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Critiques de Antoine de Caunes (42)
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Dictionnaire amoureux du Rock

Au départ ,je n’ai pas une sympathie excessive pour le bonhomme :un peu trop « fils de.. » et branchouille pour mon goût (mais quelques bon souvenirs de déconnade à la télé : Ahhhh Pine d’huitre !) mais je suis curieux . Et , en fait j’ai pris plaisir à lire ce bouquin : c’est très subjectif (normal) mais bourré d’anecdotes et d’infos intéressantes ,même si nous ne sommes pas tout à fait synchrones en âge ( 7 ans c’est beaucoup dans le monde du rock) j’y retrouve beaucoup de gens que j’aime bien et la verve de l’auteur est réjouissante. L’occasion de réécouter quelques vieux tubes oubliés (merci Internet) . En fait j’aime les gens qui ont une passion et la font partager …Hum , si Hitler avait écrit un traité passionné sur l’élevage des bergers allemands ,je lui aurait trouvé des qualités …Inquiétant non ?
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Dictionnaire amoureux du Rock

Je suis de treize années plus jeune qu'Antoine de Caunes, et c'est à 13 ans que je le vois présenter '' Les enfants du rock''. eh voilà, converti !!

Les Clash de suite !!Les Jam, les Wings, Foreigner, en concert !!

Antoine ne se prend pas au sérieux et pourtant quand tu le lis, tu adhères à ce qu'il te dit et tu l'appliques !!

''BROUCE'' Springsteen en est un exemple, car c'est pas avec son '' born in the USA'' en 84 que je suis devenu fan ou ses albums précédants puisque j'étais rop jeune..mais seulement après avoir lu Re-born dans ce livre...Et là , à 45 piges, tu fais la disco et tu y restes on the road et again et again.

Antoine est un bon ,c'est tout!!

Seul bémol qui n'en est pas un: son article sur Angus né en 53 lui aussi que j'admire sans avoir en référence une vidéo des enfants du Rock, eh bien pourquoi bizarre?? ça ressemble un peu à toute la génération de Manoeuvre qui a '' oublié'' les valeurs d'"ASDESSE'', la longévité, la fidélité, la simplicité et l'art de la scène électrique, grandiose, si on oublie effectivement certains textes..
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C'est beau mais c'est triste

magnifique polar à l'ancienne de Monsieur Antoine De Caunes !
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C'est beau mais c'est triste

polar plein d'humour. Ah ! que ça fait du bien ! !
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Perso

Extrement déçu de cette biography. ON retrouve pourtant toute la faconde, les sourires, les privates jokes, les envies, les references de de caunes, mais c'est fouille, comme si il l'avait écrit sur plusieurs années . une chronologie aurait surement permis de mieux percevoir les aventures extraordinaires de Antoine .
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Perso

🍷Confessions de comptoir



Qui n’a jamais rêvé de partager un verre avec l’une des personnalités qui a marqué sa jeunesse ?



C’est ce que m’a offert Antoine de Caunes avec Perso !



Enfant de Canal plus biberonnée à NPA, j’ai des milliers de souvenirs mémorables de ses pitreries menées de concert avec Garcia. Ils se sont invités dans mon salon à l’heure de l’apéro pendant tant d’années qu’ils faisaient presque partie de la famille. A ceci près que je ne connaissais pas grand chose de l’homme qui se cachait derrière l’agitateur du PAF.



Dans Perso, Antoine nous livre un peu de l’homme. Rien de trop intime … Mais à coup d’anecdotes et de billets d’humeur, il nous régale et nous dévoile un peu des coulisses de sa vie.



Un grand merci à Sonatine pour ce livre qui se déguste comme un sachet de bonbons, en le dévorant d’une traite ou en le faisant durer pépite après pépite.

