Gilda et Heloise sont soeurs. Elles ne sont pas jumelles mais se ressemblent parfaitement. Heloise vit à Londres chez sa riche marraine tandis que Gilda lutte pour survivre dans le manoir familial qui sombre dans l'insalubrité.
Un jour, Heloise arrive sans prévenir. Je ne vous dirai pas par quel détour inattendu, burlesque et choquant Gilda est amenée à se faire passer pour sa soeur ...
Évidemment, en arrivant dans des lieux inconnus, peuplés en toute logique de personnes étrangères, Gilda parvient à donner le change et à éviter tout faux pas. Alors même si c'est une petite maline, ceci ne me parait pas trop cohérent.
Si l'on arrive à surmonter le choc initial à l'origine de l'échange des soeurs et à fermer les yeux sur la trop parfaite adaptation de Gilda, alors on peut peut-être trouver quelque intérêt à l' histoire d'amour, bien prévisible elle aussi.
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Cà n'est pas désagréable à lire. Simpliste aussi, le livre contient tous les clichés qu'on peut imaginer dans une romance. Mais comme c'est court, çà passe tout seul
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Ma grand mère était une grande fan des romans à l'eau de rose, comme ceux de Barbara Cartland. J'avais dans mon grenier, une caisse de ce genre de livres, que j'avais gardé pour un moment de nostalgie.
Alors que dire de ce livre ? Le livre est bien documenté, il s'agit d'un livre d'époque, et honnêtement Barbara Cartland réussi à nous emmener dans son univers. Les descriptions des lieux, des tenues, du mobilier est précise et fait rêver. L'histoire, ben c'est un classique, le beau ténébreux, la belle damoiselle pauvre et orpheline...c'est comme un bonbon rose un peu trop sucré, mais ça se laisse déguster !
A noter qu'un téléfilm a été réalisé sur ce livre !
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J'ai lu le bouquin qui appartenait autrefois à ma grand-mère, intriguée par les fameux romans à l'eau de rose de Barbara Cartland.
Nous avons ici tous les clichés typiques de la romance, -héros soldats en apparence ennemi puis finalement héros-, jeune femme vierge qui va découvrir l'amour...
C'est simple à lire, mais ça s'oublie aussitôt que le livre est fini.
Le contexte historique, avec Manuela Saenz et Simon Bolivar ajoute un peu plus d'intérêt!
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Dans cette histoire, une jeune femme est prête à tout pour son cheval. L'intrigue est construite sur de nombreux quiproquos. Elle tombe amoureuse de son protecteur. Ce dernier lui donne pour mission de séduire son neveu. Pourtant il en devient jaloux, il accapare trop l'attention de Candida. De nombreux hommes veulent posséder la jeune femme. Cette amazone attire, mais elle possède un secret.On lit ce livre sans difficulté. A aucun moment on ne s'ennuie. Les personnages sont captivants.
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Barbara Cartland propulse le lecteur dans un passé tumultueux, où le Royaume-Uni et la France sont en conflit. Elle reprend les faits historiques pour donner un cadre à son histoire. C'est le récit du voyage de Jabina et Drue. L'écossaise oublie certaines lois et marie à elle le Lord,selon une antique loi écossaise. L'homme est silencieux et refermé sur lui-même la plupart du temps. Au début du récit, la jeune femme a un fort caractère et très rapidement elle devient une douce demoiselle qui fait ce qu'on lui dit. L'amour nait entre ces deux personnages, mais on n'y trouve pas de passion, peu de descriptions des ressentis des deux protagonistes,... Les descriptions du paysage ou de certains personnages manquent. On peut remarquer cependant, une exactitude dans les modes vestimentaires. Le lecteur peut reprocher à cet écrit, la rapidité du récit et la fin brutale de l'histoire dès le retour du couple en terre britannique. Il est à déplorer qu'on ne puisse pas lire une partie de la vie de couple qu'ils vont mener.
