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Critiques de Alain Bauer (40)
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Les criminels les plus cons de l'histoire

Encore un Livre qui s'est bien vendu ; -)| Des criminels fort bien amateurs!| On leur donne même des conseils ; -) ...|Des escrocs désopilants, qui ne comprennent pas le mot "indélébile" dans leur maquillage| De même que "transparent" dans leurs déguisements...|Bon, même si c'est pas un chef d'œuvre au moins ça m'aura fait sourire: -)|Certaines histoires sont plus drôles que d'autres|Hélas, le Format est bien bien trop court pour donner une prise!!;)| Dans des histoires de dix lignes maximum... Une fois qu'on en a vu une 20aine on a tout vu quoi;)| Un moment fun mais sans +, Quoi.
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La fin de l'insouciance, tome 1 : Au commen..

Il y a les guerres que l'on voit tous les jours, depuis trop longtemps, et il y a les conflits qui se préparent, qui sommeillent, presque programmés. Nous vivons sur un volcan et nous sommes au trémor : ce moment de dégazage (sans mauvais jeu de mots) et de petits tremblements, encore seulement perceptibles par les experts et les instruments de mesure, lorsque le magma n'a pas encore jaillit. Et notre auteur joue les volcanologues : il se propose de nous montrer comment sont placés les pions de chacun. Il tente une analyse du dessous des cartes. Le conflit en Ukraine, c'est juste un terrain d'entraînement, la partie visible de l'iceberg. La lave, la glace, le chaud, le froid, les tensions sont extrêmes sur à peu près tous les sujets : démographies, énergies, cyber-activités, monnaies, territoires, modèles sociaux, (dé)culturels, économiques, l'individualisme,etc.. Quand, depuis des décennies déjà, les gouvernements en place fertilisant le terrain des populismes, leur faisant gentiment une haie d'honneur avec des politiques d'incompétences criantes : le bonheur des peuples, c'était pas compliqué comme programme ! Bref ! L'Histoire se répèterait-elle, le mensonge et la désinformation à outrance en prime ? Ce livre, s'il est principalement géopolitique, il est surtout richement réfléchi, documenté, dans une actualite qu'on voudrait n'être que science-fiction...
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L'espionnage pour les nuls

Je reste un peu sceptique quant au contenu ainsi qu'à la mise en chapitres peu attrayante.



Certes des parties aguichantes concernant les espions cités et quelques enquêtes d’espionnage, mais guère plus en ce qui me concerne.



Les auteurs, Alain Bauer - professeur de criminologie à Paris, à New York et à Shanghai - et Christophe Soullez - universitaire chargé de missions auprès de la police nationale, dans la délinquance et en sécurité - affichent tous les deux des niveaux professionnels attrayants et valeureux. C’est surtout pour cette raison que j’ai voulu le lire.

Je dois avouer que je n’ai de loin pas tout lu puisqu’il y avait des chapitres entiers qui étaient trop abstraits ou affichaient très vite des clichés qui ne me captivaient pas. Pour exemple « La Direction du renseignement de la Préfecture de police », ou « Déceler le processus de radicalisation » qui était ficelé en 13 lignes, ou « Une coordination difficile » des services et du ministère (on s’en doute bien), ou « En interne aussi on se contrôle » etc.

La présentation des affaires du Vatican m’est également apparue plutôt floue.



Quelques points de synthèse utiles comme la présentation de tous les organismes et des systèmes qui gravitent autour du sujet. Ils peuvent intéresser pour une culture générale du sujet, mais on trouve tous ces renseignements en ligne en deux clics m’a-t-il semblé en faisant quelques simulations. 


N’étant de loin pas experte mais surtout curieuse à force de lire quelques très bons polars d’affaires d’espionnage, je m’étais dit qu’il serait bon que je m’informe davantage sur les fonctionnements, les enchevêtrements des uns avec les autres.



