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Critiques de Alain Gagnol (133)
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Power club, tome 3 : Un rêve indestructible

Rahhh ! Une belle frustration due au fait que ce soit déjà fini ! Cette saga est si addictive que l’on demanderait bien un quatrième opus… Une fois encore, je me suis régalée aux côtés d’Anna et de sa bande ! D’ailleurs, même si je n’ai pas enchaîné le second et troisième tome, je n’ai pas été perdue. On retrouve facilement ses marques et ce, sans s’ennuyer. Le début permet de directement faire face à de l’action ainsi qu’à un problème de taille : Anna souffre du syndrome de stress post-traumatique à cause de ce qu’elle a traversé. Elle a peur pour ceux qu’elle aime, notamment sa meilleure amie et sa famille qu’elle a failli perdre. Ses craintes les plus profondes l’empêchent de dormir, si bien qu’il n’y a pas une nuit sans cauchemar… Mais cela n’est rien à côté des crises diurnes qui surgissent n’importe où et n’importe quand, ce qui met en péril son entourage. La pauvre jeune femme va de nouveau connaître des moments sombres et difficiles. Elle n’apparaît que plus humaine et attachante. Je l’apprécie toujours autant. Malgré ses super-pouvoirs, elle reste une demoiselle normale qui ne reste pas insensible à ce qu’elle a vécu et va continuer de subir ! Dans ce troisième opus, on ne peut pourtant pas parler d’évolution du personnage. Elle reste fidèle à elle-même : déterminée, protectrice, loyale, juste, réfléchie et dynamique. En revanche, elle va beaucoup réfléchir sur son avenir et va régulièrement se remettre en question.



De l’action, en veux-tu, en voilà. Cet ultime tome est hyper mouvementé avec des scènes sur le terrain, des affrontements, des trahisons, des twists et des secrets à gogo. On notera également un approfondissement de la politique, de la médiatisation et de la foule. En effet, on est en pleines élections des États-Unis dont l’enjeu va déterminer l’avenir du monde, puisqu’il concerne directement les boosters et Anna… Cela dit, j’ai été déçue par ce point, car tout était prévisible… En revanche, j’ai bien aimé tout ce qui tournait autour de l’image de l’héroïne et de la manipulation de masse. L’auteur met en avant la célébrité d’Anna : le peuple est partagé entre la crainte et l’admiration. Il la traque avec une application de géo-localisation. Chaque intervention de la demoiselle provoque un tollé dans opinion publique ! Et, comme si les choses n’étaient pas assez difficiles, les spéculateurs et les théoriciens du complot s’en mêlent. Anna est en bien mauvaise posture puisque le moindre de ses actes ont des conséquences, tandis que ses propos peuvent être mal interprétés. On distingue aussi des fans d’Anna qui vont vraiment loin pour prouver leur admiration ou encore de nombreux terroristes qui font part de leur colère ! On sent que l’on arrive à un tournant majeur de l’intrigue : tout se bouscule et vire à l’extrême. Il y a donc beaucoup de tensions et de rebondissements. Alain Gagnol a également opté pour des descriptions plus sombres et sanglantes. Le monde des super-héros n’est pas tendre : on ne casse pas les figures des méchants pour les arrêter. Il y a des os brisés, des têtes tranchées, des mises à mort, de la torture et de l’hémoglobine. Certes, on n’est pas sur un roman d’horreur, de ce fait, ce n’est pas trop détaillé, mais ce n’est pas non plus caché. Certaines morts sont effroyables, violentes et marquantes. On est vraiment plus sur du young adult que du roman pour jeunes ados.