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Oui, à l'adolescence, j'ai eu durant un été, une période "Barbara Cartland". Je l'ai découverte avec ce petit roman que j'ai gardé (les autres je les ai donné). Ma mère l'avait eu en cadeau avec un baril de lessive ! Les autres, je les achetais au fur et à mesure au bureau de presse à Port Camargue durant les vacances. Tous ses romans ont la même trame : En Angleterre ou ailleurs, une pauvre fille, belle, jeune et pauvre qui épousera un homme, beau et riche. Mais avant, il faudra qu'elle surmonte bien des difficultés et barrières et qu'elle séduise ce bel homme taciturne, ténébreux, qui souffre en silence, qui a un secret etc... Oui, je l'avoue, mon côté fleur bleue me faisait succomber à ce genre d'histoires. Après, je m'en suis lassée car toujours les mêmes histoires...
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J'ai lu ce roman dans le seul but de savoir à quoi m'en tenir sur Barbara Cartland (même si j'avais déjà des soupçons). Hé bien, je dois dire que cette lecture a confirmé mes PIRES craintes.
Dans ce livre, nous avons donc pour héroïne Marisa Bradshaw, qui a prétendument du caractère, enfin elle a "la tête près du bonnet". Elle vit avec sa mère et elles sont pauvres, depuis la mort de son père, un compositeur. D'ailleurs, Marisa fait du piano. À une réunion mondaine (elle est vraiment si pauvre que ça ?), elle rencontre James de Westfield, riche et chargé de l'éducation de sa demi-soeur Charlyse, qui est insupportable. Marisa le trouve antipathique, mais lui est charmée par "sa force de caractère".
Mais que c'est original !!!!!!! Voilà qui ne ressemble PAS DU TOUT, mais alors pas du tout à un certain roman, pas très connu, qui a pour titre "Orgueil et préjugés" ! Non, sans blague, c'est un plagiat mauvais et éhonté de l'oeuvre de Jane Austen.
Bon, comme Marisa est bonne en piano, elle accepte de donner des cours à la soeur de James et, surprise, fait des miracles, parce tellement elle est gentille, vertueuse, belle et vierge ! Mais un méchant vieux lord et une méchante femme riche débauchée (qui sont amants) veulent s'emparer de la partition inédite de Beethoven (rien que ça) cachée par le père de Marisa et aussi, ils veulent que Marisa arrête d'être gentille, vertueuse, belle et vierge !
Alors, ils lui font croire qu'ils vont publier les partitions que son père a écrites, mais ils veulent surtout la livrer à un méchant vilain vieux monsieur gros, qui va la violer dans le boudoir en l'écrasant avec ces bourrelets de gras ! Heureusement, James arrive à temps pour sauver "l'innocence" de Marisa et puis...le reste, j'ai lu en diagonale, alors tout ce que j'ai retenu, c'est que Charlyse se perd dans le labyrinthe de thuya pendant un orage et que les méchants sont vaincus et que la partition de Beethoven était dans un chapeau.
Bref, à la fin, Marisa et James se marient et ne font pas l'amour, parce que le sexe, C'EST MAL par définition, et que s'ils consomment leur union, bah Marisa elle sera plus gentille, vertueuse, belle et vierge !
Franchement, je trouve que Barbara Cartland, c'est la quintessence de l'ennui. Pour être intéressantes, les histoires d'amour ont besoin d'être rehaussées par une vraie intrigue et d'être un tant soit peu originales. De plus, dans les romans à l'eau de rose modernes, on peut généralement frissonner dans ses draps en lisant des scènes érotiques qui réveillent en nous nos fantasmes adolescents...Mais avec notre amie Cartland, nous n'avons même pas cette consolation, parce qu'il faut être chaste, meme dans le mariage.
