Angelo Casilli

Je remercie énormément Angelo Casilli pour l'envoi de son second roman : Dix petits pions.

Petite précision : Contrairement à ce que le titre pourrait laisser penser, ce roman est un thriller sanglant. Il est donc réservé à un public averti. Certaines scènes sont susceptibles d'heurter les personnes sensibles, notamment les plus jeunes.

Dix personnes qui ne se connaissent pas sont enlevées et se réveillent dans une pièce avec un étrange collier autour du cou...

Derrière des caméras braquées sur elles, quelqu'un semble prendre un malin plaisir à les observer...

Dépossédées de toutes leurs affaires personnelles, elles doivent trouver des réponses à leurs questions.

Que leur veut-on ? Qui se cache derrière les caméras ? Et comment ouvrir cette porte métallique qui représente la seule issue possible vers l'extérieur ? Mais mène-t-elle réellement vers la liberté ?

Sans réponses, elles vont devoir trouver le moyen de l'ouvrir avant que cette pièce ne devienne leur tombeau. Mais elles vont vite comprendre que quelqu'un joue avec eux et que pour sortir, elles doivent suivre ses règles du jeu.

Réduits à de simples petits pions, deux camps vont s'opposer... Il faut faire vite, le temps joue contre elles. Tour à tour, elles vont devoir prendre une cruelle décision avant qu'il n'y ait plus personne pour jouer....

Dix petits pions est un excellent thriller que j'ai pris plaisir à lire quasiment d'une traite, ayant du mal à m'arrêter dans ma lecture. C'est sanglant certes, toutefois cela ne m'a pas dérangé car il n'y a pas de violence gratuite. Tout s'explique, y compris certaines scènes un peu plus dures. C'est sombre, mais cela ne m'a pas dérangé.

Dix personnes inconnues se retrouvent dans une pièce close, victimes d'un homme qui a décidé qu'ils étaient des pions ! Classique au premier abord, classique vraiment ? Pas tant que ça en fait :) Car on trouve énormément de rebondissements dans ce roman, il est impossible de savoir où l'auteur veut nous emmener, ce que j'apprécie avec ce genre de roman. Je lis beaucoup de thrillers, je devine souvent quelques éléments mais pas ici. Angelo Casili a réussi à me bluffer du début à la fin. L'écriture est agréable, c'est fluide. Les personnages sont intéressants, différents donc on peut s'identifier à certains d'entre eux.

J'ai apprécié la fin, ouverte, qui ne dévoile pas tous ses secrets et qui laisse apparaître quelques mystères.. le lecteur arrivera t'il à tous les résoudre ?

J'ai adoré ce roman, c'est une excellente surprise et il mérite d'être lu.

Je mets un énorme cinq étoiles, et je relirais Angelo Casili sans aucunes hésitations :)

Je remercie chaleureusement Angelo Casilli pour l'envoi de son roman Le tueur invisible.

Il y a un an, le commissaire Jack Lewis a abattu le tueur en série responsable de la mort atroce de sa femme. Depuis, il a sombré dans l'alcoolisme et est incapable de s'occuper de sa fille, Jenny, seize ans qui est partie vivre chez ses grands-parents.

Alors que Jack sombre, une nouvelle vague de meurtres s'abat sur Antalville. Confronté cette fois à un ennemi invisible, il va devoir affronter un tueur en série machiavélique qui se sert d'une nouvelle façon de tuer...

Apollon (il se fait appeler ainsi) piège ses victimes qui se retrouvent alors contraintes de lutter pour survivre.

Les rues deviennent son terrain de jeu. Les cadavres s'accumulent, Apollon reste insaisissable et les médias s'en mêlent, soulevant l'incapacité de la police à arrêter le meurtrier.

Une course contre la montre s'engage entre le tueur et Jack.

Pour arrêter définitivement ce criminel, Jack va devoir affronter ses démons, et flirter avec le diable.....

Le tueur invisible est un très bon roman policier mettant en scène un homme qui a tout perdu un an auparavant. Certes, il lui reste sa fille toutefois cela ne l'empêche pas de préférer pour le moment l'alcool au reste...