Les personnages secondaires sont toujours aussi nombreux. On ne les développe pas forcément toutefois, ils vont tous avoir leur rôle à jouer. J’ai été agréablement surprise de voir à quel point la famille de l’héroïne est toujours présente. Les deux parents sont là pour elle, servant de point d’ancrage, et suivent ses décisions. Il y a également l’adorable petit Louis qui ne cesse d’admirer sa grande-sœur. Dominic, que l’on pensait évincé, va finalement revenir en force dans l’intrigue… Mais celle qui va intervenir le plus (et pour notre plus grand plaisir !), c’est Lisa, la meilleure amie. Cette fille est toujours aussi franche, déjantée et sympathique. Sa présence permet d’alléger le côté sombre de ce troisième volet. Lisa fait rire le lecteur et apaise Anna. En revanche, j’ai été déçue par l’antagoniste principal qui n’a pas spécialement bougé son postérieur ! Il a préféré utiliser ses ressources humaines et financières pour parvenir à ses fins… C’est un simple gestionnaire qui donne des ordres et que l’on ne verra jamais descendre de sa tour d’ivoire ou parler à Anna… J’aurais au moins espéré un petit affrontement ou un dialogue percutant entre les deux rivaux… J’ai également été frustrée par le fait que l’on ne sache plus rien des anciens membres du Power Club. Un simple paragraphe ou une description d’un article de presse relatant brièvement ce qu’ils sont devenus aurait été suffisant. Hélas, ils sont complètement passés à la trappe !



Le cocktail de cet ouvrage est toujours aussi savoureux : de l’action en chaîne, de la tension, des personnages toujours aussi attachants, une héroïne géniale, de l’humour, des réflexions intéressantes permettant de faire le parallèle avec notre société, … Et bien évidemment des pouvoirs hors-norme ! On en apprend enfin davantage sur les boosters, même si le secret est encore assez épais… Ils vont vous surprendre à plusieurs reprises et vont véritablement se surpasser… Rien que pour en savoir plus encore sur eux, j’aurais adoré un quatrième tome. Hélas, les aventures d’Anna s’arrêtent là… mais comme la fin reste ouverte, on ne sait jamais… Je croise les doigts ! En attendant, je ne peux que vous recommander cette série explosive où chaque tome a su me divertir et me captiver. Si vous aimez les super-héros, envolez-vous pour le Power Club sans plus attendre !
Lien : https://lespagesquitournent...
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Power club, tome 3 : Un rêve indestructible

J'ai apprécié ce tome malgré que le début soit plus lent que le deuxième tome.

Anna n'a pas le temps de se reposer tant elle est victime d'injustice à cause de Daniel Wallace qui représente le membre du gouvernement qui se croit au dessus des lois et n'a aucun scrupule à employer des moyens complétement illégaux.

En plus, les personnes extérieures la croît coupable de tout alors qu'elle n'a fait que aider des personnes depuis le début elles la traite de monstre alors qu'ils ne savent rien et j'avais envie de vraiment les secouer pour qu'il regarde la vérité vis à vis des médias et du gouvernement dont la vérité n'intéresse personne.

Finalement, cette série aura été une bonne découverte le deuxième tome étant le meilleur pour moi.
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Power club, tome 3 : Un rêve indestructible

La fin de la trilogie des jeunes gens à pouvoirs.



Dans ce tome, Anna est devenue détentrice illégale de super pouvoirs et elle est confrontée aux ambitions grandissantes de Wallace, le sénateur américain qui voudrait réserver les super pouvoirs à la seule Amérique. D’ailleurs, toute ressemblance entre Wallace et un certain président américain n’est pas fortuit.

Parallèlement, la jeune fille essaie de vivre une vie plus ou moins normale avec petit copain inclus. Dominic a d’ailleurs du mal à avoir sa place dans une vie de super héroïne.



Encore une fois, Alain Gagnon a réussi à m’embarquer sur les pas d’une jeune héroïne dont les aventures posent des questions qui débordent le cadre d’un roman jeunesse : les rêves des scientifiques face aux réalités économiques et politiques ; un super héros à l’heure de la mondialisation et à l’existence des réseaux sociaux par lesquels rien ne reste caché ou secret ; l’adulation du public et ses conséquences extrêmes ; la violence liée à des capacités hors du commun

J’ai encore énormément apprécié la relation symbiotique entre Anna et ses boosters (que j’imagine comme les petits gluons de « Téléchat ») et avec ses parents.

