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Critiques de Alain Henriet (188)
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Dent d'ours, tome 1 : Max

J'ai vu les prix, j'ai lu les premières critiques : j'en reste coi. Une bd ultra-académique, une histoire sans aucune originalité. On a l'impression de lire les histoires de l'Oncle Paul où les avions étaient aussi bien dessinés (le prix des pilotes de je ne sais où...). Quand on sort de la lecture récente d'un titre comme Adamson, on est pas dans la même division. Fermer le ban !
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Dent d'ours, tome 3 : Werner

Troisième tome et fin du premier cycle.

Une histoire qui ne faiblit pas avec des flashbacks et des rebondissements. On apprend toujours plus sur les trois amis d'enfance. On pourrait vite trouver que Hanna n'est qu'une peste ambitieuse. Mais on n'arrive pas à la détester. Il serait facile de s'apitoyer sur Max mais on le trouve courageux de son opinion. Quant à Werner il reste mystérieux.

Les dessins sont toujours aussi réussis et beaux.

Vue la fin on peut se demander si le deuxième cycle sera avec les mêmes personnages. Ce qui serait vraiment mieux. Autrement je trouve que l'histoire globale manquerait un peu d'envergure. Enfin bref on a hâte de découvrir ce qu'il réserve.
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Golden Cup, Tome 5 : Le baiser du dragon

La Golden Cup quitte la Russie et gagne la Chine.

Brenda a quelques soucis avec les locaux. Il faut dire que la bombe que transporte son truck fait des envieux en Chine. Daytona lui continue de briller sur le terrain, moins dans le coeur de sa bien aimée à qui la jalousie fait perdre la tête devant toutes ses pin-up!!



Un tome encore moins crédible que les autres. On perd un peu l'âme de la course avec toutes ses minables histoires de coeur. Entre le gros Caruso et ses tentatives minables et inutiles et les crises de jalousie cul-cul de Holly ont n'est pas au bout de nos peines. Et puis decidemment les méchants trouvent tout facilement... drones de combat, hélico, filles aussi canon que douées dans les arts martiaux, robot plus vrais que nature aux baisers empoisonnés...
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Dent d'ours, tome 1 : Max

J’ai reçu cette bande-dessinée grâce à une Masse Critique Babelio, je les en remercie chaudement ainsi que les éditions Dupuis qui m’ont permis de découvrir cette première partie de Dent d’ours.

C’est ma première lecture de l’année et ça commence plutôt bien.



On suit Max, un aviateur polonais faisant parti de l’aviation américaine, dans un court laps de temps : ses exploits, sa vie parmi ses coéquipiers jusqu’à ce que sa vie bascule. Chaque événement ou parole échangée donne lieu à un souvenir de jeunesse en Silésie entre Max, Werner et Hanna.

L’histoire est sympathique mais ça reste vraiment un tome d’introduction : on découvre les trois personnages principaux. On imagine aisément au fil des pages ce qui les a séparés, le cheminement au moins de Max et d’Hanna… Pour Werner, on ne sait pas trop, à voire dans le tome 2.

L’événement marquant qui lance l’histoire et nous permettra de retrouver tous les protagonistes adultes se situe à la fin, malheureusement, pour en connaître le dénouement, il faudra lire la suite.



La couverture me plaisait bien, le contraste entre Max à terre qui regarde les avions en rêvassant. Elle a un côté très nostalgique, et en même temps, on y sent de l’espoir, tout cela grâce aux couleurs utilisées, couleurs qui m’ont beaucoup plu.

Le character design des personnages a un côté rétro qui m’a pas mal fait pensé à des BD des années 80-90, ce qui n’est pas déplaisant, avec un petit mélange comics de la même période. Les couleurs choisies sont assez proches du sépia tout en restant colorés, c’est un peu étrange. Je les ai trouvés chaleureuses lors du récit présent, et un peu plus froides pendant les souvenirs.



J’ai bien aimé cette BD, c’est un bon tome d’introduction, une entrée en douceur dans la Silésie des années 30, période pendant laquelle le nazisme prend doucement de l’ampleur en Europe.