Jack est un homme touchant, il a vécu l'enfer et lutte pour survivre. Je ne suis pas (au premier abord) amatrice des personnages ayant un souci avec l'alcool. Pourtant, ici, le fait que Jack soit alcoolique ne m'a pas dérangé étant donné que c'est cohérent. Il a vu sa femme mourir sous ses yeux, il est évident qu'il cherche à s'évader dans la boisson. Même si ce n'est pas la chose à faire, c'est tout à fait compréhensible vu les circonstances et j'avoue avoir excusé son comportement, que je n'approuve pas.

Jack est touchant, attachant.

Apollon est un tueur en série machiavélique, qui fait froid dans le dos. L'histoire est crédible, et un homme aussi fou pourrait malheureusement exister un jour, ce qui m'a fait frissonné plusieurs fois.

J'ai énormément apprécié ma lecture, je trouve cet ouvrage bien écrit. Pour un premier roman, c'est une bonne surprise au niveau du style. C'est fluide, j'ai pris plaisir à suivre les personnages, l'histoire est bien ficelée.

Juste un tout petit bémol sur l'excès de virgules, parfois mal placées, mais ce n'est pas très gênant.

L'ensemble donne un bon thriller qui bouge bien et qui m'a captivé de la première à la dernière page. Il y a beaucoup de surprises, aucunes longueurs, chapeau à l'auteur :)

Ma note : un très joli quatre étoiles et demie :)

Voulez-vous jouer avec Angelo Casilli ? Lisez alors le livre lentement, prenez garde à chaque détail si vous voulez connaître le coupable.

« Quelque part dans les ténèbres » dix personnes se réveillent avec un collier autour du cou qu’elles ne peuvent retirer. Des caméras sont braquées sur elle. Elles comprennent vite que quelqu’un les force à participer à un jeu mortel.

À vous maintenant de relever le défi lancé par l’auteur. Même s’il est facile de se perdre parmi les personnages, vous aurez du mal à lâcher ce livre, clin d’œil à Agatha Christie.




Lien : https://dequoilire.com/dix-p..

Gentil avertissement : il s'agit d'un livre à énigme et il faut donc faire travailler ses méninges et ne pas le lire en se laissant balader, comme un simple sac à dos. Je ne peux pas en dire beaucoup plus sans dévoiler certaines choses. Et encore, on peut dire que j'ai fini de le lire mais n'en ai pas fini avec cette sanglante histoire.



Vous devez donc savoir qu'il faut s'y plonger comme on le ferait dans un Agatha Christie. Et la fin nous retourne car on découvre que c'est un livre-mystère. Il nous faut trouver la clé.



L'histoire est bien étrange. La référence au premier film "Saw" est très claire. Mais nous ne restons pas enfermés avec les dix petits pions. Il y a aussi une enquête de police… qui ne fera que constater les disparitions, pour une brève enquête finale assez succincte. Surprenant, c'est donc à nous de raccrocher les morceaux du puzzle.



L'écriture est très agréable, fluide. A première vue les situations s'enchaînent et se reproduisent, mais on observe les différences. On peut supposer que j'aurais dû être plus attentif, entrer dans les personnages pour en profiter au mieux et, qui sait, résoudre l'énigme en un éclair...



Angelo Casilli nous prouve avec ce livre qu'on peut encore renouveler le genre, réaliser un classique polar (légèrement) gore et proposer une nouvelle manière de lire. C'est sa grande réussite. Je suis désormais son prisonnier et, à l'heure où j'écris ces lignes, ayant fini ma lecture, je dois y retourner pour espérer m'en sortir. Nul ne connaît l'issue, et l'auteur m'observe, visage sympathique et souriant : il a accompli son œuvre.
Lien : https://www.patricedefreminv..

Je vais malheureusement aller à contre-courant de la petite dizaine d'avis rédigés pour ce thriller qui ne m'a, en fait, pas vraiment tenue en haleine.



Bien sûr, au vu du titre et de la référence au célèbre roman d'Agatha Christie, on part déjà avec une petite idée de comment la pièce va se jouer. Point de surprise donc quand ce qui est attendu survient. Mais le pitch m'a fait penser à la série de films Saw, j'étais intriguée, et c'était surtout le traitement de ce "jeu" promis qui m'intéressait. Je me suis donc lancée sans a priori négatif dans la lecture, attendant impatiemment d'en prendre plein la vue au vu des "précautions" dispensées aux âmes sensibles aussi bien sur le 4e de couverture que dans les avis présents sur ce site.