Cela fait du bien d’avoir une héroïne qui a une famille où tout va bien et qui la soutient envers et contre tout.



Bref, un finale de toute beauté pour une trilogie convaincante.



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Un fantôme dans la tête

Mieux que Fred Vargas ? Un livre bien écrit, drôle, jouissif, incontournable !



Un tueur en série insaisissable sévit à Lyon. La police n'a aucune piste. Alors, quand le gourou d'une secte prétend savoir qui est le tueur, la police est obligée d'en tenir compte (d'autant plus que la femme du préfet se fait lire l'avenir par le gugusse en question). Le lieutenant chargé de l'enquête se voit obligé de se rendre en Ardèche où il va subir les caprices du gourou...



Plusieurs de mes confrères libraires m'avaient recommandé ce livre en me disant que c'était encore mieux que Fred Vargas. Intrigué, je me suis lancé dans la lecture, et il faut bien avouer que ce livre est très très bon. Il est vraiment facile à lire et assez drôle. Seule une scène de crime un peu "hardcore" l'empêche d'être vraiment conseillé à tout le monde. Mais sinon, vous pouvez y aller les yeux fermés :)
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Un fantôme dans la tête

Tout simplement génial!! Intense, merveilleux, intelligent, drôle (en fait à mourir de rire)... Je disais donc génial!!

On est porté du début jusqu'à la fin par le personnage de Marco, ce flic perturbé dans sa vie affective et professionnelle, entouré par des personnes tout aussi perturbé. On suit ses péripéties pour retrouver le tueur en série, la naissance, la mort, la résurrection de Suicide-Man, son double psychologique qui l'aide à survivre.

L'histoire est déjà accrocheuse mais l'écriture est spectaculaire dans le sens propre du terme, on est devant un spectacle. On voit les images défiler devant nos yeux, les textes sont bruts, naturels.... et drôles... On ne peut pas s'empêcher de rire.

Je le conseil à tout le monde il est génial.
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Un fantôme dans la tête

Génial .Je suis un très grand fan de Fred Vargas et là mes amis vous allez vous régaler .

Un humour terrible avec des meurtres terribles !!



Génial
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Un fantôme dans la tête

J’avoue tout de suite un très gros coup de cœur pour ce polar, que j’aurais pu lire d’une seule traite si je l’avais commencé un peu plus tôt dans la journée, et qui représente une des découvertes que l’on fait un peu par hasard, en l’occurrence pour valider un item du challenge Multi-Défis 2020.



Alain Gagnol, dont je n’avais jamais lu ou entendu le nom, réalise dès les premières lignes une performance impressionnante, plaçant l’histoire sur un registre des plus sombres en détaillant ce qu’a subi une jeune femme victime d’un tueur en série particulièrement sadique, décrivant ensuite une première scène burlesque où les policiers reçoivent la bonne parole digne d’un film américain d’un psychologue spécialiste du profilage.



S’enchaînent alors sur un ton très humoristique des événements dont le lieutenant Marco Benjamin est toujours la pièce centrale. Il vit mal son divorce, son ex-femme l’ayant remplacé par un certain Julio, peintre de son état, ce qui nous vaut une deuxième scène d’anthologie dans l’atelier du barbouilleur. Il a également un sérieux problème avec les adolescentes, Chloé d’abord, sa fille de seize ans en pleine crise de maturité, Elsa ensuite, à peine plus âgée, qui trouve refuge auprès de lui après avoir fugué, et Jennifer, victime du tueur fou, qui ne quitte plus ses pensées. Cerise sur le gâteau, il croise la route d’un illuminé censé l’aider dans son enquête grâce à ses visions d’extralucide, fantasmant quant à lui, davantage sur celle, plus réelle, du petit short de l’assistante du gourou.



Marco fait tour à tour le désespoir de son commissaire de patron, d’un psy qui, ayant renoncé à avancer dans la thérapie de son patient, se trouve une passion pour les comics américains sur ses conseils, et la joie des membres de l’IGS qui se battent littéralement pour auditionner le lieutenant après l’un des ses multiples et déroutants faits d’armes.