Le petit plus : les dernières pages, une petite interview de l’auteur Yann sur le contexte historique, l’histoire de Dent d’ours ou sa collaboration avec Henriet.
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..
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Dent d'ours, tome 1 : Max

BD historique mêlant montée du nazisme en Silésie et aviation. C'est bien documenté. Ce récit se fait au travers de trois enfants partageant la passion de l'aviation. Mais Max est juif et des choix s'imposent malgré eux. Dans ce tome, on retrouve Max adulte qui s'est engagé dans l'armée américaine mais rien n'est simple pour lui.
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Dent d'ours, tome 2 : Hanna

Max a donc décidé d’accepter la terrible mission qui lui a été confié, il est donc envoyé par les services secrets américains en plein milieu du Reich pour éliminer la menace que représente Hanna, son ancienne amie d’enfance…

Le récit se transforme peu à peu en uchronie car on retrouve les fameuses armes secrètes que l’on peut voir déjà dans la série Wunderwaffen. Mais contrairement à cette série, « Dent d’ours » va se consacrer à cette histoire d’amitié qui vacille à cause de l’horreur de la guerre. La conclusion de ce second tome présage encore d’une histoire compliquée où il est bien difficile de savoir ce qu’il va advenir de chacun des protagonistes : traitre, héros, meurtrier, amour…

Une histoire en tout cas bien passionnante et sans temps mort.
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Dent d'ours, tome 1 : Max

Max est pilote d’avion dans l’US Air Forces mais, alors qu’il rentre de mission, il est mis aux arrêts pour avoir caché être un ancien Nazi. Malgré ses protestations, il est mis en prison et promis au poteau d’exécution… ses souvenirs le ramène dans les années 30 où il se revoit avec ses deux amis Hanna et Werner, Ils étaient alors inséparables. Mais la montée en puissance du parti Nazi va petit à petit les éloignés les uns des autres…

Ce premier tome permet de découvrir le cadre de cette histoire en s’arrêtant un peu plus longuement sur Max Kurtzman qui est injustement traité de Nazi… on découvre aussi ce groupe de 3 enfants que l’on imagine chacun vivre sa « propre guerre ». Un procédé vu dans d’autres BD où on vit le récit sous les yeux d’un protagoniste différent. Ce premier tome semble en tout cas prometteur d’une belle histoire, notamment avec cette redoutable conclusion à ce premier album.
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Damoclès, tome 1 : Protection rapprochée

Nous commençons par une espèce de prologue d'une dizaine de pages qui démarre très fort pour nous montrer que le milieu de la protection rapprochée n'est pas sans danger avec la profusion des dernières armes high tech à la disposition de tout gosse (sic!). Puis, passer cette épreuve musclée, on fait la connaissance des différents personnages qui composent l'agence privée Damoclès.



On s'attache assez rapidement à ces gardes du corps d'un nouveau genre. La bd va plus loin que le concept car elle offre via un débat télévisé une interrogation légitime sur la nécessité de telles agences privées devant la flambée de violence et devant le terrorisme.



L'efficacité est de mise dans ce premier album avec ce mélange d'action et d'intrigue. On évolue au sein d'un milieu luxueux: de belles filles, de belles voitures, de belles villas... Le dessin est plus que correct avec son trait fin et réaliste par le dessinateur de Golden Cup.



Encore une fois le scénariste qui est actuellement l'un de mes préférés fait des merveilles au niveau de ce thriller contemporain avec une entrée en matière prometteuse. Les scènes sont d'une très grande fluidité. Le final abuse tout de même un peu car c'est dépourvu de subtilité.



Maintenant sur le fond, il y a quelque chose qui me chiffonne profondément. Cette agence a pour mission de protéger les plus grosses fortunes de la planète. En effet, les riches sont jalousés et il faut les protéger contre les mécréants. Quand une organisation qui prend le nom ô combien symbolique de l'armée de Sherwood souhaite faire pression contre les multinationales qui pillent sans vergogne les matières premières des pays du tiers-monde afin de modifier les règles; l'auteur semble prendre leur défense.



L'un des héros dira même qu'il déteste Robin des Bois, celui qui volait aux riches pour donner aux pauvres. Soit! Mais nos héros vont devoir se mettre à protégés l'un des enfants super-gâtés et franchement infect d'un milliardaire nanti et antipathique ayant des liens de financement avec cette agence. Ah oui, j'oubliais: ce richissime homme d'affaire dirige une industrie d'armement. Je crois rêver! C'est franchement puant ou j'ai rien compris? J'espère avoir des éclaircissements au second tome...