Et malheureusement, j'ai très vite déchanté. J'ai trouvé la construction de ce roman très scolaire. Plus d'un tiers du roman pour présenter les personnages, dans un modèle répété dix fois: quelques pages sur une personne qui vient déclarer à la police la disparition d'un proche suivies de quelques pages centrées sur le proche en question qui reprend ses esprits quelque part dans le noir. Si ça intrigue pour les deux premiers, on se lasse assez vite de la mécanique. Surtout que toutes les scènes se déroulant au commissariat durant ce premier tiers sont très peu crédibles (hypothèses lancées à l'emporte-pièce, propos très étranges tenus envers les "victimes", conclusions hâtives sans avoir encore démarré la moindre enquête...).



Dans le local où sont séquestrés nos personnages principaux, ce n'est pas beaucoup mieux. Si la première mort peut peut-être surprendre (si quelqu'un a été vraiment surpris, c'est que c'était son premier thriller, écrit ou filmé car tout était très convenu, vu et revu), la répétition encore et encore du schéma était assez inintéressante. L'auteur n'a pas vraiment pris le temps de construire la psychologie des personnages, ceux-ci avaient d'ailleurs des réactions pour le moins étranges et peu crédibles. Je n'ai pas senti la panique qui aurait du immanquablement gagner tout le monde (il ne suffit pas de dire que "machin" crie pour que le lecteur ressente dans ses tripes l'angoisse), j'ai trouvé étrange que ces inconnus se souviennent du prénom de chacun, dans le contexte où ils se trouvent, pour le moins déstabilisant, après l'avoir entendu une seule fois et j'ai trouvé encore plus étrange, et d'autant moins crédible, des réactions émotionnelles proches de la passion amoureuse entre des personnes qui ne se connaissaient pas il y a quelques heures et qui n'ont jamais pu partager un seul moment d'intimité pour discuter.



Bref, vous l'aurez compris, je n'ai pas accroché et j'attendais vraiment autre chose au vu de la couverture.

Quelque part en France - bureau des lectures, dossier #10 petits pions, Angelo Casilli - Mai 2021



Rapport de lecture, par l'agent Killer - prévenue de lecture : Adeline Rogeaux.



#Entendu que la lecture dudit livre est enfin terminée.

#Entendu que "He beh ! est la première expression qui sort une fois le bouquin refermé pour la deuxième fois." par la prévenue.



— Ouais, deux fois, et d'affilée messieurs dames ! ajoute-t-elle.



#Pourquoi deux fois ?



— Parce que j'aime souffrir ma race. Nan, en vrai, la première lecture était déjà très satisfaisante, mais j'avais pas trouvé le coupable. Puis j'aime les trucs horrifiques, alors un livre de ce gabarit, avec des inspecteurs, un tueur sadique et manipulateur, des victimes et une enquête à mener, moi, j'dis oui.



#PAS TROUVE LE COUPABLE DITES-VOUS ? mais quel genre d'écrivain ne donne pas la solution à la fin de son bouquin ?



— Et bien, Monsieur Casilli Angelo tiens ! Non content de nous fournir une histoire d'horreur qui pourrait carrément faire partie de la lignée des "saws", m'sieur nous la fait à l'envers bien comme il faut en distillant des indices ci et là, histoire de bien nous faire croire qui est quoi... Sauf qu'à la fin... Ben rien.

Faut savoir que dans s'bouquin, 10 personnes sont enfermées quelque part, avec quelque chose sur eux, prêt à faire son taf. Les gens, ils vont devoir trouver comment sortir de là, et en parallèle, on voit l'enquête suivre son cours suite à la disparition desdites personnes... Donc y a beaucoup d'informations.

Forcément donc, une deuxième lecture s'imposait, j'comptais pas en rester là ! Et le plus dingue, c'est que j'ai pris encore plus de plaisir dans cette deuxième lecture.



#Pourquoi cela ?



— Parce qu'une fois qu'on connaît l'histoire, on enregistre plus facilement les indices, les petites choses qui auraient dû nous perturber à la première lecture. On sait déjà à peu près qui fait quoi, alors le jeu est encore plus... délectable.



#Quoi d'autre ?



— Ce livre a quelque chose de particulier. J'sais pas si c'est le ton général employé, cette forme de légèreté alors que, la vache, les méthodes et scènes sont quand même assez hard, ou si c'est le scénario entier qui tient en haleine, ou même la complexité du tout, mais y a un truc qui le démarque des autres. C'est indéniable.



#Vous disiez, lors de l'enregistrement de vos coordonnées, que ce livre avait joué avec vous...



