La vie n'est pas là pour apporter des réponses mais seulement des expériences.
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Par ce silence nous divulguions notre secret commun. Ses yeux étaient deux meurtrières avec vue sur mon âme. Nous étions habités de la même folie destructrice, des mêmes ambitions amoureuses, de la même notion de passion.
Page 127
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Les gens parfois disparaissent de nos vies sans mourir, sans guerre et sans cris. Nous avons grandi avec eux, certains nous ont tout appris, ils existent au plus profond de nous sans que jamais nous ne puissions le leur dire. Nous fermons la porte de nos souvenirs, nous serrons les mâchoires lorsqu'une musique nous ramène à eux, nous bâillonnons nos réflexes et nous rendons à l'évidence : nous ne les reverrons plus.
page 31
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Visiblement nous ne sommes pas le seul couple divorcé. Sous mes yeux, des dizaines d’enfants changent de parents en une quinzaine de minutes. Des enfants mais aussi des adolescents, des bébés parfois. Souvent leurs géniteurs ne se parlent pas, sortent à peine de la voiture. Les échanges s’opèrent tels des tours de passe-passe ou des deals de cocaïne : dans la honte et le silence. Donne-moi mon enfant, je te donne ta pension. Et une valise sort d’un coffre pour entrer dans un autre, on oublie que ce ne sont que des vêtements, que ce n’est pas si grave ; que, de toute façon, c’est foutu.
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