Arina Tanemura

Je vous le rappelle brièvement mais le deuxième tome s’achevait sur une révélation fracassante : Full Moon — alias la douce Mitsuki de douze ans transformée par des dieux de la mort en une jeune fille de seize ans en parfaite santé — a un nouveau producteur et il s’agit du docteur Wakaôji, son médecin et l’ancien membre de Route L, le groupe de musique dont son père était le leader ! Le doute s’installe, le stress également. Va-t-il la reconnaître ? Va-t-il prévenir sa grand-mère ? Comment va-t-elle réussir à cacher son identité dans ces conditions ? Est-ce là la fin de sa carrière ?



Cette suite n’est pas focalisée sur la nouvelle vie de notre héroïne qui est dorénavant sous le feu des projecteurs mais, d’une autre manière, sur les passés de plusieurs personnes. On en apprend donc beaucoup sur Takuto et on découvre qu’il est lié à Mitsuki depuis des années puisque leurs chemins se sont croisés quand elle était encore dans un orphelinat. On voit aussi ce qui s’est déroulé avant la mort du shinigami et pourquoi / dans quelles circonstances il a décidé de mettre fin à ses jours. Le voile est également levé sur la rencontre entre Eichi et Mitsuki. Que s’est-il passé quand il se sont vus pour la première fois ? Qu’ont-ils pensé l’un de l’autre ? Comment leur relation a-t-elle évolué ? Tout nous est expliqué, et plus encore. Arina Tanemura nous montre des flashbacks qui apportent quelque chose à l’intrigue. Nous en avons aussi dans les chapitres spéciaux à la fin de l’ouvrage, et cette fois-ci, ils concernent aussi bien Meroko et Izumi que le garçon dont notre protagoniste principale est éperdument amoureuse.



Cette histoire est belle à tous les niveaux mais ce n’est pas tout. Elle est aussi dure, poignante, complexe, mélancolique et dramatique. Certains passages sont difficiles à lire et j’ai beau les connaître par cœur, à chaque fois je finis le cœur brisé en milliers de petits morceaux. Ce troisième tome est, pour l’instant, le plus sombre, le plus triste et le plus abouti. Vous n’en ressortirez pas indemnes.
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La princesse Sakura est orpheline. Ses parents sont décédés il y a bien longtemps et son unique frère a succombé à une épidémie. À cause de cela, elle a grandi isolée, sans personne à ses côtés. Elle est donc entretenue financièrement par le prince Ora, auquel elle est fiancée depuis sa naissance. Seulement, elle n’a pas encore eu l’occasion de le voir et elle ne sait ni à quoi ressemble sa voix, ni quel est son visage. À ses quatorze ans, pourtant, un messager — le seigneur Aoba — lui rendra visite avec un but bien précis : en effet, il est venu chercher la future épouse de son maître. Mais la jeune fille, qui déteste son promis parce qu’il n’a jamais pris la peine de lui rendre visite, refuse catégoriquement de le suivre. Pire, elle va prendre la fuite et fuguer une nuit de pleine lune. Malheureusement pour elle, un démon va en profiter pour surgir de nulle part et l’attaquer..



Cette histoire se déroule au Japon, à l’époque de Heian. C’est une période que je ne connais absolument pas et je n’ai pas fait de recherches personnelles pour en savoir plus. Je suis donc incapable de dire si la mangaka a rendu justice à cette ère (avec les décors, les vêtements, les coutumes dont il lui arrive de parler et le folklore) ou non. Néanmoins, j’ai trouvé le rendu assez intéressant. Pour ce qui est du scénario, sachez qu’il n’a rien d’extraordinaire. Nous sommes dans un shōjo classique qui reprend des codes bien connus : une héroïne avec des cheveux très longs, d’immenses yeux et un destin hors du commun, un compagnon de route plutôt mignon, un beau garçon insolent et une touche de magie. D’un autre côté on s’écarte des clichés du genre puisqu’on nous sert des démons qui raffolent de chair humaine, rien que ça ! Forcément, cette touche originale apporte quelque chose au récit. En ce qui concerne les personnages, pour l’instant, j’ai un peu de mal à les apprécier et à m’y attacher. Qu’il s’agisse d’Asagiri, de Byakuya, de Kohaku, de Fujimurasaki ou même de Sakura, aucun n’a vraiment réussi à me plaire. Par contre, le prince Ora m’a charmée. Enfin, l’intrigue ne m’a convaincue qu’à moitié. J’ai quelques tomes en ma possession alors restez dans le coin, je vous parlerai de la suite sous peu.