— Ouais... ouais mon pote. Le titre est mal choisi. L'auteur aurait dû mettre "Onze petits pions" pour nous la faire encore plus à l'envers, parce que clairement, c'est le livre qui nous mène, et non l'inverse ! En plus, ces 10 personnes là, fallait quand même une imagination de fou pour bien ficeler tout ça ! Moi j'dis, y a un truc en dessous, c'est-y possible de réussir un thriller de cette façon ? Enfin... s'que j'en dis hein !



#Avez-vous quelque chose à ajouter ?



— J'aimerais souligner la patience de fou qu'a dû avoir m'sieur Angelo pour l'écriture de ce livre, c'est hyper bien foutu. Pour que j'y replonge avec plaisir c'est que le travail est bien fait, sachez-le.



#Avez-vous fait toute la lumière sur l'affaire ?



— Hélas non, mais j'ai trouvé le coupable lors de la seconde lecture, et je suis sûre qu'une prochaine lecture m'apportera le reste de réponses. Je le relirais avec plaisir !



#Entendu que le rapport est terminé,

#Entendu que nous recommandons très très fortement la lecture de ce thriller horrifique aux amateurs du genre,

nous signons et actons.



Driller_Killer, Adeline Rogeaux.



Mai 2021, bureau des lectures.

Ce tueur m’a vraiment hérissé les poils! Fuyant comme une anguille et rusé comme un coyote, il a de quoi vous rendre marteau! Et que dire de ce protocole diaboliquement pervers de mise à mort des victimes?

Il fallait y penser! J’espère juste que ça n’inspirera aucun psychopathe de ce bas-monde, car il n’est pas sur qu’on trouve un mec du talent de Lewis pour nous tirer des griffes d’un tordu aussi malade et cruel...

Reconnaissons tout de même que cette course contre la montre possède un attrait hautement jubilatoire, même si cet invisible tueur se fait de plus en plus crispant...

Intrigue bien tenue, personnages pourvus d’intéressantes personnalités, rythme palpitant, c’est du bon boulot! Espérons que l’auteur nous réserve encore d’agréables surprises dans ce goût-là...

J'ai trouvé que le mode opératoire du tueur était très original et bien pensé. Comme Jack, malgré le côté morbide, on est impressionné par la technique mise en place. Soutenu, le récit est entrainant ; il comporte bien des rebondissements. Sans temps mort, nous vivons le stress de Jack et nous nous cassons la tête à assembler les pièces du puzzle. J'ai aimé le dénouement, surprenant et qui répond à nos questions. Agréable, la plume d'Angela Casilli se lit facilement ; le style est plaisant.



(Chronique complète sur le blog)
Lien : https://leslecturesdangeliqu..

Un roman comme au cinéma ! L'auteur nous plonge dans un thriller haletant jusqu'au dénouement. Je me suis attachée à Jack, ce flic cabossé et qui devra à travers cette nouvelle affaire, renouer avec ses démons. Cette intrigue fourmille d'inventivité, le procédé du tueur, les indices qui sont distillés en croisant deux affaires et le passé qui rejoint le présent. L'écriture est fluide avec beaucoup de dialogues. L'analyse psychologique est au rendez-vous dans ce livre qui respecte tous les codes d'un excellent polar. Bravo à Angelo Cassilli !

Deux minutes pour vous décider.... Etes-vous prêt à tuer pour sauver votre vie ?...Un sacré dilemme imposé aux victimes par un psychopathe jouissif, qui les regarde s'entretuer. Une course contre la montre s'engage entre le tueur et Jack, commissaire de police et son équipe.



Une intrigue et du suspens maintenu jusqu'à la dernière page, n'hésitez pas à entrer dans l'enquête, vous ne serez pas déçus...
Lien : https://monjardinleslivres.b..

Immersion totale dans ce polar très réussi.



