Benjamin von Eckartsberg

La tension monte, monte et tout explose. Les jeunes se révoltent et tout dégénère....Les combats sont de plus en plus violents, les rippers de plus en plus énormes. Le suspense est toujours présent même si parfois on devine certaine chose. J'ai été très surprise à propos du père de Yuki! Les valeurs humaines sont bien mises à mal...

Tout ce que peut faire l'humain pour survivre, soit c'est de l'héroïsme, soit on tombe dans le plus sombre de l'être...

Tout cela permet à certains de grandir, de faire des choix.. d'écouter son cœur!

Je reste un peu sur ma fin...y aura-t-il une suite???

Une adaptation vraiment réussite du célèbre roman d'Agatha Christie. Après s'être habitué au style graphique on se laisse porter par l'histoire.

Chaque détails important est parfaitement indiqués, le lecteur n'a plus qu'à mener l'enquête lui-même ou se laisser porter par la logique de Poirot.

C'est rapide à lire mais c'est bien fait et cela donne vraiment envie de lire la suite de cette série.
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Et voilà. Quand je retrouve enfin de l'intérêt à l'histoire qui est raconté, j'arrive au dernier tome disponible à la médiathèque, le dernier de la série n'ayant pas encore été acheté. Je vais devoir attendre quelques semaines.

Donc enfin, j'ai envie de connaitre la suite, mais sans plus.... je trouve cette histoire finalement assez classique.

Et j'ai bien une petite idée de comment cela pourrait finir. Je vais attendre tout de même la dernière lecture pour apprécier globalement la série

Je me demande pourquoi cette série est classée en adulte à la médiathèque. C'est clairement un truc pour ado. Et c'est gentil, mais ça fini par me lasser un peu. C'était amusant au départ, mais je trouve que ça traine un peu trop en longueur sur des sujets pour ado justement... je suis trop vieille je crois

Et comme je n'aime pas du tout les dessins.... je lis pour lire parce que j'ai emprunter les livres et qu'il faut maintenant les rendre.

Mark est un jeune garçon qui revient chez ses parents pour leur présenter Jenny, sa fiancée. Ses relations avec son père sont compliquées : il ne comprend pas cet homme, renfermé, qui refuse de parler de sa guerre et s'emporte facilement. Nous sommes en 1969 et Mark a laissé tomber ses études pour devenir pilote d'avion, empruntant la même voie que son père. Car il était pilote durant la seconde guerre mondiale. ce que son fils ignorait et ce qu'il va découvrir après que Jenny ait avoué que le jeune homme passe son brevet de pilote avec son propre père. Furieux, Robert le dispute, ne concevant pas qu'il ait pu prendre ce genre de décision. Sa mère va alors lui raconter ce qu'il s'est passé quand Robert était un Tuskegee ghost.

Une intrique qui alterne le présent en 69 en Alabama et les années de formation durant la seconde guerre mondiale. Quand Robert faisait face au racisme, au mépris des pilotes blancs et aux événements traumatiques.

Une intrigue bien ficelée, allié à un graphisme qui colle bien à l'époque, une chronique sociale de qualité.

A lire.

C'est de loin l'œuvre dont je me rappelle le plus d'Agatha Christie. Je me suis ainsi empressée de l'emprunter dès que je l'ai vue en BD. J'aime toujours le graphisme de l'auteur, je ne suis jamais déçue de ce style qui je trouve, convient bien aux œuvres d'Agatha Christie. Pas besoin de vous en faire un résumé.. le crime de l'Orient-Express est l'histoire où tous les personnages sont suspects, de près comme de loin mais qui est donc le réel meurtrier ?

Le groupe d’adolescents part à la recherche d’Archer qui a été banni par la colonie. Seulement, la route risque d’être extrêmement dangereuse… quant à la colonie, la situation devient de plus en plus tendue…

Un album riche en action et en violence car les tensions arrivent à leur paroxysme ; que ce soit entre les ados entre eux, la situation de Céline avec Bagster ou encore les ados avec l’équipe dirigeante. Rien ne va plus dans cet épisode où le dénouement est proche.

