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Citations de Alexandra Ivy (101)


Sans réfléchir à l'imprudence de son comportement, Abby enfouit les doigts dans sa superbe chevelure. Le cœur battant, elle haletait déjà.
- Je ne veux pas penser aux démons ou aux sorcières et à toutes ces créatures immondes qui cherchent à me tuer.
Il l'enlaça et l'installa à califourchon sur ses genoux, de sorte qu'ils se retrouvèrent face à face.
- Qu'est-ce que tu veux? souffla-t-il d'une voix rauque en lui caressant le dos.
- Toi... (Elle l'embrassa avec toute la force du désir qui brûlait en elle.) C'est toi que je veux.
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- J'ignore ce que la fée Morgane veut à Anna, mais j'ai l'intention de le découvrir. Quand on le saura, on pourra l'inviter à une petite réunion de famille.
Un sourire se dessina sur les lèvres de Styx.
- Je vote pour qu'on organise un barbecue.
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À un moment cette femme l’enflammait, et le suivant elle était capable de filer des engelures à un lutin de feu.
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Un garou avec un cerveau. Par l’enfer, le monde devenait vraiment dingue.
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- Ne revenez-vous pas au lit? s'enquit Jenna d'une voix geignarde.
Il ne prit pas la peine de regarder de son côté.
- Rhabille-toi et va-t-en.
Il ouvrit brusquement la porte et fit signe au garou massif au crâne rasé qui montait la garde dans le couloir.
- Hess.
Tombant à genoux, l'homme colla son front au tapis écarlate avec déférence.
- Oui, sire?
- Nous rencontrons des difficultés à Hannibal. Je veux que vous rassembliez trois de nos meilleurs soldats et chargiez le Hummer avec un arsenal suffisant pour nettoyer une meute de bâtards parias. Nous partons après le déjeuner avec le maire.
(chapitre 4 p.87)
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— Tu emmènes Troy avec vous ?
À cette seule pensée, un frisson d’horreur le traversa.
— Bon Dieu, non.
Ils entendirent la porte s’ouvrir avant que l’air soit saturé par la puanteur du granit.
— Pourquoi aurait-il besoin d’un sidhe quand il a déjà un alcoolique ? demanda une voix au fort accent français alors que Levet entrait dans le bureau avec Sally.
— Un acolyte, le corrigea Sally, surveillant d’un oeil méfiant Roke qui réagit immédiatement à l’insinuation de la gargouille qu’elle serait de la partie.
— Non, gronda-t-il.
Elle pinça les lèvres à son refus catégorique de ne serait-ce qu’envisager être coincé avec le casse-pieds.
— Nous avons besoin de lui.
— Pourquoi pourrions-nous bien avoir besoin de ce… (il pointa un doigt sur Levet qui souriait d’un air suffisant) morceau de granit ?
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- Les grands diseurs ne sont pas les grands faiseurs, le défia-t-elle.
Il s’avéra que si.
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– Tu as un plan ?

Un plan ? Styx grimaça. Depuis un an, ce qui s’était le plus rapproché d’un plan avait été d’enchaîner les catastrophes.

Pourquoi serait-ce différent cette fois-ci ?

– Ca fait près de trois semaines que Sally s’est lancée à la recherche d’indices qui pourraient lui révéler l’identité de son père, dit-il.

– Et Roke ?

– Il tente de la rattraper.

Salvatore arqua un sourcil.

– Tu l’as laissé partir seul ?

– Bien sûr que non. (Avec lenteur, Styx esquissa un sourire.) J’ai autorisé Levet à l’accompagner.

Salvatore s’étrangla avec son cognac à la mention de la minuscule gargouille qui s’était prise d’affection tant pour Darcy que pour Harley. Un vrai pot de colle. […]

– Tu es un vampire vraiment très, très méchant, murmura Salvatore.

