Ai Yazawa

Les intrigues se complexifient. Tout devient plus sérieux, tant pour Hachi et son enfant qui doit prendre des décisions pour son avenir, que pour Nana et son groupe qui s’apprêtent à devenir professionnel.

On sent d'ailleurs la nette séparation entre leurs deux histoires, et c'est un peu triste de les voir prendre tant de distance.

Très inattendu, ce flashforward du début. On assiste au futur des personnages le temps d'un chapitre, on se pose beaucoup de questions.

Si le rapprochement entre Ren et Nana est plutôt chouette, le report du mariage entre Hachi et Takumi ne présage rien de bon pour la suite.

Rien n'est jamais simple pour les personnages d'Ai Yazawa !

Au terme de ce tome, j'ai hâte de voir si les personnages vont tous se rencontrer et leurs réactions.

Jolie histoire mais Nana me fatigue avec son hystérie ..

Je ne connaissais pas les mangas ...c'est ma première série. Mais pour moi, une lecture sympa, simple ...une BD .

On retrouve de plus en plus la patte graphique de Yazawa avec des traits qui s'affirment et un travail intéressant sur les expressions des visages.

Du côté de l'intrigue, c'est très fleur bleue et sans grande originalité.
Lien : http://boumabib.fr

Les émotions deviennent de plus en plus fortes, les personnages sont creusés, le scénario est totalement imprévisible.

Vraiment un shojo à part, d'une grande qualité !

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Les dessins de Ai Yazawa sont vraiment fins, elle a un sacré coup de crayon, surtout pour les vêtements.

Mais à part cette beauté du trait et ce thème de la mode, il est question de l'avenir professionnel, du doute, des choix à faire, du rêve, de l'acceptation de soi...
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..

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Les dessins de Ai Yazawa sont vraiment fins, elle a un sacré coup de crayon, surtout pour les vêtements.

Mais à part cette beauté du trait et ce thème de la mode, il est question de l'avenir professionnel, du doute, des choix à faire, du rêve, de l'acceptation de soi...
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Les dessins de Ai Yazawa sont vraiment fins, elle a un sacré coup de crayon, surtout pour les vêtements.

Mais à part cette beauté du trait et ce thème de la mode, il est question de l'avenir professionnel, du doute, des choix à faire, du rêve, de l'acceptation de soi...
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L'histoire d'une passion : la passion que Yukari porte à George et la passion que George porte aux vêtements qu'il créé. Une des sagas les plus courtes de Yazawa mais aussi l'une des plus matures. L'héroïne apprend à faire ses propres choix, à se respecter et à se faire respecter. De plus, les dessins sont vraiment magnifiques et tous les personnages sont intéressants et bien développés.

Par contre, petit point négatif pour moi, je trouve que c'est l'un des mangas où Yazawa excuse le plus les violences que les héros font subir aux héroïnes (George excessivement dur avec Yukari, les violences qu'Arashi fait subir à Miwako...). On trouve aussi des figures masculines bienveillantes, mais le manque de remise en question des violences de George et Arashi (qui conservent tous deux l'amour de leurs binômes respectifs jusqu'au bout) reste assez dérangeant.

Deux jeunes filles que tout oppose se croisent dans un train allant sur Tokyo. Pourtant, elles ont le même prénom: Nana. L'une est romantique, fleur bleu et naïve. L'autre est chanteuse dans un groupe de rock. Elles separent et cela aurait pu en rester là. Quelques jours plus tard, elles se retrouvent à visiter le même appartement. L'une ne peut pas se l'offrir toute seule alors l'autre lui propose de le partager et de se mettre en colocation. Et c'est le début d'une grande amitié... Nana, c'est l'histoire d'une amitié née d'une rencontre hasardeuse. Elles auraient pu ne jamais se rencontrer, ne jamais être là l'une pour l'autre. Au lieu de cela, le destin les a réuni et cela va changer leur vie. C'est Nana qui raconte leur histoire, en voix off et il y a quelque chose de grave, de nostalgique dans la manière dont elle le raconte. Le début de leur histoire est légère mais on sent, comme une épée de Damoclès, que quelque chose, à un moment, a bouleversé leur existence. Et cela nous donne envie de lire, de se plonger dans leur histoire. C'est une série que je trouve merveilleuse et le tout premier manga que j'ai jamais lu. Un pur régal.

Mizuki rencontre Adam, un chanteur Anglais, dans un parc. Séduite par sa musique et en rupture familiale, elle quitte tout pour s’installer avec lui.