L’humour est très présent, les dialogues incisifs et caustiques sont tout simplement époustouflants, et je ne me souviens pas avoir autant ri en lisant un polar dont l’intrigue est aussi noire. Car la traque du psychopathe n’est pas occultée pour autant par le côté déjanté du récit, et certains passages sont impressionnants d’intensité. Après un dernier acte où l’action atteint son point d’orgue, l’émotion est au rendez-vous pour clore un petit bijou que je ne peux que vous conseiller.
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Un fantôme dans la tête

Marco est flic. Son divorce l’avait déjà pas mal tourneboulé et la découverte du cadavre de cette gamine va lui taper sérieux sur le système. Sans déconner, il va se prendre pour un super-héros de comics. Suicide-Man. Fallait l’inventer. Mais v’là que Jésus est descendu de sa croix, un gourou qui gouroute - du verbe « Gourouter » : Attirer des gogos pour les envoûter et notamment des jeunes femmes pour les en...vouter aussi ! Plus connu sous le nom de Ismaël, ami de la préfète, il a donné le lieu du massacre à la police et affirme pouvoir les guider pour retrouver le serial killer. Marco et son fantôme vont se taper une piste cahoteuse qui va les mener, non sans accrocs et situations ubuesques, vers de futures victimes.

La suite sur : http://bobpolarexpress.over-blog.com/2014/10/psycho-killer-qu-est-ce-que-c-est.html
Lien : http://bobpolarexpress.over-..
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Un fantôme dans la tête

De l'humour noir en veux tu en voilà.



Un flic complètement déjanté, mais oh! combien efficace malgré tout.



Un gourou beau comme un dieu, un illuminé qui ressemble à Jésus mais qui n'a pas les mêmes aptitudes.



Un peintre, une mère de famille et sa fille et une superbe nénette qui cache bien son jeu sous des sourires et des attraits physiques qui feraient chavirer tous les Messieurs de la gent masculine.



Un polar haletant et rempli d'humour , difficile à lâcher.
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Un fantôme dans la tête

Un polar très drôle ! Une histoire simple, très efficace mais dans ce superbe petit polar, là n'est pas l'essentiel. Ce qui le caractérise surtout : ce personnage haut en couleur qu'est Marco et son humour caustique. Une réussite.
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Un fantôme dans la tête

Ce livre est excellent.



Il raconte l'histoire d'un lieutenant de police, à la poursuite d'un meurtrier qui dépèce ces jeunes victimes.



Le roman permet de suivre la vie chaotique de cet homme qui va être bouleversé durant le cours de son enquête.



Ce livre est composé de nombreuses références à la culture cinématographique et littéraire d'aujourd'hui. Ce sont les fans de comics qui seront ravis de retrouver divers clins d’œil et références à ce vaste univers (si vous n'êtes pas un connaisseur pas de soucis :) ).



Ce livre est découpé en diverses parties, nous suivons à travers chacune d'elles l'évolution psychologique du personnage principal. Ces séparations permettent d'insister sur les évolutions du personnage que cela soit au niveau psychologique, mais aussi en rapport avec ces actes, sa vie personnelle et professionnelles.



Pour résumer, j'ai dévoré ce roman qui rassemble humour noir et personnages déjantés, je le recommande ardemment !



Merci à Babelio et Le Passeur pour m'avoir permis de découvrir ce roman.
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Un fantôme dans la tête

Je remercie les éditions Le Passeur et Babelio pour m'avoir fait découvrir les romans Rives Noires ainsi que l'auteur Alain Gagnol avec ce titre " un fantôme dans la tête".

Je dois tout d'abord dire que j'ai beaucoup aimé ce roman, il commence comme une histoire noire, très noire et vous vous dîtes que cela va être dur et sanglant.