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C'est beau mais c'est triste

Lecture décevante. Et je suis déçu d’éprouver cette déception. Malheureusement, aucun autre mot ne pourrait plus justement exprimer mon ressenti. Connaissant, et reconnaissant, le talent de l’auteur, il ne peut en être autrement, d’ailleurs. Drôle, intelligent, sobre, comment se fait-il qu’il se soit raté à ce point là dans ce rôle d’auteur de polar sombre à la sauce année 80 ? Etonnant mystère.



L’histoire, oscillant entre classique et banale, est une vengeance à assouvir. Un détective privé aux méthodes musclées et expéditives, voit l’un de ses amis, trempant, de temps en temps, dans des histoires louches à la légalité toute relative, se faire découper en morceaux sans raison apparente. De maigres indices en étonnantes fulgurances, il devra parcourir les rue de New-York et de Paris pour découvrir ce qui a mené à cette boucherie. Avec, comme morbide obsession, le châtiment impitoyable des coupables. C’est une course poursuite mêlant Seconde Guerre Mondiale, grands crus et télévision. Voilà, le décor est planté. Vite fait, bien fait.



Et ça ne prend pas. Pour plusieurs raisons. La principale en est ce héros, ce détective, qui n’est rien d’autre qu’un cliché ambulant réussissant, à lui seul, à rassembler tout ce qui est détestable chez un américain pur jus, fier de son inculture, de sa violence et de sa triste répartie. Ses traits d’humour tombent à plat. Ses réflexions sont inexistantes. Il fonce, et c’est tout. Le second rôle principal aurait pu être considéré comme une preuve d’humilité de la part de l’auteur qui l’incarne en personne tout en lui donnant des allures de benêt suffisant et pleutre. Malheureusement, cela ne sonne pas suffisamment juste pour que le lecteur apprécie le second degré dont De Caunes fait preuve, maladroitement. Et puis tout cela manque de liant. C’est cousu de fil blanc, lacunaire et invraisemblablement « déjà vu ». Dommage.
Lien : https://unecertaineculture.w..
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C'est beau mais c'est triste

Après m'être fait canardé toute la journée, je me retrouvais à faire la queue, oui, moi, pour rentrer à mon balzingue de resto préféré avec mon flingue 3568messontruc. V'là qu'en dégustant ma queue de homard une poulette rousse magnifique s'est jointe à ma table.

Inutile de vous dire que nous nous arrêtâmes au homard.



Bref. C'est gros, ficelle calibre 500, blagues lourdes et clichés appuyés. Polar de gare pas du tout ma came. Je passe mon tour.
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Magma

Ou l'on apprend que Christian Vander est fan de Tamla Motown? 40 aprés le groupe est toujours en activitée et reste un des rare groupes français crédible .A découvrir,,
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C'est beau mais c'est triste

Un polar agréable à lire, plein d'humour. Un style qui se veut proche de celui de Frédéric Dard mais sans en atteindre le niveau. pas mal mais sans plus.
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C'est bon mais c'est chaud

On prend les mêmes, et on continue...... pour notre plus grand plaisir
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C'est beau mais c'est triste

polar plein d'humour. Ah ! que ça fait du bien ! !
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Pas mal pour un lundi

L'humour d''Antoine de Caunes est pétillants. Avec ses portraits des invités de Nulle Part Ailleurs, il cassait vraiment la baraque !
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Vous permettez que je vous appelle Raymond ?

L'humour d''Antoine de Caunes est pétillants. Avec ses portraits des invités de Nulle Part Ailleurs, il cassait vraiment la baraque !
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Perso

J’ai grandi avec Antoine de Caunes et Canal + et j’aime ce gars, son œil qui frise, pas dupe, sa façon de faire sérieusement des choses qui ne le sont pas. Et ceux qu’il aime dans le domaine artistique sont le plus souvent des gens dont j’aime le travail. Alors forcément, ces moments vécus et racontés qui mettent plus en lumière les artistes qu’il admire que lui-même mettent en joie et rendent l’âme légère le temps de la lecture. Dans son style-signature dont la voix s’entend à la lecture, il démontre à l’anglaise que l’auto-dérision ne se confond pas avec de la fausse modestie. Moi, personnellement, j’ai adoré accompagner quelques centaines de pages ce gars qui m’accompagne depuis 40 ans.
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Dictionnaire amoureux du Rock

Où l'on apprend donc que Tony Garnier (!) aurait été bassiste de Peter Gabriel (et non Tony Levin, bien sûr).

