Audrey Martinez

Vous vous retrouvez parfois à un moment de votre existence qui peut tout changer? À un croisement. Mais vous n'en avez pas conscience. Comme tout le monde,vous vivez, vous suivez tantôt votre cœur, tantôt votre raison, vous prenez une décision qui vous semble être la bonne à cet instant précis. Et dans ce cas, ce n'est qu'après, lorsque des conséquences négatives se font sentir que vous vous rendez compte qu'il aurait peut-être fallu agir différemment. Mais il est trop tard ! Comment savoir ce qu'il faut faire ?

À quel moment tout avait dérapé? Elle avait fait un mauvais choix, deux mauvais choix... Puis le cercle vicieux duquel elle ne pouvait plus sortir. Vous vous retrouvez parfois à un moment de votre existence qui peut tout changer. À un croisement. Mais vous n'en avez pas conscience.

Elle avait ressenti une certaine alchimie entre eux, mais elle n’était pas très à l’aise avec tout cela, elle n’avait connu qu’un homme avant lui et elle avait tiré un trait sur toute histoire d’amour pendant longtemps. Au fond, elle commençait à espérer quelque chose. Elle le savait, elle le sentait. Tout doucement, elle se laissait glisser vers la séduction, l’attirance, le regard de l’autre. Cela l’effrayait autant que cela l’enthousiasmait.

— Je me disais que tu préférerais peut-être quelque chose de plus grand ou avec un jardin, pour que tu te sentes plus chez toi. Vu l’endroit où elle vivait et ses moyens financiers, j’ai parfois peur qu’elle regrette son ancienne vie.

— Chez moi, c’est là où tu te trouves, Matthew. Une caravane, un appart, une maison, ça m’importe peu. J’ai vécu partout, même dans des tentes, et je ne me suis jamais sentie autant chez moi que près de toi.

La résilience c’est cette capacité à vivre et réussir malgré l’adversité. La persévérance c’est le fait de persister malgré les difficultés. C’est cela qui fera la différence et qui vous permettra d’aller au bout de votre projet.

Finalement, il arrive que ce que l’on considère comme vrai, n’est qu’une fabrication de notre esprit. Tout n’est pas figé, immuable. Nous ne sommes pas des êtres constants, incapables de changement, bien au contraire.

Je l’aime ma vie, aussi imparfaite soit-elle. C’est la mienne, je n’en ai qu’une et je veux qu’elle dure, encore et encore. J’accueillerai la mort lorsque j’aurai tout accompli, lorsque j’aurai le sentiment que ma vie a été remplie et que je peux quitter ce monde en paix et rassasié de magnifiques souvenirs.

Grâce à ces événements malheureux, Jack avait appris à apprécier les instants de bonheur. Parfois simples, parfois brefs, il fallait les savourer lorsqu'ils se présentaient pour avoir assez d'énergie les jours de pluie."

Chacun possède un objectif dans la vie, gagner de l’argent, devenir célèbre, créer son entreprise, réaliser un rêve, voyager ou encore fonder une famille. Chaque personne étant unique, il peut y avoir autant de buts que d’êtres humains sur la planète. Malgré tout, il demeure une chose qui est universelle, intemporelle et inconditionnelle, c’est l’amour. Lorsqu’il fait partie de notre vie, on peut affirmer que l’on est en présence du bonheur. Car peu importe la taille de sa maison, le montant de son salaire, ou les biens matériels possédés, l’amour est le seul sentiment qui comble réellement. Il est si rare qu’il devient difficile à trouver et à conserver, mais c’est aussi le seul qui permet d’être totalement épanoui. L’amour n’a pas d’âge, de couleur, de religion. Il est au cœur des relations entre les êtres. Il réunit les gens et enivre le cœur.

L’échec, le vrai : c’est l’abandon et en aucun cas un projet qui n’a pas fonctionné. Il ne faut pas baisser les bras, jamais ! C’est pareil pour tout dans la vie ! Céder à l’échec c’est entrer dans une spirale négative qui détruit toute votre confiance en vous. Vous devez absolument considérer l’échec comme une tentative infructueuse et vous en servir pour rebondir.

un livre qui m'a fait couler les larmes jusqu'à de la joie.
c'est une histoire qui m'a toucher de voir le deuil à travers chaque personnes et il y a ce sauveur qui vient remonter le moral de Lyanne mais il a un secret

Je peux sentir son parfum, il est doux et enivrant. Je repousse ses cheveux afin de dévoiler sa nuque. Je laisse glisser ma langue sur sa peau jusqu’à atteindre ses seins. Dégrafant son soutien-gorge, je me mets à mordiller ses tétons rosés. Sa poitrine est ferme et généreuse. Elle glousse, je sais que ce geste la chatouille plus qu’il ne l’émoustille. Nous avons développé une certaine complicité, depuis le temps.

Je l’apprécie vraiment. Au-delà du sexe qui est assez torride, il faut l’avouer, j’aime discuter avec elle. Cette jeune femme est cultivée et intéressante. Elle fait tourner toutes les têtes et chacun y va de son argument pour tenter de la mettre dans son lit. Mais, elle a jeté son dévolu sur le pompier du coin de la rue. Moi. 

— J’ai déjà aimé, tu te rappelles ? Passionnément, intensément, à la folie, sans demi-mesure et je me suis brûlée les ailes, j’ai tout perdu. Je ne veux pas revivre ce genre de souffrance.

Le silence qu’offre la nature me laisse toujours pantois. J’apprécie le doux chant des oiseaux, le bruissement du vent dans les branches, la vue sur la montagne et la vallée en contrebas. Je pourrais rester des heures, assis sur ma terrasse à admirer le paysage. Il m’apaise. En général, lorsque le village commence à s’éveiller, j’enfile mon blouson et descends discuter avec les commerçants de la place. J’ai appris à les connaître au fil du temps et ils m’ont chaleureusement accueilli. L’état d’esprit des villageois est bien différent de celui des citadins. Ils savent s’ouvrir aux autres, partager, s’entraider. Il n’y a pas d’urgence, d’empressement. Il me semble que les gens prennent le temps de vivre. J’aime cet endroit.

Je crois que nous avons parfois besoin d'une piqûre de rappel afin d'apprécier ce que nous avons, de savourer notre bonheur et notre quotidien lorsqu'on se noie dans des détails et des broutilles.

Peut-être que tu as raison, mais tu t'empêches aussi d'aimer, de vibrer, de vivre, tout simplement. C'est comme si tu te laissais mourir à petit feu.

Qui peut jauger de la force d’un amour ?
Ils étaient amoureux. C’était tout ce qui comptait. Qu’il dure un mois, comme une passion enflammée, ou dix ans. C’était un sentiment véritable, et ceux qui l’ont connu savent que c’est la sincérité du cœur qui compte.

L’amour. Le vrai. L’unique.
Ce premier amour est précieux car il chamboule le cœur, il marque à jamais, il se transforme en souvenir impérissable.

Je crois que je suis tombé amoureux de toi, la première fois que j’ai vu ta photo à la télé. C’est fou, je le sais, mais quand j’ai croisé ton regard dans cette foutue hutte, j’ai su. Je veux passer ma vie à tes côtés, te faire sourire chaque jour, te rendre heureuse et te protéger du reste du monde.