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Critiques de Barbara Cartland (218)
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Le drame de Gilda

Gilda et Heloise sont soeurs. Elles ne sont pas jumelles mais se ressemblent parfaitement. Heloise vit à Londres chez sa riche marraine tandis que Gilda lutte pour survivre dans le manoir familial qui sombre dans l'insalubrité.

Un jour, Heloise arrive sans prévenir. Je ne vous dirai pas par quel détour inattendu, burlesque et choquant Gilda est amenée à se faire passer pour sa soeur ...

Évidemment, en arrivant dans des lieux inconnus, peuplés en toute logique de personnes étrangères, Gilda parvient à donner le change et à éviter tout faux pas. Alors même si c'est une petite maline, ceci ne me parait pas trop cohérent.

Si l'on arrive à surmonter le choc initial à l'origine de l'échange des soeurs et à fermer les yeux sur la trop parfaite adaptation de Gilda, alors on peut peut-être trouver quelque intérêt à l' histoire d'amour, bien prévisible elle aussi.

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Un baiser dans le désert

[Un baiser dans le désert] est le second roman de Barbara Cartland que je lis. Et j’ai une fois de plus passé un bon moment. Ici j’ai été séduite par le voyage que j’ai fait avec nos personnages. Direction la Syrie avec Vanda, Charles (son frère) et le comte Favin Bracken. Leur mission ? Acheter des chevaux pur-sang arabes. Et pour se faire, Vanda va devoir se faire passer pour une véritable princesse aux yeux du cheikh Abu Hamid.



Vanda ne pouvait pas rêver mieux que d’entrer dans la peau d’une véritable princesse, avec tout ce que cela implique. Etre apprêtée avec des vêtements luxueux, adopter une attitude de sang royal, avoir des dames de compagnie à disposition. Vanda va être la pièce maîtresse d’une transaction à hauts risques. Advienne que pourra, notre héroïne et ses deux compagnons sont bien décidés à revenir à Londres avec de beaux pur-sang arabes.



Le récit est très court, un peu plus de 150 pages et pourtant, Barbara Cartland a misé sur le côté aventureux de l’histoire. Le sentimentalisme parsème les pages de ce roman pour donner ce côté romantique au récit sans vraiment empiéter sur l’intrigue principale, à savoir la supercherie mise en oeuvre par nos protagonistes pour obtenir les faveurs du cheikh Abu Hamid.



L’histoire est agréable à lire. Les personnages sympathiques et plutôt bien ancrés dans leur réalité. On découvre différents milieux qui s’accordent avec la personnalité de nos personnages. Vanda est une jeune femme douce et sensible. Elle touche son entourage grâce à sa gentillesse et sa bienveillance. Vanda est une rêveuse, évidemment elle songe à l’amour, à cet homme qui la chérira plus que quiconque. J’ai trouvé ses rêves romantiques très réels, rien n’est surjoué, elle est sentimentale mais pas mièvre. C’est donc une héroïne que j’ai aimé suivre dans sa folle aventure. Charles est un personnage qui fait tampon, il est là pour trouver la solution au Comte Favin, c’est un ami proche et et Charles s’avère être quelqu’un de loyal. Une qualité que j’ai apprécié chez lui, tout autant que sa dévotion envers sa sœur. Favin Brackan est quant à lui un héros séduisant, très prévenant. Vanda lui fait une faveur et il sera très généreux en retour, en la gâtant avec des tenues dignes d’une vraie princesse, mais aussi en la couvrant d’attention. Très vite on va percevoir son attirance envers cette jeune femme qui respire la féminité. Et si l’attirance était réciproque ?



L’intrigue est prenante et pleine de charme. J’ai aimé découvrir le Moyen-Orient. Les paysages et les coutumes locales sont captivantes. L’auteure nous plonge dans un monde de richesse et de pouvoir où la beauté d’une femme peut faire ployer le plus grand des souverain.



En bref, une lecture douce et pleine de charme. Un moment de détente et d’aventure au Moyen-Orient avec trois personnages très attachants. Une romance à l’eau de rose comme j’aime en lire de temps en temps rien que pour le dépaysement.




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Le cavalier masqué

Cà n'est pas désagréable à lire. Simpliste aussi, le livre contient tous les clichés qu'on peut imaginer dans une romance. Mais comme c'est court, çà passe tout seul
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Séréna

Ma grand mère était une grande fan des romans à l'eau de rose, comme ceux de Barbara Cartland. J'avais dans mon grenier, une caisse de ce genre de livres, que j'avais gardé pour un moment de nostalgie.