Les romans de Jane Austen est intéressante, parce que ce sont aussi le tableau d'une époque et d'une classe sociale, parce qu'il y a une intrigue, parce que tout n'est pas couru d'avance. Les romans de Juliette Benzoni sont intéressants, parce qu'il le côté historique, le côté policier et le côté érotique. Mais Barbara Cartland, je ne vois pas l'intérêt de lire ça.
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J'ai trouvé ce livre certes bien écrit, l'écriture est fluide c'est agréable mais l'histoire est trop prévisible. J'ai eu tendance à anticiper beaucoup de passages du livre. En soi l'histoire est intéressante mais je trouve qu'elle perd en pertinence au fur et à mesure du récit. Je trouve ce livre quelconque et niais.
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Ce roman est mon roman doudou. Petite je suis tombée sur le téléfilm avec une des premières apparition de Hugh Grant et j'ai du le voir plus de fois que mon propre âge. J'ai acheté le livre adulte, trouvé par hasard mais pour mon plus grand bonheur. Le pire, je ne saurai même pas dire pourquoi cette histoire résonne autant en moi. C'est un grand mystère. Peut être l'attitude bandit de grand chemin au grand coeur de Luc. Ou la grande méchante intrigante jalouse mais belle à ce damné. Les robes, la cour, les intrigues. Comme il se lit vite, il n'est jamais loin si j'ai besoin.
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Avant toute chose, si jamais ce livre vous intéresse, ne lisez *surtout pas* le résumé... qui spoile l'intégralité de l'histoire ou presque.
Seras-tu lady, Gardenia ? faisait partie d'un lot de livres abandonné dans le hall de l'immeuble. Friand de romance historique, impossible de ne pas le récupérer. La romance est un genre qui a tendance à plutôt mal vieillir, mais en dépit de son âge canonique (le livre étant sorti en 1979), celui-ci n'a pas pris trop de rides. Sans doute le côté historique aide-t-il pas mal.
Alors certes, le côté oie blanche de Gardenia pourra taper sur le système. Jeune anglaise issue d'un milieu modeste se retrouvant orpheline (#AlerteAuCliché), elle débarque en France pour y retrouver sa seule parente encore vivante. Autant dire que le Paris de la Belle Époque ne va pas manquer de la dérouter... d'autant que ce qu'elle ignore, c'est que sa tante Lily fait partie de ce que l'on appelle les demi-mondaines. Femmes-trophées, courtisanes de luxe, célébrités au sein du tout-Paris, admirées des messieurs fortunés qui se les arrachaient, méprisées par les autres (à commencer par les épouses légitimes), bien plus que de simples prostituées, ces femmes déchaînaient les passions au moins autant que les ragots. Et c'est dans cet univers très particulier que se déroule le roman. Lily tente tout de même de tenir son ingénue de nièce à l'écart de sa vie dissolue, et y parvient plutôt bien : pendant les deux tiers du livre, la jeune fille ne cesse ainsi de se poser des questions sur toutes les bizarreries qu'elle voit ou les allusions à peine subtiles qu'elle ne comprend tout simplement pas. Certes, son éducation joue pour beaucoup, mais même les autres personnages n'en peuvent plus de son extrême niaiserie.
La romance n'est finalement pas l'intérêt principal du roman, largement éclipsée par une légère intrigue politique qui n'est pas trop mal foutue, à laquelle Gardenia se retrouve mêlée de façon relativement crédible. le reste du temps, c'est une immersion dans ce Paris où l'argent coule à flots et où l'apparence compte plus que tout. Et malgré la candeur caricaturale de l'héroïne, ça se lit plutôt bien...
… du moins jusqu'à ce que la fin, précipitée à outrance, vienne gâcher tout ça. Les ennuis surgissent et Gardenia-la-cruche passe d'un seul coup en mode Téfal-tu-penses-à-tout. En l'espace de trente pages, tous les aspects de l'histoire sont bouclés. le dénouement de la romance semble sortir de nulle part, les intrigues politiques sont évincées en quelques lignes, bref, on a l'impression que l'autrice s'est dépêchée de finir son histoire au plus vite, et tant pis si tout ça manque de consistance. Dommage.