C’est le début de leur histoire mais le jeune homme reste marqué par le décès de son ancienne fiancée.

Et alors qu’ils ont décidé de partir ensemble, Mizuki est victime d’un accident de la route.



Hotaru, elle, se réveille de son accident de circulation.

La petite fille a hâte de retourner à l’école mais elle est attirée par une maison et une jeune fille coincée à l’intérieur qu’elle est la seule à voir. Avec ses amis, elle va enquêter sur Eve et tacher de retrouver Adam.





Après plusieurs mangas plutôt légers, Ai Yazawa voulait écrire sur un sujet sérieux. On trouve donc dans Last Quarter beaucoup de thèmes pas vraiment joyeux. On y rencontre pêle-mêle beaucoup de nostalgie, de tristesse, de mélancolie. Mais aussi de l’amour et de l’amitié.



Ce premier tome est flou parce qu’il est très difficile de comprendre de quoi il s’agit exactement.

Il y a un mélange de fantastique et de réalité qui sont difficiles à démêler mais le résultat n’en est pas moins très réussi.



Les personnages sont attachants et charmants et cet air de musique qui flotte est captivant.

L’intrigue est loin d’être simple et elle m’a emportée tout au long jusqu’au final qui donne envie d’en apprendre encore plus sur cette étrange histoire.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..

Ce manga n'est pas finit, c'est pas possible, c'est quoi cette fin ? Moi qui adoré ce manga qui étais impatiente de connaitre la fin je suis limite dégouté. Pourtant le début de ce tome commencé bien mais ce termine beaucoup trop rapidement, et on c'est pas ce que deviennent certain personnage. Je suis vraiment dégouté.

Ce tome apporte une jolie conclusion à cette histoire, en allant cette fois à l'essentiel, sans plus aucune longueur ni détour inutile. En gagnant en efficacité, Yazawa nous touche encore davantage, et les émotions véhiculées dans ce tome final nous vont droit au coeur.



Les deux histoires bonus de la fin sont de très jolies surprises, et complètent sans aucun doute le récit.



La fin de cette série est plus aboutie que les précédents tomes, et préfigure déjà la maturité dont fera preuve l'auteur dans ces séries suivantes.



Une jolie découverte, qui m'a ravie, et qui permet d'avoir une vision encore plus complète de l'oeuvre de la génialissime Aï Yazawa, dont on attend toujours avec beaucoup d'espoir le retour sur la série Nana !

Je n'ai pas pu m'empêcher d'emprunter ce manga à la bibliothèque en souvenir de mon adolescence. Et, en effet, j'ai eu de nouveau 16 ans tout au long de ma lecture! J'ai été happée par la lecture de Nana, alors qu'une toute petite voix me disait "mais c'est quand un peu kitsh non? mais on s'en fiche!". Les personnages sont à la fois très agaçants et très attachants. J'ai par contre ressenti ce manga comme beaucoup plus sombre que quand j'étais plus jeune, comme un léger malaise qui rend l'histoire plus profonde qu'il n'y parait au premier abord.

Quand on parle d'une nouvelle œuvre de Ai Yazawa publiée en France, on est souvent pour, même si cette dernière n'est pas de première jeunesse. Marine Blue est en plus une œuvre qui se marie bien avec les périodes estivales.



Haruka est une jeune lycéenne qui pendant l'été travail dans un restaurant de bord de mer, à l'aide de la jolie et naïve Tomoyo. Avec celles-ci il y a également Ippei, le fils du patron, qui pense plus à pratiquer le surf qu'à s'occuper des clients et d'ailleurs ce dernier n'est pas content car un arriviste lui vole la vedette sur les flots.



Plein de défit Ippei ne veut pas se laisser faire et les filles amusées l'accompagnent sur la plage pour l'encourager. Mais le concurrent du jeune homme est en forme, et une fois de retour sur la terre ferme, Haruka se rend compte que ce dernier est son ami d'enfance qui a déménagé 4 ans plus tôt. Haruka est bouleversée et se souvient des complication de leur amitié, mais elle se souvient également des sentiments qu'il faisait naître chez elle.



Marine Blue est un manga plein de douceur, c'est la première chose qui nous frappe lorsqu'on commence à le lire. Les dessins sont reconnaissables même si on sent qu'ils ont un peu vieilli par rapport à Nana mais ce n'est pas un souci, ils sont agréable. C'est un manga qui se passe au bord de mer, l'atmosphère est apaisante.