Alors que dire de ce livre ? Le livre est bien documenté, il s'agit d'un livre d'époque, et honnêtement Barbara Cartland réussi à nous emmener dans son univers. Les descriptions des lieux, des tenues, du mobilier est précise et fait rêver. L'histoire, ben c'est un classique, le beau ténébreux, la belle damoiselle pauvre et orpheline...c'est comme un bonbon rose un peu trop sucré, mais ça se laisse déguster !

A noter qu'un téléfilm a été réalisé sur ce livre !
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Où vas-tu, Melinda ?

Mélinda malgré avoir connu la maltraitance est d’une naïveté déconcertante. C’est une oie blanche qui ne comprend pas ce monde dans lequel elle vie. Le schéma narratif est le même que pour « L’amour était au rendez-vous », même si Mélinda est totalement manipulée. Drogo, le jeune homme qu’elle épouse, se laisse prendre par les apparences. Il n’entre pas dan le schéma de l’homme chevaleresque, même si en jouant la comédie du mariage, il aide Mélinda. Il traite la jeune fille comme une courtisane, puis à la fin, il dit qu’il l’aime depuis que ses yeux se sont posés sur elle. Pas besoin d’excuse pour son comportement, le grand amour ne s’embarrasse pas de cela. Il y a beaucoup de réaction peu logique sur la fin. La manipulation est le thème central de ce récit. Je ne dirais pas que je ne pourrais pas être manipulé, cela peut arriver à tout le monde, mais cette histoire est trop stéréotypée. C’est un condenser, ce qui explique que les relations entre les personnages ne soient pas approfondit.
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Les violons de l'amour

Gisela peut passer pour une femme du commun, mais son père est un aristocrate sans argent. Donc, je savais qu’une fortune ou un titre viendrait améliorer leur vie. Comme dans un autre roman de l’auteur se déroulant à Vienne, tout tourne autour de la musique. Une ancienne connaissance refait surface et l’amour nait, encore une fois pour le parent. La mère de Gisela est un fantôme ne portant pas de nom. Elle n’est qu’une ombre flottant à côté d’eux, leur rappelant le bonheur passé. Gisela est encore d’une innocence incroyable. Miklos et elle tombe amoureux au premier regard, mais l’homme cherche à fuir ses sentiments. L’amour est plus fort que tout. Il ne tient pas compte des statuts sociaux. Miklos est finalement prêt à tout pour vivre sa romance. Tous les obstacles disparaissent, comme dans les contes de fées. Encore une fois, tout est beau et rose entre le prince et sa princesse. Ce récit est mièvre à souhait pour une personne ayant une peine de cœur.
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La magie de la bohémienne

Rien dans le résumé ne précise que toutes les femmes du roman sont des princesses. C’est un conte de fée ayant lieu dans un pays germanique. La grande méchante est une princesse prussienne avide de pouvoir. Son époux est une marionnette sur le trône pendant qu’elle régente tout. Stéphanie est totalement soumise à sa mère. Elle ne se rebelle que pour sauver son amour pour un prince de son pays. Laetitia utilise l’image positive qu’elle a des gitans pour sauver sa cousine. Elle prend son armure et son fier destrier pour partir en croisade. Bien évidemment, le roi Viktor et elle tombe amoureux au premier regard. La magie et la dissimulation sont mises en avant. Le grand duc trouve lui aussi l’amour, tout comme Laetitia et Stéphanie. Il y a trois couples qui se forment. Il leur faudra attendre la mort providentiel d’un personnage pour vivre leur amour. Ce roman cherche à faire l’éloge du véritable amour et de redorer l’image des gitans.
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L'amour était au rendez-vous

Tout le début du roman change radicalement des autres romans de cet auteur. Cette période est sombre et douloureuse. J’ai vraiment eu l’impression d’éprouver les sentiments d’Ivona. Les souvenirs sont assez confus. La famille paternelle est tombée dans le fanatisme religieux et la folie. Ils sont cruels envers les femmes. Cela entraîne un gros contraste avec le bonheur qu’elle connaîtra avec le duc Robert de Sancerre. Le prénom du duc n’est utilisé qu’une fois. Il reste donc un homme anonyme qui laisse le lecteur (ou plutôt les lectrices) libre d’imaginer leur prince. Encore une fois, il est plus âgé et chevaleresque. Pour une fois le sauvetage va dans les deux sens. Il doit y avoir un petit souci de traduction parce que le duc est parfois désigné par le titre de comte. Bien évidemment, l’histoire se précipite. Elle n’a pas le temps de se développer pour me faire ressentir le bonheur et la joie d’avoir trouver le véritable amour. Je crois que c’est l’un des romans les plus travaillés de cet auteur. Peut-être est-ce du à la période choisie et le lieu. La France fascine toujours autant les anglais.
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Un coeur qui chante