Un album donc très intéressant et sans temps morts et à la tension palpable.

On l’aura attendue longtemps, cette fin ! J’ai pourtant replongé sans trop de difficulté dans le monde post-apo de Gung Ho (après avoir feuilleté le T4, je reconnais). Les oppositions naissantes entre les personnages, entre l’intérieur et l’extérieur de la colonie atteignent leur paroxysme afin d’offrir un final nerveux et sanglant. Les ados s’opposent aux adultes, mais à d’autres ados aussi. Les alliances se forment, les trahisons éclatent et les morts s’accumulent. Bien que le rythme soit rapide, ce final n’est pas survolé. L’action est toujours aussi fluide et captivante.

La colonie qui finit par imploser sous les menaces des ados rebelles et des rippers offre un dernier champ de bataille chaotique. Zack, Archer, Yuki et leurs compagnons ont des ennemis sur tous les fronts. Avec le temps, on s’est attachés à ces personnages atypiques. Des personnages dont l’envie d’en découdre est pourtant surpassée par le besoin de protéger leurs proches.

Le dessin est à la hauteur du reste de la série : paysages nimbés de lumières et d’ombres, colonie enflammée, ensanglantée, personnages nerveux et détaillés. Le dessin est particulier, il n’aura peut-être pas plu à tout le monde, mais j’ai bien adhéré personnellement !

L’arrivée du nouvel entraîneur avec sa fille est synonyme d’une mauvaise nouvelle, le train qui les transportait à été attaqué par un groupe de rippers. Fort Apache est maintenant isolé… quant à la fille du nouvel entraîneur, elle a tapé dans l’œil de Zack.

Même si les histoires de coeur du groupe d’adolescents n’est pas ma tasse de thé, cela ne gêne en rien le récit. Récit qui multiplie les mystères et rend l’histoire encore plus passionnante.

L’univers crée par Von Eckartsberg se met tout doucement en place et devient de plus en plus intéressant.

C’est une ancienne bande-dessinée proposée lors des 48hBD ; j’ignore quelle année parce qu’il ne me dit rien du tout. Mais je l’ai trouvé à côté de la sélection de cette année.

Je ne connaissais pas du tout et on ne va pas se leurrer, je me suis laissé tenter non seulement par le prix, mais surtout par les illustrations sont vraiment belles, d’un réalisme impressionnant au que je me suis demandée si certaines planches n’étaient pas des photos – ce n’est bien sûr pas le cas.

Une chose est sûre, ce n’est pas la couverture qui m’aurait incitée à l’acheter. Je ne la trouve pas terrible et surtout, elle est trompeuse. Je m’attendais à une histoire de jeunes des favelas (pourquoi le Brésil ? Je ne sais pas, peut-être en raison des paysages très verdoyants) et de ganja. Ben pas du tout.

On est dans un univers de science-fiction, davantage post-apocalyptique.



Zack et Archer sont deux jeunes issus de la ville, d’où ils ont été renvoyés. Ils ont donc une dernière chance : ils doivent s’intégrer dans la colonie n°16, également appelée “fort apache”. Pour cela, ils suivent un entraînement en vue de défendre la forteresse, contre de dangereuses créatures : des zombies, à n’en pas douter vue la blaguounette que leur font les ados résidents.

Je ne reviendrai pas sur ce que je pense des illustrations. Quant à l’histoire, j’ai beaucoup aimé. Je ne suis pas sûre d’apprécier les personnages, surtout l’aîné Archer : il est insolent, arrogant et irrespectueux. Zack est plus sympathique, il a un côté rebelle, mais moins tête brûlée que son frère. Ce dernier me plaît bien mieux.



Il est bon de préciser que cette version n’est pas complète : le premier tome original fait 80 pages et non 47… c’est très chouette d’avoir découvert cette saga, mais frustrant de savoir qu’il en manque un bout (en même temps, j’aurais quand même été frustrée d’arriver à la fin et de ne pas avoir la suite). Il faudra que j’essaie de me procurer tous les tomes.