Puis cela part petit à petit dans tous les sens. Le quatrième de couverture emploie le mot "baroque", c'est le moins que l'on puisse dire. Marco benjamin, notre personnage principal n'est pas un super flic plein de muscles et de mauvaises manies, mais il est très attachant car bourré de défauts et même agaçant par moment. Il se retrouve volontairement ou pas dans des situations toutes plus folles les unes que les autres.

Je me suis retrouvé à certains moments avec un sourire jusqu'au oreilles, mon entourage a dû me croire sadique car la couverture du roman ne donne pas l'impression d'un livre très "drôle".

J'ai passé un excellent moment de lecture entre un tueur en série dont les crimes sont plutôt terrifiants et des personnages qui adoucissent totalement cette histoire par leur grain de folie.

Alain Gagnol est aussi réalisateur, ce qui se ressent bien ici.




Lien : http://livresque78.over-blog..
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Un fantôme dans la tête

Autant prévenir tout de suite, il vaut mieux avoir l'estomac bien accroché pour résister à la description du cadavre de la quatrième victime, et ce, dès les premières pages. Mais, finalement, je ne sais pas par quel miracle l'auteur réussit l'exploit de faire passer cela assez aisément. Un peu comme ces gens qui savent raconter des blagues dégueulasses qui font rire tout le monde alors que si j'en raconte une à moitié moins sale, je vais me faire huer ! Sans doute, ce qui fait passer la cruauté, c'est l'humour -noir évidemment- présent dans ce bouquin. Certaines situations, très visualisables, sont irrésistibles, comme cette chevauchée de Marco dans un champ, poursuivi par une vache, voire même cette nuit où accoutré de son T-shirt de Superman -j'en ai un moi aussi, tout neuf, que j'arbore fièrement, mais je ne me sens pas l'âme d'un super héros, trop épuisant- il sauve une famille d'un détraqué. C'est ce que j'ai aimé dans ce roman, à la fois, une partie franchement glauque, terrible, des gens qui ne vont pas bien, tant le tueur, évidemment un grand malade que le flic, un peu dépressif voire beaucoup par moments, et tout cela est présenté avec une bonne dose d'humour, des situations décalées, des personnages loufoques. Ajoutons à cela une petite dose de paranormal, d'ésotérisme, bienvenue pour alléger encore le propos, une communauté post-hippie à l'hôtesse d'accueil charmante, une rivalité entre flics, et l'Inspection Générale des Services qui attend de Marco qu'il fasse les pires infractions au règlement, histoire d'entrer au Guinness autant lui qu'eux et de pouvoir dire : "je le connais, j'y étais !", ...

Lecture facile, texte très dialogué avec des réparties savoureuses, des situations très drôles, d'autres beaucoup moins, mais avec souvent un trait d'humour. Les chapitres sont courts, ça donne du rythme à un livre qui n'en manque déjà pas. L'écriture est efficace, à la fois glaçante mais avec toujours le mot ou les mots qu'il faut pour faire descendre la tension. En l'ouvrant, j'ai regardé comme je fais toujours, le nombre de pages, 354. Bon, quelques jours, je me suis dit. Tu parles Charles ! Une seule journée -bon d'accord un samedi peinard- et une longue soirée, jusque tard dans la nuit. Attention donc, risque de dépendance !

Ce formidable polar commence ainsi :

"La fille était morte quand elle a été violée. Et ça, c'était la bonne nouvelle. Quand l'information en provenance du bureau du médecin légiste s'est répandue dans les bureaux, les visages ont pris un air soulagé."(p. 11)



PS : Je découvre là en même temps, Le Passeur éditeur et Alain Gagnol qui n'en est pourtant pas à son premier roman, et qui multiplie les talents, figurez-vous qu'il est aussi le co-réalisateur d'un film d'animation que j'ai beaucoup apprécié -et que je vais sûrement revoir, ça m'a donné l'envie, il faut que je trouve le DVD-, Une vie de chat. Si vous hésitez, n'hésitez plus, lisez le roman et regardez le film !
Lien : http://lyvres.over-blog.com
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