Ou c’est moi qui suis trop hermétique ou les polars me plaisent tout bonnement bien plus que ce style d’écriture ? Certainement les deux.
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Les criminels les plus cons de l'histoire

Cons, cons, tout de suite les grands mots !!! Crétins pour certains, en revanche, ça c'est sûr !



Tout comme les chutes et diverses gamelles nous font rire, certains épisodes racontés dans ce recueil sont jubilatoires.



Agréable avant de s'endormir, ou pour faire passer un trajet en métro, je me suis bien amusée en lisant ce bouquin, chipé dans la pile à lire de mon conjoint.



Mais il ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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La fin de l'insouciance, tome 1 : Au commen..

Avec ce livre, Alain Bauer nous livre le premier tome de ce qui constituera le premier tome d'une somme géopolitiques pour notre temps

On y retrouve ses qualités habituelles, sur lesquelles il est inutile de revenir

Lisez néanmoins la notice bio-bibliographique qui sur laquelle se clôt le volume , elle est impressionnante



La meilleure partie du livre, trop brève à mon goût, est sans doute la préface

Outre le fait qu'elle résume bien le propos du livre (et l'éditeur a eu raison de la citer abondamment dans la quatrième de couverture, elle est écrite dans un style admirable

Son propos principal est de nous l'annoncer le retour de la guerre, le retour du tragique que nous annonçait déjà Jean-Marie Domenach dès 1967 dans son livre prophétique. Mais nous avait-il jamais quitté autrement que dans des illusions nourries par deux ou trois décennies de paix relative et de prospérité croissante, construites sur l'équilibre de la terreur qui fondait la Guerre froide, et dont beneficia un Occident global (auquel paradoxalement il faudrait peut-être agréger la sphère soviétique. Les premiers craquements de cet équilibre se firent sentir dans les années soixante dix, s'epanouirent dans les années quatre-vingt et débouchèrent sur l'implosion de l'Union Soviétique, qui marqua certes la fin de la Guerre Froide, mais pas hélas le retour de la paix dans le monde unipolaire et pacifié que prophetisa à tort Fukuyama dans un livre participant largement du wishfull thinking. Non, la mondialisation heureuse n'aura pas eu et n'aura pas lieu, bien que dans les derniers chapitres du livre Bauer semble vouloir croire que le triomphe définitif de la démocratie libérale est encore possible, ce qui le pousse d'ailleurs à quelques prédictions déjà démenties (le livre date du premier trimestre de cette année, peu de temps, et en même temps beaucoup, depuis le monde a encore changé), notamment en ce qui concerne la Guerre d'Ukraine, qui, en ce dernier mois de l'année 1983, ne semble pas vouloir évoluer comme beaucoup le pensaient encore à l'époque de la rédaction du livre

Mais les analyses de l'auteur, qui détaille et explique les nombreuses lignes de faille qui traversent notre monde, nous aident à mieux voir où nous sommes, faute de savoir où nous allons.

Dans trois parties présentées sous le nom d'exergues, chacune divisées en une demi -douzaine de chapitres, Bauer liste en effet les risques et défis de notre monde et nous fournit une documentation impressionnante sur les infrastructures matérielles (et souvent morales et philosophiques que l'auteur a le mérite de ne pas oublier) trop exhaustive peut -etre pour le lecteur prophane, et j'avoue que certaines nomenclatures, pour intéressantes qu'elles soient, m'ont parues un peu fastidieuses sur la longueur, au point que je les ai parfois lues en diagonale

