Citations de Bertrand Puard (223)
Longue vie à la Trouille Académie !
Il ne faut jamais accepter d'avoir peur et toujours se rebeller ! Contre toutes les situations injustes, et surtout contre ceux qui nous les font subir....
- CTRL/ALT/DEL est mort, vive Ctrl+Alt+Suppr, dit Simon.
Il faut édicter des règles strictes et des sanctions exemplaires pour que personne ne se croie jamais au-dessus des lois. Soyons optimistes.
Et Zéphyr s’envola, libre de tout autre bagage que celui laissé par Evy, sa grand-mère adorée. Cet héritage qui, au fond, lui correspondait tout à fait.
Je tremblais de tous mes membres, le froid, la peur. Je me suis évanoui pendant cette dernière étape. Un de mes gardiens — j’ai compris plus tard qu’il était aussi médecin —veillait à mon état de santé afin que je continue à souffrir du froid, de la faim, de la soif. C’est l’une des principales caractéristiques de la gestion des prisonniers dans l’Archipel : trouver votre limite, et tout faire pour vous maintenir dans un inconfort extrême. Vous faire côtoyer la mort, sans jamais permettre qu’elle ne vous enserre, qu’elle ne vous embrasse.
Il est des visions de l'enfance qu'on aimerait pouvoir radier de son esprit pour toujours. Et d'autres qu'on souhaiterait graver dans les moindres détails, les moindres nuances, pour les conserver à jamais.
- Tu es comme tous les autres, souffla Djali. Une belle femme ne peut que montrer son corps et en faire une sorte de marchandise. J'aurais plutôt été son astronome à ton général, si tu veux tout savoir. Les étoiles me passionnent...
- Vous me trouvez laid, n'est-ce pas ?
- Non, pas laid, Marc-Antoine. Hideux. Mais il n'en demeure pas moins que vous avez du charme... Le charme des caractères forts, de ceux qui savent aller au bout de leur rêve, qui en ont la capacité, l'intelligence et la ténacité...
Le jeu d'échecs est un lac, dans lequel peut se baigner un moucheron et se noyer un éléphant.
Ce qui est fascinant, chez l'être humain, dit paisiblement Yann, c'est cette faculté à descendre toujours plus bas dans l'abject...
Il était nu, il était prêt. Nouria enleva son tee-shirt et il fit glisser sa culotte avant de la porter jusqu'au lit.
Plus tard, une ombre s'avança dans la pièce. Cette ombre se composa, c'était Yann à qui Sacha avait confié sa seconde carte d'accès. L'adolescent entra dans le lit à son tour et se colla contre Nouria. Ses mains ne croisèrent jamais celles de Sacha; qui eut le bon sens de ne pas emprunter les mêmes trajectoires que lui.
Pourquoi choisir lorsque personne ne vous le demande ? Pourquoi se fixer des ultimatums en temps de paix ?
Nouria savait son corps et son esprit disponibles pour recevoir en même temps les présences des deux jeunes hommes de sa jeune vie.
Vous n'avez pas le droit d'être haineux et misanthrope à ce point, laissez cela aux artistes incompris, aux génies méconnus.
oui un artiste désire s'élever intellectuellement le plus possible mais l'homme doit rester obscur.
Messieurs en continuant à exposer cette merveille dans cette caverne, c'est Courbet que vous faites mourir une seconde fois.
Dans votre métier la paix des ménages ne vaut rien! Continua-t-il. Donnez un amant à vos toiles, prenez moi à l'essai.
la littérature aura toujours pour le commerçant un arrière gout de faillite!
Chacun avait ses raisons de continuer. Chacun aurait son rôle à jouer dans les prochaines heures...
Ils étaient là, devant elle, les deux hommes de sa vie, si semblables et si différents à la fois...