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Critiques de Anne Bertier (31)
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Le temps des couleurs

Les textes sont jolis, doux, légers. Les images sont simples, colorées.

Ce petit livre crée comme un moment hors du temps du simple fait de sa lecture. Merci.
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Chiffres à conter

Très graphique, mais je suis perplexe à sa découverte.
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Mercredi

Deux formes, un rond et un carré.

Deux couleurs, bleu et orange.

... Voilà, c'est tout.

....

En fait ces quatre atouts vont jouer ensemble comme le feraient deux enfants, un petit et un grand.

Ils vont se jauger et se combiner en un nombre considérable de figures, tout en se mesurant, s'affrontant, etc, etc....

Au final, le jeu est tellement captivant et leur complicité si parfaite que les nouvelles figures seront encore plus époustouflantes.

Oui, un vrai p'tit bijou pour p'tits bouts (et tous les autres, aussi !)Afficher la suite

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Je soustrais

Ce petit livre nous propose d’imager la soustraction avec des triangles rouges. En enlevant un à un tous les triangles jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'un, l’auteure en a obtenu diverses formes, qui à chaque triangle retiré, se transforment. Cet aspect-là de l’album me fait clairement pensé aux tangrams, ces jeux qui font appel à la notion d’espace pour créer des animaux, humains, plantes et autres à partir de formes géométriques.



L’album présente d’abord les triangles avec le signe « - », celui de la couverture. Les chiffres sont uniquement présents à la fin de l’ouvrage pour dénombrer les triangles dans les différentes formes.



La dernière page peut être découpée en plusieurs triangles afin que l’enfant puisse les manipuler, reproduire les formes du livre ou en créer d’autres.



Un livre simple et efficace!

http://vivrelivre19.over-blog.com/2014/07/j-additionne-anne-bertier-des-2-ans-une-application-numerique-des-7-ans.html
Lien : http://vivrelivre19.over-blo..
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J'additionne

Un petit album carré sans texte.

Illustration monochromes rouges.

Des dessins ressemblant à ceux du jeu deTangram, mais uniquement en triangles rectangles.



Page de gauche : 1 dessin + 1 triangle seul

Page de droite : le résultat, ie un dessin différent, avec 1 triangle de plus qu'à la page précédente.



A la fin, tout est repris en plus petit avec le nombre correspondant écrit en chiffre.

En dernière page , 12 triangles à découper.



Excellent pour aborder la notion d'addition avec les plus petits, et encore mieux en utilisant un tangram magnétique (multiple pour avoir assez de triangles, du genre de celui de Tourbillon

http://www.babelio.com/livres/Tourbillon-Mon-Tangram-magnetique/631403 )
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J'additionne

Ce petit livre nous propose d’imager cette accumulation avec des triangles rouges. D’abord un, puis deux, puis trois, jusqu’à douze.



En apposant les triangles les uns aux autres, l’auteure en a obtenu diverses formes, qui à chaque triangle ajouté, se transforment. Cet aspect-là de l’album me fait clairement pensé aux tangrams, ces jeux qui font appel à la notion d’espace pour créer des animaux, humains, plantes et autres à partir de formes géométriques.



L’album présente d’abord les triangles avec le signe « + », celui de la couverture. Les chiffres sont uniquement présents à la fin de l’ouvrage pour dénombrer les triangles dans les différentes formes.



La dernière page peut être découpée en plusieurs triangles afin que l’enfant puisse les manipuler, reproduire les formes du livre ou en créer d’autres.



Un livre simple et efficace!

http://vivrelivre19.over-blog.com/2014/07/j-additionne-anne-bertier-des-2-ans-une-application-numerique-des-7-ans.html
Lien : http://vivrelivre19.over-blo..
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Mon loup

Très belle histoire d'un gentil loup.
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Mon loup

Quel album original et poétique sur l'amitié, voire l'amour, le tout sur fond de Petit Chaperon Rouge détourné. En format Kamishibaï, les illustrations rendent encore mieux !
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Mon loup

Complément de critique, version kamishibaï :

Un jour, Violette a rencontré un loup. Oh bien sûr, au début, elle se méfiait car elle connaissait l'histoire du Petit Chaperon Rouge, mais après avoir beaucoup discuté avec lui, elle est devenue son amie...

Mon avis : Une version kamishibaÏ existe pour cet album que j'aime personnellement beaucoup. L'équipe de la médiathèque a décidé d'en faire l'acquisition et j'ai pu commencer à l'utiliser lors de mes animations classes. N'ayant jamais essayé ce support, j'ai pensé que ce livre, avec des illustrations en noir et blanc et au texte qui demande à être lu avec lenteur, était le plus approprié pour ma première tentative. Et je suis ravie. Les enfants adhèrent d'autant mieux qu'ils se concentrent sur mon "petit théâtre" presque au point d'en oublier ma présence. L'absence des couleurs semble les rendre plus attentifs aux personnages, les silhouettes semblent les amener d'avantages à chercher à deviner voir même à créer pour chacun d'entre eux les expressions de Loup et de Violette. Je peux me tromper, mais il me semble que la version kamishibaï - en tous les cas pour cet ouvrage, n'en ayant pas encore testé un autre - permet plus de liberté à la personnalité et à la sensibilité de chacun de mes jeunes spectateurs.