Encore une fois je vous présente une œuvre de Arina Tanemura. Après full moon, lovely fridays et the gentlemen’s alliance cross, il fallait que je vous parle de cet autre manga qui trône fièrement dans ma bibliothèque depuis que le premier tome est sorti en France. Comme d’habitude ses dessins sont fins, détaillés, précis. C’est un travail particulièrement méticuleux et j’adore le rendu, qui est un vrai régal pour les yeux. En bref, princesse Sakura mêle premiers émois amoureux, magie de la lune, démons, êtres surnaturels, amitiés naissantes et trahisons.
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Un tome qui finit de manière magnifique cette série tout en beauté et en poésie !

Il semblerait que tout le monde ait trouvé sa voie, son désir. Je pense qu'il ne pouvait pas y avoir de meilleur fin pour cette série.

En lisant les dernières pages j'avais l'impression d'avoir les chansons de l'animé en tête.

Bravo pour cette fin poétique qui m'aura fait verser des larmes de joie et de tristesse.



Avis général sur la série :



Encore une superbe série d’Arina Tanemura qui continue toujours de nous surprendre et de nous émouvoir avec ses histoires aussi fantastiques les unes que les autres.



Cette fois-ci, on accompagne Mitsuki une jeune fille ayant une tumeur à la gorge mais qui rêve que d’une chose : devenir chanteuse. Cependant, avec sa tumeur il lui est impossible de chanter très fort.



Comme à chaque fois, les dessins sont justes magnifiques !



Je trouve qu’Arina a très bien traité le thème de la maladie de Mitsuki, ainsi que son lien avec la mort avec la représentation des deux shinigamis qui l’aident à réaliser son rêve pour qu’elle n’ait pas de regrets. Malgré tout, l’histoire est plus profonde quand on avance à travers les volumes et on découvre pourquoi elle a un lien si spécial avec la mort. Et malgré son jeune âge, je trouve que Mitsuki est plus mature d’esprit que d’autres protagonistes que l’on croise à travers cette œuvre.



Cela a été une bonne découverte cette série manga. Elle n’est pas passée loin du coup de cœur, cependant malgré de nombreux points positifs, quelques points me laissent perplexe : l’histoire de la grand-mère de Mitsuki avec son mariage dont je n’ai pas tout compris du premier coup et l’apparition comme ça de la Reine des Shinigamis vers la toute fin… je pense que j’aurais apprécié qu’ils commencent à légèrement en parler bien avant, même si du coup l’effet de surprise est au rendez-vous.



Cette série a été également adaptée en série animée que j’ai moins appréciée. Mais j’en parlerai dans une chronique dédiée à l’animé.
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Je trouve dans ce tome, l'histoire s'enchaine trop vite ! Et je trouve cela dommage... on a l'impression que le temps presse et qu'il faille boucler tout ça.

La relation entre les personnages évolue de plus belle et un nouveau personnage énigmatique fait son apparition.

Mitsuki décide de vivre et les shinigamis sont prêts à tout pour la sauver. Le dénouement final approche trop vite.

Ce tome évoque enfin le passé d'Izumi. Je trouve juste dommage que l'auteur n'explique pas le changement d'âge entre Izumi enfant et le Izumi que l'on voit au fil de la série, alors que pour les autres shinigamis il n'y a pas de changements.

Les sentiments contradictoires de Mitsuki sont très bien mis en scène ce qui ajoute un charme supplémentaire à la série.

Takuto révèle enfin ses sentiments à Mitsuki et le passé de Meroko se dévoile enfin. J'ai trouvé touchant d'en savoir plus sur ce personnage qui n'a pas été exploité à fond dans l'animé.

À partir de ce tome, la relation entre Mitsuki et Takuto va bien changer et ce dernier est prêt à tout pour lui redonner le goût de vivre.

Je vous en ai parlé dans la chronique que j’ai rédigée il y a presque une année — vous pouvez d’ailleurs retrouver mon avis complet en cliquant sur ce petit lien — mais the gentlemen’s alliance cross est mon manga papier préféré (ok, ex æquo avec d’autres..). Je ne sais pas pourquoi je ne vous ai pas parlé du deuxième tome plus tôt, sachant que je l’ai lu, lu et relu un nombre incalculable de fois, mais cette fois ça y est, je peux enfin me poser devant mon ordinateur. Alors installez-vous bien confortablement sur votre canapé, on enchaîne !