La première partie, sans doute la plus intéressante et en tout cas la plus plaisante à lire, est plus particulièrement consacrée aux causes et conséquences que cet événement fondateur pour le meilleur et surtout pour le pire qu'est l'implosion de l'Union soviétique, que l'auteur a le grand mérite de ne pas incarner dans la chute du mur de Berlin (finalement simple épiphénomène si l'on y regarde d'assez prés, et effet d'une décision hâtive de Gorbatchev) . Ses analyses soulignent bien à quel point l'événement a été mal géré par l'Occident, autant dire en l'occurrence par les USA, qui n'ont pas su, ou peut-être, et c'est plus grave, pas voulu, associer la Russie qui venait de renaître à la construction d'un nouvel ordre équitable, préférant poursuivre contre elle une vengeance contre la défunte Union Soviétique, due peut-être à la peur qu'il en avaient eue, réitérant ainsi l'erreur commise par les Alliés à l'égard de l'Allemagne en 1919 (avec cette différence évidemment que l'URSS n'avait pas été vaincue par les armes.) et à laquelle par exemple, comme le montre Bauer d'une manière qu'on peut espérer définitive, on a menti avec constance et cynisme avec des promesses réitérées de non -elargissement de l'OTAN à l'est de l'Elbe, lesquelles promesses ont bel et bien été faîtes malgré toutes les dénégations proférées aujourd'hui.

Une belle et indispensable synthèse, un état des lieux qui aide à faire le point même s'il peine à deviner le cap..

Mais pouvait-il en être autrement ?



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La fin de l'insouciance, tome 1 : Au commen..

Ouvrage roboratif, « Au commencement était la guerre » est surtout intéressant dans sa première partie, rappelant l'évolution du contexte géopolitique après la chute du mur de Berlin et des engagements qui avaient été pris de part et d'autres (entre OTAN et Russie) pour aboutir à une désescalade militaire progressive devant mener à une pacification mondiale.



A ce sujet, Bauer rappelle de manière très pertinente que les accords de non agression n'ont pas été respectés par les États-Unis et que l'expansion de l'OTAN vers les pays de l'Est a été considéré comme une menace du coté russe, l'affront de trop étant l'adhésion prochaine du pays « frère » ukrainien.



Point central de l'ouvrage, cette guerre rappelle de manière brutale l'Europe de l'Ouest à la réalité historique, non la guerre ne disparaitra jamais et refait même surface dans sa forme la plus hideuse et violente avec torture, massacre de civils, déportations et trafics d’êtres humains.



Fini donc l'illusion des « guerres propres » dites « asymétriques » dans des pays lointains contre des groupuscules terroristes et place aux conflits de haute intensité avec chars, canons, avions, navires et spectre de l'arme atomique...



Et l'Europe de l'Ouest toute à sa gestion comptable de sa Défense de se réveiller en 2023 complètement démunies en hommes et matériels pour y répondre...



Ce constat, dure à admettre à le mérite de présenter une vision réaliste du monde d'aujourd'hui : violent, inégal, agité de crises (migratoires, sanitaires, écologiques, financières) et toujours soumis à l'influence des super puissances dominantes que sont les États-Unis, la Chine et la Russie.



Moins appréciable car plus convenue est pour moi la partie ou Bauer cite les discours lénifiant de responsables politiques et militaires français ou répète ce que l'on sait déjà : le caractère hybride des conflits mêlant sociétés militaires et civiles avec emplois de mercenaires, tentatives d'espionnage, cyber attaques et « soft power » sur fond de corruption.



Un ouvrage néanmoins de haut niveau et impressionnant par sa qualité globale !
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Confessions gastronomiques

J'ai mis du temps à digérer ce gros pavé … 850 pages, 69 témoignages recueillis par un expert en criminologie, c'est du lourd !



J'ignorais totalement qu'Alain Bauer, professeur au Conservatoire national des Arts et Métiers et aux universités de Shanghaï et NewYork, ancien Grand Maître d'une des deux grandes obédiences maçonniques françaises et expert es phénomènes de violence sollicité par toutes les chaînes de télévision, fut aussi directeur d'un guide gastronomique aujourd'hui disparu.



Selon un canevas bien tracé, il a recueilli les témoignages de 59 cuisiniers et restaurateurs, tous reconnus par leurs pairs et distingués par la renommée et les macarons au Guide Rouge, toujours très présent, lui.