Lady Milbanke est ruinée. Elle n’a même plus de quoi nourrir convenablement les deux personnes à sa charge. Tout change avec le retour d’un vieil ami. L’amitié est vraiment mise en avant. Pour la petite ombre dans le bonheur dû au succès de Maria Milbank, il y a le baron von Erhardt. C’est un grossier personnage voulant compromettre Carla. La jeune femme est bien évidemment une vierge, comme toutes les héroïnes de l’auteur. Elle est douce et naïve. Carla se soumet à sa mère, puis à son ami et finalement à l’homme qu’elle aime. Ràko n’est pas un homme des rues. Il est au sommet de la hiérarchie sociale. Il est le rêve inaccessible de toute mère pour sa fille. Cet homme est aussi le sauveur de Carla. Il est l’archétype de l’homme idéal romantique. Le respect des conventions sociales est primordial. Il faut donc cacher les actes de lady Milbanke et cela pour préserver la réputation des deux femmes comme du futur époux de Maria et son futur gendre. Je trouve cela exaspérant. Aujourd’hui encore il existe un carcan social même s’il est plus souple. Il n’y aura donc jamais de fille-mère dans les récits idéaliste de cet auteur. Du coup, l’histoire est trop plate.
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L'homme de mes rêves

Lord Edgeworth est souffrant suite à une mauvaise chute de cheval et il sent que ses jours sont comptés. Aussi pour assurer le bien-être et la tranquillité de son unique fille, il demande au Duc de Darrington de l'épouser en échange de son aide sur une affaire d'investissements. Valeta sera l'héritière d'une grosse dote mais aussi la cible d'hommes peu scrupuleux. Ce mariage ne l'enchante guère : ce qu'elle désire, c'est aimer et être aimer. C'est en exhaussant le dernier souhait de son père qu'une idée prend forme dans son esprit : Valeta va se faire passer pour une courtisane pour attirer l'attention du Duc.

Je connaissais l'auteure de nom, renommée pour être une référence dans la littérature romantique, mais je ne m'étais jamais penchée sur un de ses titres jusqu'à présent. Voilà qui est fait. L'histoire est simple, fluide et propose pourtant une intrigue sur laquelle on prend plaisir à s'attarder. Les personnages ont un tempérament travaillé et attachant, la narration se faisant sous le regard de Valeta mais également du duc de Darrington. Valeta est une jeune fille qui idéalise l'amour et espère ne pas se marier par convention. Le duc de Darrington est, quant à lui, connu dans les rangs de la société pour aimer les femmes et ne pas s'attarder sur l'idée du mariage. Mais l'un et l'autre font fit de leurs idéaux pour répondre aux derniers désirs d'un homme mourant. Et cela débute comme toute belle histoire d'amour : il n'y a qu'un pas entre l'amertume et la passion. Difficile d'écrire sur un récit aussi court et pourtant riche en détails, en paysages. Et je n'ai rien à redire de la plume de l'auteure qui m'a totalement conquise. Si comme moi vous voulez aborder cette auteure, cette petite romance historique est idéal pour ça.
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Le secret de mon bien-aime

J'ai lu le bouquin qui appartenait autrefois à ma grand-mère, intriguée par les fameux romans à l'eau de rose de Barbara Cartland.

Nous avons ici tous les clichés typiques de la romance, -héros soldats en apparence ennemi puis finalement héros-, jeune femme vierge qui va découvrir l'amour...

C'est simple à lire, mais ça s'oublie aussitôt que le livre est fini.