Dans cette suite nous retrouvons Hainé Otomiya, notre protagoniste féminine principale de quinze ans, qui étudie à l’académie impériale et qui est amoureuse du garçon le plus riche, le plus intelligent et le plus populaire (je sais, ça fait assez cliché) : Shizumasa Tôgû. Il lui est complètement inaccessible mais grâce au coup de main donné par une certaine personne, elle va réussir à l’approcher suffisamment près pour intégrer le conseil des élèves et ainsi, se faire une place à ses côtés. Dorénavant, elle est la garde du corps de l’empereur et la chargée des affaires courantes ! Malheureusement, le jeune homme n’en a rien à faire d’elle et pire, on pourrait croire qu’il la déteste. Pour quelle raison ? Peu importe, l’adolescente, plus que motivée, va faire tout ce qui est en son pouvoir pour tisser un lien avec lui. Et, suite à un enchaînement de circonstances, elle va réussir à lui faire accepter l’impensable : elle va jouer sa fausse petite amie en public pour que les filles de l’école le laissent tranquille. C’est un grand pas, pourtant, il ne lui suffit pas et elle en veut plus. Ce deuxième opus commence donc avec la fameuse nouvelle annoncée à tous les étudiants et le changement de statut de l’héroïne qui passe du rang bronze à celui de platine..



Encore une fois, la mangaka et scénariste que l’on ne présente plus a fait de l’excellent travail. Elle a réussi à poser des choses sur papier, à faire de magnifiques planches, à tout détailler, et les émotions éprouvées par chacun des personnages étaient merveilleusement bien représentées. Certaines scènes étaient très touchantes, certaines conversations très profondes, et certaines révélations plus que surprenantes. Ce volume était incroyable et j’ai pris plaisir à le relire. Ici, la lumière est mise en évidence sur des faits qui se sont déroulés il y a des années et le lecteur apprend la vérité sur une affaire en particulier (Hainé et les cinquante millions de yens, pour être plus précise). On finit le cœur brisé en petits morceaux alors préparez-vous. De la même manière, une découverte nous explose en plein visage et nous laisse sous le choc parce que, évidemment, on ne s’y attend pas. Arina Tanemura a un don et à chaque fois, elle nous propose des histoires uniques et poignantes ainsi que des scénarios déroutants et mystérieux, bien loin des contes de fées et des romances toutes simples que l’on connaît forcément si on aime le genre shōjo. Laissez-vous donc convaincre par celle-ci, si ce n’est pas encore fait. Vous pourriez être surpris.



Quoiqu’il en soit, j’ai une confidence à vous faire. Si vous ne l’avez toujours pas compris, sachez que ce tome est un coup de cœur pour moi, au même titre que le précédents et les suivants. N’hésitez pas à me dire si vous avez déjà lu, ou non, cette série !
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Les voiles se lèvent sur le passé de Takuto, entraînant ainsi la douloureuse révélation sur le passé de Mitsuki avec Eichi.

On comprend ainsi mieux la tournure de certaines phrases prononcées par Mitsuki quand elle évoque Eichi, ce qui rend ces paroles poignantes.

Malgré son jeune âge, elle est déterminée à accomplir son rêve avant de rejoindre Eichi.

On ne peut qu'admirer cette jeune fille qui cache admirablement ses véritables sentiments, comme la lune ne montrant qu'une face de son aspect.

L'intrigue commence à s'installer progressivement et les shinigamis apportent une autre vision de la mort.

Malgré son côté un peu insouciant et naïf, Mitsuki apporte un peu de réconfort autour d'elle et garde toujours le sourire malgré sa maladie. Quelque chose me dit qu'elle a, comme la lune, une face cachée comportant bons nombres de blessures.

Un premier tome prometteur, qui pose les bases d'une histoire qui s'annonce haute en couleur et magnifique ! Arina TANEMURA nous plonge dans l'univers des idoles avec une pointe de magical girl.

Je trouve cette histoire bien partie et qui va nous apporter une belle réflexion sur la vie.

Je ne voyais pas d'autre fin pour cette série, mais s'est arrivé beaucoup trop vite et c'est vraiment dommage ! La bataille finale est bâclée et vite expédiée je trouve. J'en attendais plus de la bataille de Sakura contre la princesse Kaguya.

Cependant, ce tome est rempli d'émotions ! le chapitre final m'a fait verser ma petite larme.



Avis général sur la série :



Encore une magnifique série que nous a sortie Arina ! Je l'ai adorée du début à la fin !



Les personnages sont tous aussi attachants les uns que les autres et chacun a sa propre histoire ainsi qu'un lourd secret qu'ils tentent de cacher pour ne pas mettre en danger leurs amis.



Nous suivons donc la princesse Sakura, petite-fille de la princesse Kaguya (Kaguya est une princesse d'un conte japonais. Pour ceux qui ne connaissent pas, je vous conseille de regarder l'animé « Le conte de la Princesse Kaguya »). Bien entendu, l'histoire a été remodelée façon Arina Tanemura et cela se tient du début à la fin !



Encore une fois, tous les personnages sont attachants et je les adore tous, mais plus particulièrement Asagiri, l'amie de Sakura (je rêverai d'avoir une amie comme elle...).