Disons que dans cette brochette de chefs, présentés par ordre alphabétique, figurent des noms qui me « parlent », ceux de ma génération, qui ont révolutionné la manière de cuisiner pour en faire un must de l'art de vivre (j'ai acheté en 1976 « La cuisine minceur » de Michel Guérard) à la française, et d'autres actuellement en vogue et qui poursuivent cette évolution délicieuse vers des sommets dont le commun des mortels n'a qu'une vague idée.



Chaque récit se présente en quatre volets : une courte biographie, insistant sur les origines familiales et les motifs du choix professionnel, le « parcours ». Ensuite, on parle de « substance », ou comment un jeune chef définit ce que sera son individualité, comment il s'affranchit de ce qu'il a appris et fidèlement reproduit pour accéder à son style, sa signature. Un volet « ambiance » ou comment se crée l'environnement du repas, sa mise en scène, enfin, un regard sur les répercussions probables de la crise sanitaire sur la perception du métier par ces professionnels et l'évolution – ou pas – des aspirations de la clientèle. Il y a aussi quelques recettes, mais ce n'est pas l'essentiel.



Je ne cache pas que l'accumulation de ces témoignages présente un caractère répétitif. Qui a procédé à la sélection des chefs et cheffes ? Certains, sollicités, ont-ils préféré s'abstenir, pourquoi certains n'y figurent-ils pas (Comme Jean Imbert, par exemple ?)



Ce qui frappe, ce sont les similitudes de certains parcours : la plupart sont nés dans une famille travaillant près de la nature, agriculteurs ou métiers de bouche, la plupart évoquent leur apprentissage précoce auprès d'une mère ou une grand-mère, certains sont issus d'une dynastie de cuisiniers (Anne-Sophie Pic ou Hélène Darroze, même si elles sont toutes deux passées par des études supérieures de commerce).



Ils sont nombreux à avoir entretenu des rapports intermittents avec l'école, voire à dériver dangereusement jusqu'à une rencontre décisive avec une civilisation (le Japon pour Thierry Marx) ou un grand ancien. Tous sont des instinctifs, des acharnés de travail et d'inventivité.



Aujourd'hui, tous sont convaincus de la pertinence de certaines tendances : il faut repenser la façon de manger en réduisant les protéines, mettre en valeur les légumes, privilégier le local, inventer d'autres formule de contact en rapport avec les nouveaux modes de vie. Il faudra aussi revoir l'organisation des brigades : les jeunes se détournent d'un métier qui gomme toute vie personnelle : ils travaillent quand les autres se reposent, il y a une autre vie en dehors de la cuisine. Sinon, la crise des vocations s'amplifiera.



A l'avenir, les clients seront de plus en plus exigeants. Mais il faut aussi penser au décor : le repas gastronomique est une représentation de théâtre total. le restaurant fait partie intégrante du patrimoine culturel de notre pays. C'est un métier dur, parfois très dur, mais c'est la recherche de l'excellence qui en fait la valeur, qui crée le lien social bien plus important que le simple fait de se nourrir.



Un gros pavé, donc, à déguster à petites goulées, avec des découvertes sur les biographies de chefs triplement étoilés au parcours parfois chaotique ou atypique, des noms moins connus que d'autres, et partout, une même soif de perfection, une virée dans des établissements prestigieux où seuls les hyperprivilégiés peuvent s'attabler.



Pour ma part, même si j'ai des souvenirs émus de certains restaurants cités comme formant des étapes dans la formation de cette élite de la gastronomie, aujourd'hui même pas en rêve …
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Les criminels les plus cons de l'histoire

Ce livre n'a pas grand intérêt et je trouve inintéressant et même pas drôle les anecdotes proposées des quatre coins du monde y compris de France. J'ai lu une cinquantaine de pages et j'ai laissé tomber. Ce n'est sûrement pas le meilleur livre d'Alain Bauer.
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Le livre de la franc-maçonnerie

Franc-maçonnerie, un mot qui fait encore beaucoup fantasmer de nos jours, où les rites et secrets des loges passent pour désuets, on les traite de tout, d’une simple association fraternelle, philosophique ou réseau politique, mais on en sait souvent bien peu sur la véritable intention des frères trois points.