Une question reste en suspens une fois le roman refermé : qu’aurais-je fait à leur place ? Je ne veux pas spoiler l’histoire de ce « tueur invisible » mais sachez que vous vous la poserez également : ingénieux de la part de l’auteur qui nous embarque dans son récit en captivant très tôt, de cette façon, toute notre attention... Pour les autres questions que soulève l’intrigue : l’auteur finit par mettre fin au suspense en nous dévoilant une chute inattendue 3-en-1 (résolution de l’intrigue principale, d’une affaire parallèle… et un dénouement final à un drame familial !). Bravo ! C’est réussi. La « méthode » du criminel était d’ailleurs très originale. On retiendra aussi que ce Jack Lewis, le commissaire en charge de l’enquête, a une personnalité attachante et complexe… Détruit, il essaye de se reconstruire, de refermer ce qui a été déchiré. J’ai beaucoup aimé également ses rapports avec ses coéquipiers : je ne suis pas un grand lecteur de policiers et cet aspect (qui est peut-être une constante dans le genre) m’a plu. C’est typiquement l’ambiance que j’ai découvert dans une série sur laquelle je suis tombé par hasard (« Scott and Bailey », pour ne pas la nommer). Immersion efficace, donc, et non dénuée d’humour (plusieurs répliques bien senties !).

Un bon moment de lecture et une belle découverte !

Alors, alors que raconter sans trop dévoiler.



Tout d'abord l'auteur est légèrement sadique, On commence par un suspense insoutenable et au moment où on va découvrir la solution. Nous voilà reparti six mois en arrière et il faut dévorer les 330 pages pour savoir enfin ce qu'il devait découvrir.



Un Thriller qui tient en haleine tout du long. Les indices sont dispersés un peu partout. Parfois, on se demande comment les policiers n'ont pas trouvé plus vite. Parfois, on apprend plus loin le pourquoi du comment.



Un très belle plume qui m'a fait acheter à la moitié du livre son deuxième roman que j'attends avec impatience.



Je n'ai qu'un regret, ne pas l'avoir lu plus tôt alors qu'il y a quatre mois que je l'ai acheté.

J ai acheté ce livre pour sa couverture et le message "vous aimez jouer ? Vous allez détester ce jeu "



Ce livre se passe en huis clos et quel huis clos !



J ai lu ce livre très rapidement voulant voir où tout cela allait nous entraîner.



Dés les premières pages, l auteur nous met dans l ambiance, avec un court récit du psychopathe qui à imaginé et mis ce jeu en place . On sait de suite que cela ne va pas être une promenade au clair de lune. Le ton est donné.



Nous nous retrouvons , après des infos sur les "participants", plongé dans ce jeu , à n être que des spectateurs de la démence du créateur du jeu .



Comme des voyeurs impuissants au fil de l'avancée du jeu, l auteur nous emmene dans ce huis clos sur un rythme haletant, sans temps mort.



Il est noté thriller horreur. Ame sensible d abstenir. Personnellement je ne l ai pas trouvé si horrifique que ça... à vous de voir



Si par hasard vous aimez lire les remerciements avant de commencer votre lecture, ne le faites pas sur ce livre, mais lisez les bien à la fin ...



Si par hasard vous ne lisez jamais les remerciements, sur ce livre, un conseil, prenez le temps de les lire mais qu à la fin ...



Enfin , lecteurs, un conseil.., prenez garde à tous les détails au fil de votre lecture



En résumé ce fut vraiment une très belle découverte. .



Mais vous, qu êtes vous prêts à faire pour sauver votre peau ??

De mystérieux meurtres secouent Antalville. Des hommes sont retrouvés morts après une course poursuite. L'ombre d'un tueur en série plane sur ces crimes terribles.

Le commissaire Jack Lewis, en proie à de graves problèmes personnels, est chargé de mener l'enquête. Arrivera-t-il à faire face à ses démons et a arrêter le tueur ?



J'ai particulièrement aimé ce roman pour plusieurs raisons : la personnalité du commissaire tout d'abord. C'est un homme à qui on s'attache car on sent sa souffrance et son impuissance à sortir la tête de l'eau. Sa relation avec sa fille, qui s'entête à ne plus avoir de contact avec lui, le détruit peu à peu. Heureusement, il lui reste son travail et cette fois-ci, le tueur invisible va lui donner du fil à retordre...



Si vous aimez les polars bien ficelés, les intrigues originales (jamais vu ce procédé avant chez un tueur, et pourtant j'en ai lu, des polars !), n'hésitez pas à tenter l'aventure ! Vous ne le regretterez pas !

Grand amateur de thrillers, Angelo Casilli, tenté à son tour par le démon de l’écriture, s’est lancé en 2016 dans la rédaction d’un roman de ce genre. L’année suivante, sa première publication, « Le tueur invisible », est donc sortie en autoédition.