– J’essaie.
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me souviens pas de ce livre l'ai je lu ? ça ne m'a pas frapper c'est quoi l'histoire déja ?
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 — Qu'est-ce qui te fait penser que je vais mal le sans surprise, d'un ton hargneux.
— Tu es un homme.
À cette accusation brutale, il la regarda fixement, puis il esquissa un sourire contrit.
— Bien vu, marmonna-t-il, lui effleurant la joue des doigts. Raconte-moi. 
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D'un mouvement rapide, il lui bloqua le passage et lui saisit les bras avec délicatesse.
-Il est tard, protesta-t-elle, sentant son cœur palpiter à la douceur de son étreinte. On pourra parler demain matin.
Il baissa les yeux sur son visage, s'attarda sur ses lèvres avant de croiser son regard circonspect.
-Tu as raison.
-Ah oui?
-Je ne veux pas parler.
Elle frissonna. La chaleur de ses doigts lui brûlait la peau, lui envoyant des décharges électriques sensuelles à travers le corps.
-Ducan, souffla-t-elle.
Elle vit ses yeux entrouverts jeter un éclat doré à la lumière tamisée du plafond.
-Je peux te serrer dans mes bras?
Elle humecta ses lèvres sèches.
-Quoi?
Il lui caressa le bras.
-On est tous les deux fatigués et plus qu'un peu terrifiés.
-Exact.
-Je n'ai pas envie de rester seul cette nuit.
-C'est encore ton baratin à deux balles?
-Pas cette fois.(Son expression était d'une étrange gravité).Je veux juste te sentir dans mes bras pendant mon sommeil.
A ces simples mots, son cœur manqua un battement. Elle n'avait jamais rencontré d'homme qui désirait juste la serrer contre lui. En fait, la plupart des hommes qui étaient prêts à coucher avec elle auraient été horrifiés à l'idée de partager son lit.
Après tout elle scrutait l'esprit des morts.......
Pourquoi ne devrait-elle pas savourer quelques heures enveloppée dans les bras de ce flic superbe et sexy à tomber?
Elle esquissa un petit sourire.
-Je n'ai pas de nuisette.
Elle vit une émotion indéfinissable briller un instant dans ses yeux noisette quand Ducan se déplaça pour la soulever du sol avec une rapidité qui aurait rivalisé avec celle d'une Sentinelle.
-Ce n'est pas grave, dit-il d'une voix rauque en se dirigeant vers la chambre. Moi non plus.......
-Je ne crois pas que tu portes de nuisettes.
-Une de ces nuits, je te montrerai exactement ce que je porte ou non, lui promit-il avec un grand sourire coquin....
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 — Duncan.
— Ne t'en fais pas, ma puce, s'empressa-t-il de lui assurer. J'ai beau me comporter parfois comme un homme des cavernes, j'ai parfaitement conscience que je ne peux pas te traîner jusque dans ma grotte.
— Pas si tu veux garder tes bijoux de famille. Il tressaillit. 
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Il avait passé la majeure partie de sa vie à être conscient que les femmes le trouvaient irrésistible. Ignorer si Callie avait ne serait-ce que remarqué qu’il était un homme le mettait hors de lui.
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Duncan était sacrement fier de lui.

Il n’avait pas sorti son pistolet quand Fane, d’un air protecteur, s’était tenu tout près de Callie, le visage dur pendant qu’il s’efforçait manifestement de la convaincre de rentrer à Valhalla avec lui.

Ni quand Callie avait levé la main pour toucher la Sentinelle avec une intimité qui lui avait arraché un grognement digne d’un putain de chien.

Ni même quand Fane lui avait décoché un regard noir où brillait la promesse de toutes sortes de très, très horribles conséquences s’il arrivait quoi que ce soit à Callie pendant qu’elle serait sous sa surveillance.

Ouais, il récoltait tous les lauriers.

N’empêche, il ne put s’empêcher de passer un bras empreint de possessivité autour des épaules de Callie quand elle revint enfin à ses côtés alors que son imposant gardien remontait le sentier raide au petit trot ; celui-ci s’arrêta au sommet pour foudroyer Duncan d’un dernier regard.

Et si ça faisait de lui un homme des cavernes… alors qu’il en soit ainsi.
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Il la précéda hors de son appartement et jusqu’à sa voiture, se promettant en lui-même de se mettre en quête d’un nouveau logement dès son prochain jour de congé.

Il nourrissait de grands espoirs de parvenir à convaincre Callie de passer plus qu’un après-midi avec lui. Elle méritait mieux que cette résidence délabrée dont le seul attrait était sa proximité avec le poste.

Peut-être même qu’il regarderait les maisons, décida-t-il en sortant du parking.

Avec un jardin, un chien et une balançoire…

Il arrivait juste à la barrière de piquets blancs quand Callie l’arracha heureusement au cours ridicule de ses pensées.
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Fane ouvrit la portière arrière pour que Callie s’installe sur la banquette.

Duncan s’empressa de se glisser après elle sur le siège en cuir moelleux, de sorte que la Sentinelle fut obligée de monter à l’avant avec le moine encapuchonné.

Puéril ?

Putain, ouais.

Mais tout le monde savait que la plupart des hommes avaient la maturité d’un gamin de cinq ans.
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— C’est votre amant ?

A cette question abrupte, elle le dévisagea fixement.

— Ce ne sont pas vos affaires.

Effrontément, il lui saisit le menton.

— Dans la mesure où vous allez partager mon lit, je dirais que ce sont parfaitement mes affaires.
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Dans sa tête, elle était peut-être une « Xena la guerrière » qui déchirait, mais dans la réalité… ouais, pas vraiment.
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Au moins son trouble intérieur n'était pas visible alors qu'elle croisait le regard noir brûlant de Santiago.

-Pardon?demanda-t-elle du ton froid qui, elle ne l'ignorait pas, le mettait sur les crocs.

Il pointa un doigt sur Levet.

-Pourquoi te déplaces-tu avec casse-pieds?

Elle plissa les yeux.

-Je te prie de ne pas insulter mon ami.
-Oui, n'insulte pas son ami, grommela Levet en se postant à coté d'elle avec un reniflement offusqué. Au cas où tu aurais raté la mammographie, je suis un héros.

Santiago se renfrogna.

-"La mammographie"?
-Le mémo, corrigea Nefri. Raté le mémo.
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Sans prêter attention à l'ordre qu'il venait de recevoir, le petit démon se retourna pour montrer à Laylah l'empreinte de main qu'elle avait laissée sur ses fesses juste avant de le lâcher dans les tunnels.
- Regardez ce que vous avez fait.
- C'était un accident.
- Un accident? (Levet lui fit de nouveau face, battant des ailes). Vous avez terni la perfection. C'est comme profaner La Joconde.
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