On peut être emballé par une bd qui possède tout les attraits sur la forme mais il faut quand même s'interroger sur le fond, question de moralité !
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Dent d'ours, tome 6 : Silbervogel

J’attendais la sortie du dernier opus de la série avant de relire intégralement les 6 albums. Cette critique donne mon point de vue sur la totalité de la série et non seulement sur le dernier tome. Pourquoi succomber à l’achat de Dent d’ours ? D’abord, c’est une collaboration franco-belge avec un scénario construit et captivant de Yann et des planches de dessins sublimes et très soignés d’un point de vue historique d’Alain Henriett. La série a conquis toute la famille, de mon petit dernier 10 ans à mon mari, inconditionnel de BD et parfois plus difficile à convaincre. D’un point de vue pédagogique, elle donne à connaître les grands personnages de la Seconde Guerre mondiale ainsi que les grands enjeux de cette guerre : la course à l’armement et l’emploi des grands scientifiques pour y parvenir mais également le travail forcé des prisonniers juifs, l’endoctrinement à l’œuvre du régime hitlérien mais aussi les secrets de guerre qui n’éclateront qu’à la fin du conflit. Enfin, la série met en scène trois personnages fictifs qui apportent à la dimension récit de la grande histoire, celle plus intimiste de la petite histoire, celle des milliers d’allemands et de juifs aux prises avec la montée de cette fureur à nulle autre pareille. C’est plein d’actions, de rebondissements, on vit avec passion les décisions des protagonistes, c’est vraiment une super série pour les passionnés d’histoire mais aussi les autres car elle n’est pas centrée sur une vocation didactique. Super moment de lecture assuré et à partager !
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Dent d'ours, tome 5 : Eva

Cinquième tome de dent d'ours. L'intrigue progresse lentement. Dans ce tome, les soldats de part et d'autres tentent de récupérer les innovations technologiques et les chercheurs de l'autre camp. Les SS se livrent à leurs exactions comme les soldats de l'armée rouge. Seuls les flash backs donnent un tout petit peu de piment, mais cela reste faiblement épicé. La fin, ouvre sur un questionnement : Hanna ira-telle au bout se don délire ou sera-t-elle arrêtée par elle même ou par l'un des deux garçons ? Dessins en mise en couleur toujours impeccables avec un beau carnet de croquis dans le première édition qui donnent une idée de la qualité des crayonnés.
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Dent d'ours, tome 5 : Eva

Histoire tragique d'un amour impossible entre Hanna et Max. Les enfants ont grandi, ils ont fait des choix mettant fin à ce qui les liait. Quand la folie des hommes s'arrêtera-t-elle ?
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Dent d'ours, tome 3 : Werner

Dans cette fin de cycle, nous apprenons ce qui est arrivé à Max. Outre les scènes de bombardements que j'ai trouvé nombreuses et trop longues, j'ai été absorbée par l'histoire tragique de ce triangle amoureux.
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Dent d'ours, tome 2 : Hanna

Les passionnés d'aviation de la seconde guerre mondiale trouveront leur bonheur dans cet album. En ce qui me concerne, les nombreux détails et précisions sur les avions de guerre ne m'intéressent pas plus que ça, cependant, j'y ai découvert une histoire dramatique, celle d'un triangle amoureux qui gagne à être connue et approfondie.
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Dent d'ours, tome 2 : Hanna

Le second album de la série confirme tout le bien que l'on pouvait penser du premier. Il est même à mon avis un degré au dessus. Le dessin reste très travaillé et agréable à découvrir. Le scénario n'est pas en reste. Notre héros américano-polonais se trouve investi de la mission de tuer son amie d'enfance devenue pilote d'élite dans l'armée du Reich.



La documentation historique paraît avoir été fouillée par les auteurs tant sur les modèles d'avion en service, que sur les armes secrètes de nazis ou encore sur l'existence des loup garous et d'une patrouille de pilotes nommées Léonidas d'après le roi de Sparte qui a combattu aux thermopyles.



Le drame est bien présent, notamment au travers du personnage féminin de la résistance polonaise aux charmes duquel notre transfuge n'a pas échappé et qui fini dans un bain de sang.



On a hate de voir comment cette histoire entre les deux protagonistes va évoluer et quelle sera l'implication du troisième personnage
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Dent d'ours, tome 2 : Hanna

Max, juif polonais, a fui la Silésie alors que le nazisme se répandait. Il a alors réalisé son rêve: devenir pilote. C'est ce dont ils rêvaient avec Hanna et Werner...



Parachuté en Pologne, non loin des sites d'expérimentation des nouveaux engins volants du Reich, Max (affublé de Werner comme fausse identité) intègre l'école de pilotage. Il se rapproche donc d'Hanna.



Les auteurs entrecoupent -de manière fort bien pensée- le récit au quotidien (montrant des combats aériens et des nazis sanguinaires) de flashbacks dévoilant Hanna et ses deux prétendants Max et Werner. On assiste à la découverte de la dent d'ours, dans une grotte préhistorique lors d'une nuit d'orage.