Comme il le confie dans l’avant-propos de son livre, l’auteur a placé dans celui-ci tous les éléments qu’il aime trouver dans le thriller, à savoir un flic torturé, un tueur en série insaisissable, du mystère, du suspense, de fausses pistes, des rebondissements et de l’émotion. Il avoue aussi avoir pris quelques libertés quant au fonctionnement d’une brigade criminelle et nous rappelle que, somme toute, le but principal d’un tel roman est avant tout de divertir.

Alors, peut-on le suivre dans ses dires et considérer son pari de distraire comme réussi ?

Tous les principaux codes du thriller, aptes à ravir les amateurs du genre, sont, en tout cas, effectivement présents et bien développés dans le livre. Et très vite, l’on s’attache à ce flic cabossé, tourmenté par le passé et qui sombre la nuit, au coin d’un comptoir, dans l’alcool pour oublier. La trame est complexe mais bien ficelée, l’enquête bien menée, les rebondissements multiples, le machiavélisme du tueur effrayant… Bref, les 360 pages du livre sont avalées avec délectation par le lecteur.

L’auteur a opté pour des chapitres courts aux dialogues omniprésents. Les descriptions sont assez sommaires et la psychologie des personnages, hormis celles du commissaire et du tueur, peu développée. Tout, en fait, est mis en place pour que l’intrigue ne connaisse point de temps morts, que le rythme soit soutenu et que le lecteur ne s’égare point en chemin. Soulignons aussi les quelques touches d’humour qui parsèment agréablement le récit et nous offrent, de temps à autre, quelques instants de répit.

En conclusion, un coup dans le mille pour Angelo Casilli qui nous offre avec cet opus un thriller de la meilleure veine.

Prenez le ressort dramatique des « Dix petits nègres » d’Agatha Christie, ajoutez-y la tension et les scènes sanglantes des films « Saw », demandez à Angelo Casilli, une jolie plume, amateur de thrillers, de mixer et d’imaginer l’histoire gore et tordue qui pourrait en ressortir, et vous obtiendrez « Dix petits pions », un excellent thriller, bien sanglant, aux frontières de l’horreur.

L’intrigue, passionnante à souhait, a été extrêmement bien pensée et conçue par l’auteur qui, tout au long de l’histoire, nous propose une mise en forme parfaite avec des chapitres courts et captivants.

Dans sa première partie, la construction du roman est précise et répétitive : la déclaration en quelques pages de la disparition de chaque personnage par un proche au commissariat est aussitôt suivie du réveil de celui-ci dans l’obscurité sur le lieu de détention. Cette technique simple nous permet de faire connaissance rapidement et facilement avec chacune des victimes du ravisseur diabolique.

Puis, le cadre ainsi planté, le jeu funeste peut débuter. Dès lors, au fur et à mesure que les décès se succèdent, la frénésie nous gagne et nous ne souhaitons plus qu’une chose, connaître le dénouement du cauchemar dans lequel, tout comme les personnages, nous sommes plongés.

Cerise sur le gâteau, si l’on y prête attention, des indices pour découvrir le coupable nous sont distillés tout au long du récit au compte-gouttes par l’auteur.

Le final, que je ne dévoilerai évidemment pas, ravira nombre de lecteurs, mais risque cependant aussi d’en frustrer un certain nombre d’autres.

Une belle découverte, assurément !

pour moi ce roman c'est une balle magique avec des bonds et des rebonds dont on attend avec impatience le dernier rebondissement ...l'auteur a fait preuve de créativité et d'originalité car fallait l'imaginer ce mode opératoire ..l'auteur crée un certain climat machiavélique par le plaisir que procure ce jeu à ce tueur qui en dicte les règles sa jouissance à voir jusqu'où iraient certains par instinct de survie... mais cela n'empêche l'auteur de nous servir quelques notes humoristiques ....il n'y a pas trop de personnages donc on s'y retrouve facilement . et l'atmosphère au sein de l'équipe enquêtrice m'a parue crédible .. .bref un thriller bien ficelé et bien synchronisé (sans vouloir faire de l'humour noir) que je recommande vivement ..... j'attends et j'espère une autre intrigue avec Jack Lewis

Le tueur invisible



C’est par la fin que tout a commencé. J’ai découvert Angelo Casilli avec son deuxième ouvrage : « Les 10 petits pions » et force est de constater que la règle du premier souvent meilleur que le second est de mise ici. Pour autant, avant de plonger au fil des pages, il convient de poser à la manière d’un axiome de mathématiques, un décor, un cadre qui nous permettra d’entrer dans le roman, en mettant de côté une imperfection qui ne gâche en rien la qualité du récit.