Ici nous avons un livre très complet sur le sujet, écrit par deux « pros » du milieu, je connais bien les écrit d’Alain Bauer et ses deux passions, l’une pour la police et la seconde pour la franc-maçonnerie. Ce bouquin en particulier est très complet, plus que « la franc-maçonnerie pour les nuls » qui sert plus à dégrossir les traits et préjugés des non-initiés qu’a vraiment entrer dans le vif du sujet comme ici. Commençons par un cours d’histoire générale, puis française et anglaise maçonnique, pas franchement le plus passionnant ni le plus inédit à lire mais intéressant si vous ne vous êtes jamais renseigné sur le sujet. Viennent ensuite les différents rites, bref, je ne vais pas vous faire toute la table des matières, sachez simplement que c’est le livre le plus complet et le mieux expliqué (et à jour) sur le sujet qu’on puisse trouver. Au milieu de tout un tas d’obscur livre écrit par des francs-maçons et ceux qui voient un complot partout, ce livre est le juste milieu.

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Dictionnaire amoureux du crime

L’auteur est un « bon client » des médias, il joue le jeu de la vérité avec une franchise désarmante, dans les deux domaines d’expertise qu’il maîtrise au plus haut niveau : la Franc-maçonnerie et la criminologie. Rien d’étonnant donc à ce qu’on lui confiât le «Dictionnaire amoureux du crime », dont je me suis emparée dès sa parution.

La forme du dictionnaire c’est évidemment de lister tous les sujets par ordre alphabétique, afin de pouvoir s’y référer lorsqu’on recherche une information ; cependant, le pavé de 932 pages, se dévore aussi d’un seul tenant, et on passe allègrement de Ravachol, Ravaillac à John Rébus (le héros écossais de Ian Rankin), de Guy Georges aux frères Guerini, de Philippe Pinel (1745 – 1826), père de la médecine mentale aux frères Dalton quelques pages plus loin. Marie Besnard y prend la succession d’Alphonse Bertillon, qui ne fut pas l’inventeur de la technique de reconnaissance des empreintes digitales, et est suivie par François Besse, l’associé de Jacques Mesrine. On ne s’ennuie jamais tout en engrangeant une foule d’idées de livres à lire et de films à voir ou revoir. Car Alain Bauer nous donne un panorama de toutes les vedettes du crime, les grands policiers devant l’Histoire, comme des bandits de grands chemins (et même les flics devenus truands !), les serials killers, les techniques de la criminalistique, les truands, les empoisonneuses et les éventreurs, mais aussi les détectives héros de romans noirs et la cinémathèque idéale de l’amateur de polars.

Une mine de renseignements, écrite avec verve d’une plume alerte et claire, avec beaucoup d’humour … noir ! Un ouvrage certainement mûri de longue date, mais publié un peu hâtivement : j’en veux pour preuve la splendide faute de grammaire figurant à la page de garde : « à Claudine, qui relu avec détermination ce manuscrit. » Pauvre Claudine, elle a perdu sa crédibilité avec ce « a » manquant …. Mais cela n’enlève rien à la valeur de l’ouvrage, illustré avec finesse par Alain Bouldouyre.

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Les criminels les plus cons de l'histoire....