Le contexte historique, avec Manuela Saenz et Simon Bolivar ajoute un peu plus d'intérêt!
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Les belles amazones

Dans cette histoire, une jeune femme est prête à tout pour son cheval. L'intrigue est construite sur de nombreux quiproquos. Elle tombe amoureuse de son protecteur. Ce dernier lui donne pour mission de séduire son neveu. Pourtant il en devient jaloux, il accapare trop l'attention de Candida. De nombreux hommes veulent posséder la jeune femme. Cette amazone attire, mais elle possède un secret.On lit ce livre sans difficulté. A aucun moment on ne s'ennuie. Les personnages sont captivants.
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L'impétueuse duchesse

Barbara Cartland propulse le lecteur dans un passé tumultueux, où le Royaume-Uni et la France sont en conflit. Elle reprend les faits historiques pour donner un cadre à son histoire. C'est le récit du voyage de Jabina et Drue. L'écossaise oublie certaines lois et marie à elle le Lord,selon une antique loi écossaise. L'homme est silencieux et refermé sur lui-même la plupart du temps. Au début du récit, la jeune femme a un fort caractère et très rapidement elle devient une douce demoiselle qui fait ce qu'on lui dit. L'amour nait entre ces deux personnages, mais on n'y trouve pas de passion, peu de descriptions des ressentis des deux protagonistes,... Les descriptions du paysage ou de certains personnages manquent. On peut remarquer cependant, une exactitude dans les modes vestimentaires. Le lecteur peut reprocher à cet écrit, la rapidité du récit et la fin brutale de l'histoire dès le retour du couple en terre britannique. Il est à déplorer qu'on ne puisse pas lire une partie de la vie de couple qu'ils vont mener.
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Le terrible secret de Giselda

Oui, à l'adolescence, j'ai eu durant un été, une période "Barbara Cartland". Je l'ai découverte avec ce petit roman que j'ai gardé (les autres je les ai donné). Ma mère l'avait eu en cadeau avec un baril de lessive ! Les autres, je les achetais au fur et à mesure au bureau de presse à Port Camargue durant les vacances. Tous ses romans ont la même trame : En Angleterre ou ailleurs, une pauvre fille, belle, jeune et pauvre qui épousera un homme, beau et riche. Mais avant, il faudra qu'elle surmonte bien des difficultés et barrières et qu'elle séduise ce bel homme taciturne, ténébreux, qui souffre en silence, qui a un secret etc... Oui, je l'avoue, mon côté fleur bleue me faisait succomber à ce genre d'histoires. Après, je m'en suis lassée car toujours les mêmes histoires...
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Coeur en bémol

J'ai lu ce roman dans le seul but de savoir à quoi m'en tenir sur Barbara Cartland (même si j'avais déjà des soupçons). Hé bien, je dois dire que cette lecture a confirmé mes PIRES craintes.



Dans ce livre, nous avons donc pour héroïne Marisa Bradshaw, qui a prétendument du caractère, enfin elle a "la tête près du bonnet". Elle vit avec sa mère et elles sont pauvres, depuis la mort de son père, un compositeur. D'ailleurs, Marisa fait du piano. À une réunion mondaine (elle est vraiment si pauvre que ça ?), elle rencontre James de Westfield, riche et chargé de l'éducation de sa demi-soeur Charlyse, qui est insupportable. Marisa le trouve antipathique, mais lui est charmée par "sa force de caractère".



Mais que c'est original !!!!!!! Voilà qui ne ressemble PAS DU TOUT, mais alors pas du tout à un certain roman, pas très connu, qui a pour titre "Orgueil et préjugés" ! Non, sans blague, c'est un plagiat mauvais et éhonté de l'oeuvre de Jane Austen.

Bon, comme Marisa est bonne en piano, elle accepte de donner des cours à la soeur de James et, surprise, fait des miracles, parce tellement elle est gentille, vertueuse, belle et vierge ! Mais un méchant vieux lord et une méchante femme riche débauchée (qui sont amants) veulent s'emparer de la partition inédite de Beethoven (rien que ça) cachée par le père de Marisa et aussi, ils veulent que Marisa arrête d'être gentille, vertueuse, belle et vierge !



Alors, ils lui font croire qu'ils vont publier les partitions que son père a écrites, mais ils veulent surtout la livrer à un méchant vilain vieux monsieur gros, qui va la violer dans le boudoir en l'écrasant avec ces bourrelets de gras ! Heureusement, James arrive à temps pour sauver "l'innocence" de Marisa et puis...le reste, j'ai lu en diagonale, alors tout ce que j'ai retenu, c'est que Charlyse se perd dans le labyrinthe de thuya pendant un orage et que les méchants sont vaincus et que la partition de Beethoven était dans un chapeau.



Bref, à la fin, Marisa et James se marient et ne font pas l'amour, parce que le sexe, C'EST MAL par définition, et que s'ils consomment leur union, bah Marisa elle sera plus gentille, vertueuse, belle et vierge !