« J’avoue avoir pris quelques libertés quant au fonctionnement d’une brigade criminelle. Après tout, le but principal d’un roman n’est-il pas avant tout de divertir ? J’espère dans ce sens y avoir réussi. »

Angelo Casilli, Le tueur invisible

En préambule de son roman, Angelo Casilli écarte donc de ce fait tout jugement hâtif sur son ouvrage. Il fait bien, car il a tout à fait raison. Et quant à sa question, tout comme pour son espérance, on ne peut répondre que par l’affirmative. Car oui, il y a des dialogues qui sonnent un peu faux, des raccourcis, mais somme toute on se laisse prendre au jeu, facilement. En prenant son roman pour ce qu’il est, un véritable polar avec une intrigue intéressante. Il en ressort une lecture agréable et un réel plaisir à suivre cette enquête pleine de rebondissements.

La personnalité du flic, sous les traits du commissaire Jack Lewis, fait un peu déjà-vu, voire verse dans le cliché. Pour autant, peut-on lui en vouloir quand des auteurs spécialisés dans le genre les placent eux-mêmes dans leurs récits en toute connaissance de cause ? Celui auquel je pense particulièrement est carrément un ancien flic de La Crim qui a vu ses ouvrages portés sur un écran blanc et dans des salles combles. Non, la seule chose qui m’a dérangé dans le roman d’Angelo Casilli est le nom de la ville : Antaville. Ça fait un peu nanar, et quand on sait que son pseudonyme sur les réseaux sociaux est @antalmos, cela dessert un peu le récit.



Est-ce donc là tout ce qui m’a réellement dérangé dans « Le tueur invisible » ?



Oui, cent fois oui. Car ce premier roman d’Angelo Casilli est de bonne facture. Il est écrit avec suffisamment d’intelligence pour que l’on ait envie de tourner les pages, pour que l’on se prenne au jeu de l’intrigue et que l’on se fasse berner tout autant que le commissaire et son équipe. Sadique à souhait, l’auteur et son criminel nous emmènent à les suivre dans cet univers qui pourrait bien figurer au catalogue des entreprises de streaming. Bien souvent ces dernières nous infligent de bien pâles navets, bien moins intéressant que « Le tueur invisible ».

Je vous recommande donc largement ce polar et enjoins même Monsieur Casilli à nous faire replonger dans les enquêtes du commissaire Lewis. Personnellement je serai assez friand d’un antépisode à ce roman, voire une prélogie, qu’importe, mais qu’il nous offre d’autres volumes.
Lien : https://voslivres.fr/2022/02..

« Dix petits pions » revisite les « Dix petits nègres » d'Agatha Christie (« Ils étaient dix » pour les plus sensibles…) : dans ces deux romans, les personnages tombent les uns après les autres jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus qu’un. Ce dernier « pion », réussira-t-il à se relever de cette épreuve ou finira-t-il fou à lier au point de se donner la mort comme ce fut le cas pour Véra Claythorne sur l’Ile du Nègre ? Si vous souhaitez le savoir, lisez ce très bon thriller psychologique qui se teint parfois aux couleurs de l’horreur : rouge sang évidemment (et pour cause !) L’intrigue est complexe et ses ressorts, machiavéliques. Ils emprisonnent les personnages dans cette antichambre de la mort sans leur laisser la moindre chance d’en réchapper. « Un Tueur invisible », le premier roman d’Angelo Casilli, les condamnait déjà à une mort certaine, aussi invisible que brutale. Ici, la mort ne se cache plus, elle jaillit mais elle devient pudique au fil des pages. Et cela donne de l’ampleur aux tortures psychologiques que subissent ses personnages : qui les manipule ? Ce psychopathe, aurait-il placé un complice parmi eux ? Qui croire, de qui se méfier ? Des indices vous permettront de démasquer l’organisateur de ce petit jeu auquel on n’aimerait pas jouer… mais que vous n’allez absolument pas détester !

Une enquête rondement menée, un jeu terrifiant, une lutte acharnée pour survivre. L'inspecteur à de quoi se faire des noeuds au cerveau pour résoudre cette enquête. Quelle piste suivre ? Comment sauver le plus d'individus ? Comment mettre fin à tout cela ?