Le scénario m'a semblé moins vif que dans le premier tome, mais le dessin... wouaw... le dessin est vraiment sublime (en tout cas, il me plaît énormément).
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Dent d'ours, tome 3 : Werner

J’ai beaucoup aimé les séries « Le grand duc » et « le pilote à l’Edelweiss », des histoires finement construites et parfaitement intégrées dans le contexte historique dans lequel les acteurs connaissent leurs aventures.

Cette série « Dent d’ours » est tout aussi saisissante par ses attraits sans faille avec un graphisme d’Alain Henriet à la hauteur.



Cette série met en scêne trois enfants Hannah, Werner et Max, pris dans la tourmente de l’Allemagne des années 30.

Trois enfants qui se créent leur univers onirique, fraternel et un peu plus, sous l’impulsion d’Hanna petite diablesse.

Trois enfants passionnés d’aviation, mais qui ne peuvent rester dans leur univers à commencer par Max qui est juif…



Dans ce troisième tome le dénouement dramatique pour ces trois héros adultes. Même s’il ne s’agit que de bd, impossible de ne pas être remué par cette histoire, c’est tout le mérite de ces créateurs.



A noter que malgré la mention traditionnelle que ce « récit n’est qu’une oeuvre de pure fiction » le personnage d’Hanna Reitsch a non seulement existé mais appartient à la « grande » histoire. Comme illustré dans ce troisième tome, elle a bien atterri sous le feu russe sur l’avenue Unten den Linden le 28 avril 1945 dans un Berlin crépusculaire. Le maréchal von Greim qui était avec elle a été blessé lors de cet atterrissage inouï. Ils rencontrèrent Hitler qui désigna von Greim comme chef de la Lufttwaffe, qui n’existait plus évidement à ce moment là, en remplacement de Goëring destitué par le dictateur. Ils réussirent à s’exfilter de Berlin par le même moyen dans des conditions tout aussi invraisemblables.
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Dent d'ours, tome 2 : Hanna

C’est avec plaisir que je me suis replongée dans les aventures d’Hanna et de Max. En effet, ce deuxième tome tient les promesses du premier. Les graphismes sont toujours magnifiques et les personnages gagnent en profondeurs, surtout Hanna et Max, car pour l’instant on n’en apprend pas vraiment plus sur Werner.



Ce tome est plus centré sur le présent des protagonistes que sur leur passé. Les événements s’accélèrent et le lecteur a droit quelques moments de suspens, même si dans l’ensemble le scénario n’est pas non plus imprévisible.



En fait, le point fort de cette saga tient surtout aux recherches documentaires faites par ses auteurs, notamment sur les recherches en armement effectuées par les Allemands et leur état d’esprit alors qu’ils étaient en train de perdre la guerre.



J’attends avec impatience l’occasion de lire le troisième tome afin d’apprendre enfin des choses sur le troisième personnage de cette histoire.
Lien : https://belykhalilcriticizes..
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Dent d'ours, tome 1 : Max

[...]

Le récit est intéressant. Il se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale, cette période étant propice à de nombreuses histoires en BD. L'aviation sert de décor à la trame narrative. Le lecteur va suivre la vie de Max Kurtzman, pilote de l'US Air Force, avec de nombreux flashbacks sur son enfance en Silésie dans les années 1930 avec ses deux amis, Werner et Hannah.



L'intrigue ressemble, a priori, à un triangle amoureux, mais pour ajouter du piment, Max est aux États-Unis et Werner et Hannah dans l'Allemagne Nazie. La ressemblance de Max avec son ami d'enfance Werner va lui attirer des ennuis.

[...]

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Lien : http://www.aupresdeslivres.f..
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Dent d'ours, tome 2 : Hanna

On continue de suivre Max qui s'est engagé dans une mission d'infiltration. On se demande encore si il va pouvoir aller jusqu'au bout. On découvre Hanna, ce qu'elle était étant petite fille et ce qu'elle est devenue. Nos personnages sont toujours aussi bien campés, aussi complexes et reconnaissables. Les dessins sont fidèles à eux même et n'ont faiblis, ainsi que le contexte toujorus aussi détaillé et fourni.

Vous l'aurez compris une bonne suite dans la continuité du premier. Avec toujours autant de questions pour le prochain tome.
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Damoclès, tome 1 : Protection rapprochée

Histoire d'une équipe de gardes de corps engagés par des gens riches et importants et qui font face à toutes sortes de situations. Le tome 1 est vraiment intéressant et donne envie de lire la suite.
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