Franchement, je trouve que Barbara Cartland, c'est la quintessence de l'ennui. Pour être intéressantes, les histoires d'amour ont besoin d'être rehaussées par une vraie intrigue et d'être un tant soit peu originales. De plus, dans les romans à l'eau de rose modernes, on peut généralement frissonner dans ses draps en lisant des scènes érotiques qui réveillent en nous nos fantasmes adolescents...Mais avec notre amie Cartland, nous n'avons même pas cette consolation, parce qu'il faut être chaste, meme dans le mariage.



Les romans de Jane Austen est intéressante, parce que ce sont aussi le tableau d'une époque et d'une classe sociale, parce qu'il y a une intrigue, parce que tout n'est pas couru d'avance. Les romans de Juliette Benzoni sont intéressants, parce qu'il le côté historique, le côté policier et le côté érotique. Mais Barbara Cartland, je ne vois pas l'intérêt de lire ça.
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Sous le charme gitan

J'ai trouvé ce livre certes bien écrit, l'écriture est fluide c'est agréable mais l'histoire est trop prévisible. J'ai eu tendance à anticiper beaucoup de passages du livre. En soi l'histoire est intéressante mais je trouve qu'elle perd en pertinence au fur et à mesure du récit. Je trouve ce livre quelconque et niais.
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Le cavalier masqué

Ce roman est mon roman doudou. Petite je suis tombée sur le téléfilm avec une des premières apparition de Hugh Grant et j'ai du le voir plus de fois que mon propre âge. J'ai acheté le livre adulte, trouvé par hasard mais pour mon plus grand bonheur. Le pire, je ne saurai même pas dire pourquoi cette histoire résonne autant en moi. C'est un grand mystère. Peut être l'attitude bandit de grand chemin au grand coeur de Luc. Ou la grande méchante intrigante jalouse mais belle à ce damné. Les robes, la cour, les intrigues. Comme il se lit vite, il n'est jamais loin si j'ai besoin.
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Seras-tu lady, Gardenia ?

Avant toute chose, si jamais ce livre vous intéresse, ne lisez *surtout pas* le résumé... qui spoile l'intégralité de l'histoire ou presque.



Seras-tu lady, Gardenia ? faisait partie d'un lot de livres abandonné dans le hall de l'immeuble. Friand de romance historique, impossible de ne pas le récupérer. La romance est un genre qui a tendance à plutôt mal vieillir, mais en dépit de son âge canonique (le livre étant sorti en 1979), celui-ci n'a pas pris trop de rides. Sans doute le côté historique aide-t-il pas mal.



Alors certes, le côté oie blanche de Gardenia pourra taper sur le système. Jeune anglaise issue d'un milieu modeste se retrouvant orpheline (#AlerteAuCliché), elle débarque en France pour y retrouver sa seule parente encore vivante. Autant dire que le Paris de la Belle Époque ne va pas manquer de la dérouter... d'autant que ce qu'elle ignore, c'est que sa tante Lily fait partie de ce que l'on appelle les demi-mondaines. Femmes-trophées, courtisanes de luxe, célébrités au sein du tout-Paris, admirées des messieurs fortunés qui se les arrachaient, méprisées par les autres (à commencer par les épouses légitimes), bien plus que de simples prostituées, ces femmes déchaînaient les passions au moins autant que les ragots. Et c'est dans cet univers très particulier que se déroule le roman. Lily tente tout de même de tenir son ingénue de nièce à l'écart de sa vie dissolue, et y parvient plutôt bien : pendant les deux tiers du livre, la jeune fille ne cesse ainsi de se poser des questions sur toutes les bizarreries qu'elle voit ou les allusions à peine subtiles qu'elle ne comprend tout simplement pas. Certes, son éducation joue pour beaucoup, mais même les autres personnages n'en peuvent plus de son extrême niaiserie.



La romance n'est finalement pas l'intérêt principal du roman, largement éclipsée par une légère intrigue politique qui n'est pas trop mal foutue, à laquelle Gardenia se retrouve mêlée de façon relativement crédible. le reste du temps, c'est une immersion dans ce Paris où l'argent coule à flots et où l'apparence compte plus que tout. Et malgré la candeur caricaturale de l'héroïne, ça se lit plutôt bien...



… du moins jusqu'à ce que la fin, précipitée à outrance, vienne gâcher tout ça. Les ennuis surgissent et Gardenia-la-cruche passe d'un seul coup en mode Téfal-tu-penses-à-tout. En l'espace de trente pages, tous les aspects de l'histoire sont bouclés. le dénouement de la romance semble sortir de nulle part, les intrigues politiques sont évincées en quelques lignes, bref, on a l'impression que l'autrice s'est dépêchée de finir son histoire au plus vite, et tant pis si tout ça manque de consistance. Dommage.