Peut-être un petit encouragement pour tous ceux qui veulent essayer mais n'ont pas encore osé sauter le pas...

Public : à partir de trois ans, et je pense sans ennui jusqu'à sept - huit ans sous sa forme kamishibaï.
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Mon loup

Un jour, Violette a rencontré un loup. Oh bien sûr, au début, elle se méfiait car elle connaissait l'histoire du Petit Chaperon Rouge, mais après avoir beaucoup discuté avec lui, elle est devenue son amie...

Mon avis : On se croirait dans un conte de Charles Perrault modernisé par Anne Bertier. On assiste en effet à la rencontre d'une jeune fille avec un loup, au doute qui paralyse au départ puis à la confiance naissante jusqu'à l'amitié qui frôle d'ailleurs l'amour... Le texte, sur la page de gauche, est concis; les illustrations se limitent au noir sur blanc : les personnages se dessinent en effet comme des ombres chinoises sur la page de droite, ils ne sont que des silhouettes cependant très expressives dans leurs attitudes. Tous deux contribuent à éveiller l'émotion du lecteur ou de celui qui l'écoute raconter. C'est pour moi, sans hésitation, un coup de cœur.

Cet album me servira sûrement avec succès lors de mes animations classes.

A noter, cet ouvrage bénéficie d'une version kamishibaï.

Public : à partir de trois ans (et je pense sans ennui jusqu'à sept - huit ans, surtout sous sa forme kamishibaï).
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Le temps des couleurs

Cet album jeunesse est un recueil de textes poétiques très courts que l’éditeur présente comme des haïkus ; ils le sont mais de façon déstructurée. En effet, le haïku, court poème d’origine japonaise est très codifié dans sa forme comme dans son fond. La forme initiale, qui tient en trois vers de 5, 7 et 5 syllabes, n’est pas vraiment respectée, ici. Par contre, le fond répond à la règle à savoir : la description d’un moment de la vie courante, évoquée par les images d’un détail ou d’une sensation, sur la nature, les animaux, les saisons, les éléments... Le titre « le temps des couleurs » traduit bien le corps de l’ouvrage. La capture d’instants du quotidien, relatés par des mots simples et associés à des illustrations graphiques aux couleurs contrastées, invite les plus jeunes comme les plus grands, à se laisser entraîner dans une poésie toute en émotion.
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Je soustrais

Il n’y a pas d’ordre pour prendre ces livres. Il n’y a pas d’ordre pour donner du sens aux opérations. L’addition ne vient pas nécessairement avant la soustraction et il n’est pas absolument nécessaire que l’une soit comprise pour que l’autre soit abordée. En premier lieu, parce que les opérations élémentaires n’existent pas les unes des autres. Addition, soustraction, multiplication, division (racines et puissances) se répondent, s’opposent, sont l’inverse l’une de l’autre ; elles se complètent.

Voir les modalités de fonctionnement des opérations, dans la concrétude de la manipulation des objets, en faire l’expérience par les mains, construit effectivement quelque chose du sens à leur donnée et de la raison pour laquelle on emploie celle-ci plutôt que celle-là. Maîtriser les opérations élémentaires, c’est bien plus que de savoir effectuer un algorithme. Car des algorithmes opératoires, il en existe bien plus que l’on n’en enseigne. Ils sont même parfois différents d’un pays à l’autre, mieux, d’une génération d’écoliers à l’autre. Ce qui demeure, fondamentalement, c’est qu’une opération, qu’elle concerne les nombres entiers naturels, les relatifs, les fractions ou les décimaux, et l’on pourrait poursuivre, est une action mentale, abstraite après avoir été concrète, sur des quantités. Soustraire, c’est toujours enlever, et après, on en a moins.
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Blanches

Un pendant a l'album noires. Un pure beauté d'effets visuels et géométrique renforce par la surprise d'une écriture blanche sur fonds noir
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Mercredi

Petit Rond est orange et Grand Carré bleu.

Ils sont amis et aiment jouer au jeu des figures. Mélangeant les formes, ils découvrent une multitude de possibilités géométriques et le bonheur de l'amitié.



Pour les 0-3-ans.



Sélection "Coups de cœur » 2012.
Lien : http://archives.universcienc..
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L'imagier de l'hiver

Anne Bertier propose un univers très épuré, ou tous les éléments sont blancs sur des fonds unis. On reconnait aux formes et aux détails les noms utilisés donnant parfois à l'histoire des airs de chasse aux trésors.