J’ai adoré cette lecture captivante. Tout m’a plu : le récit, les illustrations, l’univers entêtant (pas un truc de fou, mais suffisamment agréable pour que je m’y sente bien).
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Avant dernier tome de cette série toujours aussi trépidante. Les personnages se développent toujours aussi bien et les dessins sont toujours aussi beaux (avec notamment un jeu sur les couleurs et les lumières que j'adore).

Pour autant, j'ai une légère déception sur la tournure des évènements que je trouve plutôt convenus alors qu'il y avait un potentiel de faire quelque chose de plus innovant à mon gout.

Après un premier tome intéressant, ce deuxième tome est tout aussi intéressant mais stagne dans les intrigues à mon goût. On est sur un tome plus axé sur les personnages et leurs relations aux détriments des problématiques mises en place dans le premier tome ainsi qu'au frère ainé Archer qui ne va presque pas exister dans ce tome.

Pour autant, le travail réaliser sur les personnages est toujours aussi qualitatif et on est loin d'un manichéisme ordinaire.

Graphiquement, le titre reste très beau avec une vraie ambiance et de superbes décors

Finalement il faudra encore attendre un tome supplémentaire avant de connaître la conclusion de cette série.

Ce 5e tome est surtout marqué par le basculement des rapports de force entre les ados et leurs parents ainsi que par l'apparition d'un monstre d'une autre taille.

Les dessins sont toujours aussi bluffants et le méga format de cette édition de luxe permet d'en prendre plein les yeux.

J'ai vraiment hâte de connaître le dénouement de l'histoire quand on voit ce qui se passe dans les 2 dernières pages.

J'adore cette série par son graphisme très coloré et vivant. D'ailleurs ça pourrait faire une très bonne série type "The Walking Dead". Ici les zombies sont remplacés par ces gros singes blancs appelés "rippers". Les humains ont du se regrouper en communautés avec des règles strictes pour survivre dans des camps retranchés. La BD se concentre sur la vie des ados réfractaires au comportement tyrannique de certains dirigeants. Ils vivent leurs histoires de séduction et en même temps doivent faire leurs preuves en tant que jeunes guerriers... Parfois ils agissent impulsivement.

Tome 3 de la dystopie Gung Ho. Archer découvre que l'officier municipal Bagster viole Céline mais lorsqu'il réclame justice, Celine témoigne contre lui, et Archer est condamné à l'exil. Dès lors son frère Zack cherche le moyen de lui venir en aide..



Une bourgade confinée, des règles et une discipline strictes pour assurer la sécurité des habitants, des adolescents rebelles qui font fi du danger pour rétablir la justice et pour le goût du risque dans un contexte apocalyptique, une narration rythmée, ... je me suis régalée.

Après l’excellente saga La chronique des Immortels, Benjamin Von Eckartsberg et Thomas Von Kummant s’attaquent à une nouvelle série prévue en cinq tomes de quatre-vingt pages : « Gung Ho ». Chaque tome sera également proposé en deux albums en format deluxe, limité à un tirage de 3000 exemplaires. Le lecteur aura ainsi le choix entre la version classique et le tirage spécial en dix tomes grand format enrichis d’un bonus d’une vingtaine de pages.



L’histoire se déroule dans un futur proche post-apocalyptique et invite à suivre les pas de deux adolescents qui intègrent l’enceinte fortifiée de la colonie n°16, également appelée « Fort Apache ». Les deux frères Goodwoody sont des « brebies galeuses » qui se font systématiquement expulser de chaque camp fortifié qu’ils rejoignent car ils éprouvent beaucoup de mal à se plier aux règles très strictes qui régissent ces petites communautés confrontées à une menace extérieure visiblement redoutable.



Lors de cette mise en bouche, Benjamin von Eckartsberg montre donc le fonctionnement de ces campements retranchés, ne dévoilant le visage de l’ennemi qu’en toute fin de tome. Il se contente donc de présenter les différents protagonistes, tout en laissant planer une menace, certes invisible, mais bel et bien présente. Le scénariste propose donc un récit d’anticipation assez classique mais parfaitement maîtrisé et particulièrement prenant.