Néanmoins, ce n'est pas un désastre non plus, d'autant qu'avant ça, les péripéties de la naïve Gardenia se suivent, heureusement, sans ennui, pour peu que l'on accroche à l'ambiance du récit.



Par contre, il convient de mentionner que le livre est TRUFFÉ de coquilles, à tel point que l'on se demande s'il a seulement été corrigé. Rares sont les pages qui y échappent et l'on a droit à tout un festival entre les lettres manquantes, les lettres en trop, les lettres qui en remplacent d'autres, les fautes de conjugaison, les mots manquants et une orthographe parfois aux fraises... J'en ai pourtant lu des bouquins, mais je n'avais jamais vu un truc pareil.



Au final, le sentiment est plutôt mitigé. Sans la fin vraiment bâclée et les nombreuses coquilles, j'aurais sans hésité accordé une demi-étoile en plus.
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Mariée à contrecoeur - Tous les mystères d'Ecosse

Ce livre propose deux romances historiques qui ont en points communs, le fait que deux jeunes femmes sont sur le point de devoir se marier soit par erreur soit par obligation, avant qu’un homme ne les sauve de cette injustice !



La première romance présente Georgia, une jeune femme élevée par son grand père, loin de tout enrichissement social...



La chronique complète sur Songe !
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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Séréna

Séréna.... Ou le bouquin que tu te retrouves à lire en vacance chez la belle-mère ( que ça te surprends que la belle-mère ai des Cartland, vu la lectrice que c'est), parce que t'as du mal à avancer sur L'Abercrombie que t'avais emmené....



c'te putain de grand écart ! Abercrombie Cartland... y a que moi qui fais des trucs de ouf comme ça...^^

Bon je dois dire que j'avais jamais rien lu de Cartland ( même si je savais ce que j'allais trouver dedans), donc pour ne pas mourir débile et vu que j'avais besoin de me détendre le cerveau ( belle-mère toussah) je me suis dit pourquoi pas...

Et pi j'avais vu sur la quatrième de couv des mots comme : "libertin", "vice" "dépravation"... ça a éveillé mon intérêt et ma curiosité... Et puis le pitch de départ bonjour! La fille qui a été perdue au jeu par son père en même temps que le domaine familial.... en fait ça va passer crème... même pas mal...



Et heu pour le reste ( vice, dépravation, libertinage)... bin j'en ai été pour mes frais !.... y a ni vice, ni dépravation, ( enfin un peu, du jeu, un peu de laudanum qui traîne, mais franchement pas grand chose de plus) et encore moins de libertinage...

La scène pinacle niveau fesse, c'est un baiser.... j'ai éclaté de rire !

Nan j'ai bien rigolé en lisant ce bouquin... j'avais des roooh comment c'est sweet.... Rooh comment c'est des truffes... roooh comment c'est des crétins... si...



On est loin du militantisme féministe, très très très loin... ^^ plus loin que ça, je sais pas où c'est... ( c'en est même aberrant! )

On est en plein dans le sirupeux chouminou crétin qui te fille des caries, on est en plein dans l'emphase de la mort qui tue, avec des belles robes, des beaux messieurs qui sont tous marquis, duc lord ou truc machin... y a des chevauchées sous la pluie, et des bals de débutantes...

Je lisais des bouts à mon ado de fille, elle était morte de rire... le vrai éclat de rire sonore sincère...



Alors par contre y avait une autre histoire dans ce livre, deux pour le prix d'un, mais j'ai lâché l'affaire, je ne suis ni masochiste, et aucune envie de perdre mon temps, c'est bon j'ai vu le genre, j'ai compris, je ne mourais pas ignare quand à la mère Cartland.... Et je suis allée faire un tour dans une librairie.. bon y avait pas la suite de Blood song... merde !

Mais j'ai trouvé autre chose...



Et en demandant à ma belle-mère " Mais heu pourquoi donc que tu as plein de Cartland et autre Harlequin dans la bibliothèque ? tu as eu une période chouminou ?"

Et bin en fait, c'était pour la grand-mère atteinte d'Alzheimer, pour qu'elle continue à lire... elle arrivait plus à lire d'autre chose la pauvre dame, alors qu'elle était elle aussi une grande lectrice, nan vraiment Alzheimer c'est moche...

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