Le parti-pris change donc des imagiers traditionnels pour plus de poésie et de délicatesse.
Lien : http://boumabib.fr
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Je multiplie

Sa couverture associe toujours le rouge et le blanc, mais dans un rapport inverse à addition et soustraction. Ici, on a le sentiment qu’une forme blanche est inscrite sur un fond rouge. Ainsi la couverture de « Je multiplie », répond-elle à celle de « Je divise » de la même manière que « J’additionne », répondait à « Je soustraits ».

Bien qu'aussi beau et aussi graphique que les autres, c’est peut-être le moins réjouissant des cinq opus disponibles. Il est aussi moins satisfaisant intellectuellement et conceptuellement. Soustraire, questionnait déjà, un peu. En effet, comment représenter un deuxième terme qui n’est jamais que la valeur que l’on enlève ? Comment illustrer sur papier ce qui n’existe que parce qu’on l’ôte ? La question est tout aussi subtile et encore plus prenante dans la multiplication. Car le multiplicateur n’est pas une quantité que l’on peut tenir dans la paume de sa main ; ça n’est jamais que le nombre de fois que l’on prend, répétitivement, la quantité nommé multiplicande. Représenter cette valeur qui n’est pas une quantité de la même manière que la quantité elle-même est troublant et complique la perception de ce concept si pur qu'est l'opération de la multiplication. Je prends la quantité détenue autant de fois que cela m’est signifié.
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Je divise

Elle passe pour l’opération la plus difficile à comprendre et à maîtriser. C’est la dernière à être enseignée, pourtant, conceptuellement, elle ne représente jamais que l’application d’un principe simple, le partage en parts égales. A priori, cela semblerait plus difficile à illustrer. En adulte à l’esprit formé, peut-être aurions-nous aimé voir concrétisé la division par répartition autant que la division par groupe. Mais c’est une réflexion d’adulte, le détail ne peut venir avant la compréhension globale de la question. L’intérêt de ce petit opus est donc de voir le plus synthétiquement possible que diviser une forme quelconque, c’est de la partager en un certain nombre de formes égales. Ainsi est-il proposé à l’esprit de l’enfant, autre chose que le simple partage de tartes ou de pizzas. Ainsi la notion de fraction, qui ne peut manquer de pointer le bout de son nez, indirectement et sans être mentionnée, s’exprime-t-elle quelle que soit la forme que l’on divise et que l’on obtient. Ainsi peut-on diviser un carré, un triangle autant qu’un disque et le résultat de cette division, pourvu qu’elle obéisse au principe du nombre de parts égales, peut apparaître sous la forme d’un rectangle, d’un triangle ou de carré. La forme est au final sans importance. Le principe, bientôt conceptuel, seul compte pour en saisir le sens.
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J'additionne

Cinq livres cartonnées, rouge sur blanc, qui se répondent les uns aux autres et tous ensembles parlent de mathématiques, indirectement. On les dirait tout droit sortis d’une ambiance Montessori, avec ses formes qui sont autant de parties des encastrements métalliques si courants dès la Maison des Enfants. On dirait du tangram, du design, de la créativité en action. Il suffirait de mettre à disposition des enfants de petits morceaux de papier rouge cartonné, au gabarit des formes données par le livre. Il suffirait ensuite de montrer aux enfants par une mise en action du matériel par l’adulte, les possibilités de ces objets. Que les enfants les voient agis. Il suffirait enfin de leur suggérer, au départ, mais au départ seulement, de s’inspirer du livre, pour commencer, sans les contraindre à imiter, sans leur imposer de vérifier, juste en imaginant que leur pratique puisse les conduire à construire concrètement quelque chose de l’ordre de l’exploration par la manipulation. Alors, après avoir essayé, s’être trompé, recommencé et recommencé encore et encore, il suffirait que l’adulte les laisse poursuivre, sans avoir d’objectif si ce n’est celui de les voir prendre du plaisir à tenter de nouvelles choses tout droit sorti de leur esprit et de leurs mains.

Ce sont des mathématiques vivantes, en existe-t-il vraiment d’autres ? Peut-être pour ceux qui n’aiment pas les maths.
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Mercredi

Le concept graphique de cet album pour bébés est certes intéressant mais il manque cruellement de fantaisie... Anne Bertier choisit de n'utiliser que trois couleurs (blanc, bleu, orange) renforçant ainsi le côté moderne de l'album mais aussi son aspect strict. Le principe de voir un rond et un carré changer de forme au fil des pages est original mais ne correspond pas à mes goûts en matière d'albums pour bébés.
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Rêve-moi une lettre

C'est abécédaire résulte d'un long travail de poésie sur les mots mais aussi d'une observation aiguisée du monde qui nous entoure. Une réussite visuelle e poétique.
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