Le fait que le rival amoureux soit le cousin de l'héroïne peut être un peu gênant, mais les sentiments des personnages sont dépeints avec justesse. Cependant, Haruka fait parfois des erreurs qu'elle a déjà commise. On sent parfaitement qu'elle n'est pas à l'aise mais elle renouvelle des situations qu'elle n'avait dans le passé pas supporté. On espère sincèrement une évolution mais également des explications. Car ses réactions se répercutent sur son entourage.



De plus, autre chose qui est intéressant c'est l'environnement dans lequel les personnages évoluent. Dans ce premier volume, l'histoire commence pendant les vacances, ce qui est une période qui permet aux personnages de se voir souvent. Alors qu'à la fin, les cours ont repris, et on marque ici la différence des lieux et des situations à cet égard.



Voilà un manga qui certes ne ravira pas forcément les fans en attente de Nana, mais la touche de l'auteure est bien présente et cela permettra peut-être à faire attendre. C'est un manga qu'on ne peut lui comparer, il est différent, agréable et ce premier volume est plutôt sympathique.
Lien : http://www.nakamanga.net/201..

Yukari étouffe dans sa vie. Poussée par une mère exigeante à faire des études trop difficiles pour elle, son seul espace de liberté est son amour secret pour Hiro, un garçon de sa classe.



Quand elle est (kidnappée) invitée par des élèves de Yaz’art pour être leur mannequin lors du défilé de fin d’année, c’est tout un monde d’excentricité, de rire, d’amitié et de liberté qui s’ouvre devant elle.



Carrie est une chouette fille. Même amoureuse, elle ne veut pas pour autant se laisser marcher sur les pieds. Elle peut paraître agaçante mais elle se relève toujours malgré tous les obstacles qu’elle rencontre.



Et tous les membres de Paradise Kiss sont tellement géniaux !

Miwako, si mignonne et si attentionnée mais qui cache des choix difficiles qu’elle a dû prendre plus jeune.

Arashi et ses fringues géniales qui, malgré son côté brusque, est celui qui a le plus les pieds sur terre.

Isabella, qui tient un peu le place de maman pour tout le monde.



Et puis il y a George. George qu’on aime, George qu’on déteste, George qui nous fait rire, puis couiner, puis pleurer. George qu’on a envie d’embrasser et puis de gifler. George qui tient Paradise Kiss à bout de bras.

Il prend ses décisions mais refuse de faire des choix pour les autres.

Si je comprends ce qu’il veut, il est très compliqué à suivre et en refusant d’exprimer ses sentiments, il oblige les autres à se mettre en difficulté.

C’est un personnage magnifique, parmi les plus complexes qui existent, qui sous des dehors de simplicité est un fin manipulateur, parfois sans même s’en rendre compte.



Le dessin est magnifique, les tenues sont travaillées et les visages sont très réussis.



C’est un manga très abouti, avec une thématique autour de la mode qui peut paraître futile mais qui permet d’exprimer des problématiques sérieuses sur la fin de l’adolescence et le passage à l’âge adulte et la question du choix.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..

Toujours un plaisir de lire ce manga !

Ce qu'il y a d'incroyable avec Aï Yazawa, c'est que ça fonctionne toujours ! Bien que le style graphique soit daté (il s'agit ici d'une des ses anciennes oeuvres, enfin éditée en France), bien loin de la beauté des planches de "Nana", on se laisse prendre par l'histoire, et on a hâte de découvrir la suite.



Yazawa est une auteure qui maîtrise excessivement bien la psychologie des personnages, et qui sait habilement illustrer des scènes aussi bien heureuses et emplies de sérénité que pleines d'une tension dramatique. Cela sonne toujours juste avec elle : elle sait mettre en scène des tranches de vie réalistes et nous transmettre avec justesse les émotions des personnages.



"Marine blue" est une jolie découverte, dont j'ai hâte de lire la suite. Vue l'époque où elle a créé ce manga, Yazawa nous livrera sans doute une histoire aux tonalités plus proches de "Je ne suis pas un ange" que de "Nana", mais c'est finalement une bonne chose. Yazawa s'en sort si habilement dans les différents registres qu'il est toujours agréable de lire ses oeuvres, quelles qu'elles soient : )

Encore un bon shojo de Ai Yasawa. Une romance poétique sur fond de musique et de fantastique.