Néanmoins, ce n'est pas un désastre non plus, d'autant qu'avant ça, les péripéties de la naïve Gardenia se suivent, heureusement, sans ennui, pour peu que l'on accroche à l'ambiance du récit.
Par contre, il convient de mentionner que le livre est TRUFFÉ de coquilles, à tel point que l'on se demande s'il a seulement été corrigé. Rares sont les pages qui y échappent et l'on a droit à tout un festival entre les lettres manquantes, les lettres en trop, les lettres qui en remplacent d'autres, les fautes de conjugaison, les mots manquants et une orthographe parfois aux fraises... J'en ai pourtant lu des bouquins, mais je n'avais jamais vu un truc pareil.
Au final, le sentiment est plutôt mitigé. Sans la fin vraiment bâclée et les nombreuses coquilles, j'aurais sans hésité accordé une demi-étoile en plus.
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Séréna.... Ou le bouquin que tu te retrouves à lire en vacance chez la belle-mère ( que ça te surprends que la belle-mère ai des Cartland, vu la lectrice que c'est), parce que t'as du mal à avancer sur L'Abercrombie que t'avais emmené....
c'te putain de grand écart ! Abercrombie Cartland... y a que moi qui fais des trucs de ouf comme ça...^^
Bon je dois dire que j'avais jamais rien lu de Cartland ( même si je savais ce que j'allais trouver dedans), donc pour ne pas mourir débile et vu que j'avais besoin de me détendre le cerveau ( belle-mère toussah) je me suis dit pourquoi pas...
Et pi j'avais vu sur la quatrième de couv des mots comme : "libertin", "vice" "dépravation"... ça a éveillé mon intérêt et ma curiosité... Et puis le pitch de départ bonjour! La fille qui a été perdue au jeu par son père en même temps que le domaine familial.... en fait ça va passer crème... même pas mal...
Et heu pour le reste ( vice, dépravation, libertinage)... bin j'en ai été pour mes frais !.... y a ni vice, ni dépravation, ( enfin un peu, du jeu, un peu de laudanum qui traîne, mais franchement pas grand chose de plus) et encore moins de libertinage...
La scène pinacle niveau fesse, c'est un baiser.... j'ai éclaté de rire !
Nan j'ai bien rigolé en lisant ce bouquin... j'avais des roooh comment c'est sweet.... Rooh comment c'est des truffes... roooh comment c'est des crétins... si...
On est loin du militantisme féministe, très très très loin... ^^ plus loin que ça, je sais pas où c'est... ( c'en est même aberrant! )
On est en plein dans le sirupeux chouminou crétin qui te fille des caries, on est en plein dans l'emphase de la mort qui tue, avec des belles robes, des beaux messieurs qui sont tous marquis, duc lord ou truc machin... y a des chevauchées sous la pluie, et des bals de débutantes...
Je lisais des bouts à mon ado de fille, elle était morte de rire... le vrai éclat de rire sonore sincère...
Alors par contre y avait une autre histoire dans ce livre, deux pour le prix d'un, mais j'ai lâché l'affaire, je ne suis ni masochiste, et aucune envie de perdre mon temps, c'est bon j'ai vu le genre, j'ai compris, je ne mourais pas ignare quand à la mère Cartland.... Et je suis allée faire un tour dans une librairie.. bon y avait pas la suite de Blood song... merde !
Mais j'ai trouvé autre chose...
Et en demandant à ma belle-mère " Mais heu pourquoi donc que tu as plein de Cartland et autre Harlequin dans la bibliothèque ? tu as eu une période chouminou ?"
Et bin en fait, c'était pour la grand-mère atteinte d'Alzheimer, pour qu'elle continue à lire... elle arrivait plus à lire d'autre chose la pauvre dame, alors qu'elle était elle aussi une grande lectrice, nan vraiment Alzheimer c'est moche...
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