Citations de Alexandra Ivy (101)
Être si près de Baine, c'était comme se trouver à côté d'un volcan prêt à entrer en éruption à tout moment. Un volcan très sexy, chuchota une voix dans sa tête.
- Elle est...
- Belle, suggéra Char. Sexy ? Irrésistible ?
Les trois à la fois, reconnut-il en silence.
- Exaspérante, dit-il tout haut.
Char haussa les épaules.
- C'est une femme. Elle est censée l'être.
Ça avait débuté quand il avait à peine cinq ans et avait compris que ses frères étaient destinés à devenir les héritiers de son père alors qu’il était condamné à une existence oppressante au milieu de nulle part, entouré par des serfs superstitieux qui, après avoir jeté un regard à ses yeux singuliers, avaient affirmé que sa mère avait couché avec un démon.
Les péquenauds ignorants.
Il avait été assez facile de se débarrasser de Boris et Viktor. Ces deux-là s’étaient comportés comme des tyrans impitoyables avec lui, mais avaient aussi été bêtes comme des pots. Et dès que Zak avait commencé à entrer en possession de ses pouvoirs, ça n’avait été qu’une question de temps avant qu’il puisse les mettre dans la tombe.
Il s’était occupé de Boris tout simplement en faisant apparaître sa défunte maîtresse dans les bois. L’idiot était tombé de cheval de stupeur et s’était cassé le cou. Pour Viktor, ça s’était révélé un peu plus compliqué, mais Zak avait trouvé par hasard le corps d’un braconnier qui avait récemment été tué et s’en était servi pour éloigner Viktor des écuries et lui tordre le cou.
Il n’avait jamais songé que son père refuserait de faire de lui son héritier. Après tout, il était le seul fils survivant.
Mais le salopard avait informé Zak avec froideur qu’il ne permettrait jamais qu’un sale gosse difforme prétende à son titre.
Cette fois, Zak avait pris les choses en mains, littéralement, étranglant son père avant de cacher le corps. Quelques heures plus tard, il avait utilisé ses pouvoirs pour s’assurer que son père apparaissait le temps de proclamer officiellement Zak son héritier, puis il avait laissé son cadavre s’écrouler au sol
Mais l'amour qu'il ressent pour Shay est suffisant pour lui donner la force d'aller en enfer pour elle si ça signifie passer le reste de l'éternité à la tenir dans ses bras.
Viper passa les mains dans ses cheveux d'un geste anxieux. Ce n'était pas qu'il craignait de se battre. Merde! Cela faisait bien trop longtemps qu'il n'avait pas savouré une bonne bataille.
Mais pour la première fois de sa longue vie, il devait se soucier de quelqu'un d'autre que lui.
C'était un sentiment troublant.
Et il n'était pas sur de savoir comment y faire face.
- Hé, où est le Starbucks? On ne peut pas demander à une gargouille de se comporter de manière civilisée avant son dolce latte à la vanille. (Il mit les mains sur les hanches). Et mes gâteaux à la cannelle? Où sont mes gâteaux?
La gargouille se mit au garde-à-vous.
- Oui, chef, M. Teminator, chef.
- Levet, souffla Jagr.
- Oui ?
- Moque-toi encore et je t'arrache les ailes pour te les fourrer au fond de la gorge.
- Tu as des problemes de gestion de la colere, tu en as bien conscience, vampire?
- Compris?
- Je comprends qu'un jour je te foutrai un pieu dans le cul.
Il haussa les sourcils.
- C'est pas ca qui me tuera.
- Non, mais ca sera super marrant.
L'ombre d'un sourire apparut sur les levres de l'homme avant de disparaitre brusquement.
- Pas autant que de te voir essayer.
- Connard.
- Donc tu te trouvais vraiment à Paris à l'époque de la Terreur?
- J'y ai passé des mois inoubliables, dit-il avec un sourire nostalgique. Je te suggère toutefois de t'y rendre en dehors des périodes de révolution.
- Qu'est devenu le temps où un vampire pouvait se faufiler dans les égouts et vivre dans une crypte humide?
- Je crois que ce temps-là s'est arrêté le jour où les mortels ont décidé de ramper en dehors de leurs cavernes, répondit-il, non sans ironie.
Il haussa les épaules et dissimula son sourire face au désir farouche de la garou de le garder à distance. Et les gens le trouvaient, lui, asocial.
- Je regarde la télé.
- Laisse-moi deviner. Tu es accro à Dexter.
- A vrai dire, je préfère Gossip Girl.
- Peut etre pas, mais je m'imagine cet étalon delicieusement tenebreux menotté à mon lit pendant que j'en fais ce que je veux.
- Des menottes? (Anna réprima un rire nerveux, et serra instinctivement son sac plus fort.) Je me suis tjrs demandé comment vous reussissiez à garder une homme ds votre lit.
Sybil plissa les yeux.
- L'homme qui ne desire pas désesperement gouter à ce corp n'est pas né.
- Qui desire desesperement gouter à un corps siliconé injecté de Botox et deja usé jusqu'à la corde? Une poupée gonflable contient moins de plastique que vous.
-Si ce doigt s'aventure un peu plus bas, ton passage sur terre sera considérablement raccourci.
Il émit un ricanement et baissa la main à contrecœur.
-Tu sais, Abby, un jour, tu oublieras de dire non. Et ce jour-là, je compte bien te faire crier de plaisir.
Serra aurait été jalouse comme pas possible de sa cadette si Callie n’avait pas été si incroyablement adorable et d’une loyauté absolue.
— Ce n’est pas vraiment le moment, dit Serra, prenant la bouteille de tequila dans un placard vitré.
Callie grimaça, et s’avança pour s’appuyer au comptoir à la surface de marbre.
— Je sais, tu as eu des fuites.
Faisant claquer sa langue, Serra se versa un verre. Parce qu’elles avaient grandi ensemble, elles étaient reliées à un niveau psychique. Ce qui signifiait que Callie pouvait sentir les vibrations de ses pensées quand elles se glissaient à travers ses barrières mentales.
— Je t’ai dit de ne pas employer ce terme. On croirait que j’ai des problèmes de vessie.
- Et le trésor ?
- Tu seras en vie. [...] Parfois, c'est le plus grand de tous les biens.
- Le magicien noir et moi avons eu un léger différent.
- De quel ordre ?
- Je trouvais qu'il devait mourir et il n'était pas d'accord.
(...)
- Je présume que tu as réussi à lui faire accepter ton point de vue...
- Tu peux imaginer ce que c'est que être immortel ? demanda-t-il enfin.
- Les assurances vie deviennent superflues ?
- Le meilleur moyen d'éviter les pourritures, c'est de se cacher sous leur nez.
— Bon, je veux que tout le monde forme un cercle, dit-elle sans se formaliser des froncements de sourcils des bâtards quand elle les invita à se rassembler au centre du vestibule. Maintenant, tenez-vous tous par la main.
— Si vous vous imaginez que je vais chanter Kumbaya, vous avez perdu la tête, marmonna le blond.
"Peu de femmes résistent au charme d'un vampire,dit Levet,poussant un profond soupir. C'est un mystère de la nature déconcertant, comme les arcs-en-ciel,les licornes et la séparation des Backstreet Boys. (Il secoua la tête) Inexplicable. "