Comme je lis un livre exigeant en parallèle, je cherchais à m'évader et à rire un peu. Quand j'ai vu le titre du livre "les criminels les plus cons de l histoire au tribunal" j'avoue que c'est ce que j attendais : rire.



et la déception !



j'ai peu ri (enfin seulement quand les avocats ont des questions cons et se font moucher)...



lu et oublié ... sauf le prix excessif pour un tel contenu à mes yeux .



tant pis je l ai acheté volontairement, j aurai eu le feuilleter ...



j'espère qu'il trouvera son public comme le 1er opus ...que je n avais pas lu (c'était un regret... ce n'en est plus un !)
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La fin de l'insouciance, tome 1 : Au commen..

Une analyse historique et contemporaine des principaux protagonistes de notre géopolitique avec les conséquences stratégiques de l’invasion de l’Ukraine.

De la paix durable rêvée, à la guerre, l’auteur livre avec retenue et analyse les ambitions expansionnistes des dictatures ainsi que l’aveuglement des démocraties à croire à l’universalité de nos valeurs.

Changer radicalement de stratégie, préparer la guerre pour construire la paix.

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Les criminels les plus cons de l'histoire

Je viens de refermer ce livre que j'ai lu très rapidement.

Il ne sera pas inoubliable mais il est divertissant quand on veut lire, sans se prendre la tête avec un bouquin trop compliqué, exigeant une certaine concentration.

Je suis stupéfaite de constater la bêtise des personnes citées dans cet ouvrage.

Je me dis que malheureusement, cela doit correspondre aux statistiques officielles, constatant une chute du QI en ce vingt et unième siècle, par manque de culture, de lecture et un abus de réseaux sociaux et de télé réalité, fléau de ce siècle.

Sur le plan de la mise en page, le fait que les paragraphes des textes ne soient pas tous "justifiés", mais un coup "à gauche" ou "à droite", m'a un peu dérangé, car il est plus attrayant de lire un texte "justifié". La mise en page a aussi son importance dans la facilité de lecture et l'appréciation d'un livre.

Que j'aime ou pas un livre, je mets la plupart du temps cinq étoiles car je prends en compte le fait que l'auteur s'est investi dans l'écriture et la publication de son ouvrage.

Il m'arrive d'être plus sévère mais c'est surtout parce que le battage médiatique sur un livre m'a fait croire que c'était un chef-d'œuvre, et après lecture, je suis hyper déçue, "tout ça pour ça" est souvent la réflexion qui me vient à l'esprit.

Le livre que je viens de refermer ne vaut pas cinq étoiles mais je me dis que l'auteur a du passer beaucoup de temps en recherches de cas spécifiques et que tout travail mérite salaire, donc j'ai coché les fameuses cinq étoiles.

Si vous voulez vous amuser un moment, lisez ce bouquin mais si vous cherchez une lecture sophistiquée, il vaut mieux passer votre chemin car cet ouvrage ne vous plaira pas.

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L'espionnage pour les nuls

Un ouvrage complet sur le sujet.

Les parties les plus intéressantes trop peu nombreuses , sont celles consacrées aux espions et aux affaires d espionnage.

Les autres qui expliquent comment fonctionnent les services avec de nombreux organigrammes sont un peu trop scolaires à mon gout .

Mais c est sans doute aussi le principe de cette collection dont c est le premier exemplaire que je lis.
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La fin de l'insouciance, tome 1 : Au commen..

Evoquant tous les points de frictions géopolitiques actuels, remontant des décennies ou des siècles si nécessaire, il met en perspective les grands conflits, oppositions, rivalités d’aujourd’hui et à venir. Les empires resurgissent : Russie, Chine, Turquie, avatars que l’on croyait disparus. Depuis des lustres les belles âmes de la juste pensée nous ont enfumés à coup de “ismesˮ : multiculturalisme, européisme, pacifisme, écologisme, mondialisation heureuse… et toutes fadaises du même bourrage de crâne. Tout le monde il s’aime, tout le monde il est gentil ! Et voici que l’auteur nous rappelle que l’histoire est tragique… Et qu’il faut s’y préparer. Sans oublier la barbarie interne. Vraiment, les bisounours, ça n’existe qu’à la télé.
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Les criminels les plus cons de l'histoire

Une litanie de cons qui se font pincer par les flics.