Ce dico est une sélection hautement subjective de coups de coeur de De Caunes si, il a eu son importance télévisuelle générationnelle, ne fait pas partie de mes préférés, et certainement pas en tant que plume rock. Reste un ouvrage plaisant, dans une certaine mesure, pour l'amateur de musique que je suis, pour telle ou telle anecdote trouvée au coeur de ce fourre-tout alphabétique.

Mais que de coquilles dans les noms ou titres d'albums ou de chansons (Rocky Ericson, "Three Imaginery Boys" etc...)! Je tique toujours quelque peu là-dessus, surtout si l'auteur est connu et l'éditeur capable d'avoir des relecteurs...Pouvait mieux faire.
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C'est beau mais c'est triste

Depuis l'arrêt de Popopop sur Inter je suis en manque d'Antoine de Caunes, donc je me suis dit autant en lire.

Un peu moins réussi que le premier, je trouve, plus poussif, mais ça reste un plaisir de retrouvé Sam Murchinson et Antoine forcément, d'autant plus que Antoine est très présent, enfin une version alternative. Toujours cette patte Frédéric Dard qui fait bien passé le récit avec une touche De Caunes en plus. Une bonne lecture.
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Perso

Comme beaucoup de personnalités médiatiques, Antoine de Caunes aurait pu sortir d’austères mémoires poussiéreuses à l’aube de ses 70 ans. C’est mal le connaître. Avec Perso, il se livre à des exercices de style autour de souvenirs, d’anecdotes et d’histoires personnelles.



Antoine de Caunes revient en partie sur son parcours et sur ceux qui l’ont accompagné. Bien connu par le passé comme trublion télévisuel dans des émissions comme Eurotrash ou en duo avec José Garcia dans Nulle Part Ailleurs, c’est aujourd’hui un passeur de culture dans la série d’émissions fantasques La Gaule d’Antoine, et de pop-culture avec Popopop sur France Inter avec Charline Roux.



C’est aussi un hommage à ceux qui jalonnent sa culture et qu’il a pu rencontrer : de ses idoles comme Frédéric Dard, Keith Richards ou bien sûr Bruce Springsteen auquel il voue un véritable culte, à ses amis et partenaires de travail de l’ombre comme Laurent Chalumeau ou encore Peter Stuart, et enfin à sa famille.



Si c’est un livre très personnel, de Caunes reste très pudique dans ses souvenirs avec une retenue très British héritée de sa mère (pourtant française). C’est une écriture sincère, souvent drôle bien sûr, mais aussi tendre et touchante. Au delà des souvenirs, ce livre est l’occasion de découvrir sa plume : un style qui réconcilie son amour pour une littérature classique et une littérature au style oralisé et direct comme San Antonio.



C’est le livre d’un passionné de pop-culture qui l’aura défriché avec passion depuis plusieurs décennies mais qui l’aura aussi marqué. Dans un style très fluide, Antoine de Caunes livre un ouvrage passionnant que l’on dévore avec plaisir. Un texte qui ne s’adresse pas seulement à son public mais à tous ceux qui partagent sa passion pour la pop-culture.

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Perso

C’est dans ce livre, et nulle part ailleurs, que l’animateur de « Popopop » égrène souvenirs et anecdotes.
Lien : https://www.nouvelobs.com/bi..
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C'est beau mais c'est triste



Bien mais sans plus... agréable à lire...
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