Je crois bien que cette série m'a fait verser beaucoup de larmes, car plus ça vient et plus on voit Sakura sombrer psychologiquement à cause des combats qu'elle mène. Mais je n'en dirais pas plus.



Les décors respectent bien l'environnement et l'époque dans laquelle se joue l'histoire et ce qui est bien, c'est que l'auteur fournit des éléments explicatifs sur telle ou telle chose comme comment se passait les mariages à l'époque Heian ou comment les femmes devaient se comporter.



Cependant, alors que l'histoire monte plutôt bien, certains tomes viennent couper cette ascension et la lecture peut s'en retrouver alourdie et plate. Et certains éléments aurait pu d'avantage être approfondis ou être amenés de façon plus subtil.



Malgré tout, c'est encore une belle série qui vaut le détour et je ne regrette absolument pas de l'avoir lue ni d'avoir la série complète bien rangée dans ma bibliothèque !



Tout comme « Kamikaze Kaito Jeanne », c'est une série à lire !
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Tome rempli d'émotions ! On a envie de faire un câlin à Rurijo, même si je trouve que son revirement d'avis concernant la princesse est trop rapide.

Le point fort de ce tome est sans aucun doute l'amitié de Sakura avec Asgiri ! Cette relation est sans contexte ma préférée sur toute la série !

Le point culminant de la série arrive à grand pas... même trop vite je trouve !
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L'action commence à revenir doucement avec l'empereur malgré un début un peu fleur bleue entre Rurijo et Hayate. On voit que l'auteur maîtrise son propos. Cependant l'action retombe légèrement avec l'histoire de la princesse Yuri (qui s'y attendait ?!). Cette histoire est arrivée d'un coup rajoutant un intérêt à la princesse Yuri.
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On suit la même lignée que le tome précédent...

C'est vraiment dommage et les actions sont prévisibles... j'espère que la visite chez l'empereur dans le tome suivant va refaire monter l'ambiance.

On en apprend plus sur Aoba et on espère qu'une solution sera trouvée.

Rurijo s'est vachement adoucie dans ce tome et ressemble plus à une petite-fille naïve qu'à la jeune femme qu'on a vu précédemment.
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Comparé au tome précédent, celui-ci est léger niveau action... l'arrivée de la princesse Yuri est certes intéressante mais cela occulte complètement la bataille de Sakura contre Enju.

Ce tome se consacre d'avantage sur les sentiments des deux jeunes fiancés que sur la suite des combats. Dommage...
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Ce tome conclut l'arc du palais du sanglant secret et annonce un nouvel arc dans cette série haute en couleurs.

Ce tome était très émouvant concernant la relation d'Asagiri avec Ukyo.

Le véritable but d'Enju est révélé et il s'avère terrifiant.

La fin de ce tome me donne l'impression que Sakura a encore "grandi" et va être prête à tout pour protéger ceux qu'elle aime.
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Même schéma que le tome précédent.

Cependant, j'ai clairement plus apprécié découvrir le passé d'Asagiri que le passé de Kohaku et Shuri (qui est tout de même important, je ne dis pas le contraire). Ce tome se termine en plus sur une vérité glaçante concernant l'amie de la princesse.

J'ai clairement plus apprécié ce tome que le précédent.



Même si je suis fan d'Arina, ça devient lassant toutes ces petites histoires annexes...
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Ce tome m'a donné l'impression de me retrouver dans la série Saint Seiya avec la montée du Sancruaire...

Les combats s'annoncent certes impressionnants, mais chaque personnage se retrouve confronté en partie à leur passé face à leur adversaire. Ce qui semble logique puisqu'ils ont tous un lien, sauf Maimai et Byakuya (qui sort d'où son apparence ultra badass d'ailleurs?! J'espère que l'auteur nous en dira plus par la suite)

Ce tome me laisse un peu perplexe.



L'histoire bonus vient clairement casser ce tome.
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Ce tome est clairement basé sur l'émotion ! Entre la disparation d'un être cher et le retour d'un autre, les émotions de la princesse ne vont pas cesser de faire yoyo. Il est un peu plus calme dans l'ensemble, mais comme on dit : après le calme vient la tempête. Juste trouvé dommage que l'on connaisse la véritable identité d'Enju aussi vite, mais je crois que c'était à prévoir.
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Ce tome se base plus sur le passé des acolytes d'Enju que sur les combats de la princesse.

L'apparition de Rurijo va mettre un peu de piment dans la série, car on a pas fini d'entendre parler d'elle.

Ce qui est sûr, c'est que l'objectif d'Enju n'est vraiment pas clair et il semblerait qu'il n'aurait aucun remord à manipuler Sakura.
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