C'est vrai que certains sont très cons.

estr ce que ça mérite un livre.

Je ne suis pas sur que l'auteur que l'on voit partout donner son avis brillamment sorte grandi de cet opus .

c'est un peu long non amusant ou si peu.

j'ai l'impression de lire les faits divers de la décennie en un seul coup

ça devient imbuvable !!

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Les mystères de Channel Row

Londres, juin 1717. Alors que ça pèse le conflit entre catholique et protestant qui a ensanglanté l'Angleterre pendant près de 150 ans, un groupe de frères maçons s'assemble dans une taverne près de la cathédrale Saint-Paul pour fonder la Grande Loge de Londres. Le révérend Jean théophile Désaguliers, physicien proche d'Isaac Newton et de la famille royale, deviens leur grand maître. Aussitôt surviennent d'étranges événements tels que le vol d'un registre, l'agression d'une servante et pire encore, le mystérieux assassinat dans une sombre ruelle d'un mètre de loges Suivi de la découverte du cadavre d'un de ses compagnons. Sur tous ces événements, plane l'ambre inquiétante de Samuel Prichard, un vaurien aux origines douteuses, qui semble vouer à Desaguliers une haine 100 merci. Aider de la police, ce dernier mène l'enquête sans comprendre ce qu'il y son destin à celui d'un gibier de potence. Tout en mettant sur pied la puissante franc-maçonnerie anglaise, il cherche une vérité insoupçonnée dans les recoins les plus sordides de la capitale, rencontre notamment le célèbre Jonathan wild, chef des bandits de Londres, mais aussi le duc de Wharton, aristocrate débauché, prête à son roi les futurs grands maîtres de France ! Au terme de ces recherches il découvre un incroyable secret qui donne un tour nouveau à son existence.

Inaugurant une série prometteuse, cette enquête a le tente dans les bas-fonds londonien devient sous la plume de deux spécialistes de la franc-maçonnerie, une brillante Introduction aux origines d'une société dans le nom demeure aujourd'hui encore synonyme de mystère.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Au bout de l'enquête : Les plus grandes affai..

Au bout de l’enquête, émission culte pour les fans d’affaires criminelles à retrouver désormais en livre !



Corps retrouvés en bordure de forêt, à des centaines de kilomètres de leurs domiciles ou chez eux sans traces d’effraction, le point commun de toutes ces affaires présentes dans ce recueil est le nombre d’années avant la résolution de l’enquête. Les affaires sont de véritables cold-case qui sans la détermination d’enquêteurs ou parfois le hasard et les nouvelles technologies auraient pu être classées en crimes parfaits !



Beaucoup sont connues comme l’affaire de la petite Maddy ou celle de la disparition de la famille Méchinaud mais nombre d’entre elles sont plus confidentielles.



A lire si vous aimez vous pencher sur le travail de fourmis de la police et dans les méandres tortueux de l’esprit humain !
Lien : https://topobiblioteca.fr/
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Les criminels les plus cons de l'histoire

Sur la couverture c'est noté "meurtriers, bandits, voleurs " en faite c'est juste en grande majorité des vols ou cambriolages qui ont mal tournés, et ce manque de diversité rend le livre bien fade et c'est dommage car il y avait de l'idée, je pense sûrement qu'il y a des affaires criminelles qui ont ratées et qui étaient sûrement plus intéressantes !
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Terrorismes

Ce livre sur le terrorisme est décevant, et ceci même en tenant compte du format de la collection.

Si le livre commence par des développements intéressants sur la définition du terrorisme, ce qui suit est, en grande partie, une reproduction des dispositions des articles des codes concernés; et quand ces articles renvoient à d’autres articles, il arrive même que les deux auteurs ne prennent pas le soin de rappeler le contenu des articles mentionnés.

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