Visuellement, le graphisme de Thomas von Kummant est de toute beauté. Outre des décors fourmillant de détails et des personnages réalistes et très expressifs, il installe une ambiance faussement optimiste à l’aide d’une colorisation chaude. Si ces couleurs printanières sont encore mises en avant par l’absence d’encrage, l’auteur parvient tout de même à y insuffler une menace latente, qui dévoile son visage en fin de tome. Le récit laisse alors une part plus importante à l’action et vire vers l’horrifique, abandonnant le lecteur avec l’envie de découvrir la suite au plus vite.



Une lecture vivement conseillée que vous retrouverez également dans mon Top de l’année !
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Voici enfin la suite et fin de cette adaptation du livre de fantasy éponyme écrit par Wolfgang Hohlbein. Une adaptation également 100% germanique, car elle est l’oeuvre de Benjamin Von Eckartsberg et Thomas Von Kummant.



Après second tome très (trop) maigre, cette conclusion permet enfin de connaître le secret des Delany. Si l’aventure d’Andrej Delany et du jeune Frédéric a pour but de délivrer les villageois retenus prisonniers à Constanta, le lecteur veut surtout connaître les origines d’Andrei et la véritable nature de ces ennemis aux casques dorés. C’est chose faite après lecture de ce troisième volet, même s’il faudra attendre le deuxième cycle pour connaître le destin des villageois.



Si ce premier cycle revisite habilement le mythe du vampire et apporte finalement toutes les réponses concernant les origines du héros, on ne peut s’empêcher de déplorer le choix éditorial de l’éditeur suisse, qui a choisi de publier la deuxième moitié de ce récit en deux albums d’une trentaine de pages (et je ne parle même pas du rythme de parution). Cela n’enlève rien à la qualité de cette saga à l’ambiance sombre et angoissante, mais c’est tout de même frustrant.



Visuellement, le style de Von Kummant a changé depuis le premier volet, mais les planches demeurent superbes. J’avais certes une préférence pour le décor rural du premier tome, mais l’ambiance malsaine de cette ville moyenâgeuse est également parfaitement restituée. L’atmosphère est toujours aussi sombre avec une narration en voix-off du personnage principal, toujours aussi pesante. Les dialogues sonnent toujours aussi justes et les rebondissements sont nombreux malgré le nombre de pages réduit.



La fin de l’album est à nouveau complétée par une galerie d’illustrations réalisées par divers artistes tels que Marini ou Mathieu Laufray.



Une très bonne trilogie, dont la fin très ouverte appelle à une suite !
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Les jeunes de Fort Apache sont désormais incontrôlables. Entre excursions en zone de danger, soutien à Archer et baptême du combat contre les rippers, ils marquent leur indépendance, leur refus des règles de la colonie et de certaines injustices. Quel qu'en soit le prix...

La série confirme son ton parfois cru dans cet univers violent mais immersif. le dessin de Thomas von Kummant est toujours impeccable. Les dernières planches nous laissent dans l'attente du cinquième et dernier tome.

Une apocalypse et des survivants dans une société à règles. Le concept est connu et ce début suit les règles habituelles du genre. On assiste donc aux conversations convenues et aux intrigues attendues. Le dessin est joli, l’atmosphère bien prenante mais le choix de ne présenter qu’un demi-volume dans l’édition des 48 heures de la bande dessinée est un mauvais calcul : il faudrait être vraiment emporté par l’intrigue pour acheter la suite mais il faut ici racheter ce qui est déjà lu. L’opération est mauvaise d’autant plus que ces quelques pages ne suffisent pas à déclencher l’envie de poursuivre. Dommage.
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J'enchaîne tout de suite avec ce second tome plus centré sur la bande d'ado qui vit dans la communauté. Reflet insouciant des adultes, on voit leurs conflits, leurs amours et leurs relations plus professionnelles... le tout avec des conséquences parfois désastreuses. Et en toile de fond, toujours ce monde angoissant et cette menace constante.

Une série dont le style graphique me plait bien et que je continue avec plaisir.
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